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  • Angelus de ce dimanche 29 octobre 2017

    « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Voilà le grand, le premier commandement ». C’est sur cette réponse de Jésus aux Pharisiens que le Pape a entretenu les fidèles avant la prière de l’Angélus. Les Pharisiens qui voulaient mettre Jésus à l’épreuve en lui posant une question : « Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? ». Demande insidieuse car dans la loi de Moise il existe plus de 600 préceptes. Mais Jésus n’hésite pas une seconde pour apporter sa réponse et y ajouter que le second lui est semblable  au premier : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

    Le Pape François précise que la réponse de Jésus n’est pas attendue car dans les multiples préceptes de la loi hébraïque, les plus importants étaient certainement les 10 commandements. Or ce que le Christ veut faire comprendre aux Pharisiens en apportant une réponse loin d’être escomptée, c’est que sans l’amour de Dieu et du prochain il ne peut y avoir de véritable fidélité à l’alliance avec le Seigneur. Pour corroborer ses propos, le Saint Père fait référence aux livre de l’Exode et au « code de l’alliance » où il est dit qu’on ne peut pas être fidèle à l’alliance et maltraiter ceux que le Seigneur protège, la veuve, l’orphelin et l’étranger, autrement dit des personnes sans défense.

    La réponse de Jésus aux Pharisiens veut aussi les aider à remettre de l’ordre dans leur religiosité, à rétablir ce qui compte véritablement et ce qui est de moindre importance. Jésus ajoute : « De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes ». De fait c’est ainsi que le Christ a vécu : en prêchant et faisant ce qui compte le plus et qui est essentiel : l’amour qui donne élan et fécondité à la vie et au cheminement de foi. Sans amour, la vie et la foi sont stériles.

    Jésus propose un idéal merveilleux, qui correspond au désir le plus authentique des cœurs, car nous avons été créés pour aimer et pour être aimés. Pour être aimés de Dieu, pour L’aimer et avec Lui aimer toutes les autres personnes. « C’est le rêve de Dieu pour l’homme », dit le Pape François. Et pour le réaliser, nous avons besoin de sa grâce et de recevoir en nous la capacité d’aimer qui nous provient de Dieu Lui-même. « Jésus s’offre à nous dans l’Eucharistie exactement pour cela », poursuit le Saint Père. L’Eucharistie par laquelle nous recevons son Corps et son Sang, par laquelle de fait nous recevons Jésus dans la plus grande expression de son amour, lorsqu’Il s’est offert au Père pour notre Salut.

    Même si nous connaissons ce « grand commandement » de l’amour du Christ depuis notre enfance, conclut le Pape, nous devons le mettre en pratique dans les différentes situations que nous traversons.

    Source : Radio Vatican (JCP).

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

    Après l’Angélus, le Pape a évoqué la béatification au Brésil, hier 28 octobre, de Giovanni Schiavo (1903-1967), missionnaire italien de la Société de Saint-Joseph (“Giuseppini del Murialdo”). Un miracle obtenu par son intercession avait été reconnu le 1er décembre 2016.

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    Le Pape a rappelé qu’il était né dans la région de Vicence (Nord de l’Italie) au début du XXe siècle et que, jeune prêtre, il a été envoyé en mission au Brésil, « où il a travaillé avec zèle au service du peuple de Dieu et de la formation des religieux et des religieuses. Que son exemple nous aide à vivre pleinement notre adhésion au Christ et à son Évangile. »
    Il a enfin salué la communauté togolaise présente en Italie et les vénézuéliens venus place Saint Pierre avec une représentation de Notre Dame de Chinquinquirà, et a confié « les espoirs et les aspirations légitimes de ces deux pays » à la Vierge Marie.

    D'après Zenit et Radio Vatican.

  • J.-S. Bach : Concerto pour violon No. 2 en mi majeur, BWV 1042 - II. Adagio

    Cappella Istropolitana - Dir. Oliver Dohnanyi
    Takako Nishizaki, violon

  • Méditation - Le Christ-Roi

    « Mgr Pie nous a montré dans les trois premières demandes du Pater : que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel, la prière par excellence pour l'avènement du Règne social ici-bas.
    Il veut que les fidèles saisissent le sens complet de cette prière et qu'ils sachent que le règne dont il est parlé n'est pas seulement le ciel, mais encore le règne social du Christ sur la terre. Ils doivent donc, en la récitant, désirer ce règne et prier avec confiance le Père céleste d'accorder au monde cet inestimable bienfait.

