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  • Angelus de ce dimanche 30 juin 2019

    Devenir disciple du Christ est un choix « libre et conscient » qui requiert promptitude et esprit de décision, et demande aussi de se mettre en chemin : c’est le message du Pape François lors de l’Angélus, ce dimanche 30 juin 2019.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Cyprien de Rore (1515-1565) : Missa praeter rerum seriem - Sanctus & Benedictus

    Lumina Vocal Ensemble - Dir. Emma Horwood

  • Méditation - Confiance !

    « Petit frère, tu marches actuellement sur une route tracée par Dieu ; ne te décourage donc jamais, garde confiance, et tu verras que tout s'arrangera. Dieu n'a pas besoin de chercher de belles intelligences, des esprits brillants, puisqu'il est l'origine de tout. Tout ce qu'il cherche, c'est un cœur sincère, une volonté fermement décidée à mettre en lui son entière confiance. Continue de croire que Dieu mènera ton projet à bonne fin. Rappelle-toi toujours qu'Il donne ses grâces selon la mesure de notre foi. Si notre foi est faible, nous obtenons peu, si elle est grande, nous obtenons beaucoup, et si nous mettons en lui toute notre confiance, Dieu nous donnera toute sa puissance qui agira en nous, car étant infiniment juste, si nous lui offrons tout, nécessairement, sa justice l'oblige à tout nous donner.

    Si tu ne me crois pas, interroge ma sur la petite Thérèse, et tu verras. L'Évangile rend également témoignage de ce fait. Chaque fois que Jésus opère un miracle en faveur de quelqu'un, il ne lui pose que cette question : est-ce que tu crois ? Et le miracle n'a lieu que s'il a la foi.

    Fais des efforts pour mettre toute ta confiance en Dieu. Si tu crois fermement, tu n'as plus aucune raison de t'inquiéter de ton avenir, puisque Dieu s'en occupe déjà.

    Sois joyeux ! »

    Marcel Van (1928-1959), Lettre à J. Tôn, 1er mars 1953, in Œuvres complètes - 3 : Correspondance, Éditions Saint-Paul/Amis de Van, 2001.

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  • Dimanche 30 juin 2019

    3ème Dimanche après la Pentecôte
     
     
    (13ème dimanche du Temps Ordinaire)

  • Angelus de la Solennité des Sts Pierre et Paul

    Lors de l’Angélus de la Saint-Pierre-et-Paul, le Pape François a rappelé que l’Église était l’épouse du Christ, pas une organisation religieuse. Il a exhorté les fidèles à reconnaitre les dons des autres sans malice et sans envie.

    Compte rendu de Xavier Sartre à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Dietrich Buxtehude (1637-1707) : Cantate "O Gottes Stadt" BuxWV 87

    (Ô Cité de Dieu)
    The Netherlands Bach Society - Dir. Jos van Veldhoven
    Johannette Zomer, soprano

  • FÊTE DU SACRÉ-CŒUR

    « Etant une fois devant le Saint Sacrement, un jour de son octave, je reçus de mon Dieu des grâces excessives de son amour, et me sentis touchée du désir de quelque retour et de lui rendre amour pour amour. Et il me dit : "Tu ne peux m'en rendre un plus grand qu'en faisant ce que je t'ai déjà tant de fois demandé." Alors me découvrant son divin Cœur : "Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu'il n'a rien épargné jusqu'à s'épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et mépris qu'ils ont pour moi dans ce sacrement d'amour. Mais ce qui m'est encore plus sensible est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. C'est pourquoi je te demande que le premier vendredi d'après l'octave du Saint Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon divin Cœur en communiant ce jour-là et en lui faisant réparation d'honneur par une amende honorable pour réparer les indignités qu'il a reçues pendant le temps qu'il a été exposé sur les autels. Je te promets aussi que mon Cœur se dilatera pour répandre avec abondance les influences de son divin amour sur ceux qui lui rendront cet honneur et qui procureront qu'il lui soit rendu". »

    Ste Marguerite-Marie, Récit de la quatrième révélation (la "grande apparition"), entre le 13 et le 20 juin 1675, in "Vie écrite par elle-même", Vie et Œuvres, Tome II, Paris, Poussielgue, 1867.

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    Prières, Actes de consécration et de réparation, litanies et neuvaines au Sacré-Cœur de Jésus...
    documents à télécharger (prêts à imprimer) sur notre site internet ici.

