Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Méditation - Prière : comme un petit enfant...

    « Ô mon Dieu,

    Lorsque je regarde l'avenir, la peur me prend.
    Mais pourquoi sonder le futur ?
    Pour moi, ce n'est que le moment présent qui est cher,
    Car l'avenir ne s'établira peut-être pas dans mon âme.

    Le temps passé n'est plus en mon pouvoir,
    Pour changer quelque chose, corriger ou ajouter,
    Car ni le sage, ni les prophètes ne sont parvenus à le faire,
    Donc, il faut remettre à Dieu ce que contenait le passé.

    Ô moment présent, tu m'appartiens tout entier.
    Je désire tirer profit de toi selon mes possibilités,
    Et bien que je sois faible et petite,
    Tu me donnes la grâce de Ta toute-puissance.

    Et donc avec confiance en Ta miséricorde,
    J'avance dans la vie comme un petit enfant,
    Et chaque jour je Te fais le sacrifice de mon cœur
    Brûlant d'amour pour Ta plus grande gloire. »

    Sainte Faustine, Petit Journal (Premier Cahier, 1), Parole et Dialogue, Paris, 2002.

    confiance-a.jpg

  • Jeudi 20 février 2014

    Calendrier liturgique

  • 6ème édition de la Nuit des Témoins : ils donnent leur vie pour le Christ, venez prier pour eux

    AED,6ème édition,Nuit des Témoins,martyrs,Christ,prière

    La 6ème édition de la Nuit des Témoins aura lieu du lundi 24 au vendredi 28 mars 2014. Venez nombreux soutenir les chrétiens discriminés ou tués à cause de leur foi.

    Quoi ?

    Ces veillées de prière et de témoignages rendent hommage à ceux qui ont été tués parce qu’ils étaient des disciples du Christ.

    Elles permettent aussi de porter ceux qui souffrent toujours et d’écouter leur témoignage.

    Où et quand ?

    - La Nuit des témoins à Strasbourg, église catholique de Saint-Pierre-le-Jeune, lundi 24 mars 2014, à 20h30. Avec Mgr Kratz.
    - La Nuit des témoins à Bordeaux, cathédrale Saint-André, mardi 25 mars 2014, à 20h. Avec le cardinal Ricard.
    - La Nuit des témoins à Marseille, basilique du Sacré-Coeur, mercredi 26 mars 2014, à 20h. Avec Mgr Pontier.
    - La Nuit des témoins à Paris, cathédrale Notre-Dame, vendredi 28 mars 2014. Messe à 18h30. Veillée à 20h. Avec le cardinal Vingt-Trois.

    Qui sont les grands témoins ?

    En 2014, quatre grands témoins seront présents à Paris :

    Sa Béatitude, Mgr Ibrahim Isaac Sidrak, Patriarche de l’Église catholique copte (Égypte)
    Mgr Dieudonné Nzapalaïnga, archevêque de Bangui (Centrafrique)
    Mgr Amel Shamon Nona, archevêque de Mossoul (Irak)
    Sœur Raghida Al Kouri, religieuse (Syrie)

    Renseignements et détails sur le site internet de l'AED.

  • Audience générale de ce mercredi 19 février 2014

    Le Pape François a consacré la catéchèse de l'Audience générale tenue Place St Pierre au Sacrement de la pénitence et de la Réconciliation : Nous ne pouvons pas, a-t-il dit, "nous administrer le pardon de nos propres péchés. Le pardon ne peut être le fruit de nos efforts car il ne peut venir que de l'Esprit, qui nous enveloppe de la miséricorde et de la grâce qui sourdent perpétuellement des blessures du Crucifié. C'est seulement en nous laissant réconcilier avec Dieu et nos frères dans le Seigneur que nous pouvons trouver la paix véritable". Ce Sacrement, a ensuite rappelé le Pape, "est passé d'une forme publique à celle, privée, que nous connaissons. La confession auriculaire ne saurait toutefois faire perdre la valeur ecclésiale du Sacrement, qui demeure vitale. En effet la communauté chrétienne est l'espace dans lequel l'Esprit rénove les cœurs dans l'amour de Dieu et des frères, dans lequel il fait de nous tous une chose seule en Jésus-Christ. C'est pourquoi il ne suffit pas de demander pardon au Seigneur par nous-mêmes, et qu'il est nécessaire de recourir humblement à la confession de nos péchés devant un ministre de l’Église". Par ailleurs, "le sacerdoce représentent Dieu et la communauté à la fois. Si quelqu'un pense pouvoir se confesser directement à Dieu, il devrait savoir que ses péchés ont été commis contre ses frères et contre l’Église, auxquels il est nécessaire de demander le pardon, même si on a honte. La honte est bienvenue car elle porte à l'humilité... Le prêtre reçoit la confession avec amour et il pardonne au nom de Dieu. Humainement il est bon de parler avec le frère qu'est le prêtre et lui confier ce qu'on a sur le cœur. Se confesser devant Dieu, avec l’Église, avec un frère, qu'y a-t-il de meilleur ?". Puis le Pape a interpellé l'assemblée en demandant à chacun quand il s'était confessé pour la dernière fois : "Ne perdez plus de temps et vous verrez que Jésus, qui est encore meilleur que les prêtres, vous accueillera avec un grand amour.
    Soyez courageux et allez vous confesser !... Recourir au Sacrement de la Réconciliation signifie recevoir une chaleureuse accolade, celle de l'infinie miséricorde du Père... Allons donc tous de l'avant dans cette direction".

