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  • Angelus de ce dimanche 30 décembre 2018

    En ce dimanche où l’Église fête la Sainte Famille, le Pape François a mis en avant deux aspects de l’Évangile du jour: l’angoisse et l’étonnement qui saisissent Marie et Joseph lorsqu’ils sont séparés de Jésus puis le retrouvent. Deux sentiments qui manifestent l’importance de Jésus dans leur vie.

    Compte rendu d'Adélaïde Patrignani à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • J.-S. Bach (1685-1750) : 3 Cantates pour Noël (BWV 40, 63, 110)

    BWV 40 : Monteverdi Choir & Orchestra - Dir. John Eliot Gardiner
    BWV 63 & 110 : Collegium Vocale - Dir. Philippe Herreweghe
     
    01. BWV 40 : Dazu ist erschienen der Sohn Gottes - 00:00
    02. BWV 63 : Christen, ätzet diesen Tag - 14:38
    03. BWV 110 : Unser Mund sei voll Lachens - 44:39

    Textes complets allemand / français :
    Cantate BWV 40 ("C'est pour cela que le Fils de Dieu est apparu")
    Cantate BWV 63 ("Chrétiens, gravez ce jour")
    Cantate BWV 110 ("Notre bouche s'emplit de rire")
  • Prière pour la famille

    « O Dieu, de qui vient toute paternité au ciel et sur la terre,
    Toi, Père, qui es Amour et Vie,
    fais que sur cette terre,
    par ton Fils, Jésus-Christ, « né d’une femme »,
    et par l’Esprit Saint, source de charité divine,
    chaque famille humaine devienne
    un vrai sanctuaire de la vie et de l’amour
    pour les générations qui se renouvellent sans cesse.

    Que ta grâce oriente les pensées et les actions des époux
    vers le plus grand bien de leurs familles,
    de toutes les familles du monde.

    Que les jeunes générations
    trouvent dans la famille un soutien inébranlable
    qui les rende toujours plus humaines
    et les fasse croître dans la vérité et dans l’amour.

    Que l’amour, affermi par la grâce du sacrement de mariage,
    soit plus fort que toutes les faiblesses et toutes les crises
    que connaissent parfois nos familles.

    Enfin, nous te le demandons
    par l’intercession de la sainte Famille de Nazareth,
    qu’en toutes les nations de la terre
    l’Église puisse accomplir avec fruit sa mission
    dans la famille et par la famille.

    Toi qui es le Chemin, la Vérité et la Vie
    dans l’unité du Fils et du Saint-Esprit. Amen. »

    St Jean-Paul II, Prière pour la famille, Jubilé des familles, 25 mars 1984.
    In B. Peyrous - C. Loyer, Prières pour cheminer dans la vie spirituelle, Ed. de l'Emmanuel, 2008.
    Prière reprise pour la préparation à la 4e Rencontre mondiale des familles (Manille, 25-26 janvier 2003).

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  • Angelus du 26 décembre, St Etienne

    Lors de l'Angélus, le Pape François est revenu sur les similarités entre Jésus et Saint Etienne. Deux parcours marqués par la prière et le pardon.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Bénédiction « Urbi et Orbi » du 25 décembre 2018

    Retransmission en direct sur KTO

    Dans son message « à la ville et au monde », le Souverain Pontife a lancé un vibrant appel à la fraternité entre les hommes et les peuples. Le Saint-Père a également prié pour la Terre Sainte, la Syrie, le Yémen, la péninsule coréenne, l’Afrique, l’Ukraine, le Venezuela et le Nicaragua.

    Compte rendu de Manuella Affeje à lire sur Vatican News.

    Texte intégral du Message urbi et orbi en version française sur le site internet du Vatican.

  • Motet du XVIe siècle : Gaudete!

    (publiée dans "Piae Cantiones", collection de chants sacrés finnois/suédois
    publiée en 1582)
     
    Gaudete, gaudete! Christus est natus
    Ex Maria virgine, gaudete!

    Tempus adest gratiæ
    Hoc quod optabamus,
    Carmina lætitiæ
    Devote reddamus.

    Deus homo factus est
    Natura mirante,
    Mundus renovatus est
    A Christo regnante.

    Ezechielis porta
    Clausa pertransitur,
    Unde lux est orta
    Salus invenitur.

    Ergo nostra concio
    Psallat iam in lustro;
    Benedicat Domino:
    Salus Regi nostro.
     
    De nombreuses interprétations de ce motet sont en ligne
  • Méditation - Allumer le feu !

