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  • Samuel Barber : Agnus Dei (Adagio for Strings) Op. 11

    Johannes Hiemetsberger & Chorus Sine Nomine

  • Méditation : La joie (1) - plaisir et joie

    « Il y a une grande différence entre la joie et le plaisir.
    Si une âme est trop terre à terre, si elle ne cherche à se satisfaire que dans la sensation du moment, il lui arrivera certes de se procurer des agréments de plus d'une sorte, mais elle ne saura seulement pas ce que c'est que la joie. La joie est d'ordre spirituel. Elle est en proportion de la spiritualité. Sans doute elle peut avoir son retentissement dans la sensibilité, et c'est pourquoi il y a de vraies joies qui deviennent sensibles ; mais toujours elles demeurent spirituelles dans leur principe et dans leur essence.
    La joie est pacifiante, elle se caractérise par une espèce de quiétude et de béatitude. Le plaisir agite, il est troublant, il excite puis déprime, il inquiète au fond plus qu'il n'apaise.
    La joie, à mesure qu'elle augmente, se fait plus discrète : elle ne se dissipe pas ; volontiers même elle se cache, se renferme. Le plaisir, plus il est vif, plus il s'extériorise.
    La joie est durable de sa nature, même si elle est traversée par la douleur et qu'elle se paie par le sacrifice. Le plaisir ne résiste pas à l'épreuve et s'évanouit à la moindre alerte en ne laissant souvent qu'amertume après lui.
    Il y a des êtres vulgaires qui ne savent prendre en tout que du plaisir, sans jamais s'élever à la joie. En revanche, il y en a de si nobles qu'ils sont comme incapables de s'arrêter au plaisir et s'ingénient toujours à le changer en joie. A ce signe vous reconnaîtrez un grand cœur : les plaisirs ne le satisfont pas, ils flottent dans sa capacité, il n'y a que les joies qui s'y fixent et qui s'y puissent installer. »

    (à suivre demain)

    Fr. R. Bernard, O.P., in "Notre-Dame de Toute Joie", Les Cahiers de la Vierge N°4, Éditions du Cerf, Juvisy, Juillet 1934.

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  • Mardi 4 août 2015

    St Dominique, confesseur

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    Au nouveau calendrier : St Jean-Marie Vianney, prêtre
    (fête le 8 août au calendrier traditionnel)

  • Pakistan : 600.000 personnes évacuées à cause des moussons

    Les fortes inondations qui causent actuellement des milliers d’évacués et de nombreux morts continuent à frapper le Pakistan depuis des semaines.

    Pakistan,personnes évacuées,catastrophe,pluie,inondations,moussonsLes pluies de mousson ont coûté la vie à des centaines de personnes à travers l’Asie ces dernières semaines en Inde, au Pakistan et en Birmanie où certaines zones restent toujours inaccessibles. Au Pakistan, le mauvais temps concerne particulièrement les régions montagneuses du nord du pays, où de nombreuses localités sont isolées. Selon les autorités pakistanaises, plus de 120 personnes avaient trouvé la mort au cours des dernières semaines dans le pays. Dans les régions de Jitral et Gilgit-Baltistán, des ponts et des routes ont été détruits. Des inondations ont également été enregistrées le long de l’Indo, qui traverse le Pakistan de l’Himalaya à la Mer d’Arabie. Au moins 200.000 personnes qui vivaient sur les rives du fleuve ont été évacuées. Selon des sources officielles, cinq districts demeurent en alerte dans l’éventualité d’un débordement des cours d’eau. Actuellement, 600.000 personnes sont concernées et 812 villages se trouvent littéralement sous l’eau. Tel est le bilan dressé par l’Autorité de gestion des catastrophes naturelles. Cette dernière a par ailleurs annoncé pour les prochaines 24 heures des orages et des précipitations modérées dans les bassins des grands fleuves qui traversent quatre provinces. Chaque année, les pluies et les moussons causent de graves dommages aux structures et aux habitants du pays. Les plus graves inondations de l’histoire du Pakistan ont eu lieu en 2010, suite à une mousson extraordinaire qui vint s’ajouter à un dégel estival particulièrement abondant, causant 2.000 morts et 20 millions d’autres victimes.

