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  • Angelus de ce dimanche 25 septembre 2016

    A l'issue de la Messe, lors de l'Angélus de ce dimanche 25 septembre, le Pape a évoqué la béatification samedi en Allemagne de Engelmar Unzeitig, un prêtre de la Congrégation des missionnaires de Mariannhill qui fut tué en raison de sa foi dans le camp d’extermination nazi de Dachau. « Il opposa l’amour à la haine et répondit à la férocité par l’humilité ». Le Pape a souhaité que son exemple aide chacun à être témoin de charité et d’espérance dans les moments de trouble.

    Au lendemain d’une marche pour la vie qui a rassemblé plusieurs milliers de personnes vêtues de blanc dans la capitale mexicaine pour défendre la famille alors que le président Enrique Peña Nieto souhaite légaliser le mariage homosexuel, le Pape s’est « volontiers » associé ce dimanche à l’évêque de Mexico afin de « soutenir l’effort de l’Église et de la société civile en faveur de la famille et de la vie, qui demandent en ce moment une attention pastorale et culturelle dans le monde entier ». Le Pape en profite pour assurer de sa prière le « cher peuple mexicain », afin que cesse la violence qui a même frappé des prêtres. La semaine dernière, deux prêtres de l’État de Veracruz ont été retrouvés morts au bord d’une route. Ils avaient été enlevés la veille dans leur paroisse de Notre-Dame de Fatima à Poza Rica.

    À l’occasion de la Journée mondiale des Sourds, le Pape a aussi salué toutes les personnes atteintes de surdité et les a encouragées à donner leur contribution à une Église et société toujours plus capables d’accueillir tout le monde.

    Enfin, le Pape a salué les catéchistes qu’il a remerciés pour leur engagement dans l’Église au service de l’évangélisation. « Que la Vierge vous aide à persévérer sur le chemin de la foi, et pour témoigner dans votre vie de ce que vous transmettez dans la catéchèse ».

    Source : Radio Vatican (MD).

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Jubilé des catéchistes - Messe célébrée par le Pape François

    Livret de la célébration

    Le Pape François a célébré la Messe place Saint-Pierre dimanche 25 septembre à l'occasion du Jubilé des catéchistes qui se déroule à Rome dans le cadre de l'année de la Miséricorde. A cette occasion plusieurs milliers de catéchistes venus du monde entier, parmi lesquels 150 Français se sont retrouvés pour un pèlerinage international.

    En commentant les textes du jour lors de son homélie, le Pape est revenu sur le commandement de l'Apôtre Paul à Timothée qui rappelle le centre de la foi. « Ce centre autour duquel tout tourne, ce cœur palpitant qui donne vie à tout, c’est l’annonce pascale, la première annonce : le Seigneur Jésus est ressuscité, le Seigneur Jésus t’aime, Il a donné sa vie pour toi ; ressuscité et vivant, Il est présent à tes côtés et Il t’attend chaque jour. Nous ne devons jamais l’oublier ».

    « En ce Jubilé des catéchistes, a poursuivi le Saint-Père, il nous est demandé de ne pas nous lasser de mettre en premier l’annonce principale de la foi : le Seigneur est ressuscité. Il n’y a pas de contenu plus important, rien de plus solide et actuel. » L'annonce de Dieu-amour ne peut se faire qu'en aimant a rappelé aussi le Pape, non pas en cherchant à convaincre, jamais en imposant la vérité, non plus en se raidissant sur des obligations religieuses ou morales. Au contraire, a t-il expliqué, Dieu est annoncé en rencontrant les personnes, en prêtant attention à leur histoire et à leur chemin. Le Pape François a ainsi rappelé que le message du Seigneur, parce qu'il n'était pas une idée mais bien une personne, passait par un témoignage simple et vrai.

    L’Évangile qui relate la parabole de l'homme riche et de Lazare nous aide à comprendre ce que veut dire aimer a poursuivi le Pape, c'est à dire dépasser nos cécités, sentir avec son cœur avant de voir avec ses yeux. « La mondanité qui anesthésie l’âme est entrée dans son cœur » a-t-il souligné en évoquant l'homme riche de la parabole, cette mondanité est comme un « trou noir » qui engloutit le bien, qui éteint l’amour parce qu’elle ramène tout au moi.