    « Jésus est venu pour laisser un héritage à toute l'humanité. Qu'on n'imagine pas que cet héritage, pour que chacun puisse en bénéficier, serait fractionné en parts infimes et pour tout dire dérisoires. C'est une part entière que Jésus réserve à chacun. Tant il est vrai que chacun, aux yeux de Jésus, mérite d'être considéré... à part entière. Et comment Jésus accomplit-il donc le miracle de partager quelque chose en parts multiples, sans léser personne ? Mieux : en multipliant au lieu de diviser...
    Ce n'est ni un mystère, ni un miracle, mais une sorte de prodige naturel à la portée de n'importe quel cœur aimant. Cet héritage, c'est une flamme d'abord unique, allumée au cœur de la divinité, et qui est transmise d'âme à âme et d'âge en âge. A la seule flamme d'une bougie, des dizaines, des centaines de milliers de cierges peuvent s'enflammer, faire danser la lumière et percer l'obscurité. Le cierge initial qui donne le feu ne divise pas celui-ci en petites flammèches ridicules, il permet une multiplication à l'infini de ce feu, afin que chacun en soit éclairé. La divine ambition de Jésus a été d'éclairer ainsi le monde entier, chaque visage de l'humanité. Et que cette flamme ensuite soit de la même manière transmise de génération en génération, afin qu'elle demeure à travers les âges.

    Et cette flamme, voulez-vous en connaître le nom ? C'est l'amour. La flamme de l'amour qui s'est nourrie au feu de l'Amour infini et qui vient réchauffer, illuminer et éblouir notre âme inquiète pour l'éloigner des ténèbres et la consoler du paradis perdu. Oui : nous sommes les héritiers de l'amour que Jésus nous a légué. Sa naissance, son baptême, la célébration des Noces éternelles n'ont pas d'autre signification que celle-ci : faire que la terre des hommes brûle de l'amour inextinguible de Dieu. « Je suis venu jeter un feu sur la terre, et comme je voudrais que déjà il fût allumé ! » (Lc 12,49). Il faudrait ne jamais l'oublier : la gloire de Dieu est indissociable du salut du monde.
    Mais au fait : qu'en faisons-nous, de cette flamme ? Cherchons-nous à l'entretenir, en osant la livrer aux quatre vents ? Cherchons-nous à la propager, en osant la livrer aux quatre continents ?

    Cherchons-nous à la perpétuer, en osant la livrer à nos enfants ? De fait, la meilleure manière de protéger cette flamme face à l'espace, au temps et à tous les vents, n'est-ce pas de la donner au plus grand nombre, de la propager comme un courant d'étincelles ? N'est-il pas temps d'embraser le monde avec la flamme de l'amour, avec le feu de l'Esprit ? De créer un gigantesque brasier, non pas dévastateur celui-là, mais bienfaisant et comme purificateur ? A l'instar de Jésus, d’œuvrer à l'avènement d'une civilisation du cœur pour changer résolument de perspective et faire que le monde, enfin, soit mis en lumière ?
    N'est-il pas temps ? »

    François Garagnon, La Mise en Lumière. Mystère de l'Epiphanie & Message d'Amour de l'Enfant-Dieu (Epilogue : La mise au monde), Monte-Cristo, Annecy, 2003.

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    Gerrit van Honthorst (1590-1656), L'Adoration des bergers
    Wallraf-Richartz Museum, Cologne, Allemagne

    (Crédit photo)

  • François-Eustache Du Caurroy (1549-1609) : Noël

    Gloriæ Dei Cantores - Dir. Elizabeth C. Patterson
     
    « Sors de ton lit paré
    Comme un nouveau soleil
    Romps les Cieux et descends,
    Ange du grand conseil
    Enfant mais homme-Dieu,
    Fils du Très-Haut
    Qui porte ta grand’pricipauté
    Sur ton épaule forte. »
     
  • Mardi 25 décembre 2018

    Nativité de Notre-Seigneur

    adoration-des-bergers_Vanloo_1a.jpg

    Charles André dit Carle Van Loo (1705-1765), Adoration des Bergers
    Musée des Beaux-Arts de Chartres (France)

    (Crédit photo)

  • 21h30, Basilique Saint-Pierre, Messe de la nuit de Noël présidée par le Pape François

     
    Retransmission en direct sur KTO

     
    Le Pape François a présidé la liturgie de la Messe de minuit, anticipée à 21h30, dans la basilique Saint-Pierre. Dans son homélie, il a proposé de monter vers Bethléem à la rencontre de l’Enfant Jésus qui "lance un nouveau modèle de vie" basé sur le partage et le don et non sur l’accaparement et l’avidité.
     
    Compte rendu de Marie Duhamel à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de l'homélie du Pape traduite en français sur le site internet du Vatican.

  • Tomás Luis de Victoria (1548-1611) : Motet "Quem vidistis, pastores - Dicite, quidnam vidistis"

    Chœur de la Chapelle Sixtine - Dir. Massimo Palombella

  • Noël baroque : A la venue de Noël

    Auteur inconnu - Musique : Marc-Antoine Charpentier
    Les Musiciens de Saint-Julien, François Lazarevitch
    Maîtrise de Radio France, Sofi Jeannin
     
    « À la venue de Noël
    Chacun se doit bien réjouir
    Car c’est un testament nouvel
    Que tout le monde doit tenir.

