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  • Angelus de ce dimanche 9 février 2020

    Ce dimanche, le Pape est revenu sur l’Évangile du jour selon saint Mathieu : « Vous êtes le sel de la terre (…) Vous êtes la lumière du monde », lorsque Jésus recourt à un « langage symbolique » pour indiquer à ceux qui veulent le suivre, ici ses disciples, « certains critères pour vivre la présence et témoigner dans le monde ».

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Hildegard von Bingen : Caritas abundat in omnia

    Kingdom of Navarre, Maite Itoiz & John Kelly
    (Album Elfenthal - An Ancient Story)
     
    Caritas abundat in omnia
    de imis excellentissima super sidera
    atque amantissima in omnia
    quia summo regi osculum pacis dedit.
  • Méditation - Compassion et bienveillance

    « Je vous conjure de ne dire jamais mal du prochain, ni rien qui tant soit peu le puisse offenser. Il ne faut pas toutefois favoriser le mal, le flatter ou le couvrir, mais parler rondement et dire franchement mal du mal, et blâmer les choses blâmables, quand l'utilité de celui de qui l'on parle le requiert ; car en cela, Dieu est glorifié. Et surtout, blâmer le vice et épargner le plus que l'on peut la personne à laquelle il est, d'autant plus que la bonté de Dieu est si grande, qu'un moment seul suffit pour impétrer [obtenir] sa grâce. Et qui pourra assurer que celui qui était hier pécheur et méchant, le soit aujourd'hui ?

    Quand nous regardons les actions du prochain, voyons-les dans le biais qui est le plus doux, et quand nous ne pouvons excuser ni le fait ni l'intention de celui que, d'ailleurs, nous connaissons être bon, n'en jugeons point, mais ôtons cela de notre esprit et laissons le jugement à Dieu. Quand nous ne pouvons excuser le péché, rendons-le au moins digne de compassion, l'attribuant à la cause la plus supportable, comme à l'ignorance ou infirmité. La charité craint de rencontrer le mal, tant s'en faut qu'elle l'aille chercher. »

    St François de Sales, Lettre à Sainte Jeanne de Chantal, 1605-08 (Lettre 508, T.XIV édition d'Annecy).

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    (Crédit photo)

  • Du 7 au 15 février, neuvaine à St Claude La Colombière

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    Neuvaine à Saint Claude
    Disciple du Sacré-Coeur
    sur le site du Sanctuaire du Sacré-Coeur, Paray-le-Monial

  • J.-S. Bach : Suite pour Luth No. 2 en do mineur (BWV 997)

    Prélude, Sarabande, Gigue & Double

  • Premier Vendredi du mois, dédié au Sacré-Coeur de Jésus

    « Soyez attentifs à demeurer au dedans de vous-mêmes, pour entendre le Maître qui vous appelle (1). Nos Écritures nous le disent : Lui n'est pas turbulent ; Il n'emploie pas les discours véhéments et les cris aigus pour nous inviter à l'écouter (2). Tout au contraire, ses invitations se font presque à demi-voix de sa part (2), et elles sont d'autant plus pénétrantes et persuasives. Mais pour n'en rien perdre, il faut, au milieu même des inévitables tumultes, maintenir le silence intérieur. N'oublions pas (je cite Bossuet) que « nous sommes toujours dans un temple ; ou plutôt, pour dire quelque chose de plus énergique et aussi de plus véritable, nous sommes nous-mêmes un temple. N'allez pas chercher bien loin (nous dit St Augustin) le lieu d'oraison. Vous voulez prier dans un temple ? Recueillez-vous en vous-mêmes ; priez en vous-mêmes (4)... Que le silence, que le respect, que la paix, que la religion établissent leur domicile dans ce temple ! Ô trop heureuses créatures, si nous savions comprendre notre bonheur d'être la maison de Dieu, et la demeure de Sa Majesté (5). »

    Là, dans ce sanctuaire intime dont nous sommes les gardiens et même les prêtres, suivant l'enseignement formel de St Pierre (6), il faut que nos hommages et nos adorations soient à l'unisson de la parole très harmonieuse et très douce de Celui qui nous invite à nous plonger sans cesse dans les mystérieux abîmes de son Cœur. Si dociles à son appel, nous allons à Lui, nous serons relevés de nos langueurs et de nos accablements, soulagés et consolés dans nos peines, fortifiés dans nos bonnes résolutions (7).

