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  • 24 avril : Sanctoral

    Saint Fidèle de Sigmaringen, martyr (+ 1622)

    Vie de Saint Fidèle de Sigmaringen, prêtre capucin (1577-1622)

    Et Sainte Marie-Euphrasie Pelletier
    Fondatrice des Soeurs du Bon Pasteur d'Angers (1796-1868)

  • 23 avril : VIIe Congrès Mondial de la Pastorale du Tourisme

    Message du Pape Benoît XVI à l'occasion du

    VIIe Congrès Mondial de la Pastorale du Tourisme
    [Cancún, 23-27 avril 2012]

    « Je désire souligner trois domaines sur lesquels la pastorale du tourisme doit focaliser son attention. En premier lieu, il s’agit d’éclairer ce phénomène par la doctrine sociale de l’Église, en promouvant une culture de tourisme éthique et responsable, de telle sorte qu’il parvienne à être respectueux de la dignité des personnes et des peuples, accessible à tous, juste, durable et écologique...
    En deuxième lieu, l’action pastorale ne doit jamais oublier la via pulchritudinis, la "voie de la beauté". Un grand nombre de manifestations du patrimoine historico-culturel religieux "sont de véritables chemins vers Dieu, la Beauté suprême, et qui aident même à croître dans notre relation avec Lui, dans la prière..."
    Et, en troisième lieu, la pastorale du tourisme doit accompagner les chrétiens dans la jouissance de leurs vacances et de leur temps libre, de telle sorte que ceux-ci soient au profit d’une croissance humaine et spirituelle. C’est certainement "un temps propice pour une détente physique et également pour nourrir l’esprit à travers des espaces plus amples de prière et de méditation, pour croître dans le rapport personnel avec le Christ et se conformer toujours plus à ses enseignements (Angélus, 15 juillet 2007)."  »

    Texte intégral sur le site internet du Vatican

  • 23 avril : La première communion, « fête de la foi »

    Le Pape Benoît XVI s’est adressé aux accompagnateurs d’enfants à la première communion, avant le Regina coeli de ce dimanche 22 avril 2012, place Saint-Pierre à Rome :

    « Chers amis, durant le temps pascal, l’Eglise, habituellement, administre la Première Communion aux enfants. J’exhorte, par conséquent, les prêtres, les parents et les catéchistes à bien préparer cette fête de la foi, avec grande ferveur mais aussi avec sobriété. "Ce jour reste justement gravé dans la mémoire comme le premier moment où, même si c'est encore de manière élémentaire, l'importance de la rencontre personnelle avec Jésus a été perçue." (Exhortation post-synodale Sacramentum caritatis, 19). Que la Mère de Dieu nous aide à écouter avec attention la Parole du Seigneur et à participer dignement à la Table du sacrifice Eucharistique, pour devenir témoins de l’humanité nouvelle. »

    Sources : Zenit et Salon Beige
    Texte intégral italien sur le site internet du Vatican

  • 23 avril : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise

    « Regardons notre berger, le Christ... Il se réjouit de ses brebis qui sont auprès de lui et va chercher celles qui s'égarent. Montagnes et forêts ne lui font pas peur ; il parcourt les ravins pour arriver jusqu'à la brebis perdue. Même s'il la trouve en piteux état, il ne se met pas en colère, mais touché de compassion, il la prend sur ses épaules et, de sa propre fatigue, guérit la brebis fatiguée (Lc 15,4s)...

    C'est avec raison que le Christ proclame : "Je suis le Bon Pasteur, je cherche la brebis perdue, je ramène celle qui est égarée, je panse celle qui est blessée, je guéris celle qui est malade (Ez 34,16). J'ai vu le troupeau des hommes accablé par la maladie ; j'ai vu mes agneaux s'en aller où demeurent les démons ; j'ai vu mon troupeau dépecé par les loups. J'ai vu cela et ne l'ai pas regardé de haut. C'est pourquoi j'ai pris la main desséchée, tenue par le mal comme par un loup ; j'ai délié ceux que la fièvre avait liés ; j'ai appris à voir à celui dont les yeux étaient fermés depuis le sein de sa mère ; j'ai retiré Lazare du tombeau où il gisait depuis quatre jours (Mc 3,5; 1,31; Jn 9; 11). Car je suis le bon pasteur ; le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis"...

