Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Audience générale de ce mercredi 27 janvier 2021

    Lors de l’audience générale de ce mercredi 27 janvier, le pape François a poursuivi son cycle de catéchèses sur la prière, abordant cette fois-ci, dans le sillage du dimanche de la Parole de Dieu, le thème de “la prière avec les Saintes Écritures”.

    Compte rendu d'Adélaïde Patrignani à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de la catéchèse (trad. française) sur le site du Vatican.

  • Sergueï Rachmaninov (1873-1943) : Les Vêpres Op.37 - 2. Blagoslovi, dushe moya

    (Bénis le Seigneur, ô mon âme)
    USSR Ministry of Culture Chamber Choir
     
    (si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI)
  • Méditation - l'enfant prodigue

    « Voyez l'enfant prodigue à son retour au foyer paternel. Nous le figurons-nous, après sa rentrée, prenant des airs insouciants et des allures dégagées, comme s'il avait été toujours fidèle ? Oh ! non. - Vous me direz : son père ne lui a-t-il pas tout pardonné ? - Certainement ; il a reçu son fils, les bras ouverts ; il ne lui a pas fait de reproches ; il ne lui a pas dit : "Vous êtes un misérable" ; non, il l'a serré sur son cœur. Et le retour de ce fils procure même au père une telle joie que celui-ci prépare pour le repenti un grand festin. Tout est oublié, tout est pardonné. Cette conduite du père du prodigue est l'image de la miséricorde de notre Père céleste. - Mais lui, l'enfant pardonné, quels sont ses sentiments, quelle est l'attitude qu'il conserve ? N'en doutons pas, ce sont les sentiments, c'est l'attitude qu'il avait quand il s'est jeté repentant aux pieds de son père : "Père, j'ai péché contre vous, je ne suis plus digne d'être appelé votre fils ; traitez-moi comme le dernier de vos serviteurs". Soyons certains que, pendant toutes les réjouissances par lesquelles on célébrait son retour, ce sont là les dispositions qui dominaient dans son âme. Et si plus tard la contrition y a diminué d'intensité, jamais ce sentiment ne s'en est effacé tout à fait, même après que l'enfant eut repris pour toujours au foyer paternel sa place de jadis. Que de fois il a dû dire à son père : "Vous m'avez tout pardonné, je le sais, mais mon cœur ne se lassera pas de répéter avec gratitude, combien il a de regret de vous avoir offensé, combien il veut racheter par une plus grande fidélité les heures perdues et l'oubli qu'il a fait de vous".
    Tel doit être le sentiment d'une âme qui a offensé Dieu, méprisé ses perfections, apporté sa part aux souffrances du Christ Jésus. »

    Bx Columba Marmion (1858-1923), Le Christ Idéal du Moine (VIII.I), Abbaye de Maredsous - Desclée de Brouwer, Namur - Paris, 1939.

    Columba Marmion,enfant prodigue,père,fils,miséricorde,pardon,contrition

    Eugène Burnand (1850-1921), L’enfant prodigue
    (Crédit photo)

  • Mercredi 27 janvier 2021

    St Jean Chrysostome, évêque
    confesseur et docteur de l’Église

    Saint_Jean_Chrysostome_1b.jpg

    Au nouveau calendrier :
    Mémoire facultative de Ste Angèle Merici, vierge