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  • Séquence "Stabat Mater"

    Moines bénédictins de l'Abbaye de Saint-Maurice-et-Saint-Maur de Clervaux
    (Grand-Duché de Luxembourg)

    Stabat Mater dolorósa
    Iuxta Crucem lacrimósa,
    Dum pendébat Fílius.

    Cuius ánimam geméntem,
    Contristátam et doléntem
    Pertransívit gládius.

    O quam tristis et afflícta
    Fuit illa benedícta
    Mater Unigéniti !

    Quæ mærébat et dolébat,
    Pia Mater, dum vidébat
    Nati poenas íncliti.

    Quis est homo, qui non fleret,
    Matrem Christi si vidéret
    In tanto supplício ?

    Quis non posset contristári,
    Christi Matrem contemplári
    Doléntem cum Fílio ?

    Pro peccátis suæ gentis
    Vidit Iesum in torméntis
    Et flagéllis súbditum.

    Vidit suum dulcem
    Natum Moriéndo desolátum,
    Dum emísit spíritum.

    Eia, Mater, fons amóris,
    Me sentíre vim dolóris
    Fac, ut tecum lúgeam.

    Fac, ut árdeat cor meum
    In amándo Christum Deum,
    Ut sibi compláceam.

    Sancta Mater, istud agas,
    Crucifixi fige plagas
    Cordi meo válida.

    Tui Nati vulneráti,
    Tam dignáti pro me pati,
    Poenas mecum dívide.

    Fac me tecum pie flere,
    Crucifíxo condolére,
    Donec ego víxero.

    Iuxta Crucem tecum stare
    Et me tibi sociáre
    In planctu desídero.

    Virgo vírginum præclára.
    Mihi iam non sis amára :
    Fac me tecum plángere.

    Fac, ut portem Christi mortem,
    Passiónis fac consórtem
    Et plagas recólere.

    Fac me plagis vulnerári,
    Fac me Cruce inebriári
    Et cruóre Fílii.

    Flammis ne urar succénsus,
    Per te, Virgo, sim defénsus
    In die iudícii.

    Christe, cum sit hinc exíre.
    Da per Matrem me veníre
    Ad palmam victóriæ.

    Quando corpus moriétur,
    Fac, ut ánimæ donétur
    Paradísi glória. Amen.
    Debout, la Mère des douleurs,
    Près de la croix était en larmes,
    Quand son Fils pendait au bois.

    Alors, son âme gémissante,
    Toute triste et toute dolente,
    Un glaive le transperça.

    Qu’elle était triste, anéantie,
    La femme entre toutes bénie,
    La Mère du Fils de Dieu !

    Dans le chagrin qui la poignait,
    Cette tendre Mère pleurait
    Son Fils mourant sous ses yeux.

    Quel homme sans verser de pleurs
    Verrait la Mère du Seigneur
    Endurer si grand supplice ?

    Qui pourrait dans l’indifférence
    Contempler en cette souffrance
    La Mère auprès de son Fils ?

    Pour toutes les fautes humaines,
    Elle vit Jésus dans la peine
    Et sous les fouets meurtri.

    Elle vit l’Enfant bien-aimé
    Mourir tout seul, abandonné,
    Et soudain rendre l’esprit.

    Ô Mère, source de tendresse,
    Fais-moi sentir grande tristesse
    Pour que je pleure avec toi.

    Fais que mon âme soit de feu
    Dans l’amour du Seigneur mon Dieu :
    Que je lui plaise avec toi.

    Mère sainte, daigne imprimer
    Les plaies de Jésus crucifié
    En mon cœur très fortement.

    Pour moi, ton Fils voulut mourir,
    Aussi donne-moi de souffrir
    Une part de ses tourments.

    Donne-moi de pleurer en toute vérité,
    Comme toi près du crucifié,
    Tant que je vivrai !

    Je désire auprès de la croix
    Me tenir, debout avec toi,
    Dans ta plainte et ta souffrance.

    Vierge des vierges, toute pure,
    Ne sois pas envers moi trop dure,
    Fais que je pleure avec toi.

    Du Christ fais-moi porter la mort,
    Revivre le douloureux sort
    Et les plaies, au fond de moi.

    Fais que ses propres plaies me blessent,
    Que la croix me donne l’ivresse
    Du sang versé par ton Fils.

    Je crains les flammes éternelles ;
    O Vierge, assure ma tutelle
    A l’heure de la justice.

    Ô Christ, à l’heure de partir,
    Puisse ta Mère me conduire
    À la palme des vainqueurs.