    Les prophètes ont connu ce pasteur lorsque, bien avant sa Passion, ils annonçaient ce qui allait venir : "Comme une brebis, le voici conduit à l'abattoir ; comme un agneau muet devant les tondeurs, il n'a pas ouvert la bouche" (Is 53,7). Comme une brebis, le pasteur a offert sa gorge pour ses brebis... Par sa mort, il remédie à la mort ; par son tombeau, il vide les tombeaux... Les tombeaux sont lourds et la prison fermée, tant que le pasteur, descendu de la croix, ne vient pas apporter à ses brebis enfermées la joyeuse nouvelle de leur libération. On le voit aux enfers où il donne l'ordre d'élargissement (1P 3,19) ; on le voit appeler à nouveau ses brebis, leur dire son appel du séjour des morts à la vie. "Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis." C'est ainsi qu'il se propose de gagner l'affection de ses brebis, et celles qui savent entendre sa voix aiment le Christ. »

    Basile de Séleucie (?-v.468), Oratio 26 ; PG 44, 129 (Trad. Brésard, 2000 ans B.).

  • 23 avril : J. S. Bach - Cantate BWV 125


    Cantate BWV 125 : Mit Fried Und Freud

    Deborah York : soprano
    Ingeborg Danz : mezzo-soprano
    Mark Padmore : tenor
    Peter Kooy: basse
    Collegium Vocale, sous la direction de Philippe Herreweghe

  • 23 avril : Méditation

    « Peut-être ne savons-nous pas ce que c'est qu'aimer, et je ne m'en étonnerais pas beaucoup. Celui qui aime le plus n'est pas celui qui a le plus de consolations, mais celui qui est le plus résolu à contenter Dieu en tout, à faire tout son possible pour ne le point offenser, à le prier toujours davantage pour l'honneur et la gloire de son Fils, ainsi que pour l'exaltation de l'Eglise catholique. Telles sont les marques de l'amour. N'allez pas vous imaginer cependant qu'il faille, pour aimer véritablement, ne jamais songer à autre chose, et que tout est perdu pour vous si vous venez à vous distraire tant soit peu...
    Il n'est pas bien de nous laisser troubler par les pensées importunes, ou d'en éprouver de la peine...
    Que cela nous apprenne à connaître notre misère, et à désirer parvenir "là où personne ne nous méprisera" (Cant. des Cant. VIII, I). »

    Sainte Thérèse de Jésus, Château de l'Âme, Quatrièmes Demeures, ch.I, in "Oeuvres complètes", Editions du Seuil, 1948.

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    "Le Couronnement de la Vierge", par Enguerrand Quarton

    (Villeneuve-les-Avignon)

  • 23 avril : Sanctoral

    Mémoire de Saint Georges, martyr (+ 295)

    Vie de Saint Georges, patron de l'Angleterre, par l'Abbé Jaud

    Saint Georges, le beau chevalier à l’armure éclatante, monté sur son cheval de guerre et transperçant le dragon, est une figure populaire entourée de légendes. Ce qu’il y a d’historique dans la vie de ce saint est ce qui suit : Le Cappadocien Georges, officier de haut grade, subit le martyre avec d’autres chrétiens pendant la persécution de Dioclétien, vers 303. Il mourut en Palestine, probablement à Diospolis. L’Église d’Orient l’appelle le grand martyr. De très bonne heure, son culte fut transporté dans l’Église d’Occident. La chevalerie chrétienne l’a honoré comme un de ses plus grands patrons. L’Église romaine lui dédia, dès les premiers siècles, une station sous le titre "Saint Georges in Velabro" (jeudi après le mercredi des Cendres). Le bréviaire romain ne contient pas de biographie du saint car le pape saint Gélase défendit, en 496, de lire ses Actes apocryphes. Le martyrologe dit : « La naissance (céleste) de saint Georges, dont l’Église honore le triomphe particulièrement glorieux parmi ceux de tous les martyrs. »

    Dom Pius Parsch

  • 22 avril : Regina Caeli de ce dimanche

    « Le Sauveur nous assure de sa présence réelle parmi nous, au moyen de la Parole et de l’Eucharistie. De la même manière que les disciples d’Emmaüs reconnurent Jésus à la fraction du pain (cf. Lc 24, 35), ainsi nous aussi nous rencontrons le Seigneur dans la célébration eucharistique. Saint Thomas d’Aquin explique à ce sujet qu’"il faut absolument professer, selon la foi catholique, que le Christ tout entier est dans ce sacrement… Car la divinité n'a jamais abandonné le corps qu’elle a assumé dans l'Incarnation" (S.Th. III, q. 76, a. 1). »