    Une catastrophe probablement sous-estimée

    En Birmanie, rapporte le Vif, la situation pourrait être bien plus critique que ne le montrent les premiers bilans, faisant état jusqu’ici de 46 morts. « Notre maison a été inondée en une journée. Nous avons déjà connu des inondations mais jamais comme cela. Cette année est la pire », raconte à l’AFP Htay Shein, une habitante de Kalay (centre de la Birmanie), qui a trouvé refuge dans un camp provisoire.

    « En quelques heures, toute ma maison était sous l’eau. Mon mari a dû monter sur le toit car il n’y avait aucun moyen de sortir », confie une habitante de Sagaing à l’AFP. Ils ont maintenant trouvé refuge dans un monastère, qui sert d’abri temporaire.

    « 46 personnes sont mortes et plus de 200.000 ont été affectées par les inondations à travers le pays », a déclaré lundi un fonctionnaire du ministère des affaires sociales. Les accès à de nombreuses villes du nord et de l’ouest de la Birmanie ont été bloqués et les travailleurs humanitaires craignent que l’ampleur de la catastrophe soit pour l’instant sous-estimée.

    Source : InfoCatho.be, d’après Fides et Le Vif - Photo : Image d’illustration.

  • Claudin de Sermisy (v.1490-1562) : Motet "Benedic anima mea"

    La Capella Reial de Catalunya - Hespérion XXI - Dir. Jordi Savall

  • Méditation : Sentiments de reconnaisance envers Dieu

    Quid retribuam Domino pro omnibus quae retribuit mihi
    Que rendrai-je au Seigneur pour tous les biens dont il m'a comblé. (Ps. 115)

    « Jusqu'à présent, Seigneur mon Dieu, je vous ai fait bien des visites intéressées, toujours pour demander vos grâces et solliciter vos faveurs ; il est bien juste que je vous fasse aujourd'hui une visite uniquement inspirée et animée par les sentiments de ma reconnaissance pour tous vos bienfaits. Mais que pourrai-je vous dire et que pourrai-je faire pour vous marquer mon juste retour ? Hélas, mon Dieu ! telle est ma misère et mon indigence, qu'il faut que vous me donniez vous-même ce que je dois vous offrir, sans quoi je n'aurais rien à vous présenter.
    Je ne puis vous marquer ma reconnaissance pour vos dons, que par vos dons mêmes. Quoi qu'il en soit, mon Dieu, je viens vous offrir l'hommage de toute la reconnaissance dont je suis capable, en m'écriant avec le Prophète :
    - Benedic anima mea Domino (Ps. 102)
    Mon âme, bénis le Seigneur ton Dieu, et que tout ce qui est en moi célèbre à jamais son saint Nom. Mon âme, bénis le Seigneur, et n'oublie jamais les biens dont il t'a comblée. C'est lui qui n'a cessé de t'être propice, malgré tes iniquités ; c'est lui qui guérit toutes les plaies dont t'avait couvert le péché ; c'est lui qui t'a souvent retiré des dangers et des portes de la mort ; c'est lui qui continue à te couronner des dons de sa miséricorde et de sa grâce. C'est lui enfin qui, sans attendre tes demandes, prévient tes désirs et va au-devant de tes vœux.
    Jamais, mon Dieu, jamais la grandeur de ma reconnaissance ne pourra égaler la grandeur de vos bienfaits ; du moins je vous offrirai celle de tous les sentiments de mon cœur. Une reconnaissance sincère, qui vienne du fond du cœur, et qui en soit l'expression ; une reconnaissance vive, proportionnée, autant que je le pourrai, à la magnificence de vos dons ; une reconnaissance constante, qui durera autant que ma vie, et qui, comme je l'espère, se perpétuera dans l'éternité. Recevez, mon Dieu, ces sentiments, et ajoutez cette grâce à toutes celles dont vous n'avez cessé de me combler depuis que je suis au monde. »

    Abbé Barthélemi Baudrand, L'âme intérieure, ou conduite spirituelle dans les voies de Dieu, L'Ame seule avec Dieu seul (XVIe. Jour), Rouen, Chez Labbey, 1792.