    Après sa catéchèse, le Saint-Père a lancé un appel à la cessation des violences en Ukraine où, la nuit dernière, 25 personnes sont mortes lors d'affrontements dans la capitale. Redisant sa solidarité à tout le peuple ukrainien, le Pape a dit prier pour les victimes, les blessés et leurs familles, appelant les parties en cause à abandonner la violence au profit de la concorde et de la paix.

    Et s'adressant à des pèlerins polonais, le Pape François a rappelé que c'est samedi la fête de la Chaire de Pierre, un jour de communion particulière entre les fidèles et le Successeur de l'Apôtre. Il a demandé que l'on prie pour son ministère papal et son témoignage de vie offerte au Christ pour l'édification de son Église. Puis il a salué les participants au symposium consacré à la constitution Sacrosanctum concilium, guidés par le Cardinal Cañizares Llovera, ainsi que l'assemblée plénière de l'Académie pontificale pour la vie, qui fête ses vingt ans.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 19.2.14)

    Résumé en Français :

    « Chers frères et sœurs, le Sacrement de la Réconciliation jaillit directement du mystère pascal. Le pardon de nos péchés n’est pas le fruit de nos efforts. C’est un don de l’Esprit Saint, qui nous remplit de la miséricorde et de la grâce qui jaillit du Cœur grand ouvert du Christ crucifié et ressuscité. Dans la célébration de ce sacrement, le prêtre représente Dieu, mais aussi toute la communauté qui se reconnaît dans la fragilité de chacun de ses membres. Elle écoute son repentir, se réconcilie avec lui, l’encourage et l’accompagne sur son chemin de conversion et de maturation humaine et chrétienne. Nous risquons d’oublier que ce Sacrement est un trésor, parce que le sens du péché et même le sens de Dieu ont diminué ! Chers amis, laissons l’amour de Dieu nous réconcilier avec lui, avec nous-mêmes et avec nos frères ! »

    Source et texte intégral de la catéchèse en italien sur le site internet du Vatican.

  • Adjutor in oppotunitatibus, chœur à 4 voix

  • Méditation : prière et travail

    « Avec sa simplicité naturelle, S. Vincent de Paul a donné le secret d'une vie active entièrement subordonnée à la contemplation : Ne voyant que Dieu dans toutes les personnes avec lesquelles je traitais habituellement, je me suis efforcé de ne rien faire devant les hommes que je n'eusse fait devant le Fils de Dieu si j'avais eu le bonheur de converser avec lui pendant les jours de ma vie mortelle. Les personnes avec lesquelles S. Vincent de Paul traitait habituellement nous les connaissons. De la reine aux mendiants, il a tout vu, et il a traité la Reine avec la même charité que les mendiants, les mendiants que la Reine.

    Comment voir autrement lorsque Notre-Seigneur lui-même a repoussé les reproches de Marthe à Marie en disant que celle-ci avait choisi la meilleure part ? La vie active selon Dieu ne peut venir que d'une surabondance de l'union à Dieu. Autrement elle est peu fructueuse. Il faut toujours prier a dit Jésus.

    D'ailleurs la Sainte Vierge a été Marthe et Marie à la fois. Et S. Vincent de Paul aussi. Les grâces purement mystiques sont gratis data, données gratuitement et non au mérite, et destinées à l'édification de tierces personnes plutôt qu'à celui qui en est le sujet.

    S. Benoît résume sa règle en deux mots : ora et labora. Prie et travaille. Il ne dit pas travaille et prie. L'ordre du langage répond ici à la réalité. Et alors, travailler c'est prier ; mais il ne faut pas le dire, comme les vieux vignerons que j'ai connus dans mon enfance, pour se dispenser de prier. Si l'ordre est respecté, tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu.
    ...
    C'est la règle de toute vie chrétienne, active ou contemplative. »

    D. Minimus [Henri Charlier], Ora et labora in "Primauté de la contemplation", Itinéraires - Reprint Dominique Martin Morin, 1979.

    Saint_Benoit_ora-et-labora-a.jpg

  • Mercredi 19 février 2014

    Calendrier liturgique

  • Déclaration du Père Lombardi à propos de « L’homme qui ne voulait pas être Pape » de Nicolas Diat

    Le Père Federico Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint-Siège et de Radio Vatican, a souhaité réagir à la publication, chez Albin Michel, du livre de Nicolas Diat, « L’homme qui ne voulait pas être Pape ». L’ouvrage contient en effet des accusations graves qui sont inexactes.