    Écoutons l’Évêque de Poitiers recommander la prière pour le Règne social. C'est à une religieuse qu'il s'adresse et par elle, à tous les fidèles qui aiment Jésus-Christ : "La cure spirituelle n'avance pas chez ceux qui sont au timon des affaires, soit hommes du pouvoir, soit hommes de l'avenir. Dieu n'est mis par personne à sa place. Hélas ! nous apprendrons à nos dépens qu'on ne se passe pas impunément de l’Être nécessaire. Le monde lui pardonne son existence, pourvu qu'il veuille bien laisser son œuvre se passer de lui, et ce monde n'est pas seulement le monde impie, mais un certain monde politique chrétien. Pour nous, appliquons-nous à mieux sentir, à mieux accentuer que jamais les trois premières demandes du Pater. Et tant que le monde présent durera, ne prenons point notre parti de confiner le règne de Dieu au ciel, ou même à l'intérieur des âmes : sicut in coelo et in terra ? Le détrônement terrestre de Dieu est un crime : ne nous y résignons jamais !" (Histoire du Cardinal Pie, T. II, Livre IV, chap. II).

    Que les fidèles ne se lassent donc pas de prier pour l'avènement du Royaume et que leur prière, en nos jours d'apostasie nationale, soit plus fervente et plus confiante que jamais ! »

    P. Théotime de Saint-Just o.m.c., La Royauté Sociale de N.-S. Jésus-Christ, Troisième édition considérablement enrichie, Librairie catholique Emmanuel Vitte, Lyon - Paris, 1931.

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    Giotto di Bondone, Le jugement dernier (détail)
    Chapelle des Scrovegni à Padoue (Italie)

    (Crédit photo)

  • Audience générale du mercredi 25 octobre 2017

    Lors de l’audience générale place Saint-Pierre, le Pape François a prononcé ce mercredi 25 octobre la dernière catéchèse de son cycle sur l’espérance chrétienne, qu’il avait entamé au début de l’année liturgique. Le Saint-Père est revenu à cette occasion sur le terme « paradis », l’une des dernières paroles de Jésus sur la croix, adressée au bon larron.

    Rappelant l’épisode de Jésus sur la Croix, le Pape François a rappelé qu’il n’était pas seul mais entourée de deux malfaiteurs. L’un d’entre eux en particulier a reconnu sa faute et qu’il méritait son supplice. Celui-là fait des reproches au premier qui demande au Fils de Dieu de le sauver, en ayant ces paroles : « après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons. » (Lc 23, 41)

    Au Calvaire, Jésus atteint le sommet de sa solidarité avec nous pécheurs, a expliqué le Pape, c’est là qu’il a son ultime rendez-vous avec un pécheur pour lui ouvrir, à lui aussi, les portes de son Royaume. Le Saint-Père a relevé aussi que cet épisode de la mort du Christ en Croix est le seul dans les Évangiles où apparait le terme « Paradis ». C’est à un « pauvre diable » que Jésus promet le paradis, à quelqu’un qui n’avait rien, mais qui se confie à Lui. Les paroles humbles de repentance du bon larron sont suffisantes pour touche le Cœur de Jésus.

    Le bon larron nous rappelle notre véritable condition devant Dieu : que nous sommes ses fils, qu’Il éprouve pour nous de la compassion, qu’Il est désarmé chaque fois que nous manifestons la nostalgie de son amour. Dans les chambres de tant d’hôpitaux ou les cellules de tant de prison a poursuivi le Saint-Père, ce miracle s’est répété d’innombrables fois : il n’existe personne à qui ne reste que le désespoir, qui est privé de la grâce.

    Devant Dieu, nous nous présentons tous les mains vides, un peu comme le publicain de la parabole qui restait prier au fond du temple. Chaque fois qu’un homme découvre que ses manques dépassent de beaucoup ses œuvres bonnes, il ne doit pas se décourager, mais se confier à la miséricorde de Dieu, a expliqué le Pape, ceci nous donne de l’espérance, nous ouvre le cœur !

    Dieu est Père et attend notre retour, au fils prodigue qui reconnait ses fautes, le père lui ferme la bouche et le prend dans ses bras. C’est comme cela que Dieu nous aime. Le paradis n’est pas un conte de fées, a poursuivi le Pape, encore moins un jardin enchanté, mais il est le lieu de la tendresse de Dieu. Jésus nous y introduit avec le bien que nous avons fait dans notre vie et avec tout ce qui en nous a encore besoin d’être racheté (1). Le but de notre existence c’est que tout s’accomplisse et soit transformé en amour.

    Si nous croyons cela, a conclu le Saint-Père, la mort ne nous fera plus peur et nous pourrons partir de ce monde sereinement et avec confiance. Celui qui a connu Jésus ne craint plus rien. Nous pourrons alors répéter les paroles du vieillard Siméon : « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole » (LC, 2, 29).