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  • Angélus de ce dimanche 2 août 2015

    L’homme porte en lui une faim de vie, d’éternité que seul Jésus peut assouvir. Le Saint-Père l’a rappelé lors de la prière de l’Angélus en ce premier dimanche du mois d’août. Devant des milliers de fidèles rassemblés place Saint-Pierre, sous une chaleur torride, le Pape François a commenté l’Évangile du jour, chapitre six selon Saint Jean, lorsqu’après la multiplication des pains, la foule se dirigea "vers Capharnaüm à la recherche de Jésus".

    « Rencontrer et accueillir en nous Jésus “Pain de Vie” donne sens et espérance au chemin souvent tortueux de la vie ». Le Saint-Père s’attarde ce dimanche sur l’œuvre du Christ qui offre aux hommes une nourriture éternelle. L’Évangile de ce dix-huitième dimanche du temps ordinaire, souligne-t-il, met en lumière la cécité de la foule qui cherchait le Christ. Jésus leur dit : "vous me cherchez, non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé de ces pains et que vous avez été rassasiés" (GV 6,26).

    En réalité, note le Pape François, « ces personnes le suivent pour le pain matériel qui, la veille, les avaient rassasiés. Elles n’ont pas compris que ce pain (…) était l'expression de l'amour de Jésus lui-même ». Elles ont donné plus de valeur à ce pain qu’à celui qui l’a distribué. Et face à cette « cécité spirituelle », affirme le Saint-Père, « Jésus insiste sur la nécessité d'aller au-delà du don et de découvrir, de connaître le donateur ». Il invite à s’ouvrir à une autre perspective qui va au-delà « des préoccupations quotidiennes : manger, s’habiller, le succès, la carrière ».

    Jésus, insiste le Pape, « parle d’une nourriture qui n’est pas corruptible, et qu’il est bon de chercher et d’accueillir ». Il veut nous faire comprendre que « outre la faim physique, l’homme porte en lui une autre faim plus importante, qui ne peut être satisfaite par la nourriture ordinaire ». Il s’agit de « la faim de vie, la faim d'éternité que Lui seul peut assouvir, car il est “le Pain de Vie” (v.35) ». Jésus, poursuit le Pape, « ne supprime pas l'inquiétude et la recherche de la nourriture quotidienne », il nous rappelle que « le vrai sens de notre existence terrestre réside dans l'éternité, et que l'histoire humaine, avec ses souffrances et ses joies, doit être considérée dans un horizon d’éternité, dans la rencontre définitive avec Lui ». Une rencontre qui « illumine tous les jours de notre vie ».

    Si nous pensons à cette rencontre, déclare le Saint-Père, « à ce grand don, les petits dons de la vie mais aussi les souffrances et les préoccupations seront illuminés par l’espérance de cette rencontre ». Le Pape exhorte alors à « chercher le Salut, la rencontre avec Dieu » à travers l’Eucharistie, « le don le plus grand qui satisfait l'âme et le corps », à « proclamer l'Évangile partout, même dans les périphéries existentielles ». « Avec le témoignage de notre attitude fraternelle et solidaire envers le prochain, nous rendons présent le Christ et son amour parmi les hommes » a-t-il affirmé.

