Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Angelus de ce dimanche 13 janvier 2019

    Lors de la prière de l’Angélus de ce dimanche 13 janvier, le Pape François a invité la foule de fidèles rassemblée place Saint-Pierre à vivre en cohérence avec les promesses du baptême.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Le Pape baptise 27 bébés dans la Chapelle Sixtine

    En la solennité du Baptême du Seigneur, le Pape a baptisé 27 nouveau-nés sous les fresques de la Chapelle Sixtine au Vatican. Il a demandé aux parents de transmettre la foi à la maison en menant une vie exemplaire.

    Compte rendu de la célébration sur Vatican News.

    Texte intégral de l'homélie du Pape traduite en français sur Zenit.org.

  • Gabriel Fauré (1845–1924) : Messe Basse - Benedictus

    Schola Cantorum of Oxford, Jeremy Summerly

  • Méditation - La Sainte Famille

    « Le dimanche dans l'octave de l'Épiphanie l'Église célèbre la fête de la Sainte Famille. Le Pape Benoît XV l'a instituée en 1921. (*) Cette fête répond à un besoin, elle nous montre comment l’Église sait tenir compte, dans sa prière et sa liturgie, des nécessités de chaque époque.
    Quel aimable tableau ! Jésus, Marie, Joseph, la Sainte Famille durant les trente ans passés dans l'intimité de Nazareth.
    La Sainte Famille est l'image de la famille divine. Là-haut, c'est l'unité dans la pluralité au sein de la divine Trinité : une seule nature divine en trois personnes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
    Dans la Sainte Famille règne l'unité dans la pluralité : trois personnes, Jésus, Marie, Joseph ; une seule pensée, une seule activité, un seul amour.
    L'amour est le lien de l'unité. De deux êtres il n'en fait qu'un, car le propre de l'amour est de donner, de se donner, de pénétrer dans le cœur de l'aimé. Et dans le mariage de deux êtres l'amour en a fait trois ; le troisième, c'est l'enfant, le fruit de l'amour. Et les trois, le père, la mère et l'enfant ne sont encore plus qu'un par l'amour qu'ils se donnent : l'amour du père pour la mère, de la mère pour l'enfant, de l'enfant pour ses parents. O bienheureuse trinité dans l'unité de l'amour !
    Cette unité dans la pluralité fait la solidité de la famille, elle lui donne sa vie et sa force.
    Dieu l'a réglé ainsi Lui-même dans la Sainte Famille. Le Fils dans sa nature humaine ne fait qu'un ici-bas avec Marie, sa Mère, et avec saint Joseph, le représentant du Père, comme au ciel Il ne fait qu'un avec le Père et le Saint-Esprit dans l'unité de la nature divine.
    Quel ineffable mystère entre dans la famille avec Jésus ! Lui, le Fils unique du Père, l'objet de ses complaisances, est devenu membre d'une famille humaine. Quelle force désormais pour la cellule de la société, pour la famille ! Et il devait en être ainsi, pour qu'elle pût donner naissance aux peuples chrétiens. Car c'est la famille qui fait les peuples. Les peuples meurent lorsqu'en elle les deux époux sont désunis, lorsqu'ils ne savent plus trouver leur unité dans l'enfant. Aucune politique, aucune organisation économique ne peut sauver les nations de la ruine, quand la famille se disloque et ne forme plus un tout. C'est parce que la famille a été ébranlée, parce qu'elle a perdu l'amour qui faisait sa cohésion, que tant de peuples se meurent aujourd'hui.
    Ils ne trouveront le salut que s'ils savent reprendre le chemin de Nazareth, et se renouveler dans la Sainte Famille. A l'heure actuelle l'école la plus nécessaire, la plus haute, la plus vraie, « l'Université populaire », c'est l'école de Nazareth, la Sainte Famille ! »

    (*) voir le rappel historique donné plus bas.

    Toute l'année avec le Christ (La Sainte Famille), par les Bénédictins de l'Abbaye de Notre-Dame d'Einsiedeln, Traduction des Bénédictins de l'Abbaye Ste-Marie de la Pierre-Qui-Vire, Comptoir Français du Livre, Paris / Bruxelles, 1936.

    Sainte Famille,famille,Nazareth,père,mère,enfant,trinité,fils,saint-esprit,union,unité,amour

  • Dimanche 13 janvier 2019

    La Sainte Famille

    Sainte_Famille_5.jpg

    Dans la réforme du Missel romain après le Concile Vatican II, la fête de la Sainte Famille a été avancée au premier dimanche après la fête de la Nativité.

    Rappel historique de cette fête ici.
     
    Au nouveau calendrier : Le Baptême du Seigneur
  • Audience générale du mercredi 9 janvier 2019

    « Le Père n’oublie jamais aucun de ses enfants qui souffrent ». Ce mercredi, lors de l’audience générale en salle Paul VI, le Pape a poursuivi sa catéchèse sur le Notre Père. Il est revenu sur la figure du Christ priant, telle qu’elle est présentée par l’Évangile de Luc.

