Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • 1915-2015 : l’Arménie commémore ses martyrs

    armenie-flamme-du-memorial_550.jpg

    Le 24 avril 2015

    En ce jour commémoratif du centenaire du génocide des Arméniens par les Turcs, l'AED (Aide à l'Eglise en Détresse) publie sur son site internet l’intégralité de l’article paru dans le dernier numéro de « L’Eglise dans le monde » (la revue de l’AED) sur ce sujet. Une analyse historique, politique et actuelle rédigée par Philippe Oswald, à lire ci-dessous :

    1915-2015 : l’Arménie commémore ses martyrs

  • Signez l'Appel « sauver Vincent, tout simplement » !

    La vie de Vincent Lambert est suspendue à la décision de la Cour européenne des droits de l’homme. Ses proches vous invitent à le soutenir dans cette épreuve. Car Vincent n’est pas en fin de vie, il est en situation de grand handicap.

    L’Appel : « SAUVER VINCENT, TOUT SIMPLEMENT »

    Nous, hommes et femmes responsables, refusons l’instrumentalisation indécente de la situation de Vincent Lambert. Nous refusons que chaque développement de cette affaire fasse l’objet d’une récupération politique et militante.

    Depuis 2002, des unités spécialisées existent. Certaines ont proposé en vain une place à Vincent pour lui prodiguer les soins adaptés à son état et des petits gestes simples : l’asseoir dans un fauteuil, des séance de kiné, le promener dans un parc, lui faire ressentir la fraicheur du soir qui tombe.
    Nous savons qu’il est insoutenable pour des parents de savoir que leur enfant va mourir, par privation d’eau et de nourriture, même si des médecins disent que c’est mieux comme ça.

    C’est pourquoi, quelle que soit la décision de la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme), quelle que soit l’évolution de la législation sur l’euthanasie, quelle que soient les distinctions subtiles que fera le législateur ou les juridictions entre les soins et les traitements, il demeure une réalité incontournable : Viviane Lambert aime son fils et propose même avec son mari et l’aide de certains de ses enfants de recueillir Vincent à la maison. Au nom de quoi le lui refuse-t-on ? Au nom de quel principe faudrait-il que Vincent meure lorsqu’il peut vivre sous le regard aimant de sa famille et avec les soins dont il a besoin ?

    Avec Vincent, nous voulons soutenir les 1700 personnes en état de conscience altérée en France mais aussi toutes les personnes atteintes de handicap. En situation de grande vulnérabilité, Vincent est pour nous un intouchable.

    Comme nous, rejoignez le Comité de soutien à Vincent Lambert.


    Signez l’Appel

  • Guillaume Lekeu (1870-1894) : Adagio pour quatuor d'orchestre (1891)

  • Méditation : notre insensibilité

    « Il faut avoir le courage de regarder souvent, sous son aspect réel et dans la lumière de vérité, cette chose horrible qui s'appelle un péché : un coup droit, violent, délibéré, capable de tuer, donné à l'Amour en nous, pour nous débarrasser de Lui et le remplacer par nous. Il faut voir cette horrible chose devenue le pain quotidien de tant d'âmes, avalée comme l'eau, et s'établissant en maître dans un monde ne devant d'être et de subsister qu'à cet Amour que l'on crucifie.

    Il faut se mettre en face de cet Amour en Croix. C'est une personne vivante, c'est un homme de 33 ans, en pleine vitalité, d'une richesse de sensibilité inouïe ; toutes les délicatesses des organes, du coeur et de l'esprit ; le ciel et la terre, le Créateur et la créature, le fini et l'infini, réunis, ne faisant qu'un en Lui. Donc, tous les droits, toutes les grandeurs, toute vérité et tout bien, tout ce qui peut arracher l'admiration, le respect, la sympathie, la tendresse. Pendant 30 ans, on l'ignore, non sans le persécuter très probablement ; pendant trois ans, on le jalouse, on l'attaque, on barre la route à son action ; pendant trois heures d'agonie intime il porte en son âme filiale le poids de la colère de son Père irrité. Pendant douze heures son pauvres corps est frappé, brisé en tous sens, sous toutes les formes, et son cœur souffre de toutes les souffrances de ses aimés qui sont là pour centupler sa peine par la leur propre. Au dernier moment, quand il est à bout, à bout de forces, de sang, d'honneur, de tendresse, son Père resté son seul soutien semble comme se retirer, l'abandonner et l'achever de ce coup suprême. Alors, c'est fini, le péché est payé. Mais quel prix ! C'est le prix d'un âme qui s'est livrée au mal : « Nous pleurons une âme qu'un corps abandonne, dit Saint Augustin, mais quelles entrailles chrétiennes avons-nous donc pour ne pas pleurer une âme qui s'est séparée de son Dieu ! ».

    Saint Augustin a raison de dénoncer notre insensibilité spirituelle. Mais il sait ce qui nous manque et comment l'obtenir, lui qui a tant pleuré ses fautes. Il nous manque la Lumière de l'Amour nous les faisant voir dans leur divine et affreuse vérité. Pour l'obtenir, il faut la demander et l'attendre. Elle ne brille pas toujours quand nous la demandons, mais elle se donne tôt ou tard à ceux qui savent attendre. »

    Dom Augustin Guillerand (1877-1945), Face à Dieu (Deuxième partie, Notre insensibilité), Roma, Benedettine di Priscilla, 1956.

    Crucifixion_26a.jpg

  • Vendredi 24 avril 2015

    St Fidèle de Sigmaringen, religieux (capucin) et martyr
  • La Neuvaine - Neuf mois de prière pour la France (24ème semaine)

    La Neuvaine,Neuf mois,prière,France,Méditation,abbé,Eric Iborra

    24e semaine - Méditation du Père Patrick Faur

    Disponible également en téléchargement ici.