    Tout en saluant les efforts déployés par l’auteur pour offrir un éclairage approfondi du pontificat de Benoît XVI, le Père Lombardi critique la méthode et l’esprit qui animent ce livre et conteste la véridicité de certains passages.

    Déclaration du Père Federico Lombardi, à propos du livre de Nicolas Diat :

    La déclaration du P. Lombardi en MP3.

    « Un ouvrage volumineux en français (Nicolas Diat : « L’homme qui ne voulait pas être Pape », chez Albin Michel) a été publié il y a quelques jours. C’est le fruit d’un travail de longue haleine, le résultat de nombreux entretiens entre l’auteur et plusieurs personnalités ecclésiastiques. L’ouvrage offre un vaste panorama du pontificat du Pape Benoît XVI. Il évoque également le début du pontificat de son Successeur, mais, comme le titre l’indique, l’auteur a surtout voulu approfondir la pensée ainsi que la personnalité de Joseph Ratzinger, son esprit et ses intentions.

    Le livre retrace les événements et fournit de nombreuses informations utiles pour les replacer dans leur contexte. Les interventions et les discours du Pape sont largement rapportés. L’auteur les relit avec intelligence et analyse souvent en profondeur les intentions qui étaient à la base. Il s’appuie sur les nombreux témoignages personnels recueillis lors de ses conversations avec des témoins privilégiés et fiables.

    Bref, le livre offre sans nul doute une contribution significative à la connaissance et à la compréhension du pontificat du Pape Benoît, dont l’auteur est un admirateur sincère et un observateur attentif.

    Mais l’auteur ne s’arrête pas là. Inévitablement, il évoque à plusieurs reprises les faits et les personnes qui ont entouré le Pape. Le cadre général fait état des relations complexes, des difficultés, des tensions, des moments particulièrement difficiles, qui ont longtemps défrayé la chronique et suscité des débats. On ne peut certes pas parler de manière approfondie du pontificat du Pape Benoît XVI en faisant abstraction des vicissitudes qui ont atteint un niveau dramatique avec la soustraction de la part du majordome du Pape de documents réservés et leur publication.

    C’est à ce niveau-là que l’ouvrage mérite de sérieuses critiques, lorsque, à plusieurs occasions, il prend pour cible des personnes précises, en les nommant, en leur attribuant explicitement des responsabilités très graves, sans un fondement certain ou – tout au moins dans certains cas – sans aucun fondement (deux exemples particulièrement graves : dans le cas du cardinal Mauro Piacenza, on parle par exemple de ses rencontres avec Paolo Gabriele qui n’ont jamais eu lieu ; en renfort des accusations qui sont adressées à un autre cardinal, on cite pour preuve un document « sino-allemand » qu’à l’époque, en connaissance de cause, j’avais qualifié de « délirant » ; et on pourrait citer d’autres exemples). L’auteur laisse entendre qu’il se base sur les témoignages qu’il a recueillis et ajoute, à la fin de l’ouvrage, une longue liste de remerciements à l’égard de personnalités influentes, dont de nombreux cardinaux. Mais, alors que l’identité des auteurs des témoignages positifs est clairement indiquée, les déclarations négatives et les accusations les plus graves restent anonymes même lorsqu’elles sont placées entre guillemets. En outre, plusieurs personnalités qui sont remerciées à la fin du livre ont pris leur distance par rapport à cet ouvrage dans lequel elles ne se reconnaissent pas.

    Finalement, l’impression qui en ressort est que Benoît XVI était entouré de démons. L’auteur semble avoir identifié quelques adversaires auxquels il pense avoir le droit d’adresser non seulement des critiques compréhensibles pour leurs erreurs ou pour des faits certifiés, mais aussi les accusations les plus atroces de trahison, en allant au-delà de ce qui a été prouvé, de ce qui est plausible et licite.

    Dans ce sens, contrairement à son intention, ce livre ne fait pas la lumière sur les tensions et les ombres de Vatileaks et annexes, mais paradoxalement dans plusieurs de ses pages, il finit par en devenir une illustration et un prolongement.

    Et pourtant, nous espérions en être sortis, grâce à deux Papes et à leur sagesse.

    Par sa décision historique de renoncer au Pontificat, en nous élevant dans une autre dimension, le Pape Benoît a contribué aussi à surmonter définitivement le climat de bavardages, de médisances et de mesquinerie qui, malheureusement, avait accompagné et assombri la dernière partie de son pontificat. Le Pape Benoît, nous le savons, avait affronté avec patience et sagesse, l’aspect douloureux et obscur des événements de la dernière partie de son pontificat. Il avait souhaité pour son majordome un procès pénal et une peine équitable avant de le gracier pour mettre un point final, conclusif et évangéliquement apaisant à ce triste chapitre.
    En chargeant une Commission de trois cardinaux de mener une enquête, il avait aussi voulu porter un regard objectif et impartial sur les événements, par le biais de contacts plus larges et complexes qui n’auraient pu trouver place dans le cadre d’un procès pénal. Cette enquête, elle aussi, s’est achevée avant la fin de son pontificat et, comme on le sait, ses conclusions ont été remises personnellement et exclusivement à son Successeur. Un acte d’une grande et admirable sagesse.

