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10 avril 2014 : Intervention de Gregor Puppinck (« Un de nous ») au Parlement européen

INTRODUCTION

J’ai l’honneur de m’adresser à vous en tant que représentant du comité d’organisation de l’Initiative Citoyenne européenne « Un de nous/One of us », qui est à ce jour l’Initiative Citoyenne qui a réuni le plus grand nombre de soutiens à travers toute l’Europe.

L’Initiative Citoyenne « Un de Nous » a recueilli près de deux millions de signatures, ce qui en fait la première initiative à ce jour et la plus grosse pétition dans  l’histoire des institutions européennes.

Notre demande relève de la compétence de l’Union, et sa compatibilité avec le droit européen et les droits fondamentaux a déjà été vérifiée et attestée par la Commission européenne lors de l’examen préalable à l’enregistrement officiel de l’Initiative.

L’Initiative Citoyenne « Un de Nous » a donc rempli toutes les conditions nécessaires pour faire à présent l’objet d’une proposition législative qui sera discutée après les élections par le prochain Parlement et par le Conseil.

L’objet de l’audition de ce jour n’est pas d’anticiper sur les débats qui auront lieu sur la base de notre proposition législative, mais de nous donner la possibilité, nous qui représentons près deux millions de citoyens de vous exposer dans le détail notre demande.

Notre demande est simple et précise, elle s’appuie sur l’acquis européen, plus encore, elle est juste et bénéfique.

Par respect pour la vie et la dignité de tout être humain, nous demandons l’intégration d’une clause éthique dans la réglementation européenne qui exclut explicitement de financement européen toute activité qui détruise ou implique la destruction de vies humaines. Cette clause éthique de portée générale s’applique en particulier au financement de pratiques biotechnologiques impliquant la destruction d’embryons humains, et au financement d’avortements dans le contexte de l’aide au développement.

Ainsi, l’Initiative demande que soit introduit dans le droit européen le principe suivant :

« Aucun fonds de l’Union européenne ne doit être attribué à des activités qui détruisent des embryons humains ou qui présupposent leur destruction »

Suite et intégralité de l'intervention (texte et vidéo) sur le site internet Un de nous.

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