Coro della Radio Svizzera, I Barocchisti, Cecilia Bartoli - Dir. Diego Fasolis
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Coro della Radio Svizzera, I Barocchisti, Cecilia Bartoli - Dir. Diego Fasolis
Le bilan des morts et des disparus à la suite des inondations qui ont frappé, à la fin du mois de mars, la région himalayenne du Kashmir, dans le nord de l’Inde, continue à s’alourdir.
Un village du district de Budgam a été emporté sous un glissement de terrain. Çà et là, des corps ont été retrouvés, mais on craint que d’autres habitants soient encore pris au piège dans la boue et les détritus qui ont submergé des dizaines d’habitations.
Les opérations d’évacuation gérées par des équipes de la Force nationale de réponse aux catastrophes envoyées par New Delhi se poursuivent. Même s’il ne pleut plus, le niveau de la rivière Jhelun a dépassé les niveaux de garde et pourrait déborder par endroits. Les autorités ont proclamé l’Etat d’urgence et exhorté ceux qui vivent dans les environs du cours d’eau de quitter leurs habitations pour se réfugier dans des lieux plus sûrs.
Au mois de septembre dernier, des inondations avaient noyé 80% de la région, causant la mort de plus de 250 personnes et faisant des centaines de milliers d’évacués et des milliers de sans-abri. Cette inondation a d’ailleurs été qualifiée de pire inondation des 50 dernières années.
A. T. (avec Fides)
Source : InfoCatho.be.
Voici le texte du télégramme envoyé - au nom du Saint-Père - par le Cardinal Secrétaire d’État Pietro Parolin au Président de la Conférence épiscopale du Kenya, le Cardinal John Njue, archevêque de Nairobi, pour les victimes du massacre perpétré hier dans le campus de l'Université Garissa, qui a entraîné la mort de 147 étudiants et blessé beaucoup d'autres :
Télégramme
Son Éminence le Cardinal John Njue
Président de la Conférence des évêques catholiques du Kenya
Nairobi
Profondément attristé par l'immense et tragique perte de vies causée par la récente attaque de l'Université de Garissa, le Saint-Père envoie l'assurance de ses prières et de sa proximité spirituelle aux familles des victimes et à tous les Kényans en ce moment douloureux. Il confie les âmes des défunts à la miséricorde infinie de Dieu Tout-Puissant, et il prie pour que tous ceux qui les pleurent soient consolés dans leur perte. En union avec tous les hommes de bonne volonté à travers le monde, Sa Sainteté condamne cet acte de brutalité insensée et prie pour une conversion de cœur parmi ses auteurs. Il appelle toutes les autorités à redoubler leurs efforts pour travailler avec tous les hommes et les femmes au Kenya afin de mettre fin à cette violence, et pour accélérer l'aube d'une nouvelle ère de fraternité, de justice et de paix.
Cardinal Pietro Parolin
Secrétaire d'État
Texte original en anglais : Salle de Presse du Saint-Siège.
(1er Vendredi du mois, dédié au Sacré-Cœur)
« « Ils verront au-dedans de celui qu'ils ont percé. » - C'est le mot du prophète Zacharie, rappelé par saint Jean. Le prophète n'a pas dit : « Ils verront qui ils ont percé », mais « ils verront au-dedans de celui qu'ils ont percé : Videbunt in quem transfixerunt. » (Saint Jean 19, 38.) Saint Jean applique ces paroles à l'ouverture du côté de Jésus ; il a du penser à l'intérieur de Jésus, au Cœur même de Jésus qu'il a pu entrevoir par la plaie béante du côté, au moment de l'embaumement.
Cette blessure nous livre et nous ouvre le Cœur de Jésus. Spirituellement, nous y lisons l'amour qui a tout donné, même la vie. Dans cet amour même, nous reconnaissons le motif et la fin de toutes les œuvres divines : Dieu nous a créés, rachetés, sanctifiés par amour. Dans le Cœur de Jésus, c'est donc le fond même de la nature divine que nous pénétrons en sa plus merveilleuse manifestation. « Dieu est amour. » Saint Jean a lu cela dans le Cœur de Jésus.
J'ai besoin de contempler cette blessure pour voir combien je suis aimé et combien je dois aimer à mon tour. J'apprendrai là comment un cœur aimant doit agir, souffrir, tout donner, jusqu'à la mort, pour Dieu et pour les âmes.
Allons plus profondément encore, et voyons tout ce qu'a souffert le plus délicat des cœurs : les mépris, les calomnies, les trahisons, les abandons, les délaissements. Toutes les douleurs sont réunies dans ce Coeur et en débordent. Il les a toutes ressenties, il les a toutes sanctifiées. Dans nos peines, si extrêmes qu'elles soient, ayons confiance dans la sympathie et la compassion de ce Cœur, qui a voulu nous ressembler dans la souffrance, pour être plus compatissant et plus miséricordieux. (Aux Hébr. 2, 17.)
Commençons nous-mêmes par plaindre cet amour qui n'est pas aimé et par compatir à ses douleurs.
Résolutions - L'ouverture du Cœur de Jésus nous rappelle son amour, sa bonté, sa souffrance. Il attend de moi l'amour de retour, la reconnaissance, la compassion. Me voici, Seigneur, pour vivre avec Vous et en Vous. Ne permettez plus que je me sépare de Vous et que je Vous oublie. »
Vénérable Léon Dehon (1843-1925), L'année avec le Sacré-Cœur, Tome I (Vendredi Saint), Établissements Casterman, Tournai - Paris, s.d. (1909).
Le coup de lance, James Tissot (1836-1902)
Cette Neuvaine commence le Vendredi Saint et s'achève pour la fête de la Miséricorde, le 1er dimanche après Pâques.
Elle a son origine dans une révélation privée du Christ à sainte Faustine.
Pueri Cantores de la Chapelle Sixtine - Dir. Mgr Marcos Pavan (Rome, 09/06/1999)
Vendredi Saint
La mort de Jésus, James Tissot (1836-1902)
Vendredi Saint - Méditation de Mgr Aillet
Disponible également en téléchargement ici.