    À l’heure où mon corps va mourir,
    À mon âme, fais obtenir
    La gloire du paradis. Amen.
  • 1er Vendredi du mois dédié au Sacré Coeur de Jésus

    Acte de demande d'union parfaite avec le Cœur de Jésus

    « Que ferez-vous, Seigneur, pour vaincre la dureté de nos cœurs ?... Je ne vois qu'une seule ressource dans un si grand mal ; il faut, ô mon Dieu ! il faut que vous nous donniez un autre cœur, un cœur tendre, un cœur sensible, un cœur qui ne soit ni de marbre, ni de bronze ; il nous faut donner un cœur tout semblable au vôtre, il nous faut donner votre Cœur même. Venez, aimable Cœur de Jésus, venez vous placer au milieu de ma poitrine, et allumez-y un amour qui réponde, s'il est possible, aux obligations que j'ai d'aimer Dieu. Aimez Jésus en moi, autant que vous m'avez aimé en lui, faites que je ne vive qu'en lui, et que je ne vive que pour lui, afin que, éternellement, je puisse vivre avec lui dans le ciel. Amen. »

    St Claude la Colombière, Acte de demande d'union parfaite avec le Cœur de Jésus, in "Notice sur le Serviteur de Dieu le R. Père Claude de La Colombière de la Compagnie de Jésus" par le P. Pierre-Xavier Pouplard, Lyon, Librairie Ecclésiastique et Classique de Briday, 1875.

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  • Vendredi 7 avril 2017

    Vendredi de la Passion
     

  • Audience générale de ce mercredi 5 avril 2017

    « L’espérance n’est pas un concept ou un sentiment, c’est une personne, le Christ » : le Pape l’a affirmé ce mercredi matin, au cours de l’audience générale hebdomadaire, Place Saint Pierre. Toujours dans le cadre thématique de l’espérance chrétienne, il a centré sa catéchèse sur un passage de la première Épitre de Pierre (1 P 3, 8-17), où l’apôtre invite les chrétiens à rendre raison de l’espérance qui est en eux.

    Pour le Pape, le secret de cette Épitre tient au fait qu’elle « plonge ses racines dans la Pâque », ce mystère que l’Église s’apprête à célébrer dans quelques jours. « Saint Pierre nous invite à adorer le Seigneur ressuscité et vivant dans nos cœurs, car c’est là qu’Il a fait sa demeure, depuis notre baptême ». Voilà pourquoi nous sommes appelés à rendre raison de l’espérance qui est en nous, affirme le Souverain Pontife, car cette espérance « n’est pas un concept, ou un sentiment, mais une personne : le Seigneur Jésus vivant et présent en nous et en nos frères (*) ».

    Ainsi donc, si le Christ habite en nos cœurs, nous ne devons point le cacher, mais au contraire le laisse se rendre visible, et agir en nous. « Ce serait une espérance faible, celle qui n’aurait pas le courage de sortir et de se faire voir », assure le Pape, pour qui cette espérance doit justement nous inciter à prendre Jésus pour modèle de vie. « Nous devons nous comporter comme Lui », en témoignant « douceur, respect et bienveillance envers notre prochain », et en pardonnant à ceux qui nous ont fait du tort. « Une personne qui n’a pas d’espérance ne réussit pas à pardonner, elle ne réussit pas à donner la consolation du pardon et à avoir la consolation de pardonner ». Et le Pape de prendre un exemple concret : « les mafieux pensent que le mal peut se vaincre avec le mal, c’est pour cela qu’ils cherchent la vengeance et font tant d’autres choses que nous tous savons. Mais ils ne savent pas ce que sont l’humilité, la miséricorde et la douceur. Pourquoi ? Parce que les mafieux n’ont pas d’espérance », a-t-il conclu.

    « Quand nous souffrons pour le bien, nous sommes en communion avec le Seigneur qui a accepté de souffrir et d’être mis en croix pour notre salut » a poursuivi le Pape, qui rappelle donc que « chaque fois que nous prenons le parti des petits et des marginaux, que nous répondons au mal en pardonnant et en bénissant, nous resplendissons comme des signes lumineux de l’espérance, et nous devenons des instruments de consolation et de paix selon le cœur de Dieu. »

    Source : Radio Vatican (MA).

    (*) : confusion récurrente du Pape François en l'emploi des mots et expressions "enfant de Dieu", "fils de Dieu", et "frères". Si "le Seigneur ressuscité" est en effet bien "vivant dans nos cœurs, car c’est là qu’Il a fait sa demeure, depuis notre baptême", c'est qu'il ne l'est pas en tout homme qui n'a pas encore reçu ce sacrement de l'initiation chrétienne ; "le Seigneur Jésus vivant" n'est donc pas "présent" indistinctement "en nos frères", ce mot englobant pour ce Pape tous les êtres humains créés par Dieu, qu'ils se déclarent athées, bouddhistes, musulmans, ou adorateurs de mamon... C'est ainsi qu'il déclarait par exemple dans sa première vidéo enregistrée pour l'intention de prière du mois de janvier 2016 : « Dans cette multitude, dans cet éventail de religions, nous avons une seule certitude pour tous : nous sommes tous enfants de Dieu. » Cette confusion, mainte fois présente dans ses interventions, surtout lorsqu'il s'agit des pratiquants de l'islam, n'a chez lui rien d'involontaire. [ndr]

    Texte intégral de la catéchèse traduite en français sur Zenit.org.