  • Audience générale de ce mercredi 26 juin 2019

    Au cours de son audience générale place Saint-Pierre, le Pape François a poursuivi sa catéchèse sur le livre des Actes des Apôtres, rappelant que L'Église est cette communauté capable de partager non seulement la Parole de Dieu mais aussi le pain. Le choix de la voie de la communion et de l’attention aux pauvres fait que l’Église peut vivre une authentique vie liturgique.

    Compte rendu d'Olivier Bonnel à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de la catéchèse du Pape traduite en français sur Zenit.org.

    Résumé en français :

    « Frères et sœurs, avec la puissante effusion de l’Esprit Saint sur la première communauté chrétienne, environ trois mille personnes sont entrées dans cette fraternité, habitat des croyants et ferment ecclésial de l’œuvre d’évangélisation. Ainsi, leur vie quotidienne, par la chaleur de la foi et le don de l’Esprit, est devenue l’espace de la manifestation du Christ vivant, à travers des signes et des prodiges avec l’aide des Apôtres. L’évangéliste Luc nous le raconte, en nous présentant l’Église de Jérusalem comme le paradigme de toute communauté chrétienne, l’icône d’une fraternité qui séduit et attire, et cela sans qu’elle ne soit idéalisée ni minimisée. A l’inverse de la société humaine, la communauté des croyants bannit l’individualisme pour favoriser le partage et la solidarité. Car la grâce baptismale révèle le lien intime entre les frères en Christ, appelés à partager, à donner selon les besoins de chacun. L’Église est donc cette communauté capable de partager avec les autres non seulement la Parole de Dieu mais aussi le pain. Et le choix de la voie de la communion et de l’attention aux pauvres fait que l’Église, cette fraternité, peut vivre une authentique vie liturgique. C’est ce que nous montre saint Luc dans le récit des Actes : une liturgie vécue, où le croyant apprend à se connaître en vérité, d’une manière pascale, comme fils de Dieu qui porte la vie au monde. »

    « Je suis heureux de saluer les pèlerins venus de France et d’autres pays francophones, en particulier les jeunes de Neuilly, ainsi qu’un groupe de femmes catholiques du Burkina Faso. Demandons à l’Esprit Saint de nous aider à faire de nos communautés des lieux où la vie nouvelle en Christ est accueillie et pratiquée par le partage et la solidarité. Qu’il nous aide aussi à vivre dans nos communautés des liturgies qui soient une vraie rencontre avec Dieu et une source de communion entre frères et sœurs. Que Dieu vous bénisse ! »

    Source : site internet du Vatican.

    NB : Comme chaque année, les audiences générales du mercredi matin seront suspendues durant tout le mois de juillet, et reprendront le mercredi 7 août.

  • Oskar Lindberg (1887-1955) : "Starlight" pour choeur (1/4)

    St. Johannes Chamber Choir - Dir. Karin Oldgren

  • Méditation - Éveiller pour le Ciel

    « Éveiller des enfants pour le Ciel, c'est la maternité authentique - une maternité spirituelle qui est indépendante de la maternité physique - la maternité la plus belle, la plus sublime et la plus riche de joies, même si c'est au prix de soucis, de sacrifices et de peines non moindres que la maternité physique. Faire jaillir l'étincelle divine dans un cœur d'enfant, voir croître et s'épanouir en lui la vie divine ou encore contribuer à allumer une nouvelle fois la vie de la grâce dans l'âme éteinte, dégénérée ou enténébrée d'un adulte auquel Dieu est devenu étranger, et pouvoir assister ensuite au merveilleux processus de transformation qui s'opère dans cette âme et y coopérer en tant qu'instrument, c'est témoigner et éduquer pour le Ciel, et cela procure une joie qui n'est pas de ce monde. Une telle maternité spirituelle peut combler la vie d'un être humain. »

    Edith Stein (Ste Thérèse-Bénédicte de la Croix, 1891-1942), La Femme, Ed. du Carmel, Paris, 2008.

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  • Hymne "Ut queant laxis resonare fibris"

    Office de la Nativité de Saint Jean Baptiste
    Schola Sanctae Sunnivae & Hartkeriana

    Ce sont les premières lettres de cette hymne qui ont donné leur nom aux notes de musique, sous l'impulsion du moine Guido d'Arezzo, théoricien de la musique, au XIe siècle.
    Explications ici.

    Ut queant laxis
    resonare fibris
    Mira gestorum
    famuli tuorum,
    Solve polluti
    labii reatum,
    Sancte Iohannes.

    "Pour que tes fidèles, ô saint Jean, puissent chanter à pleine voix les merveilles de ton histoire, efface le péché qui souille leurs lèvres..."