    Source : Radio Vatican (OB).

    Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur Zenit.org.

    (1) : le Pape François ne fait ici aucune différence entre paradis et purgatoire. Pour mémoire, voici ce qu'en dit le Catéchisme de l’Église Catholique :

    1030 Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaires pour entrer dans la joie du ciel .

    1031 L’Église appelle Purgatoire cette purification finale des élus qui est tout à fait distincte du châtiment des damnés. L’Église a formulé la doctrine de la foi relative au Purgatoire surtout aux Conciles de Florence (cf. DS 1304) et de Trente (cf. DS 1820 ; 1580). La tradition de l’Église, faisant référence à certains textes de l’Écriture (par exemple 1 Co 3, 15 ; 1 P 1, 7), parle d’un feu purificateur :

    Pour ce qui est de certaines fautes légères, il faut croire qu’il existe avant le jugement un feu purificateur, selon ce qu’affirme Celui qui est la Vérité, en disant que si quelqu’un a prononcé un blasphème contre l’Esprit Saint, cela ne lui sera pardonné ni dans ce siècle-ci, ni dans le siècle futur (Mt 12, 31). Dans cette sentence nous pouvons comprendre que certaines fautes peuvent être remises dans ce siècle-ci, mais certaines autres dans le siècle futur (S. Grégoire le Grand, dial. 4, 39).

    1032 Cet enseignement s’appuie aussi sur la pratique de la prière pour les défunts dont parle déjà la Sainte Écriture : " Voilà pourquoi il (Judas Maccabée) fit faire ce sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu’ils fussent délivrés de leur péché " (2 M 12, 46). Dès les premiers temps, l’Église a honoré la mémoire des défunts et offert des suffrages en leur faveur, en particulier le sacrifice eucharistique (cf. DS 856 ;), afin que, purifiés, ils puissent parvenir à la vision béatifique de Dieu. L’Église recommande aussi les aumônes, les indulgences et les œuvres de pénitence en faveur des défunts :

    Portons-leur secours et faisons leur commémoraison. Si les fils de Job ont été purifiés par le sacrifice de leur père (cf. Jb 1, 5), pourquoi douterions-nous que nos offrandes pour les morts leur apportent quelque consolation ? N’hésitons pas à porter secours à ceux qui sont partis et à offrir nos prières pour eux (S. Jean Chrysostome, hom. in 1 Cor. 41, 5 : PG 61, 361C).

    (Rappel : le CEC en ligne - ndlr)

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, « Paradis » est l’une des dernières paroles de Jésus sur la croix, adressée au bon larron. Au Calvaire, Jésus atteint le sommet de sa solidarité avec nous pécheurs. Et c’est là qu’il a son ultime rendez-vous avec un pécheur pour lui ouvrir, à lui aussi, les portes de son Royaume. C’est à un « pauvre diable » que Jésus promet le paradis, à quelqu’un qui n’avait rien, mais qui se confie à Lui. Une humble parole de repentir suffit pour toucher le Cœur de Jésus. Devant Dieu, nous nous présentons tous les mains vides. Chaque fois qu’un homme découvre que ses manques dépassent de beaucoup ses œuvres bonnes, il ne doit pas se décourager, mais se confier à la miséricorde de Dieu. Il est Père et jusqu’au bout il attend notre retour. Le paradis est le lieu de la tendresse de Dieu. Jésus nous y introduit avec le bien que nous avons fait dans notre vie et avec tout ce qui en nous a encore besoin d’être racheté (voir note ci-dessus). Le but de notre existence c’est que tout s’accomplisse et soit transformé en amour. Si nous croyons cela, la mort ne nous fera plus peur et nous pourrons partir de ce monde sereinement et avec confiance. Celui qui a connu Jésus ne craint plus rien. »

    « Je suis heureux d’accueillir les pèlerins francophones, venant de Suisse, de Belgique et de France, en particulier les pèlerins de Coutances, Bayeux-Lisieux et Saint-Flour accompagnés de leurs évêques, ainsi que l’aumônerie Tamoule Indienne de France. Chers amis, je vous invite à mettre toute votre confiance dans la miséricorde et la tendresse de Dieu pour chacun et chacune de vous. Il n’abandonne jamais ses enfants.  Que Dieu vous bénisse ! »

    Source : site internet du Vatican.

  • Calendrier des cérémonies pontificales de la fin de l'année

    Le bureau des célébrations pontificales du Vatican a publié ce mardi 24 octobre le calendrier des prochaines cérémonies présidées par le Pape François pour les mois de novembre, décembre et janvier 2018.