    L'Indulgence de la Portioncule

    Après la prière de l'Angélus, le Pape a rappelé que ce dimanche marque le souvenir du grand pardon d'Assise. Le 2 août de chaque année, depuis l'an 1216, une indulgence plénière est accordée à tous ceux qui se rendent dans la petite chapelle Sainte-Marie-de-la-Portioncule, située dans la ville d'Assise, en Ombrie et dédiée à Notre-Dame-des-Anges (*). De son vivant, Saint François d'Assise avait demandé au Pape Honoré III, à peine élu, d'accorder cette indulgence.

    Cette date particulière pour le Pape François est « un rappel fort à se rapprocher du Seigneur dans le sacrement de la Miséricorde et aussi dans le fait de recevoir la Communion ». Le Pape a invité chacun à ne pas avoir peur d'aller se confesser : « c'est vrai que quand on va au confessionnal, on ressent un peu de honte, a reconnu le Pape, tout en invitant à ne pas oublier « qu'on n'y rencontre pas un jugement sévère, mais le Père, immensément miséricordieux ». « Il faut se souvenir que même cette honte est une grâce qui nous prépare à l'étreinte du Père, qui pardonne toujours et qui pardonne tout » a-t-il souligné.

    (*) : L’indulgence de la Portioncule, selon la dernière édition du recueil des indulgences publié par la Pénitencerie Apostolique (16 juillet1999) peut être obtenue désormais, non plus seulement dans les églises des Ordres Franciscains, mais également dans toutes les cathédrales, toutes les basiliques mineures et toutes les églises paroissiales entre le 1er août à midi et le 2 août à minuit (« Concessiones » n°33, §1 – 2°, 3° et 5° ). voir condition ici.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Pietro Mascagni : Messa di Gloria - Elevazione

    Pietro Mascagni (7 décembre 1863 - 2 août 1945)
    pour le 70e anniversaire de sa mort
    Sergio Rizzelli, violon

  • Méditation : Jésus-Christ au tabernacle

    « La charité veille et agit sur les grandes routes de la vie, parce qu'au bord de ces routes il y a des églises avec des tabernacles. La petite lampe qui brille dans le sanctuaire éclaire à peine l'ombre du temple ; mais, à des distances incalculables, elle échauffe les membres glacés des pauvres, des malades, des mourants. Quand, le matin, vous voyez s'ouvrir la porte d'une église et s'y glisser une frêle créature, vous dites : voici une âme qui va s'enfermer dans le mystique isolement où elle trouvera son Dieu. Regardez-la sortir. Elle porte dans ses yeux la volonté de découvrir et d'aimer son Dieu dans les plus déshérités des humains. Vous savez le colloque entre le ministre incrédule et la sœur de charité, après une visite à un hôpital où semblaient s'être donné rendez-vous tous les rebuts de la société humaine. « Ma sœur, qui vous a permis, pendant cinquante ans, de soutenir la vue de ces misères et vous a gardé la force de les soigner ? - Ceci, Monsieur le ministre », et elle montrait la chapelle, c'est-à-dire l'hostie. Qu'on supprime l'Eucharistie, on aura bientôt tari la source de l'amour fraternel. Le monde en rit peut-être, mais il en vit. Pour ceux-là mêmes qui ne croient pas, le monde n'est habitable que par la vertu rayonnante de l'hostie. »

    R.P. Ponsard, Carême 1928, Retraite Pascale (Jeudi Saint, II), Conférences de Notre-Dame de Paris, Spes, 1928.

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  • Introit "Dum Clamarem ad Dominum"

    Ant. ad Introitum. Ps. 54, 17, 18, 20 et 23.
    Dum clamárem ad Dóminum, exaudívit vocem meam, ab his, qui appropínquant mihi : et humiliávit eos, qui est ante sæcula et manet in ætérnum : iacta cogitátum tuum in Dómino, et ipse te enútriet.
    Lorsque je criais vers le Seigneur, il a exaucé ma voix, me mettant à l’abri de ceux qui m’assiégeaient. Il les a humiliés, lui qui est avant tous les siècles et demeure à jamais. Jetez vos préoccupations aux mains du Seigneur, et lui-même vous nourrira.