    Compte rendu de Marie Duhamel sur Vatican News.

    Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur Zenit.org.

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, la catéchèse de ce jour se réfère à l’Évangile de saint Luc qui présente Jésus essentiellement comme un priant. Chaque pas de sa vie est comme porté par le souffle de l’Esprit qui le guide dans toutes ses actions. Et la prière de Jésus semble même atténuer, à l’heure de sa passion, les émotions les plus violentes et les désirs de vengeance. Elle réconcilie l’homme avec son ennemi le plus implacable : la mort. C’est ce climat qui a conduit l’un des disciples à demander à Jésus de leur apprendre à prier. Dans son enseignement, grâce notamment à la parabole de l’ami importun, Jésus fait comprendre qu’aucune prière ne restera lettre morte, que Dieu répond toujours, parce qu’il est Père et qu’il n’oublie aucun de ses enfants qui souffrent. Même si nous avons souvent demandé sans obtenir, Jésus nous recommande d’insister, car la prière transforme toujours la réalité : si les choses ne changent pas autour de nous, nous, au moins, nous changeons. Et il a promis le don de l’Esprit Saint à celui qui prie. Aussi n’y-a-t-il rien de plus sûr : le désir de bonheur que nous portons tous dans le cœur, un jour s’accomplira. Et la prière est, dès à présent, la victoire sur la solitude et sur le désespoir. »

    « Je suis heureux de saluer les pèlerins venus de France et de divers pays francophones, en particulier les séminaristes et leurs formateurs de l’Archidiocèse de Paris et du diocèse aux Armées, accompagnés de Mgr Aupetit, Archevêque de Paris, et de ses Auxiliaires, et de Mgr de Romanet, Évêque aux Armées. Je salue aussi le groupe des Apprentis d’Auteuil. Que l’Esprit Saint nous aide à être insistants dans la prière et à ne jamais nous donner comme perdants. Nous pouvons être sûrs que Dieu répondra à notre prière, parce qu’il est notre Père et qu’il nous attend avec les bras grands ouverts. Que Dieu vous bénisse ! »

    Source : site internet du Vatican.

  • Neuvaine à Notre-Dame de Lourdes (3-11 février 2019)

    Notre-Dame_de_Lourdes_5a.jpg

    Comme chaque année, vous trouverez le texte de la prière retenue pour 2019 sur notre site internet, au dossier spécialement dédié à ces Neuvaines.

  • Message du Pape François pour la XXVIIe Journée Mondiale du Malade [11 février 2019]

    « Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement » (Mt 10, 8)

    Le message du Pape François pour la prochaine Journée mondiale du Malade, le 11 février prochain, a été rendu public mardi matin. Il a pour thème une citation de l’Évangile selon saint Matthieu : « Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement ».

    Commentaire de Cyprien Viet sur Vatican News.

    Texte intégral du Message du Pape en français sur le site internet du Vatican.

  • "Que ma bouche soit remplie de tes louanges, ô Seigneur"

    "Let my mouth be filled with thy praise, O Lord"
    (Psaume 70 (71), 8)
    Chœur d'hommes du monastère de Valaam, Russie (1996)

  • Méditation - La charité n'est pas un luxe

    « La charité chrétienne est trop souvent comprise d'une manière entièrement superficielle, comme si elle était synonyme de douceur, de bonté et d'affabilité. Elle comprend, certes, toutes ces vertus, mais elle les dépasse considérablement. Lorsque nous nous imaginons qu'être charitable, c'est seulement « être gentil » envers les autres, c'est généralement parce que nos vues sont étroites. [...]
    Il n'y a pas de charité sans justice. Nous considérons trop souvent la charité comme une sorte de luxe moral, comme une vertu que nous pratiquons parce que nous le voulons bien, qui nous donne certains mérites aux yeux de Dieu tout en satisfaisant notre besoin intérieur de « faire le bien ». Cette charité est puérile, et même, dans certains cas, complètement irréelle. La vraie charité, c'est l'amour, et l'amour implique un souci profond des besoins de l'autre. Ce n'est pas une question de satisfaction personnelle, mais d'obligation stricte. Je suis tenu, par la loi du Christ et de l'Esprit, de m'intéresser aux besoins de mes frères, et surtout au besoin essentiel qu'ils ont d'être aimés. [...]
    Le chrétien n'est pas digne de son nom s'il ne donne un peu de ce qu'il possède, un peu de son temps ou au moins de son intérêt pour aider ceux qui sont moins heureux que lui. Et son sacrifice doit être réel et non un geste de paternalisme qui enfle son moi tout en lui donnant la satisfaction d'aider « les pauvres » avec condescendance. »

    Thomas Merton (1915-1968), Vie et Sainteté, Édition du Seuil, Paris, 1966.

    Thomas Merton,charité,douceur,bonté,justice