    Le voici en détails :

    Novembre :

    - Jeudi 2, 15h15 : Commémoration des fidèles défunts au cimetière américain de Nettuno à Rome.

    - Vendredi 3, 11h30 : Messe dans la basilique Saint-Pierre en hommage aux cardinaux et évêques morts dans l’année.

    - Dimanche 19, (23ème dimanche du Temps ordinaire) 10h : Messe dans la basilique Saint-Pierre en la journée mondiale des pauvres.

    - Dimanche 26 au samedi 2 décembre : Voyage apostolique en Birmanie et au Bangladesh.

    Décembre :

    - Vendredi 8, 16h : Solennité de l’Immaculée Conception : acte de vénération de la Vierge, place d’Espagne, à Rome.

    - Mardi  12, 18h : Messe pour l’Amérique Latine dans la basilique Saint-Pierre, en la fête de Notre-Dame de Guadalupe.

    - Dimanche 24, 21h30 : Messe de la nuit de Noël dans la basilique Saint-Pierre.

    - Lundi 25, 12h : loggia de la basilique Saint-Pierre, bénédiction Urbi Et Orbi.

    - Dimanche 31, 17h : Basilique Saint-Pierre, premières Vêpres et Te Deum d’action de Grâces pour l’année écoulée.

    Janvier 2018 :

    - Lundi 1er , 10h : Basilique Saint-Pierre, Messe en la solennité de Marie Très Sainte Mère de Dieu, journée mondiale pour la paix.

    - Samedi 6, 10h : Messe dans la basilique Saint-Pierre en la solennité de l’Épiphanie.

    - Dimanche 2, 9h30 : Fête du Baptême du Seigneur, Messe et baptêmes d’enfants dans la chapelle Sixtine.

    - Du 15 au 22 : Voyage apostolique au Chili et au Pérou.

    Source : Radio Vatican.

  • "Maintenant, les Puissances Célestes"

    Moscow Sretensky Monastery Choir

  • Prière à St Raphaël, Archange

    « Ô saint ange Raphaël, fidèle ministre du Seigneur, guide sûr et zélé des pauvres pèlerins du temps à l'éternité, nous recourons à vous et nous vous demandons humblement votre céleste protection. La vie pour nous, vous le savez, est un voyage rempli de périls et de dangers. Le démon, comme un monstre toujours acharné à notre perte, s'efforce de nous dévorer ; il sème sous nos pas les pièges, les embûches ; il fait à notre âme de profondes et trop souvent de mortelles blessures ; il jette sur ses yeux le voile du péché, qui obscurcit en elle la lumière de la foi et la prive des doux et bienfaisants rayons du Soleil de justice.
    Venez donc à notre aide, ô bienheureux archange ! Voyez notre faiblesse, les dangers qui nous menacent, et daignez être notre guide. Dirigez nos pas incertains dans les voies de Dieu ; faites briller à nos yeux la douce lumière du ciel ; enseignez-nous les remèdes propres à guérir nos âmes si faibles, si languissantes ; éloignez d'elles le démon ; apprenez-nous à le vaincre, à déjouer les ruses de sa malice, à le combattre par la prière et la mortification.
    Ne nous quittez pas, nous vous en supplions, pendant tout le cours de notre périlleux voyage ; soutenez-nous si nous faiblissons, si notre courage chancelle par les fatigues et les longueurs de la route. Vous le savez, notre Père du ciel, qui est aussi le vôtre, nous attend avec une inquiète sollicitude ; il craint pour notre faiblesse les dangers du voyage. Redoublez donc de zèle, ô charitable esprit ! et ne nous quittez qu'en nous remettant entre ses bras, afin que nous puissions le louer et le bénir éternellement avec vous. Ainsi soit-il. »

    [Léonie Guillemaut], Méditations sur les Saints Anges pour tous les jours du mois d'octobre et pour le mardi de chaque semaine par l'Auteur de l'Eucharistie méditée (Onzième jour, prière), Approuvé par Monseigneur l'évêque d'Autun, Lyon, P.N. Josserand libraire-éditeur, 1867.

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    Cima da Conegliano (1459-1517)
    L’Archange Raphaël et Tobie entre St Jacques le Majeur et St Nicolas de Bari (1514-1515)
    Venise, Galleria dell’ Accademia

    (Crédit photo)

  • Mardi 24 octobre 2017

    St Raphaël, Archange

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    Filippino Lippi (1457-1504), Tobie et l'Ange
    National Gallery of Art, Samuel H. Kress Collection

    (Crédit photo)

     

    Au nouveau calendrier :
    Mémoire de St Antoine-Marie Claret, évêque