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  • Voyage apostolique - Visite à la cathédrale patriarcale de Svetitskhoveli

    L’étape géorgienne du 16ème voyage apostolique du Pape François dans le Caucase s’est conclu ce samedi 1er octobre 2016 sur une image forte de respect réciproque dans la Cathédrale patriarcale orthodoxe Svetyskhoveli à Mtsketa. A son arrivée, il a été accueilli par le Patriarche de toute la Géorgie, Ilia II. Le Pape et le Patriarche ont ensemble allumé deux cierges au kiosque de Sainte Sidonie où selon la tradition locale, serait conservée la tunique du Christ.

    « Que le Seigneur qui nous a donné la joie de nous rencontrer, répande sur nous l’huile parfumée de la concorde, et qu’il fasse descendre d’abondantes bénédictions sur notre chemin », a dit le Pape François. « L’amour du Christ, a-t-il ajouté, nous pousse à la charité sincère et à la compréhension réciproque, à réparer les lacérations, animés par un esprit de fraternité chrétienne transparente. Tout ceci demande, assurément, un chemin patient, à entretenir avec confiance en l’autre et humilité ».

    Comme il l’avait déjà affirmé dans son homélie lors de la Messe célébrée à Tbilissi plus tôt dans la matinée, le chrétien ne se lasse jamais. L’espérance chrétienne pousse à croire que les oppositions et les obstacles peuvent être surmontés, et à ne jamais renoncer aux occasions de rencontre et de dialogue, a expliqué le Saint-Père.

    Source : Radio Vatican (MD-JCP).

    Texte intégral du salut du Pape François traduit en français ci-dessous.

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  • Voyage apostolique - Rencontre avec les bénéficiaires et les volontaires des oeuvres caritatives

    Après avoir rencontré le clergé et les religieux catholiques géorgiens dans l’église de l’Assomption de Tbilissi, le Pape s’est ensuite rendu à la périphérie de la capitale dans un centre d’aide tenu par des religieux Camilliens. Ce centre socio-sanitaire a été réalisé en 1998 grâce à l’aide de la Caritas italienne et d’autres organisations catholiques internationales. Ce centre prodigue de nombreux soins médicaux gratuits aux plus démunis. Le Pape François y a rencontré les membres des œuvres de charité de l’Eglise catholique en Géorgie, en particulier les membres de la Caritas locale, mais aussi les Missionnaires de la Charité ou de l’Œuvre de Malte.

    « Vous exprimez d’une façon éloquente par votre sollicitude l’amour du prochain, caractéristique des disciples du Christ », a dit le Pape faisant part de son estime pour l’engagement généreux de tous ces organismes au service des plus nécessiteux.

    « Votre activité est un chemin de collaboration fraternelle entre les chrétiens de ce pays et entre les fidèles des différents rites », a poursuivi le Saint-Père qui a souligné que cette rencontre sous le signe de la charité évangélique était un témoignage de communion et favorise le chemin de l’unité. Le Pape les a donc invités à poursuivre cette route exigeante et féconde. Il a adressé un salut spécial aux anciens, aux malades, à ceux qui souffrent et à ceux qui sont accueillis par les différentes réalités caritatives. « Dieu ne vous abandonne jamais, a-t-il dit, vous êtes les préférés de Jésus, qui a voulu s’identifier aux personnes souffrantes ».

    « Les initiatives de la charité sont le fruit mûr d’une Église qui sert, qui offre l’espérance et qui manifeste la miséricorde de Dieu » a encore dit le Pape qui a invité ces acteurs caritatifs à continuer de vivre la charité dans l’Église et à la manifester dans toute la société avec l’enthousiasme de l’amour qui vient de Dieu.

    A l’issue de cette rencontre le Saint-Père a assisté à un spectacle de danses traditionnelles géorgiennes mélangeant valides et personnes handicapées. Il a pris le temps de saluer et de bénir les nombreuses personnes présentes, malades, opérateurs de santé ou familles.

    Source : Radio Vatican (MD-OB).