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, l’Apôtre Pierre nous invite avec force à adorer le Seigneur ressuscité et vivant dans nos cœurs. C’est là qu’il a fait sa demeure depuis notre baptême en nous comblant de son amour et de la plénitude de l’Esprit Saint. Voilà pourquoi nous sommes appelés à rendre raison de l’espérance qui est en nous. Car, notre espérance, c’est le Seigneur vivant et présent en nous et dans nos frères. Ainsi, si le Christ habite dans nos cœurs, nous devons apprendre à nous comporter comme lui, en témoignant d’humilité, de miséricorde, de respect et de bienveillance envers le prochain. Quand nous souffrons pour le bien, nous sommes en communion avec le Seigneur qui a souffert pour notre salut. Aussi, chaque fois que nous prenons le parti des petits et des marginaux, que nous répondons au mal en pardonnant et en bénissant, nous resplendissons comme des signes lumineux de l’espérance et nous devenons des instruments de consolation et de paix selon le cœur de Dieu. »

    « Je suis heureux de saluer les pèlerins de langue française, en particulier les jeunes des collèges et des lycées ainsi que les fidèles des paroisses venus de France et de Belgique. Que le Seigneur ressuscité et vivant dans nos cœurs nous aide à être des signes lumineux de l’amour dont Dieu nous a comblés et de l’espérance qui est en nous, auprès de tous, en particulier des petits et des pauvres. Que Dieu vous bénisse ! »

    Source : site internet du Vatican.

  • Antonio Vivaldi (1678-1741) : Concerto pour 2 violoncelles RV 531

    Amsterdam Baroque Orchestra - Dir. Ton Koopman
    Jonathan Manson & Yo-Yo Ma, violoncelles

  • Méditation - « Celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas, n'est pas digne de moi. » (Mt 10, 38)

    « Celui qui n'embrasse pas les sacrifices que je lui demande et qui ne m'imite pas, n'est pas digne de moi. N. Seigneur ne dit pas « la croix », mais « sa croix ». Il n'ordonne pas de prendre une croix quelconque, mais il veut que chacun prenne sa croix personnelle, la croix que Dieu lui a préparée. Il ne veut pas que chacun fasse tels sacrifices qu'il jugera bons, mais ceux-là que Dieu lui demande, ceux qu'il lui impose par les événements, par ses supérieurs légitimes, ceux qu'il lui inspire et que ses représentants dont Il a dit : « Qui vous écoute, m'écoute », approuvent, ceux enfin au sujet desquels Lui-même manifeste par quelque manière, par quelque moyen que ce soit, sa divine volonté... Quiconque ne fait pas tous les sacrifices que Dieu lui demande et n'imite pas de son mieux et à tout instant Jésus, n'est pas digne de Lui. Interrogeons notre conscience. Demandons pardon. Prenons des résolutions pour l'avenir. »

    Bx Charles de Foucauld, Commentaire de Saint Matthieu (C. 10), in "Œuvres spirituelles" V. Lecture du S. Évangile Saint Matthieu, nouvelle cité, Paris, 1989.

    jesus-porte-sa-croix_luis-de-morales_1a.jpg

    Luis de Morales (1509-1586), Le Christ porte sa Croix
    Musée National des Beaux-Arts, La Havane

  • Mercredi 5 avril 2017

    Mercredi de la Passion
     
    St Vincent Ferrier, religieux (dominicain)

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  • Mardi 4 avril 2017

    Mardi de la Passion
     
    Mémoire de
    St Isidore de Séville, évêque et docteur de l’Église
    Saint Patron des informaticiens et d'Internet

    Saint_Isidore_6b.jpg

    Catéchèse de Benoît XVI sur St Isidore de Séville
    "la gloire de l'Église catholique"

    (Audience générale, Mercredi 18 juin 2008)

  • Visite du Pape François au diocèse de Carpi

    Ce diocèse d'Italie centrale avait été touché par un important séisme en 2012. La cathédrale a été rouverte solennellement dimanche dernier, le 25 mars, par Mgr Francesco Cavina, évêque de ce diocèse. Le Pape y célébrera une Messe et bénira trois sites : la nouvelle église de la paroisse de Sainte-Agathe de Carpi, la maison d’exercices spirituels de Saint-Antoine à Mercadello (sur la commune de Novi di Modena) et la Citadelle de la charité de Carpi.