    L’auteur du livre, qui est à coup sûr un grand admirateur du Pape Benoît, ne semble pas en revanche en être un bon disciple.

    Par ailleurs, et cela devrait être absolument clair pour tous, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du monde ecclésiastique, le Pape François a acheminé son pontificat sur des voies nouvelles, en toute liberté par rapport au passé, en projetant l’Église vers la mission et en envisageant les « réformes » en fonction de ce caractère missionnaire, en s’efforçant de la libérer des pesanteurs et des mesquineries qui l’entravent dans des dynamiques autoréférentielles et mondaines.

    Par conséquent, si l’on a su saisir l’esprit de Benoît et celui de François, on peut dire que l’exercice visant à ranimer le trouble, en soutenant des interprétations, des hypothèses ou pire en attribuant des responsabilités et en lançant des accusations qui sont loin d’être fondées, cet exercice va résolument à l’encontre de ce que les deux Papes ont voulu et veulent. Bien entendu, chacun est libre d’assumer la responsabilité de ses propos et d’écrire ce qu’il juge opportun. Mais permettez-moi de dire que quand le Pape François fustige les bavardages, qui peuvent aller jusqu’à la calomnie – il le fait souvent, comme on le sait, et il l’a fait à plusieurs reprises avec une fermeté particulière le dimanche 16 février – il pense aussi à ce type d’ouvrages et de discours.
    Dommage ! Ce que l’auteur dit de Benoît XVI est beau. Pourquoi le gâcher de cette façon ? »

    Source : Radio Vatican.

  • Faire preuve d'une attitude résolument "une" contre l'euthanasie des enfants en Belgique

    Le jeudi 13 février 2014, une loi effrayante sur l'euthanasie des enfants a été adoptée par le Parlement belge : les médecins seront autorisés à tuer des enfants de « moins de 18 ans » qui sont en phase terminale et qui souffrent de douleurs sévères, sans perspective de soulagement.

    Selon cette nouvelle loi, la décision de tuer un enfant devra être approuvée par les parents et les médecins traitants. Il est en outre nécessaire que le jeune patient soit conscient de la situation et qu'il comprenne ce que l'euthanasie signifie. On peut seulement imaginer ce que cela signifie pour un jeune enfant qui voit ses parents dans le désespoir à propos de sa propre souffrance.
    Cette loi est unique et lance un signal à l'Europe. Il y a aussi d’effrayants rapports concernant l’utilisation de l’euthanasie de façon non réglementée ou laxiste, non seulement aux Pays-Bas, mais également, et de plus en plus, en Belgique. Des pédiatres belges ont déclaré que la loi n'était pas nécessaire, car « les équipes de soins palliatifs pour les enfants sont parfaitement capables de soulager la douleur, tant à l'hôpital qu’à la maison ».

    De nombreux membres de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe ont signé une déclaration affirmant que cette loi « trahit quelques uns des enfants les plus vulnérables en Belgique » et « promeut la vision inacceptable qu'une vie ne vaut pas la peine d’être vécue, ce qui remet en question le fondement même de la société civilisée ».

    Suite à l’adoption de la loi par le Parlement belge, c'est maintenant à Philippe, Roi des belges, de la signer. En théorie, il a la possibilité de refuser de signer. C’est, cependant, très rare et pourrait attiser des débats houleux. Mais le Roi Philippe peut maintenant poser un signal fort en faveur de la dignité de la personne humaine. Son oncle, le Roi Baudouin, n’avait, héroïquement, pas consenti à une libéralisation de l'avortement en 1990.

    Il y a quelques jours, une pétition a été adressée au Roi en lui demandant de refuser son consentement. Celle-ci a recueilli plus de 130.000 signatures. Signer la pétition en ligne: citizengo.org/fr/4166-refusez-signer-loi-pour-leuthanasie-des-mineurs

    Source : Europe pour le Christ (Europe4Christ.net)

  • J'irai la voir un jour

    Trio L'Angelus

    Refrain :
    Au ciel, au ciel, au ciel,
    J'irai la voir un jour,
    Au ciel, au ciel, au ciel,
    J'irai la voir un jour.

    1.
    J'irai la voir un jour !
    Au ciel dans ma patrie.
    Oui j'irai voir Marie,
    Ma joie et mon amour.

    2.
    J'irai la voir un jour,
    C'est le cri d'espérance
    Qui calme (guérit) ma souffrance
    Au terrestre séjour.