    Texte intégral du salut du Pape François traduit en français ci-dessous.

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  • Voyage apostolique - Rencontre avec les prêtres, religieux et religieuses

    Dans la cathédrale Sainte-Marie-de-l’Assomption de Tbilissi, le Pape a rencontré ce samedi 1er octobre quelque 250 fidèles catholiques, 90 prêtres et religieux ou religieuses, et 140 laïcs impliqués dans les conseils pastoraux et organisations catholiques. « Nous avons souhaité cette rencontre en ce lieu pour nous sentir en famille, pour nous sentir avec vous dans notre maison et pouvoir partager nos préoccupations, nos joies et nos projets », a affirmé Mgr Giuseppe Pasotto. Après l’intervention de bienvenue de l’administrateur apostolique du Caucase, quatre témoignage se sont succédé au micro. Le Saint-Père a écouté, attentif, en prenant des notes, un jeune, une maman, un séminariste et un prêtre. Il a ensuite tâché de leur répondre en abordant trois points essentiels : la solidité de la foi, les difficultés à surmonter pour les couples et le rapport avec les frères orthodoxes.

    La solidité de la foi

    Le Pape a amorcé son intervention, sans note, par un exemple. Celui d’une vieille femme rencontrée en Arménie au mois de juin. Une femme très humble, coincée derrière une barrière et qui lui faisait signe d’approcher, ce qu'il fit. Elle avait fait sept ou huit heures de bus pour le voir, depuis la Géorgie. Le lendemain, il la retrouve à nouveau dans une autre ville. Le Pape surpris, lui demande d’où vient cette énergie et sa détermination. « C’est la foi », lui a répondu cette vieille femme. « Etre solide dans la foi, c’est le témoignage qu’a donné cette dame. Elle pensait que Jésus, Fils de Dieu, avait laissé Pierre sur la terre, et elle voulait voir Pierre. Etre solide dans la foi signifie la capacité de recevoir la foi de la part des autres, de la conserver et de la transmettre », a affirmé le Pape.

    Pour lui, être solide dans la foi suppose « de maintenir vivant l’histoire, le passé, et de rêver pour construire un futur lumineux ». Il ne faut pas oublier ce que nous avons vécu et pour cette raison, lors des Journées mondiales de la jeunesse à Cracovie, le Pape a confié « une mission spéciale » aux jeunes : parler avec leurs grands-parents, car ils sont ceux qui transmettent la foi.

    Ce samedi, le Pape recommande à ceux qui travaillent avec les jeunes de leur enseigner cela : « parler avec les grands-parents pour recevoir cette eau fraîche de la foi, puis travailler et malaxer la foi dans le présent, ne pas la cacher dans un tiroir, mais la faire croître ». « Recevoir l’héritage, le faire germer et le donner », car note le Pape, comme la plante qui, sans racine, ne grandit pas, « une foi sans les racines de la maman et de la grand-mère, ne grandit pas ». Il interpelle également les parents. « Une foi qui m’a été donnée et que je ne donne pas à mes enfants, ne grandit pas non plus ». Pour résumer, « pour être solide dans la foi, il faut avoir la mémoire du passé, le courage dans le présent et l’espérance dans le futur ».

    Faire mémoire de la venue de l’Esprit-Saint

    Improvisant, le Pape a interrogé un des neuf séminaristes de Géorgie qui venait de lui confier que tout jeune, il avait dit à sa mère qu’il souhaitait devenir prêtre comme le polonais qui célébrait devant lui. « Qu’a dit ta mère ? ». « Fais ce que tu veux ». La mère perdait un fils, et se privait d’une belle-mère. Le Pape a rendu hommage aux femmes, et notamment « aux femmes fortes » de Géorgie. Mais le Saint-Père a également souligné le fait qu’il fallait faire trésor de ce moment passé. « A ce moment-là, ce n’est pas une fable qui s’est imposée à ton esprit. C’est l’Esprit-Saint qui venait à ta rencontre ».