    Texte intégral sur le site internet du Vatican

    Et s'adressant aux pèlerins francophones :

    « La Résurrection du Seigneur a rempli nos cœurs de lumière et de joie. Apparu à ses disciples, le Ressuscité leur a donné sa paix. Dans notre monde marqué par le mal et la souffrance, la douleur et la peur, il nous donne sa paix aujourd’hui encore, et nous ouvre à la vie et au bonheur. Il nous invite également à devenir ses témoins jusqu’aux extrémités de la terre. Puissent nos esprits et nos cœurs s’ouvrir à l’intelligence des Écritures ! Que la Vierge Marie nous accompagne sur ce chemin ! »

    A écouter également sur Radio Vatican

  • 22 avril : Prière pour la France

    "Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l'étreindre dans ton Amour et lui en montrer toute ta tendresse. Fais que, remplie d'amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre. Ô Amour de Jésus, nous prenons ici l'engagement de te rester à jamais fidèles et de travailler d'un coeur ardent à répandre ton Règne dans tout l'univers. Amen".

    Cette prière a été dictée par le Christ le 14 novembre 1945 au jeune novice rédemptoriste Marcel Van (1928-1959). Jésus la lui avait ainsi présentée : "Petit enfant de mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière, et cette prière, je veux que les Français me la récitent." Il lui dit ensuite : "Ô mon enfant, dis aux Français que cette prière est celle-là même que je veux entendre de leur bouche. Elle est sortie de mon coeur brûlant d'amour et je veux que les Français soient les seuls à la réciter. Quant à toi, mon enfant, je veux que tu la récites aussi, mais tu la réciteras également en français."

    A visiter : Les Amis de Van

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  • 22 avril : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise

    « En ce temps-là, Jésus dit aux pharisiens : Je suis le bon pasteur. Le bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis.
    Mais le mercenaire, qui n'est pas le pasteur, et à qui les brebis n'appartiennent pas, voit venir le loup, laisse là les brebis et prend la fuite ; et le loup les ravit et les disperse.
    Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire et qu'il n'a nul souci des brebis.
    Je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis et mes brebis me connaissent,
    Comme mon Père me connaît, et que je connais mon Père, et je donne ma vie pour mes brebis.
    J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie ; il faut aussi que je les amène, et elles entendront ma voix et il y aura une seule bergerie et un seul pasteur. »

    Saint Jean de Damas (v.675-749), Exposé de la foi orthodoxe, 1 (trad. Bréviaire).

  • 22 avril : Chant orthodoxe - Hymne des Chérubins


    Choeur du monastère Novospassky : Hymne des Chérubins

  • 22 avril : Méditation

    « La Communion nous donne la grâce de l'amour. Pour aimer Notre-Seigneur d'un amour d'amitié, il faut une grâce spéciale : JESUS, en venant en nous, apporte cette grâce en même temps qu'il en met l'objet en notre âme, c'est-à-dire lui-même. Notre-Seigneur de demande pas avant la Cène à ses disciples d'aimer comme il les avait aimés ; il ne leur dit pas encore : "Demeurez dans mon amour". C'était trop fort pour eux ; ils n'auraient pas compris. Mais après la Cène il ne dit plus seulement : "Aimez Dieu, aimez votre prochain" ; mais : "Aimez-moi d'un amour de frère, de familiarité ; d'un amour qui soit votre vie et la loi de votre vie."
    [...]
    Après la Cène, Notre-Seigneur le dit à ses Apôtres : "Je ne vous appellerai plus mes serviteurs. - "Comment donc les appellerez-vous, Seigneur ? Gloire de Dieu, Force de Dieu, Médecine de Dieu, comme les Archanges ? - Non, plus que tout cela : je vous appellerai mes amis. Vous êtes mes amis, parce que tout ce que j'ai reçu de mon Père je vous l'ai donné ; vous êtes mes amis, parce que je vous ai confié mon secret royal.
    [...]
    Plus vous communierez, plus votre amour s'enflammera, plus vous aurez le coeur large, plus votre affection deviendra tendre et brûlante parce que son foyer sera plus intense. JESUS dépose en nous sa grâce d'amour : il vient lui-même allumer en nos coeurs le foyer de l'incendie, il l'entretient par ses fréquentes visites, il fait l'expansion de cette flamme dévorante ; c'est vraiment le charbon ardent qui nous embrase (S. Jean Chrysostome). Et ce feu ne s'éteindra pas si nous le voulons ; car son foyer, ce n'est pas nous qui l'entretenons, c'est JESUS-CHRIST lui-même qui lui donne sa force et son action : ne l'étouffez pas volontairement par le péché, il brûlera sans s'éteindre jamais.
    Pauvres chrétiens qui communiez une fois par an, qu'attendez-vous de là ? Mettez donc plus souvent votre petite flamme en contact avec cette fournaise ; faites-le tous les jours s'il le faut. Croyez-vous pouvoir brûler si vous n'entretenez pas votre foyer ? »