    3.
    J'irai la voir un jour,
    La Vierge incomparable,
    La Mère toute aimable
    Que chante mon amour.

    4.
    J'irai la voir un jour,
    J'irai m'unir aux anges
    Et dire (chanter) ses louanges
    Au ciel, avec sa cour.

    5.
    J'irai la voir un jour,
    J'irai près de son trône :
    C'est là que Dieu couronne
    Les fils de son amour.

    6.
    J'irai la voir un jour,
    J'irai loin de la terre
    Sur le Cœur de ma Mère
    Reposer sans retour.

    (J'irai la voir un jour,
    Cette Vierge immortelle
    Bientôt j'irai près d'elle
    Lui dire mon amour)

  • Méditation : Bernadette disait...

    « Prière pour les pécheurs

    La Sainte Vierge lui avait dit de prier pour les pécheurs, elle devait le faire. A diverses reprises, elle m'a dit :
    - Prions pour telle famille pour que la Sainte Vierge la convertisse.
    (82 - Souvenir de Sr Vincent Garros)

    - Vous priez pour ceux qui ne prient pas.
    Et elle me répondit :
    - Je n'ai que cela à faire. Je ne suis bonne à rien. Ma prière est ma seule arme. Je ne peux que prier et souffrir.
    (173 - Sr Victoire Cassou)

    Pour les âmes du purgatoire

    Souvent après ses prières, Bernadette ajoutait :
    - Seigneur, délivrez les âmes du purgatoire.
    Nous récitions ensemble de temps en temps le chapelet des morts et nous ajoutions à la fin : "Doux Cœur de Jésus soyez mon amour. Doux Cœur de Marie soyez mon salut. Mon Jésus, Miséricorde ! Donnez aux âmes des fidèles trépassés le repos éternel."
    Elle nous disait aussi souvent de prier pour les âmes du purgatoire.
    - Elles ne peuvent rien pour elles-mêmes, disait-elle, mais nous, nous pouvons beaucoup pour elles.
    Elle me disait souvent de ne pas passer le vendredi sans faire la communion pour les âmes du purgatoire.
    (83 - Sr Vincent Garros)

    Pénitence

    Je l'ai vue souffrir moralement et physiquement. Dans ses souffrances, elle n'avait jamais un mot pour exprimer de la peine. Elle prenait son crucifix, le regardait, et c'était tout.
    (88 - Sr Joseph Ducout)

    - Ce que Dieu veut, disait-elle... comme il le veut et autant qu'il le veut.
    Je m'abandonne à Lui, et je mets ma joie à être la victime du Cœur de Jésus...
    Les souffrances de sa dernière maladie étaient atroces. La poitrine épuisée était tout en feu, les os du genou étaient rongés par une carie dévorante...
    (183 - Henri Lasserre)

    Exhortation

    C'était en 1873 (le 12 mai). Bernadette, en visite à Varennes (orphelinat tenu par les sœurs) s'était rendue jusqu'au bosquet avec une vingtaine d'orphelines.
    Elle revenait de maladie et se soutenait à peine...
    Arrivée au terme du petit pèlerinage, Bernadette s'assit, et là, devant le gracieux oratoire, elle... adressa une exhortation aux enfants dans ce style bref qui fut toujours le sien... :
    - Mes enfants, aimez bien la Sainte Vierge, et priez-la bien. Elle vous protègera...
    Puis, elle invita son jeune auditoire à chanter un cantique. On chanta "J'irai la voir un jour..."
    (103 - Elisa, enfant de Varennes) »

    Bernadette disait..., Couvent Saint-Gildard, Nevers, Imprimatur 1978 - Ed. 2003.

    Sainte_Bernadette_chasse2ba.jpg

    Châsse de Ste Bernadette à Nevers

  • Mardi 18 février 2014

    Ste Bernadette, vierge

    (Ste Marie-Bernard Soubirous)

     Sainte,Marie-Bernard,Soubirous,Bernadette,vierge,Saint,Siméon,évêque,martyr,Jérusalem,Saints,Maxime,Claude,Prépédigne,enfants,Alexandre,Cutias,martyrs,Ostie,Lucius,Silvain,Rutule,Classique,Secondin,Fructule,Maxime,Afrique,Flavien,Constantinople,Hellade,confesseur,Tolède,Espagne,Léon,Parégoire de Patare,Lycie,Sadoth,Schadost,Sadok,compagnons,Beth Lapat,Perse,Saintes,Constance,Attique,Artémie,vierges,Agapet,Sinaos,Phrygie,Colman,Lindisfarne,Taraise,patriarche,Angilbert,abbé,monastère,Centule,le Ponthieu,Théotone,prieur,fondateur,Coïmbre,Portugal,Bienheureux,Fra Angelico,Jean de Fiesole,prêtre,peintre,Cosmas de Yakhrom,ermite,Dormition de la Mère de Dieu,Guillaume Harrington,Londres,Jean Pibush,François-Régis Clet,Ou-tchang-fou,Hubei,Chine,Jean-Pierre Néel,Guizhou,Gertrude,Caterina Comensoli,fondatrice,Bergame,Lombardie,Georges Kaszyra,Rosica,Pologne