    « Nous tous dans notre vie, nous avons ou nous aurons, des moments sombres. Même nous, les consacrés, nous avons des moments sombres. Et quand on a l’impression que les choses n’avancent pas, qu’on a des difficultés dans nos communautés, dans ces moments-là, assure le Pape François, ce qu’il faut faire, c’est s’arrêter et faire mémoire du moment où j’ai été touché par l’Esprit-Saint ». Quand il y a des turbulences, le Pape a également invité chacun à se réfugier sous le manteau protecteur de la Vierge Marie, que Jésus nous a laissée pour qu’elle soit notre Mère.

    Le Pape a souligné en outre que « la persévérance dans la vocation est enracinée dans la mémoire de la caresse que Dieu nous a faite quand il a dit ‘viens avec moi’ ». Il a conseillé aux fidèles de ne pas retourner en arrière quand des difficultés se présentent. « Si vous voulez retourner en arrière, la seule chose à faire c’est de retourner à la mémoire de ce moment, et ainsi la foi et la vocation demeurent solides, avec nos faiblesses et nos péchés, car nous sommes tous pécheurs. Nous avons tous besoin de nous confesser. Mais la miséricorde, l’amour de Jésus est plus grand que nos péchés ».

    S’il te plaît, pardon, merci

    Comment vit-on la foi dans le mariage, « la chose la plus belle que Dieu a créée » ? À Irina, une jeune mère de famille, le Pape François rappelle que la Bible nous dit que Dieu a créé l’homme et la femme à son image. « L’homme et la femme qui sont une seule chair, sont l’image de Dieu ». Bien sûr, les couples traversent des difficultés : tentations, incompréhensions. Irina évoquait le divorce de nombreux orthodoxes, influençant les catholiques. « Certains divorcent et trouvent quelqu’un d’autre », confirme le Pape. Mais qui paie les coûts du divorce ? Les deux membres du couple, Dieu, car « lorsqu’une seule chair se sépare cela salit son image », et bien sûr, les enfants. Combien les petits enfants souffrent quand ils voient les disputes et la séparation des parents, regrette le Pape.
    « Il faut tout faire pour sauver un mariage ». Une recommandation aux couples. Les assiettes peuvent bien voler. Il est normal de se disputer, mais le Pape leur conseille de ne pas finir la journée sans faire la paix, « parce que la guerre froide du jour d’après est extrêmement dangereuse ». Le Pape rappelle qu’il existe trois paroles d’or pour que le couple aille de l’avant : s'il te plaît, merci, excuse-moi. Enfin, quand le Diable s’immisce, qu’un homme considère une femme comme étant plus belle que la sienne ou qu’une femme juge un homme plus fort que le sien, « il faut demander de l’aide », exhorte le Saint-Père.
    « Il faut tout faire pour sauver un mariage ». Cette recommandation est également adressée aux prêtres et religieux qu’il encourage à aider les couples, en les accueillant, avec proximité, et en les accompagnant. « Le discernement, c’est l’intégration dans le corps de l’Église ». Il faut « accueillir, accompagner, discerner et intégrer ». Dans la communauté catholique, on doit toujours aider à sauver le mariage.
    Brièvement, le Pape a évoqué « un grand ennemi du mariage », la théorie du genre. « Aujourd’hui, il y a une guerre mondiale pour détruire le couple. Aujourd’hui, on ne détruit pas qu’avec les armes, mais avec les idées. Il y a une colonisation idéologique qui détruit. Ainsi, il faut se défendre des colonisations idéologiques », a-t-il dit.

