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  • Messe de Béatification d’Adèle de Batz de Trenquelléon à Agen

    Ce dimanche 10 juin, à Agen (France) :
    béatification d’Adèle de Batz de Trenquelléon (Mère de la Conception, 1789-1828),
    fondatrice de la Congrégation des Filles de Marie Immaculée.

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    Vidéo KTO de la Messe de béatification de Mère Adèle de Batz :

  • Angelus de ce dimanche 10 juin 2018

    Devant les fidèles réunis comme tous les dimanches place Saint-Pierre, le Pape François est revenu sur deux types d’incompréhensions auxquelles Jésus a été confronté : celle des scribes et celle de son propre entourage.

    Compte rendu de Joris Bolomey sur Vatican.News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

    À l’issue de la prière de l’Angélus, le Pape a adressé un message au diocèse d’Agen en France, où se tient ce dimanche à 15h la béatification de Mère Marie de la Conception, au siècle, Adèle de Batz de Trenquelléon, la fondatrice de la Congrégation des Filles de Marie Immaculée :

    « Aujourd'hui, à Agen, en France, est proclamée Bienheureuse Sœur Marie de la Conception, au siècle Adélaïde de Batz de Trenquelléon. Elle a vécu entre les XVIIIe et XIXe siècles, et a fondé les Filles de Marie Immaculée, appelées Marianistes. Nous louons le Seigneur pour sa fille qui Lui a consacré sa vie et au service de ses frères. Des d'applaudissements pour la nouvelle Bienheureuse, des applaudissements, tous. »

  • Bientôt de nouveaux bienheureux et un jeune saint italien

    L’Argentine comptera quatre nouveaux bienheureux, parmi lesquels Mgr Enrique Angelelli, le "Romero argentin". Le Pape François a signé ce vendredi le décret reconnaissant le martyre de l’ancien évêque de la Rioja et de ses compagnons, après avoir reçu en audience le Cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints, actuellement sur le départ.

    Mgr Angelelli, un évêque contre la dictature

    Mgr Enrique Angelelli (1923-1976) fut une figure particulièrement marquante de l’Eglise argentine. Après avoir été évêque de Cordoba, et avoir participé au Concile Vatican II, il fut nommé par le Bienheureux Paul VI évêque de La Rioja, où il se distingua par un fort engagement social. «Toujours avoir une oreille tournée vers le peuple, et l’autre vers l’Evangile», aimait à répéter celui que beaucoup surnomment le «Romero argentin». Il ne prit jamais la peine de cacher son hostilité envers la «guerre sale» et la dictature du général Videla, s’attirant l’ire des autorités.

    Il mourut dans un accident de voiture déguisé le 4 août 1976. Pendant des années, les autorités soutinrent que cette mort était accidentelle, en dépit des signes qui attestèrent de sa nature criminelle.  En 2014, deux officiers de l’armée, -qui avaient, selon un témoin, achevé par balles Mgr Angelelli après le simulacre d’accident-, furent condamnés à la prison à perpétuité.

    Deux autres Argentins et un Français tués en haine de la foi

    Avec Mgr Angelelli seront béatifiés trois autres personnes, tous morts « en haine de la foi », durant la même période :
    - Le Père Carlos Murias, jeune franciscain, avait été envoyé par Mgr Angelelli au service des pauvres de Chamical. Son engagement en faveur des paysans lui avait valu une étroite surveillance des militaires. Le 18 juillet 1976, des hommes se présentant comme des policiers l’arrêtèrent alors qu’il se trouvait dans un monastère.
    - Le curé de la paroisse de Chamical, le Père Gabriel Longueville, prêtre français Fidei Donum, refusa de le laisser partir seul et choisit de l’accompagner. Leurs corps furent retrouvés deux jours plus tard dans un champ, atrocement mutilés.
    - Wenceslao Pedernera, paysan, organisateur du Mouvement rural catholique, fut assassiné chez lui, devant sa femme et ses filles, par des hommes masqués, le 25 juillet 1976. Avant d’expirer, à l’hôpital où on l’avait transporté, il pardonna à ses meurtriers.

    Signature de trois autres décrets

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    Conchita Cabrera @ Domaine public

    D’autres décrêts ont été signés à la même occasion. Celui reconnaissant le miracle attribué à l’intercession du Bienheureux Nunzio Sulprizio (1817-1836), jeune ouvrier italien mort à 19 ans, « le petit saint boîteux ». Une Mexicaine et une Espagnole seront également prochainement béatifiées : la vénérable Maria Cabrera Arias de Armida (1862-1937), « Conchita », laïque et mère de famille mexicaine, et la vénérable Maria Guadalupe Ortiz de Landazuri y Fernández de Heredia (1916-1975), laïque espagnole, membre de l’Opus Dei.

    Source : Vatican.News.

  • Dietrich Buxtehude (v.1637-1707) : Benedicam Dominum, BuxWV 113

    Amsterdam Baroque Orchestra & Choir - Dir. Ton Koopman

    (partition)
     
    Benedicam Dominum in omni tempore;
    semper laus ejus in ore meo.
    In Domino laetabitur anima mea;
    Audiant mansueti et laetentur.
    Magnificate Dominum mecum;
    et exultemus nomen ejus in idipsum.
    Alleluja.
    (Ps 34 (33), 2-4)

    Je bénirai le Seigneur en tout temps,
    sa louange sans cesse à mes lèvres.
    Je me glorifierai dans le Seigneur :
    que les pauvres m'entendent et soient en fête !
    Magnifiez avec moi le Seigneur,
    exaltons tous ensemble son nom.
  • Méditation - Du détachement

    « Considérons ce que nous possédons. Nos biens terrestres ne sont pas forcément des possessions de type matériel, il y a aussi les biens intellectuels : des dispositions et des talents, des études et des diplômes, les liens qui nous rattachent à notre famille, les avantages que nous pouvons tirer de notre position sociale, les projets que nous avons forgés pour notre avenir, les opportunités que la vie semblait nous offrir, d’autres encore, non mesurables, qui pourtant impriment une marque particulière à notre présent et à notre avenir.

    Mais pour être entièrement reçu par le Seigneur, il faut renoncer complètement, dans un grand don de soi accompli une fois pour toutes. Mais ce sacrifice unique, on ne le laisse pas une fois pour toutes derrière soi. Il demeure. Il demeure sous la forme de petites déceptions, sous la forme aussi de choses dont nous devons nous séparer, alors que nous ne les avions pas du tout remarquées au moment du choix. Nous ne savions pas que nous étions si riches, et encore moins que nous devions devenir si pauvres. Car ce que le Seigneur veut est moins le non, le non unique que nous aurions à dire aux biens terrestres, qu’un état d’oblation, notre inclination intérieure et permanente vers lui. »

    Adrienne von Speyr (1902-1967), Saint Marc, Points de méditation pour une communauté, Magny-les-Hameaux, Socéval Editions - Artège, 2003.

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  • Dimanche 10 juin 2018

    3e Dimanche après la Pentecôte

    (10ème dimanche du Temps Ordinaire)