    Un des six premiers clichés de Bernadette Soubirous pris par l'abbé P. Bernadou en 1861 ou 1862

  • Messe de dimanche à la paroisse St Thomas au sud de Rome : "qui dit du mal de son frère, le tue dans son cœur"

    Hier dimanche, dans après-midi, le Pape s'est rendu à la paroisse St Thomas au sud de Rome. Il a d'abord rencontré les enfants qui ont reçu cette année le sacrement de la communion et de la confirmation avant de saluer la communauté dans la cour paroissiale, ainsi que des enfants récemment baptisés avec leurs parents, des personnes âgées, des malades, et l'association des familles d'enfants handicapés. Avant la Messe, il a confessé quelques paroissiens.
    Voici quelques extraits marquants de son homélie :
    "Un jour, les disciples de Jésus mangeaient du blé parce qu'ils avaient faim ; mais c'était samedi, et le samedi, on ne pouvait manger du blé", a rappelé le Saint-Père. "Les pharisiens s'empressèrent de dire : Mais regarde ce qu'ils font ! Ce qu'ils font va contre la Loi et salit l'âme, parce que cela ne respecte pas la Loi ! Et Jésus répondit : Ce que nous prenons de l'extérieur ne salit pas l'âme. Ce qui salit l'âme, c'est ce qui vient de l'intérieur, de ton cœur. Et je crois que nous ferions bien de penser aujourd'hui non pas à savoir si mon âme est propre ou sale mais de penser à ce qu'il y a dans mon cœur, ce qu'il y a dedans, que je sais avoir mais que personne ne sait. Nous dire la vérité à nous-mêmes, ce qui n'est pas facile ! Parce que nous cherchons toujours à nous couvrir lorsque nous voyons quelque chose qui ne va pas bien au-dedans de nous...qui ne sort pas. Qu'y-a-t-il dans notre cœur : Y-a-t-il de l'amour ? Réfléchissons : J'aime mes parents, mes enfants, ma femme, mon mari, les gens du quartier, les malades ?... J'aime ? Je déteste ? Je déteste quelque chose ? Parce que souvent nous trouvons de la haine, non ? J'aime tout le monde sauf celui-ci, celui-ci et celle-là. Ce n'est pas de la haine cela ? Qu'y-a-t-il dans mon cœur, du pardon ? Y-a-t-il une attitude de pardon pour ceux qui m'ont offensé ou une attitude de vengeance ?... Nous devons nous demander ce qu'il y a dedans, parce que ce qu'il y a dedans sort et fait du mal, si c'est mauvais ; et si c'est bon, cela sort et fait du bien. Il est si bon de nous dire la vérité à nous-mêmes, et d'avoir honte quand nous nous trouvons dans une situation qui n'est pas celle que Dieu veut".
    Puis le Pape a évoqué l’Évangile du jour dans lequel "Jésus dit : Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens : Tu ne tueras pas ! Mais moi je vous dis, qui se met en colère contre son propre frère, l'a tué dans son cœur. Et qui insulte son frère, le tue dans son cœur, qui déteste son frère, tue son frère dans son cœur ; qui dit du mal de son frère, le tue dans son cœur. Nous ne nous rendons peut-être pas compte de cela, puis nous parlons, nous cancanons sur l'un ou l'autre. Et cela c'est tuer son frère. C'est pourquoi il est important de savoir ce qu'il y a au-dedans de moi, ce qui se passe dans mon cœur. Celui qui comprend son frère, les personnes, aime parce qu'il pardonne : il comprend, pardonne et est patient".
    Nous devons "demander au Seigneur deux grâces. La première est de savoir ce qu'il y a dans notre cœur...pour ne pas vivre dans l'erreur. La seconde est de faire ce bien qui est dans notre cœur et ne pas faire le mal qui s'y trouve. Et à ce sujet, n'oubliez pas que les mots tuent. Même les mauvais désirs contre l'autre tuent... Il semble que le péché de calomnie, le péché de la diffamation aient été sortis du décalogue, et parler mal d'une personne c'est pécher... Demandons au Seigneur de nous aider à vouloir le bien. Et si je ne peux pas aimer une personne, pourquoi ? Priez pour cette personne, pour que le Seigneur m'aide à l'aimer. Et ainsi nous allons de l'avant, en nous rappelant que ce qui salit notre vie c'est ce qui sort de mal de notre cœur".
    Après la Messe, le Pape a salué les familles des prêtres et a rencontré le conseil pastoral.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 17.2.14)

  • Orlandus Lassus : Motet pour 6 voix "Omnium deliciarum", M. xxi (S. xv/132)

    Chapelle Saint Michel

  • Méditation : de la distraction au recueillement...

