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  • Angelus de ce dimanche 30 août 2020

    Lors de l’Angélus de ce dimanche 30 août, le pape François a commenté l’Évangile du jour, tiré du 16e chapitre de Saint Matthieu, en expliquant ce que signifie suivre le Christ jusqu’à l’épreuve de la croix.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Pavel Tchesnokov : Tebe Poem, Op.27 No.6

    Choir Academy of Choral Art. V.S.Popova - Dir. Dmitri Korczak
    Cathédrale de l'Assomption, Moscou (2015)
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
     
    Tebe Poem est une hymne orthodoxe russe de l’Église slave, à 4 voix mixtes, mise en musique originellement par le compositeur ukrainien Dmitri Bortnianski (1751-1825). Le texte est extrait de la Liturgie orthodoxe de Saint Jean Chrysostome.

     

    Tebé poém
    Tebé blagoslovím
    Tebé blagodarím
    Góspodi

    i mólim Ti sya, Bózhe nash
    i mólim Ti sya, Bózhe nash
    i mólim Ti sya, Bózhe nash
    Bózhe nash

    mólim Ti sya, Bózhe nash
    mólim Ti sya, Bózhe nash
    mólim Ti sya, Bózhe nash

    Traduction française :

    Nous te chantons
    Nous te bénissons
    Nous te rendons grâce
    Seigneur

    Nous te supplions
    Ô Dieu
  • Méditation - silence...

    « Les îles sont constamment assiégées par les bruits de la mer et le sifflement du vent. De même, l'homme est assailli par le flot d'informations qui s'abat sur lui et influencé par les pressions dont il est l'objet.
    Le silence n'existe pas à l'état naturel sur les rivages marins, pas plus que dans nos cœurs. Il faut intervenir pour que le silence se fasse. Ce n'est qu'à l'abri des murs de sa demeure que l'îlien goûte au silence bienfaisant. Ce n'est que lorsqu'il rentre en lui-même, au plus profond de sa sincérité, que l'homme peut faire silence devant Dieu. Ce silence n'est pas une vertu en soi, mais il est un passage obligé du brouhaha humain à l'écoute de la Parole de Dieu et cette démarche exige un effort sur soi-même. [...]
    Le silence est un dur apprentissage qui confronte inévitablement l'homme de ce monde à son besoin de se mesurer et de se justifier, à ses bavardages inutiles et à ses jugements.
    Le silence devant Dieu implique de notre part une prise de conscience de nos incapacités, de nos limites, de nos erreurs mais en même temps il ancre notre confiance dans le salut. Quand nous faisons silence devant Dieu, nous savons que nous accomplissons un acte d'humilité qui nous conduit vers la guérison. Apprenons à écouter afin de capter le Souffle de Dieu et entrons dans la simplicité et la finesse de ce silence pour ne pas étouffer la voix de Celui qui nous appelle. [...]
    Osons faire silence pour entamer un vrai dialogue avec Dieu. Si nous savions à quel point Il attend cet instant ! »

    Suzanne Giuseppi Testut, La déposition - Tu sais bien que je t'aime - Parcours spirituel à l'école de saint François d'Assise (ch.VII, 2), Nouvelle Cité, 2009.

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    (Crédit photo)

  • Dimanche 30 aoüt 2020

    Treizième Dimanche après la Pentecôte
     
    (22ème dimanche du Temps Ordinaire)

  • Audience générale de ce mercredi 26 août 2020

    Lors de l’audience générale du 26 août, le pape François a poursuivi son cycle de catéchèse sur les conséquences de la pandémie de coronavirus et la manière dont les chrétiens sont appelés à réagir. « En ces temps d’incertitudes et d’angoisse », le Souverain Pontife a invité chacun à « accueillir le don de l’espérance qui vient du Christ », comme une ancre, cette espérance nous guidera vers un monde plus sain.

    Compte rendu de Marine Henriot sur Vatican News.

    Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur le site du Vatican.

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, la pandémie que connaît le monde révèle de grandes inégalités, que ce soit entre individus ou entre nations. Elles sont le fruit d’une économie malade qui ne tient pas compte des valeurs humaines fondamentales, pas plus qu’elle n’a de souci pour les dommages qu’elle inflige à la création. La racine en est la même, c’est le péché de vouloir posséder et de dominer les frères, la nature et Dieu lui-même. Or Dieu a confié la terre et ses richesses à la gestion commune de l’humanité pour qu’elle en prenne soin. Il nous a demandé de dominer la terre en la cultivant et en la gardant. Il existe une réciprocité entre nous et la nature : nous pouvons en utiliser les ressources mais nous devons aussi la protéger. Par ailleurs, la terre a été donnée par Dieu à tous, et nous devons faire en sorte que ses fruits arrivent à chacun, et pas seulement à quelques-uns. La propriété est un moyen et non pas une fin en soi. Posséder un bien c’est être l’administrateur de la Providence qui l’a confié afin de le faire fructifier pour les autres. Or, l’obsession de posséder exclut un grand nombre de personnes des biens les plus élémentaires, déchire le tissu social et détruit la Création. Avec Jésus, et la force de son amour opérant dans le cœur de ses disciples, nous avons la ferme espérance d’édifier un monde différent et meilleur. »

    « Je salue cordialement les personnes de langue française.
    Puissions-nous, dans nos Communautés chrétiennes, prendre soin des biens que le Seigneur nous donne dans sa création, et partager ce que nous possédons afin que personne ne manque du nécessaire. Nous serons alors témoins authentiques du Christ ressuscité.
    Que Dieu vous bénisse ! »

    Source : site internet du Vatican.

  • Le Notre Père en araméen

    (Arrangement Indiajiva)
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
  • Méditation - Divine Miséricorde

    « Si j'étais en votre place, ... je dirais à Dieu avec confiance :
    Seigneur, voici une âme qui est au monde pour exercer votre admirable miséricorde et pour la faire éclater en présence du ciel et de la terre.
    Les autres vous glorifient, en faisant voir quelle est la force de votre grâce, par leur fidélité et par leur constance, combien vous êtes doux et libéral envers ceux qui vous sont fidèles ; pour moi, je vous glorifierai en faisant connaître combien vous êtes bon envers les pécheurs, et que votre miséricorde est au-dessus de toute malice, que rien n’est capable de l’épuiser, que nulle rechute, quelque honteuse et criminelle qu’elle soit, ne doit porter un pécheur au désespoir du pardon.
    Je vous ai gravement offensé, ô mon aimable Rédempteur ; mais ce serait bien encore pis, si je vous faisais cet horrible outrage de penser que vous n’êtes pas assez bon pour me pardonner.
    C’est en vain que votre ennemi et le mien me tend tous les jours de nouveaux pièges : il me fera tout perdre plutôt que l’espérance que j’ai en votre miséricorde.
    Quand je serais retombé cent fois et que mes crimes seraient cent fois plus horribles qu’ils ne sont, j’espérerais encore en vous. »

    St Claude la Colombière (1641-1682), Lettre 96 (à une religieuse), in "Lettres", DDB - Bellarmin, Coll. Christus n°79, Paris, 1992.

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