    L’œcuménisme

    Enfin le Pape a abordé la question de l’œcuménisme. « Ne jamais se disputer », prévient-il. Il recommande de laisser les théologiens le faire. Que dois-je faire avec un voisin, un ami, un proche orthodoxe ? Le Pape répond qu’il ne faut pas condamner, mais être ouvert, cheminer ensemble, prier les uns pour les autres et accomplir des œuvres de charité ensemble « quand on peut ». Pour le Pape, c’est cela l’œcuménisme. Dois-je faire un effort pour le convertir ? « Ce serait un gros péché contre l’œcuménisme », tranche le Pape. « On ne doit jamais faire de prosélytisme avec les orthodoxes. Ce sont nos frères et nos sœurs, les disciples de Jésus-Christ. Pour des raisons compliquées, on en est là, mais eux et nous croyons dans le Père, le Fils, l’Esprit-Saint et la Mère de Dieu. »

    Avant de donner sa bénédiction apostolique, le Pape a récité un Ave Maria avec les fidèles.

    Source : Radio Vatican (MD).

  • Voyage apostolique - Messe au stade M. Meskhi à Tbilissi

    Le Pape François a célébré ce samedi 1er octobre au matin une Messe au stade Mikhaïl-Meskhi de Tbilissi, au deuxième jour de son voyage apostolique en Géorgie. Devant les fidèles catholiques et en présence d'une délégation orthodoxe, le Saint-Père a indiqué au cours de son homélie une mission « urgente » de l’Église : « recevoir et porter la consolation de Dieu ».

    Pour cela, le Pape François a invité à se rappeler que nous sommes toujours les enfants de Dieu, « au-delà du mal dont nous sommes capables ». « Laissons résonner dans notre cœur ces paroles qu’aujourd’hui il nous adresse : “comme une mère, je vous consolerai” », a poursuivi le Pape, reprenant la lecture du jour (Is 66, 13). Il a d’ailleurs rendu hommage aux grands-mères et aux mères géorgiennes « qui continuent à garder et à transmettre la foi » et « apportent l’eau fraiche de la consolation de Dieu dans de nombreuses situations de désert et de conflit ».

    Devenir petit comme des enfants

    Pour recevoir cette consolation, il existe une condition de fond a avancé le Pape : « devenir petit comme des enfants », comme le dit Jésus dans l’Évangile du jour (MT 18, 4). Car celui qui le fait « devient pauvre de lui-même, mais riche de Dieu ». Ainsi, il faut faire une place au Seigneur dans notre vie. « Il y a des portes de la consolation à tenir toujours ouvertes, parce que Jésus aime entrer par-là : l’Évangile lu chaque jour et porté toujours avec nous, la prière silencieuse et adorante, la Confession, l’Eucharistie ».

    « Mais Dieu ne nous console pas seulement dans le cœur », a ajouté le Saint-Père. Il vient nous rejoindre dans la communauté, dans l’Église « maison de consolation ». « Nous pouvons nous demander : moi, qui suis dans l’Église, suis-je porteur de la consolation de Dieu ? Est-ce que je sais accueillir l’autre comme un hôte et consoler celui que je vois fatigué et déçu ? » Pour le Pape François, l'Église doit « répandre l’espérance », « redonner courage » et « porter la lumière de Jésus, la chaleur de sa présence, le réconfort de son pardon ». Ainsi, les fidèles ne doivent pas s’habituer « à un “microclimat” ecclésial fermé » mais « partager des horizons larges, ouverts d’espérance ».

    Suivre la “petite voie” vers Dieu de sainte Thérèse

    « Bienheureuses les communautés chrétiennes qui vivent cette authentique simplicité évangélique (…) Bienheureux les Pasteurs qui ne courent pas après la logique du succès mondain (…). Bienheureuse l’Église qui ne se fie pas aux critères du fonctionnalisme et de l’efficacité dans l’organisation », a souligné le Pape. S'adressant au « petit troupeau aimé de Géorgie » qui se dévoue « à la charité et à la formation », il lui a adressé un appel : « accueille l’encouragement du Bon pasteur, confie-toi à Lui qui te prend sur ses épaules et te console ! »

    À la fin de son homélie, le Pape François a souhaité résumer son message à travers des paroles de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, dont l'Église fait mémoire ce samedi 1er octobre. « Elle nous indique sa “petite voie” vers Dieu, “l’abandon du petit enfant qui s’endort sans crainte dans les bras de son Père”, parce que “Jésus ne demande pas de grandes actions, mais seulement l’abandon et la reconnaissance” » (tiré des Manuscrits autobiographiques, Manuscrit B, 1).