    « Les passions puériles sont, en matière d'attitude et de conversation, la superficialité, la futilité, la légèreté, le goût exclusif ou excessif de ce qui brille, amuse, distrait : d'un mot le papillonnage... Tout ce qui est sérieux et profond et à plus forte raison, tout ce qui est componction, recueillement, intériorité, paraît dur, triste, morose, ennuyeux. Toute conversation suivie paraît monotone, toute conversation élevée paraît longue. De même qu'un enfant a sans cesse besoin de trouver de nouveaux jeux, de changer de travail, de bouger, de même les grands enfants, les vieux enfants... Cela leur crée peu à peu une atmosphère d'une instabilité extrême, légère, sans consistance, ennemie du recueillement, de la paix, du sérieux, de l'activité persévérante en toute matière, du repos intérieur dans la prière, qui est à l'antipode des dispositions favorables à l'oraison.
    [...]
    Ces passions puériles doivent donc être combattues et vaincues - par une abnégation radicale, en ce sens que nous refusions absolument de les nourrir, de les entretenir délibérément ; que nous acceptions fidèlement les directions qu'on nous donne (l'esprit d'enfance substitué à sa contrefaçon) et les sacrifices qu'on nous suggère à ce propos ; - par un effort soutenu, intelligent et confiant vers la maturité, vers la plénitude d'âge dans le Christ, vers la majorité spirituelle. Donc, favoriser tout ce qui est sérieux, spirituel, désintéressé, pur, exempt de passion, paisible et pacifiant. Nous exercer dans les bons moments à éduquer notre sensibilité et à fixer notre légèreté, par l'enrichissement de notre vie spirituelle : prière, mortification, oubli de soi, pensées et désirs apostoliques, travail persévérant ; avant tout l'oraison virtuelle souvent et fidèlement pratiquée : "Ne dégénérons pas des hautes pensées des enfants de Dieu". »

    P. Léonce de Grandmaison s.j., Écrits spirituels Tome I : Conférences (Les passions puériles), Beauchesne, Paris, 1933 (31e éd.).

    meditation-a.jpg

    (Source photo)

  • Lundi 17 février 2014

    Calendrier liturgique

  • Angélus de ce dimanche 16 février 2014

    « Chers frères et sœurs, bonjour !

    L’Évangile de ce dimanche fait encore partie du "Sermon sur la montagne", la première grande prédication de Jésus. Aujourd'hui, le thème est l'attitude de Jésus par rapport à la Loi hébraïque. Il dit : "Ne pensez pas que je sois venu pour abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir" (Mt 5,17). Alors Jésus ne veut pas annuler les commandements que le Seigneur a donnés par Moïse, mais il veut les amener à leur plénitude. Et il ajoute immédiatement que cette "accomplissement" de la Loi exige une justice supérieure, un respect plus authentique. Il dit à ses disciples : "Si votre justice ne surpasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux" (Mt 5,20).

    Mais qu'est-ce que "l'accomplissement" de la loi ? Et cette justice supérieure, en quoi consiste-t-elle ? Jésus lui-même nous répond avec quelques exemples. Jésus était pratique, il parlait toujours avec des exemples pour se faire comprendre. Il commence par le cinquième commandement du Décalogue : "Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens : "Tu ne tueras point" ; ... Mais moi je vous dis : celui qui est en colère contre son frère en répondra au tribunal" (v. 21-22). Par cela, Jésus nous rappelle que même les mots peuvent tuer ! Quand vous dites d'une personne qu'elle a la langue d'un serpent, qu'est-ce que ça veut dire ? Que ses paroles tuent ! Par conséquent, non seulement on ne doit pas porter atteinte à la vie des autres, mais il ne faut pas verser sur lui le poison de la colère et le frapper avec la calomnie. Et même dire du mal de lui. Et nous arrivons aux bavardages : les bavardages même peuvent tuer, parce qu'ils tuent la réputation des gens ! C'est mauvais de dire du mal des autres ! Au début, cela peut sembler quelque chose d'agréable, même amusant, comme sucer un bonbon. Mais à la fin, tout cela remplit le cœur d'amertume, et même nous empoisonne. Je vous dis la vérité, je suis convaincu que si chacun d'entre nous décidait d'éviter les bavardages, à la fin il deviendrait saint ! C'est un beau chemin ! Voulons-nous devenir des saints ? Oui ou non ? [Place : Oui !] Voulons-nous vivre attachés aux bavardages comme d'habitude ? Oui ou non ? [Place : Non !] Alors nous sommes d'accord : on arrête les bavardages ! Jésus offre à ceux qui le suivent la perfection de l'amour : un amour dont la seule mesure est de ne pas avoir de mesure, d'aller au-delà de tout calcul. L'amour du prochain est une attitude tellement fondamentale que Jésus affirme même que notre relation avec Dieu ne peut pas être sincère si nous ne voulons pas faire la paix avec notre prochain. Il dit : "Si donc tu présentes ton offrande à l'autel, et que là tu te souviens que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l'autel, va d'abord te réconcilier avec ton frère" (vv. 23-24). Par conséquent, nous sommes appelés à nous réconcilier avec nos frères avant de manifester notre dévotion au Seigneur dans la prière.