    Saint Pierre-Julien Eymard (1811-1868), La divine Eucharistie - Extraits des écrits et des sermons du Bienheureux Pierre-Julien Eymard - Deuxième série : La Sainte Communion, Société Saint-Augustin - Desclée de Brouwer, Bruges/Lille/Paris/Lyon, 1926 (16ème éd.).

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  • 22 avril : Bon Dimanche !

    3ème Dimanche de Pâques

    Au calendrier traditionnel :

    2ème Dimanche après Pâques

    (Dimanche du Bon Pasteur)

  • 21 avril : concert pour Benoît XVI

    « Un grand hymne de louange à Dieu » et une occasion pour rendre grâce « encore une fois à Dieu pour les années de vie et de ministère ».

    C'est ainsi que Benoît XVI a vécu l'intense interprétation de la Symphonie n. 2 Lobgesang de Felix Mendelssohn Bartholdy  (1809-1847), exécutée vendredi après-midi, 20 avril, dans la salle Paul VI.

    « L'art comme louange à Dieu, Beauté suprême – a souligné le Pape au terme de l'exécution – se trouve à la base de la manière de composer de  Mendelssohn et cela non seulement en ce qui concerne la musique liturgique ou l'art sacré, mais sa production tout entière ».

    Source : News.va


    Felix Mendelssohn Bartholdy - Extrait de la Symphony No. 2 'Lobgesang' (Cantique) - 5/11
    2. Chorus and 2 1/2 Soprano solo
    Choeur Classique de Montréal - Robert Ingari
    Orchestre Symphonique de l'Isle
    Ashley Becker - Soprano
    Conductor: Cristian Gort

  • 21 avril : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise

    « Le Seigneur a dit à ses apôtres : "Vous êtes la lumière du monde". Comme elles sont justes les comparaisons que le Seigneur emploie pour désigner nos pères dans la foi ! Il les appelle "sel", eux qui nous enseignent la sagesse de Dieu, et "lumière", eux qui chassent de nos coeurs l'aveuglement et les ténèbres de notre incrédulité. C'est donc à juste titre que les apôtres reçoivent le nom de lumière : ils annoncent dans l'obscurité du monde la clarté du ciel et la splendeur de l'éternité. Pierre "n'est-il pas devenu pour le monde entier et pour tous les fidèles une lumière, quand il a dit au Seigneur : 'Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant' ?" (Mt 16,16) Quelle plus grande clarté le genre humain aurait-il pu recevoir, que d'apprendre par Pierre que le Fils du Dieu vivant était le créateur de sa lumière ?

    Et saint Paul n'est pas une moins grande lumière pour le monde : alors que toute la terre était aveuglée par les ténèbres de la malfaisance, il est monté jusqu'au ciel (2Co 12,2) et, à son retour, il a révélé les mystères de la splendeur éternelle. C'est pourquoi il n'a pu ni se cacher, telle la ville fondée sur une montagne, ni se laisser mettre sous le boisseau, car le Christ, par la lumière de sa majesté, l'avait enflammé comme une lampe de choix, remplie de l'huile du Saint Esprit. C'est pourquoi, mes bien-aimés, si, renonçant aux illusions de ce monde, nous avons à coeur de rechercher la saveur de la sagesse de Dieu, goûtons au sel des apôtres. »


    Sermon atttribué à Saint Maxime de Turin (?-v. 420), Trad. in Kephas, vol. 1, p. 554 rev.