    Source : Radio Vatican (SBL).

    Texte intégral de l'homélie du Pape traduite en français ci-dessous.

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  • Voyage apostolique du Pape François en Géorgie et Azerbaijan (30 septembre - 2 octobre 2016)

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    Programme du samedi 1er octobre (heure française)

    Ce samedi 1er octobre, le Pape François célébrera la Messe dans le stade Meskhi avant de rencontrer les prêtres, religieux et religieuses, ainsi que les personnes travaillant au sein des œuvres de charité de l’Église. Le soir, il visitera la cathédrale patriarcale.

    08h00 : Messe du Pape François à Tbilissi
    13h45 : Rencontre avec les religieux géorgiens
    15h00 : Rencontre avec les bénéficiaires et les volontaires des oeuvres caritatives
    16h15 : Visite de la Cathédrale patriarcale Svetitskhoveli

    Vidéos KTO mises en ligne dès que disponibles
  • Intentions de prière pour le mois d'octobre 2016

    Journalistes et éthique
    Pour que les journalistes, dans l’exercice de leur profession, soient toujours conduits par le respect de la vérité et un réel sens éthique.

    Journée missionnaire mondiale
    Pour que la Journée Mondiale des Missions renouvelle dans toutes les communautés chrétiennes la joie et la responsabilité de l’annonce de l’Évangile.

    Source : Apostolat de la Prière.

  • Sergueï Rachmaninov (1873-1943) : Concerto pour piano No. 2 en ut mineur Op. 18 - II. Adagio sostenuto

    Dir. Claudio Abbado - Hélène Grimaud, piano (Lucerne, 2008)

  • Méditation - Cultivons la piété

    « Entre la foi religieuse et la charité des bonnes œuvres, qui, sous l'impulsion de la foi, révèle toute la bonté du cœur, entre ces deux puissances d'une trinité sainte aussi, il y a un élément auquel il faut faire place, un élément qui n'est ni la foi raisonnée, ni la charité extérieure, mais le foyer des deux autres, leur source, leur mobile et leur récompense : c'est la piété, qui rend Dieu sensible au coeur et concentre en elle-même son immense amour. Il y a aussi du temps, des soins, de l'ardeur à donner au développement de cette faculté aimante, qui a, comme toutes les autres, ses différents degrés de croissance, ses phases et son expression exclusive, la prière. [...] En tout, comme c'est dans la piété qu'il faut reconnaître le moteur le plus agissant, la puissance qui crée, qui inspire et qui régularise, c'est son accroissement qu'il importe de poursuivre. A mesure que la vie avance, tout y devient difficile : les besoins sont plus grands, plus compliqués, les ressources moindres ; la patience, la persévérance, le courage, la confiance y sont mis à l'épreuve sous des conditions tellement redoutables quelquefois, que, plus jeune, on n'aurait pu même en soutenir la pensée. Comment affronterait-on de si grands dangers qui menacent tout ce qui vit, et bien plus encore ceux qui marchent dans la voie étroite, si l'on ne sentait vivre au fond de soi-même celui qui nous encourage et nous défend ! »

    Madame Sophie Swetchine (1782-1857), extraits de la Lettre du 15 juillet 1838 au Vicomte Armand de Melun (1807-1877), in "Lettres de Madame Swetchine" publiées par le Comte Alfred de Falloux, Troisième édition, Tome II, Paris, A. Vaton, 1864.

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  • Samedi 1er octobre 2016

    De la Sainte Vierge (Salve sancta parens)
     
    En France : St Rémi de Reims, évêque

    Saint_Remy_bapteme-de-Clovis_1b.jpg

    Baptême de Clovis 1er, roi des Francs, par Saint Rémi
    représenté derrière la Basilique Saint Rémi à Reims (1896)

     

    (Au nouveau calendrier : Ste Thérèse de l'Enfant Jésus, vierge)