    De tout cela, il est clair que Jésus ne donne pas seulement de l'importance à l'observance de la discipline et à la  conduite extérieure. Il va à la racine de la Loi, en mettant par-dessus tout l'accent sur ​​l'intention et sur ​​le cœur de l'homme, d'où proviennent nos actions bonnes ou mauvaises. Pour obtenir des comportements bons et honnêtes les règles juridiques ne suffisent pas, mais nous devons avoir des motivations profondes, expression d'une sagesse cachée, la Sagesse de Dieu, qui peut être accueillie grâce au Saint-Esprit. Et nous, par la foi dans le Christ, nous pouvons nous ouvrir à l'action de l'Esprit, qui nous rend capables de vivre l'amour de Dieu.

    À la lumière de cet enseignement, chaque précepte révèle sa pleine signification comme une exigence de l'amour, et tous se rejoignent dans le plus grand commandement : aime Dieu de tout ton cœur et aime ton prochain comme toi-même. »

    Texte intégral en italien sur le site internet du Vatican.

  • Nicolas Gombert (v.1495-v.1560) : Motet pour 6 voix "In te Domine speravi" (1539)

  • Méditation : l'effort fait les hommes...

    « Dieu, qui nous aime... a coutume d'en agir ainsi avec nos âmes. Il dose habituellement et amoureusement les douceurs et les amertumes, pour que celles-ci nous gardent de nous amollir en celles-là, et pour que les premières nous aident à porter le poids des secondes. C'est la loi des contrastes qui régit généralement les développements des créatures, et qui s'achève - et nous achèvera nous-mêmes - dans l'harmonie définitive et parfaite... Et c'est aussi le signe infaillible que Dieu a pitié de nous... Désirer dans nos peines un fiat voluntas tua immédiat et apaisé, c'est la perfection, à laquelle il faut tendre... Mais Dieu nous y conduit par le chemin que nous suivrons tous. Le soulèvement de notre nature, les résistances de notre amour-propre nous font avancer souvent, quand nous avons bonne volonté... beaucoup plus que nos victoires trop rapides ou trop complètes. Celles-ci peuvent provoquer l'orgueil ou produire une vertu superficielle. La longue et dure bataille nous tient à notre place, qui est impuissance et néant, et construit nos âmes sur des assises qui ne croulent jamais.
    [...]
    L'effort fait les hommes, et les difficultés les trempent pour la vie. En dehors de là, il n'y a que des ombres d'hommes ; ils en ont seulement l'air. Et l'on s'en contente. Ne pas avoir peur de faire le point, de voir ce qui est, savoir dépasser ce présent déjà périmé pour se tendre vers le but.
    [...]
    L'effort consiste dans le recueillement des facultés : au lieu de les laisser courir à droite et à gauche, on les concentre sur l'objet à fixer. L'effort est aidé par le détachement qui est le calme de l'âme : il faut secouer toute préoccupation, tout souci de succès, tout souci de réussir ou d'en finir, d'être puni ou récompensé. Il faut se mettre tout entier et tranquillement en face de l'objet, lui consacrer toutes ses forces. De même, quand on se détend, il convient de le faire en plein, sans penser à autre chose.
    Se plonger à fond dans ce que l'on fait en le faisant de toutes ses forces est le secret des vrais développements et des vraies joies. »

    Dom Augustin Guillerand (1877-1945), Chartreux, Écrits spirituels Tome II (L'effort), Benedettine di Priscilla, Roma, 1967.

    marche-montagne.jpg

  • Dimanche 16 février 2014

    Dimanche 16 février : 6ème dimanche du Temps Ordinaire

    (Dimanche de la Septuagésime)
     
    Introït du Dimanche de la Septuagésime
     
     
    Ant. ad Introitum. Ps. 17, 5, 6 et 7.
    Circumdedérut me gémitus mortis, dolóres inférni circumdedérunt me : et in tribulatióne mea invocávi Dóminum, et exaudívit de templo sancto suo vocem meam.
    Les gémissements de la mort m’ont environné, les douleurs de l’enfer m’ont entouré ; dans mon affliction j’ai invoqué le Seigneur, et de son saint temple, il a entendu ma voix.

    Ps. ibd., 2-3.
    Díligam te, Dómine, fortitúdo mea : Dóminus firmaméntum meum, et refúgium meum, et liberátor meus.
    Je vous aimerai, Seigneur, vous qui êtes ma force ; le Seigneur est mon ferme appui, et mon libérateur.

    V/. Glória Patri.