    Ps. ibid., 2.
    Exáudi, Deus, oratiónem meam, et ne despéxeris deprecatiónem meam : inténde mihi et exáudi me.
    Exaucez, ô Dieu, ma prière et ne méprisez pas ma supplication, écoutez-moi et exaucez-moi.

    V/. Glória Patri.

     Commentaire spirituel et musical sur le blog de L'Homme Nouveau :

  • Dimanche 2 août 2015

    Dixième Dimanche après la Pentecôte

     Commentaire de l'Evangile du dimanche

    (18ème dimanche du Temps Ordinaire)
     
    2 août : Indulgence de la Portioncule (Notre-Dame des Anges chez les Franciscains)

     Calendrier liturgique et sanctoral

  • Arvo Pärt : Most Holy Mother of God

    The Hilliard Ensemble

  • Méditation : Marie, Reine et Mère de miséricorde

    « Ô Reine et Mère de miséricorde, qui dispensez les grâces à tous ceux qui recourent à vous, avec la libéralité d'une Reine, et l'amour de la plus tendre mère ; je me recommande à vous, dénué que je suis de mérites et de vertus, et insolvable envers la justice divine. Ô Marie, vous tenez la clé des célestes miséricordes ; ne vous souvenez pas de mes péchés, et ne me laissez pas dans cet affreux dénuement. Vous êtes si libérale avec tous, accordant toujours plus qu'on ne vous demande, montrez-vous de même à mon égard. Ma souveraine, protégez-moi ; là se bornent mes vœux. Je ne crains pas les démons, car vous êtes plus puissante que l'enfer ; je ne redoute point mes péchés, car un mot que vous adresserez à Dieu suffira pour obtenir un pardon général ; je ne tremble pas devant l'indignation du Seigneur, que j'ai offensé, car il s'apaise à une seule de vos prières. En un mot, si vous me protégez, j'espère tout, parce que vous pouvez tout. Ô Mère de miséricorde, je sais que vous trouvez du plaisir et de la gloire à soulager les plus misérables, et que, dès qu'ils ne s'obstinent pas dans le mal, vous pouvez les secourir. Je suis pécheur, mais, loin de m'obstiner, je veux changer de vie ; ainsi vous pouvez venir à mon aide ; secourez-moi et sauvez-moi. Je me remets aujourd'hui entièrement dans vos mains. Dites-moi ce que je dois faire pour plaire à Dieu, et je le ferai ; j'espère le faire avec votre secours, ô Marie, ma Mère, ma lumière, ma consolation, mon refuge, mon espérance. Ainsi soit-il, ainsi soit-il, ainsi soit-il. »

    St Alphonse de Liguori (1696-1787), Les gloires de Marie, Tome I (Ch. V, prière), Traduction nouvelle conforme au texte italien, A Paris, Chez Gaume Frères, Libraires, 1832.
    (Fête le 2 août au calendrier traditionnel, avancée au 1er août au nouveau calendrier)

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    Tableau de Marie Médiatrice apporté par le Père Finet à Marthe Robin

  • Samedi 1er août 2015

    Mémoire des Sts Machabées, martyrs

     En certains endroits : St Pierre aux liens

    Saint_Pierre_aux-liens_Raphael_Vatican_2a.jpg

    La délivrance de St Pierre, par Raphaël
    Chambre d'Héliodore, Palais du Vatican
  • Intentions de prière pour le mois d'août

    Les bénévoles
    Pour que les personnes œuvrant dans le cadre du bénévolat s’engagent avec générosité au service des personnes en situation de précarité.

    Aller aux périphéries
    Pour que, sortant de nous-mêmes, nous nous rendions proches des personnes qui se trouvent à la périphérie des relations humaines et sociales.

    Source : Apostolat de la Prière.