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Hymne de l'Office des Laudes de la Fête du Sacré-Coeur de Jésus

Cor, arca legem cóntinens (XVIIIème siècle)
Schola Sainte Cécile

Hymnus

Cor, arca legem cóntinens
Non servitútis véteris,
Sed grátiæ, sed véniæ,
Sed et misericórdiæ.

Cor, sanctuárium novi
Intemerátum fœderis,
Templum vetústo sánctius,
Velúmque scisso utílius.

Te vulnerátum cáritas
Ictu paténti vóluit,
Amóris invisíbilis
Ut venerémur vúlnera.

Hoc sub amóris symbolo
Passus cruénta et mýstica,
Utrúmque sacrifícium
Christus sacérdos óbtulit.

Quis non amántem rédamet ?
Quis non redémptus díligat,
Et Corde in isto séligat
Ætérna tabernácula ?

Iesu, tibi sit glória,
Qui Corde fundis grátiam,
Cum Patre, et almo Spíritu,
In sempitérna sæcula. Amen.
Hymne

Cœur, arche contenant la Loi,
non de l’antique servitude,
mais la loi de grâce, mais celle du pardon,
mais celle de la miséricorde.

Cœur, sanctuaire inviolé
de la nouvelle alliance,
temple plus saint que l’ancien,
voile plus utile que celui qui fut déchiré.

Votre amour a voulu
que vous soyez blessé par un coup visible,
pour que d’un amour invisible
nous vénérions les blessures.

Sous ce symbole de l’amour,
le Christ Prêtre, ayant souffert
de façon sanglante et mystique,
offrit un double sacrifice.

A Celui qui nous aime qui ne rendrait son amour ?
Quel racheté ne le chérirait pas
et dans ce Cœur ne se choisirait pas
une demeure éternelle ?

Jésus, à Vous soit la gloire,
Vous dont le Cœur répand l’amour,
ainsi qu’au Père et à l’Esprit nourricier,
dans les siècles sempiternels. Amen.

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