    Nous aurons part à cette vie « abondante et plus abondante » qu'Il est venu nous communiquer (8), et que nous irons ensuite répandre autour de nous, dans nos patries respectives, dans nos cités, dans nos familles, où par nos bons exemples, par nos vertus modelées sur celles mêmes de ce divin Cœur, nous contribuerons à le faire mieux connaître, aimer davantage et servir avec un plus entier dévouement. Qu'il en soit ainsi. Amen ! »

    1. Jn XI, 28. - 2. Is. XLII, 4. - 3. Jn IV, 16. - 4. Bossuet, Sermon pour le jour de Pâques, 17 avril 1661. - 5. St Augustin, Tract. XV in Joann, n°25. - 6. I P II, 5. - 7. Mt XI, 28.

    Cardinal Perraud (1828-1906), évêque d'Autun, Le Cœur de Jésus et le Pèlerinage de Paray-le-Monial, extrait de l'Allocution prononcée dans la basilique de Paray-le-Monial le vendredi 22 juin 1900, Charolles, 1900.

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  • Vendredi 7 février 2020

    St Romuald, abbé
    fondateur des Camaldules

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  • Audience générale de ce mercredi 5 février 2020

    Le Pape a initié une nouvelle série de catéchèses sur les huit Béatitudes de l’Évangile selon saint Matthieu. Lors de l’audience générale du mercredi 5 février, il est revenu sur la première d’entre elles : « Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux ».

    Compte rendu de Marie Duhamel à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de la catéchèse du pape traduite en français sur Zenit.org.

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, nous approfondissons aujourd’hui la première Béatitude : Heureux les pauvres en esprit car le Royaume des Cieux à eux. Saint Matthieu précise qu’il s’agit des pauvres en esprit : ceux qui se sentent pauvres, mendiants, dans l’intime de leur être. A ceux-là Jésus promet le Royaume des Cieux. Combien de fois le monde nous conseille le contraire : il faudrait à tout prix être quelqu’un, se faire un nom. Cette recherche obsessive de soi-même crée solitude et tristesse, car vivre en voulant cacher ses faiblesses est éprouvant et angoissant. Jésus enseigne qu’être pauvre en esprit est une occasion de grâce, un moyen de sortir de cette lassitude et d’obtenir le Royaume. Car règne vraiment celui qui sait aimer le bien plus que lui-même. C’est en cela que se manifeste la puissance de Dieu, en exerçant la miséricorde et le pardon, et, à la différence des rois de la terre, Jésus s’est montré puissant en donnant sa vie pour tous les hommes. Il y a une pauvreté que nous devons accepter, celle de notre être, et une pauvreté que nous devons rechercher, celle des choses de ce monde, qui nous rend libres afin de pouvoir aimer. »

    « Je salue cordialement les pèlerins de langue française en particulier les jeunes venus de France. Frères et sœurs, reconnaître devant Dieu sa pauvreté et sa faiblesse est la vraie source du bonheur. Notre cœur devient disponible pour ne plus nous rechercher nous-mêmes mais aimer librement les autres et donner notre vie. Que Dieu vous bénisse. »

    Source : site internet du Vatican.

  • Adrian Willaert (v.1490-1562) : Ave Maria

    Oxford Camerata - Dir. Jeremy Summerly

  • Méditation - l'immense douleur humaine...

    « Si nous savions voir, nous remarquerions vite que la souffrance est partout autour de nous. Parfois sa rencontre se fait brutale, alors elle nous choque, elle nous bouleverse, mais elle est toujours là, même lorsque nous n'y portons pas attention. Que de souffrances cachées, ignorées, méconnues ! Certes, tous les hommes ne souffrent pas en même temps, de la même manière, ni avec la même intensité. Mais il n'y a pas un instant où il n'y ait des millions d'hommes qui n'aient à souffrir, tous y passent et y repassent, plus ou moins, un jour ou l'autre.

    Pensons plus souvent à tous ceux qui connaissent la croix dans leur esprit, dans leur coeur, dans leur chair, quelquefois dans les trois à la fois. Communions à cette immense douleur humaine qui purifie l'humanité de ses scories. Unissons cette souffrance à la nôtre, la nôtre à celle de Jésus-Christ et servons d'agent de liaison pour que la Passion du Christ sanctifie celle des hommes et la transfigure. »

    P. Gaston Courtois f.c. (1897-1970), Quand on souffre..., Fleurus, Coll. Feuillets de vie spirituelle n°53, Paris, 1964.

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  • Mercredi 5 février 2020

    Ste Agathe, vierge et martyre

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