    Quand par son orgueil, Lucifer
    Dedans l’abîme trébucha
    Il nous tirait tous en enfer
    Et le Fils de Dieu l’empêcha.

    Après un bien petit de temps
    Trois rois le vinrent adorer
    Portant la myrrhe avec l’encens
    Et l’or qui est fort à priser.

    Là, virent le doux Jésus-Christ
    Et la mère qui le porta
    Celui qui tout le monde fit
    Et les pécheurs ressuscita.

    Bien apparut qu’il nous aima
    Quand à la croix pour nous fut mis
    Dieu le Père qui tout créa
    Nous donne à la fin Paradis. »
  • Méditation - Bethléem

    « Le froid crépuscule d'un soir d'hiver touchait à sa fin. Tous les efforts de Marie et de Joseph pour trouver un logement avaient été vains. [...] Le village était occupé d'autres choses plus importantes selon la manière du monde d'estimer ce qui est important. Les officiers impériaux préposés au dénombrement étaient là les hommes importants. Les visiteurs riches réclamaient naturellement ce que les hôtels pouvaient offrir de meilleur. La plupart des maisons particulières avaient reçu des parents de la campagne. Chacun était occupé. Ce groupe obscur de Nazareth, ce charpentier de Galilée, cette femme Mère, ce Verbe caché, il n'y avait pas de place pour eux. [...] Un extérieur réservé est peu éloquent auprès de la généralité des hommes. Si Dieu ne produit pas du bruit dans son propre monde, il est ignoré ; s'il en produit, il est regardé comme importun et tyran. Voici que vient à Bethléem le véritable César, le roi de tous les Césars romains, et il n'y a pas de place pour lui, et on ne le connaît pas. C'est sa faute, dira le monde. Il vient d'une manière qui n'est pas digne. Il n'apporte aucune preuve authentique de ses droits. Il commence par se mettre dans une fausse position ; car il vient pour se faire enrôler comme sujet, au lieu de réclamer les hommages comme souverain. En agissant ainsi, il espère que nous le comprendrons et que nous saurons où regarder pour le trouver et à quel moment nous devons l'attendre. Il y avait, même dans la faible lumière qui environnait Bethléem cette nuit, une ombre du Calvaire. De même que personne à Jérusalem ne voudrait le recevoir pendant la semaine sainte, ni lui donner à manger, de sorte qu'il serait obligé chaque soir de se retirer à Béthanie, ainsi personne à Bethléem ne voudra le recevoir, ni lui donner un abri à l'ombre duquel il puisse naître.

    [...] Pour naître, Dieu a été relégué parmi les animaux et les bêtes de somme. [...] Non, Bethléem ne pouvait pas contenir celle qui portait en elle le Créateur du monde. Il y avait dans ce refus d'hospitalité une vérité dont les hommes n'avaient pas la conscience. Jésus devait naître hors des murs de Bethléem, comme il est mort hors des murs de Jérusalem. Ainsi il n'eût véritablement pas de ville natale. D'innocents animaux l'accueillirent de bon cœur, et une antique cavité pratiquée dans la terre lui offrit un asile quelque peu moins froid que le ciel étoilé d'une nuit d'hiver. Aux yeux des hommes, c'est tout ce qu'il a pu faire pour pouvoir naître, et obtenir une place où il pourrait visiblement mettre le pied sur la terre. [...]

    Hélas ! l'esprit de Bethléem n'est que l'esprit d'un monde qui a oublié Dieu. Que de fois cet esprit n'a-t-il pas été le nôtre aussi ! Ne fermons-nous pas continuellement, avec une ignorance pleine de rudesse, la porte aux bénédictions célestes ? [...] Dieu vient à nous bien des fois dans la vie, mais nous ne connaissons pas sa face. [...] Bethléem ne prétendait pas du tout faire ce qu'il faisait. Il n'est personne qui ait l'intention de faire la moitié du mal qu'il fait. Aussi une grande partie de la compassion de Dieu consiste en ce qu'il regarde plus à ce que nous voulons faire qu'à ce que nous faisons. Cependant il est bien triste pour nous d'être aussi aveugles. N'est-ce pas, après tout, la véritable misère de la vie, l'abrégé de toutes les misères d'ici-bas, de rencontrer Dieu chaque jour, et de ne pas le reconnaître lorsque nous le voyons ? »

    William Faber (1814-1863), Bethléem, ou le mystère de la Sainte Enfance (ch.3, La grotte de minuit), Tome premier, Paris, Ambroise Bray, 1862.

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  • Tomás Luis de Victoria (1548-1611) : Motet "O magnum mysterium"

    The Cambridge Singers - Dir. John Rutter

  • Lundi 24 décembre 2018

    Vigile de la Nativité

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    Abraham Hondius (v.1631-1691), L’annonce aux bergers
    Rijksmuseum, Amsterdam

    (Crédit photo)