  • Lundi 24 juin 2019

    Nativité de Saint Jean Baptiste

    nativite-Jean-Baptiste_2b.jpg

    Giusto de Menabuoi (1330-v.1391), Le nom de Jean Baptiste
    Fresque de la cathédrale de Padoue (Italie)

  • Angelus de ce dimanche 23 juin 2019

    Avant de prononcer la prière de l’Angélus place Saint-Pierre, le Pape François est revenu sur le sens de l’Eucharistie en la solennité du Corpus Domini célébrée par l’Église universelle ce dimanche 23 juin 2019.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Séquence "Lauda Sion Salvatorem"

    Abbaye Saint Maurice et Saint Maur de Clervaux

  • Méditation - Très Saint Sacrement, Très Sainte Présence (suite de la méditation du 20 juin)

    « Adorer le Dieu de Jésus Christ, qui s'est fait pain rompu par amour, est le remède le plus valable et radical contre les idolâtries d'hier et d'aujourd'hui. S'agenouiller devant l'Eucharistie est une profession de liberté : celui qui s'incline devant Jésus ne peut et ne doit se prosterner devant aucun pouvoir terrestre, aussi fort soit-il. Nous les chrétiens nous ne nous agenouillons que devant Dieu, devant le Très Saint Sacrement, parce qu'en lui nous savons et nous croyons qu'est présent le seul Dieu véritable, qui a créé le monde et l'a tant aimé au point de lui donner son Fils unique (cf. Jn 3, 16). Nous nous prosternons devant un Dieu qui s'est d'abord penché vers l'homme, comme un Bon Samaritain, pour le secourir et lui redonner vie, et il s'est agenouillé devant nous pour laver nos pieds sales. Adorer le Corps du Christ veut dire croire que là, dans ce morceau de pain, se trouve réellement le Christ, qui donne son vrai sens à la vie, à l'univers immense comme à la plus petite créature, à toute l'histoire humaine comme à l'existence la plus courte. L'adoration est une prière qui prolonge la célébration et la communion eucharistique et dans laquelle l'âme continue à se nourrir : elle se nourrit d'amour, de vérité, de paix ; elle se nourrit d'espérance, parce que Celui devant lequel nous nous prosternons ne nous juge pas, ne nous écrase pas, mais nous libère et nous transforme. »

    Benoît XVI, extrait de l'Homélie de la Fête Dieu, Parvis de la Basilique Saint-Jean-de-Latran, Jeudi 22 mai 2008.

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  • William Byrd (1539-1623) : Motet "Cibavit eos"

    (voir texte de l'Introït plus bas)
    Cappella Musicale Pietro Allori - Dir. Mariano Garau
     
  • Méditation - Très Saint Sacrement, Très Sainte Présence

    « Avant tout, une réflexion sur la valeur du culte eucharistique, en particulier de l’adoration du Très Saint Sacrement. C’est l’expérience que nous vivrons aussi ce soir, après la messe, avant la procession, pendant son déroulement et à son terme. Une interprétation unilatérale du concile Vatican II avait pénalisé cette dimension en réduisant en pratique l’Eucharistie au moment de la célébration. En effet, il a été très important de reconnaître le caractère central de la célébration, à travers laquelle le Seigneur convoque son peuple, le rassemble autour de la double table de la Parole et du Pain de vie, le nourrit et l’unit à lui dans l’offrande du Sacrifice. Cette mise en valeur de l’assemblée liturgique dans laquelle le Seigneur agit et réalise son mystère de communion, demeure naturellement valable, mais elle doit être replacée dans un juste équilibre. En effet — comme c’est souvent le cas — pour souligner un aspect, on finit par en sacrifier un autre. Ici, l’accent mis sur la célébration de l’Eucharistie s’est fait aux dépends de l’adoration, en tant qu’acte de foi et de prière adressée au Seigneur Jésus, réellement présent dans le Sacrement de l’autel. Ce déséquilibre a aussi eu des répercussions sur la vie spirituelle des fidèles. En effet, si l’on concentre tout le rapport avec Jésus Eucharistie dans le seul moment de la Sainte Messe, on risque de vider de sa présence le reste du temps et de l’espace existentiels. Et ainsi, l’on perçoit moins le sens de la présence constante de Jésus au milieu de nous et avec nous, une présence concrète, proche, au milieu de nos maisons, comme « Cœur battant » de la ville, du pays, du territoire avec ses différentes expressions et activités. Le Sacrement de la Charité du Christ doit pénétrer toute la vie quotidienne. »

    Benoît XVI, extrait de l'Homélie de la Fête Dieu, Basilique Saint-Jean-de-Latran, Jeudi 7 juin 2012.

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