    Programme détaillé :

    08h30 : Départ en hélicoptère du Vatican.

    09h45 : Arrivée à Carpi, sur la piste d’athlétisme du terrain de rugby « Dorando Pietri ».

    10h30 : Messe célébrée sur la place des Martyrs, suivie de la bénédiction des trois sites.
           Retransmission en direct sur KTO à 10h30 (*)
           Angelus
           Retransmission en différé sur KTO à 20h10

    13h00 : Déjeuner au séminaire épiscopal.

    15h00 : Rencontre avec les prêtres, les séminaristes, les religieux et religieuses du diocèse, dans la chapelle du séminaire.

    15h45 : Départ en voiture à Mirandola (à 26 km de Carpi).

    16h30 : Visite du Dôme de Mirandola, toujours inutilisable après le tremblement de terre.

    17h00 : Visite à la paroisse San Giacomo Roncole à Mirandola, et hommage aux victimes du tremblement de terre au pied du monument qui leur est dédié.

    17h30 : Départ en hélicoptère du terrain de sport adjacent. Retour au Vatican.

    (*) : Traduction intégrale de l'homélie du Pape à Carpi sur Zenit.org.

  • Giovanni Pierluigi da Palestrina (1525-1594) : Missa Brevis - Agnus Dei

    The Tallis Scholars - Dir. Peter Phillips

  • Méditation : Devenir saints : docilité à la grâce

    « Ce n'est pas seulement nous qui vivons, mais le Christ qui vit en nous, et le Saint-Esprit guide et oriente nos vies. La vertu chrétienne a sa source dans cette unité intérieure par laquelle notre moi est uni au Christ dans l'Esprit, nos pensées et nos désirs étant ceux du Christ.

    Ainsi toute notre vie chrétienne est-elle une vie d'union au Saint-Esprit et de fidélité à la volonté divine au plus profond de notre être. C'est donc une vie de vérité, de totale sincérité spirituelle, qui implique, par conséquent, une humilité héroïque. Car nous devons être vrais, comme nous devons être charitables, avant tout, envers nous-mêmes.

    Nous devons non seulement nous voir tels que nous sommes, dans notre vide et notre insignifiance, accepter et aimer notre néant, mais accepter aussi la réalité de notre vie telle qu'elle est, parce que c'est la réalité que le Christ veut assumer pour la sanctifier et la transformer à Son image et à Sa ressemblance.

    Si nous pouvons comprendre la présence du mal en nous, nous serons assez calmes et objectifs pour le traiter avec patience, en faisant confiance à la grâce du Christ. C'est ce qu'on entend par suivre les inspirations du Saint-Esprit, résister à la chair, persévérer dans le bien, refuser les exigences de notre moi extérieur faux, abandonnant ainsi le plus profond de notre cœur à l'action transformante du Christ. »

    Thomas Merton (1915-1968), Vie et Sainteté (chap. III), Traduit par Marie Tadié, Aux Éditions du Seuil, Paris, 1966.

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  • Dimanche 2 avril 2017

    1er Dimanche de la Passion
    (5ème Dimanche de Carême)
     
    Commentaire de l’Évangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)
     
    Introït du Dimanche de la Passion
    (5e Dimanche de Carême)
     
    Dominica 1a Passionis

    Ant. ad Introitum. Introitus. Ps. 42, 1-2.
    Iúdica me, Deus, et discérne causam meam de gente non sancta : ab homine iníquo et dolóso éripe me : quia tu es Deus meus et fortitúdo mea.
    Ô Jugez-moi, ô Dieu, et séparez ma cause de celle d’une nation qui n’est pas sainte : délivrez-moi de l’homme méchant et trompeur. Car vous êtes ma force, ô Dieu.

    Ps. ibid., 3.
    Emítte lucem tuam et veritátem tuam : ipsa me de duxérunt et adduxérunt in montem sanctum tuum et in tabernácula tua.
    Envoyez votre lumière et votre vérité ; elles me conduiront et m’amèneront à votre montagne sainte et à vos tabernacles.

    Ecouter (mp3).

    Commentaire spirituel et musical par un moine sur le Blog de L'Homme Nouveau.

  • Luigi Boccherini (1743-1805) : Concerto pour violoncelle n°7, G480 - 2. Adagio

    Orchestre de Chambre de Lausanne - Dir. Armin Jordan
    Frédéric Lodéon, violoncelle

  • Samedi 1er avril 2017

    Samedi de la 4ème semaine de Carême

     

    Intention de prière pour le mois d'avril 2017
     
    Les jeunes
    Pour les jeunes afin qu’ils sachent répondre généreusement à leur vocation en envisageant, aussi, la possibilité de se consacrer au Seigneur dans le sacerdoce ou la vie consacrée.