    Le Seigneur regarde celui qui est négligé et mis à l’écart du monde, a précisé le Pape qui a rappelé que « Lazare est le seul personnage, dans toutes les paraboles de Jésus, à être appelé par son nom ». Cette pauvreté de Lazare, à l'inverse de l'ostentation de l'homme riche s’exprime avec une grande dignité. Ceci est enseignement précieux a t-il précisé en lançant une invitation aux catéchistes : « en tant que serviteurs de la Parole de Jésus nous sommes appelés à ne pas étaler une apparence et à ne pas rechercher la gloire ; nous ne pouvons pas non plus être tristes ni nous lamenter. Ne soyons pas des prophètes de malheur qui se complaisent à dénicher les dangers ou les déviances ; ne soyons pas des gens qui se retranchent dans leurs propres environnements en émettant des jugements amers sur la société, sur l’Église, sur tout et sur tous, polluant le monde de choses négatives. »

    Celui qui annonce l’espérance de Jésus est porteur de joie et voit loin, car il sait regarder au-delà du mal et des problèmes, a conclu le Saint-Père, et en même temps il voit bien de près, car il est attentif au prochain et à ses nécessités. « Que le Seigneur nous donne la grâce d’être renouvelés chaque jour par la joie de la première annonce ».

    Source : Radio Vatican (OB).

    Texte intégral de l'homélie traduite en français ci-dessous.

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  • Chant de triomphe, Abbaye Sainte Marie de Boulaur

    Sœurs cisterciennes de l'Abbaye
     
    Louange et gloire au Roi des rois,
    En lui j’espère, en Lui je crois
    Lui seul est fort, Lui seul est grand.

    Refrain :
    Alléluia, alléluia,
    Dieu soit loué, Dieu soit chanté
    sans fin pendant l’éternité.

    Hymne d'espoir et chant joyeux,
    Chant d'allégresse, montée vers Dieu,
    Vers Dieu qui règne dans les cieux
  • Méditation - Au nom de Jésus, bâtir la Paix

    « Là où il y a l'offense, que je mette le pardon,
    Là où il y a la discorde, que je mette l'union... »

    « Il faut apaiser les différends, assoupir les procès, et presser tellement les parties de se parler et de se réconcilier, qu'on ne croie pas avoir rien fait si on ne se parle et si on ne s'aime, comme si on n'avait rien eu à démêler ensemble. Autrement, c'est un signe qu'il y a encore sur le cœur je ne sais quoi que Notre-Seigneur ne veut pas, puisqu'il veut que nous soyons les uns avec les autres comme nous voudrions être avec lui, et qu'il fût avec nous. Or, il est assuré qu'il ne doit rien demeurer sur le cœur contre lui, et que nous ne voudrions pas qu'il lui restât rien contre nous ; il faut donc se mettre ensemble de la sorte, ou s'exposer au danger d'être toujours mal avec Jésus.
    [...]

    Mon bon Jésus, vous dont le nom est une huile épandue qui adoucit toutes les plaies, vous dont la voix est si douce qu'elle est capable de calmer toutes les tempêtes, ce que nous avons de meilleur et de plus efficace dans toutes ces rencontres de discordes et de désunions, c'est d'interposer votre saint nom, c'est de prendre vos paroles, votre croix, votre pardon, votre sang, votre mort et vos mérites pour adoucir les cœurs. Et à la vérité, il ne faut que cela pour apaiser votre Père, et pour le réconcilier avec nous. Mais, chose étrange ! quoique nous en parlions, quoique nous vous nommions, quoique nous vous réclamions, et que nous en appelions à votre justice, le monde ne s'en émeut presque pas, et ne s'en laisse pas toucher comme il faudrait ; d'où vient cela ?... Mon fils, c'est que le monde ne connaît pas et n'estime pas ma personne comme mon Père ; mais si les hommes voulaient un peu s'étudier à me connaître, il en aurait bientôt assez appris, pour savoir que je mérite bien qu'ils pardonnent une offense pour moi, qui ai mérité le pardon de toutes leurs offenses... »

    P. Julien Hayneuve s.j. (1588-1663), Méditations sur la Vie de N.-S. Jésus-Christ Tome V (Mercredi de la dixième semaine après la Pentecôte, Troisième point), Édition corrigée, rajeunie et disposée selon l'ordre du Bréviaire romain par M. l'Abbé J.-B. Lobry, Paris, Hippolyte Walzer, 1868 (1ère édition, 1645).

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  • Dimanche 25 septembre 2016

    Dix-neuvième Dimanche après la Pentecôte
     
     
    (en France : Solennité facultative de Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus)
     
    (26e dimanche du Temps Ordinaire)