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  • Angelus de ce dimanche 27 septembre 2020

    Avant la prière de l’Angélus, récitée depuis la fenêtre du Palais apostolique, le pape François a commenté l’Évangile de ce 26e dimanche du temps ordinaire, la parabole dite “des deux fils” (Mt 21, 28-32). Jésus veut montrer que la religion n’est pas une « pratique extérieure », mais demande un engagement de toute la personne, qui est souvent le fruit d’une conversion, grâce à demander à Dieu.

    Compte rendu d'Adélaïde Patrignani à lire sur Vatican News.

  • Rappel : Message du pape François pour la 106ème Journée mondiale du migrant et du réfugié

    Contraints de fuir comme Jésus-Christ.
    Accueillir, protéger, promouvoir et intégrer les déplacées internes

    Texte intégral (version française) sur le site du Vatican.

  • Pavel Tchesnokov : Hymne des Chérubins, Op.27, No.5

    Russia Spiritual Revival Choir - Dir. Lev Kontorovich
    Yuri Wichniakov, octaviste
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
  • Méditation - Compassion

    « Il est des choses qu'on ne voit comme il faut qu'avec des yeux qui ont pleuré. »

    P. Henri-Dominique Lacordaire (1802-1861)

    Lacordaire,compassion,larmes,pleurer

    (Crédit photo)

  • Dimanche 27 septembre 2020

    Dix-septième Dimanche après la Pentecôte
     
    (26ème dimanche du Temps Ordinaire)

  • Audience générale de ce mercredi 23 septembre 2020

    Le pape François a poursuivi sa série de catéchèses sur le monde après la pandémie au cours de l'audience générale. Il a invité à se pencher sur le principe de subsidiarité, depuis longtemps mis en avant par l'Église pour que personne ne soit laissé au bord du chemin.

    Compte rendu de Xavier Sartre à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de la catéchèse (trad. française) et résumé sur le site du Vatican.

  • S. Rachmaninov (1873-1943) : Vêpres Op. 37 - N°2 Blagoslovi, dushe moya

    (Psaume 103 (102) : Bénis le Seigneur, ô mon âme)
    Chamber choir "Kinnara" - Jason Thoms, octaviste
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
  • Méditation - Jésus

    « Toute la doctrine de Jésus consiste à enseigner le renoncement à la vie personnelle, qui est une chimère, et à faire rentrer cette vie personnelle dans la vie commune de toute l'humanité, dans la vie du Fils de l'homme.
    [...]
    A ceux qui se croient certains de posséder plus que ne donne Jésus, sa doctrine ne peut rien donner. Comment réussirai-je à persuader à un homme de travailler, en lui garantissant pour cela la nourriture et les vêtements, quand cet homme est persuadé qu’il est déjà millionnaire ? Évidemment il ne tiendra aucun compte de mes exhortations. C’est exactement le cas avec la doctrine de Jésus. Pourquoi irais-je travailler pour gagner mon pain, quand je puis être riche sans cela ? Pourquoi me donnerais-je la peine de vivre cette vie selon la volonté de Dieu, quand je suis sûr de ma vie personnelle pour l’éternité ?
    [...]
    Toute tentative de donner un sens quelconque à la vie, si elle n'est pas basée sur le renoncement à son égoïsme, si elle n'a pas pour but de servir les hommes, l'humanité - le Fils de l'homme - est une chimère qui vole en éclats au premier contact de la raison. Que ma vie personnelle me condamne à périr et que ma vie conforme à la volonté du Père soit impérissable, qu’elle seule donne la possibilité du salut, — cela ne peut être mis en doute. C’est bien peu, dira-t-on, en comparaison de ces croyances sublimes dans la vie future ! — C’est peu, mais c’est sûr.
    [...]
    J’ai compris la doctrine de Jésus dans ses commandements, et je vois que la mise en pratique de ces commandements me donne le bonheur à moi et à tous les hommes. J’ai compris que l’accomplissement de ces commandements est la volonté de Dieu, cet être qui est la source de ma vie.
    [...]
    En suivant la doctrine de Jésus, je continue l’œuvre commune des hommes qui ont vécu avant moi ; je contribue au bien de mes contemporains et de ceux qui vivront après moi, je fais ce que me demande celui auquel je dois la vie, je fais la seule chose qui puisse me sauver.
    [...]
    Jésus a dit : « J’ai fait descendre le feu sur le monde, » et comme je souffre jusqu’à ce qu’il s’enflamme — et il continuera à brûler — jusqu’à ce que l’humanité soit sauvée. Ce feu n’a-t-il pas embrasé le monde pour que les hommes aient la félicité du salut ?
    Ayant compris cela, je compris et je crus que Jésus est non seulement le Messie, c’est-à-dire l’Oint, le Christ, mais qu’en vérité, il est le Sauveur du monde.
    Je sais qu’il n’y a pas d’autre porte que Lui, ni pour moi, ni pour tous ceux qui se tourmentent avec moi dans cette vie. Je sais que, pour moi comme pour tous, il n’y a pas d’autre salut que l’accomplissement des commandements de Jésus, qui donnent à toute l’humanité la plus grande somme de biens que je puisse concevoir.
    [...]
    Je mourrai comme tout le monde, tout comme ceux qui n’observent point la doctrine de Jésus ; mais ma vie et ma mort auront un sens pour moi et pour tous. Ma vie et ma mort auront servi au salut et à la vie de tous, et c’est précisément ce qu’enseignait Jésus. »

    Léon Tolstoï (1828-1910), Ma Religion (chap.VIII), Traduction par L. D. Ourousov, Fischbacher, Paris, 1885.
    (Ma Religion, texte intégral en ligne)

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    (Crédit photo)

  • Mercredi 23 septembre 2020

    Mercredi des Quatre-Temps d’Automne
     
    Au nouveau calendrier :
    Mémoire de St Pio de Pietrelcina, prêtre

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