  • 21 avril : Salve Regina


    Salve, Regina, mater misericordiae. Vita, dulcedo et spes nostra, salve.
    Salut, ô Reine, Mère de miséricorde, notre vie, notre espérance, salut !

    Ad te clamamus, exsules filii Evae.
    Enfants d'Ève exilés sur terre, nous crions vers vous.

    Ad te suspiramus, gementes et flentes in hac lacrimarum valle.
    Vers vous nous soupirons, gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes.

    Eia ergo, advocata nostra, illos tuos misericordes oculos ad nos converte.
    Ô vous notre avocate, tournez vers nous vos yeux compatissants.

    Et Jesum, benedictum fructum ventris tui, nobis post hoc exilium ostende.
    Et, après cet exil, faites-nous voir Jésus, le fruit béni de vos entrailles.

    O clemens, o pia, o dulcis Virgo Maria !
    Ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge Marie !

  • 21 avril : A noter : les prochaines "Nuits des Témoins" de l'AED

    A noter dans vos agendas...

    Pour la quatrième édition, l’AED vous invite à venir nombreux à la Nuit des Témoins annuelle, grande veillée de prière et de témoignage, qui aura lieu cette année dans quatre villes de France : Paris, Grenoble, Bayonne et Lille.

    La Nuit des Témoins à Grenoble, en la cathédrale Notre-Dame, le lundi 21 mai 2012.
    Messe à 18h30 et veillée de prière de 20h30 à 22h.

    La Nuit des Témoins à Bayonne, en la cathédrale Sainte-Marie, le mardi 22 mai 2012.
    Messe à 20h et veillée de 21h à 22h30.

    La Nuit des Témoins à Lille, à Notre-Dame de la Treille, le mercredi 23 mai 2012
    Messe à 19h30 et veillée de prière de 21h à 22h.

    La Nuit des Témoins à Paris, en la cathédrale Notre-Dame, le vendredi 25 mai 2012
    Messe à 18h30 et veillée de 20h à 21h30.

    Renseignements complémentaires et vidéo sur le site de l'AED.

  • 21 avril : Méditation

    « Ô Vierge Immaculée, élue entre toutes les femmes pour donner au monde le Sauveur, servante fidèle du mystère de la Rédemption, donnez-nous de répondre à l'appel de Jésus et de le suivre sur le chemin de la Vie qui conduit au Père.
    Vierge toute sainte, arrachez-nous au péché, transformez nos coeurs.
    Reine des apôtres, faites de nous des apôtres ! Qu'en vos mains toutes pures nous devenions des instruments dociles et aimants pour achever de purifier et de sanctifier notre monde pécheur.
    Partagez en nous le grave souci qui pèse sur votre Coeur maternel, et aussi votre vive espérance : qu'aucun homme ne soit perdu.
    Que la création entière puisse avec vous, ô Mère de Dieu, tendresse de l'Esprit Saint, célébrer la louange de la Miséricorde et de l'Amour Infini. »

    Saint Maximilien Kolbe (1894-1941).

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  • 21 avril : Sanctoral

    Saint Anselme, Archevêque de Cantorbéry et Docteur de l'Église (1033-1109)

    ... de même qu'au calendrier traditionnel :

    Saint Anselme, évêque, confesseur et Docteur

  • 20 avril : les reliques de Sainte Thérèse à Paris

    Les reliques de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face seront à Paris, à la basilique du Sacré-Coeur de Montmartre du lundi 30 avril au vendredi 4 mai, puis à la basilique Notre-Dame des Victoires du samedi 5 au dimanche 13 mai prochains (le 13 étant le jour anniversaire de la guérison de Sainte Thérèse).

    Tous renseignements sur le site de ces basiliques :


    Basilique du Sacré-Coeur de Montmartre :

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    Basilique Notre-Dame des Victoires :

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    « Ce qui me pénétra jusqu'au fond de l'âme ce fut le ravissant sourire de la Sainte Vierge. Alors toutes mes peines s'évanouirent, deux grosses larmes jaillirent de mes paupières et coulèrent silencieusement sur mes joues. Il fallait un miracle et ce fut Notre-Dame des Victoires qui le fit. »
    Sainte Thérèse