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Chant russe pour la période du Carême (Ps 137)

Choeur du monastère Sretensky à Moscou

Au bord des fleuves de Babylone nous étions assis et nous pleurions, nous souvenant de Sion ;
aux peupliers d'alentour nous avions pendu nos harpes.
Et c'est là qu'ils nous demandèrent, nos geôliers, des cantiques, nos ravisseurs, de la joie "Chantez-nous, disaient-ils, un cantique de Sion."
Comment chanterions-nous un cantique de Yahvé sur une terre étrangère ?
Si je t'oublie, Jérusalem, que ma droite se dessèche !
Que ma langue s'attache à mon palais si je perds ton souvenir, si je ne mets Jérusalem au plus haut de ma joie !
...
(Psaume 137)

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