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  • Angelus de ce dimanche 23 août 2020

    En ce 21ème dimanche de temps ordinaire, le pape François a commenté l’Évangile selon Saint Mathieu : la profession de foi de Simon, à qui le Christ donne le nom de Pierre. Le pape invite chacun à se demander « qui est le Christ » pour lui, s’Il est le centre de sa vie et de ses engagements. Il rappelle que la charité, « principal chemin vers la perfection de la foi », nécessite que l’on regarde l’autre avec les yeux même de Jésus.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Georg Friedrich Haendel (1685-1759) : Dixit Dominus, HWV 232

    Texte emprunté au Psaume 109 (110)
    Coro della Radio Svizzera, Ensemble Vanitas & Diego Fasolis
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
  • Prière

    « ... Ce que je ne peux dire, mon Dieu, ce qu'on saura dans l'éternité seulement, c'est la grandeur de votre amour, les grâces admirables dont Vous m'avez favorisée et que rien de ma part ne justifiait ; c'est aussi l'étendue de mes misères et tant de faiblesses dont votre Cœur a le secret. Soyez béni de tout : des fautes mêmes, puisqu'elles ont servi à m'humilier et me transformer, de vos dons, et de votre miséricorde inouïe. Soyez béni de toutes les tendresses que Vous avez mises sur ma route ; béni des épreuves, qui ont été peut-être encore vos meilleures grâces. Recevez le don renouvelé que je Vous fais de moi-même, de mon âme et de ma vie, voulant Vous aimer et Vous servir uniquement, joyeusement, partout, toujours, de tout mon être ; voulant faire entièrement votre volonté "dans la santé ou la maladie, la pauvreté ou la richesse, le bonheur ou la souffrance, la vie ou la mort", et Vous demandant seulement de m'employer comme le plus humble des instruments, pour le bien des âmes et votre gloire. Qu'à travers moi, la douleur, la joie surnaturelle, toute ma vie et la mort même affirment hautement la grandeur de l'amour divin, la sainteté de l’Église, la tendresse et la douceur du Cœur de Jésus, l'existence et la beauté de la vie surnaturelle, la réalité de nos espérances chrétiennes. Je crois, j'adore, je me place sous la protection spéciale de la Sainte Vierge, et j'ai la douce confiance que, offerte par elle, mon humble oblation servira, par la grâce divine, à l’Église, aux âmes et à celles qui me sont si pleinement chères ici-bas. »

    Élisabeth Leseur (1866-1914), Journal et pensées de chaque jour (19 octobre 1911), J. de Gigord, Paris, 1920 (1ère éd. 1917)

    prière,Elisabeth Leseur

  • Dimanche 23 aoüt 2020

    Douzième Dimanche après la Pentecôte
     
    (21ème dimanche du Temps Ordinaire)

  • Audience générale du mercredi 19 août 2020

    Ce mercredi, le pape a poursuivi son cycle de catéchèses sur la manière dont les chrétiens sont appelés à réagir à la pandémie. « Qu’il serait triste si, avec le vaccin pour le Covid-19, on donnait la priorité aux plus riches ! » Alors qu’une course au vaccin est en cours, le pape appelle à trouver un traitement à la Covid-19 mais également au « grand virus, celui de l’injustice sociale » pour construire une économie où les personnes, et surtout les pauvres, sont au centre.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral (version française) et résumé sur le site du Vatican.

  • Samuel Barber (1910-1981) - Agnus Dei

    Arrangement de l'Adagio pour cordes
    (qui provient d'un mouvement de son Quatuor à cordes n°1, Op. 11)
    Voces8
     
    Andrea Halsey & Eleonore Cockerham, sopranos
    Katie Jeffries-Harris, alto
    Barnaby Smith, contre ténor
    Samuel Dressel & Blake Morgan, ténors
    Christopher Moore, baryton
    Jonathan Pacey, basse
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
  • Méditation - Confiance et abandon

    « Il est écrit dans l'Évangile que beaucoup de mystères sont cachés aux sages et aux savants, qui seront révélés aux petits enfants. Le génie de l'enfance est tout intuition. Il n'a ni science ni prétention pour le déformer. Par sa simplicité, la fraîcheur de ses impressions, l'enfant a les clés du royaume de la poésie. Car la poésie, c'est d'entrer naïvement dans le jeu du monde, de découvrir les merveilles cachées à ceux qui croient tout savoir et tout expliquer. Le mystère dont parlait notre Seigneur n'est pas le mystère poétique, mais le grand, le seul vrai mystère, celui de la sagesse de Dieu. Il se révèle aux enfants à cause de certaines dispositions qui leur sont propres et qui les ouvrent aux plus hautes vérités.

    Les enfants jouissent un instant de ce qui passe, mais sans attachement, sans exigence. Et puis, les petits sont humbles. Un vrai enfant respecte ce qui est au-dessus de lui. Quand on ne le déforme pas par une tendresse excessive, il est indépendant, forme son petit monde à lui tout seul et ne prétend pas s'imposer. Enfin les petits sont confiants et abandonnés, à cause justement de leur faiblesse. Un enfant vous donne la main, lève vers vous son regard limpide, vous accompagne dans votre propre chemin sans demander où il aboutit. »

    Madeleine Daniélou (1880-1956)

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