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Vie en France - Page 3

  • La marche de l’euthanasie ou le triomphe de l’hédonisme

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    Une tribune de Victoire, de La Marche pour la Vie.

    La légalisation de l’euthanasie était, en 2012, un engagement de campagne du candidat Hollande. Son arrivée avait été préparée grâce aux portes ouvertes par le député Léonetti en 2005, avec sa première loi sur la fin de vie. Elle devait clore la boucle entamée par la loi Veil : à l’entrée de la vie, possibilité d’avorter, à la fin de la vie, possibilité d’euthanasier. C’était logique et nécessaire. On nous dit que l’euthanasie reste interdite aujourd’hui en France. Mais les étapes de sa légalisation ont été franchies et ont déjà fait leurs premières victimes.

    La marche de l’euthanasie n’est pas nouvelle et la tentation de supprimer ses malades, ses vieux, ses « encombrants », traverse l’histoire avec plus ou moins de succès selon les heures.
    Le monde gréco-romain vénérait les Anciens mais la vie des nouveau-nés handicapés ne méritait pas le respect. Les stoïciens poursuivaient un idéal d’autoconservation et de fidélité à son destin mais recommandaient le « suicide philosophique » plutôt que la chute dans une situation d’assujettissement, à autrui ou au vice, à la maladie ou à la vieillesse. Les Esquimaux de Nunage au Canada ont institutionnalisé l’euthanasie des vieillards sous la forme du suicide assisté, jusqu’en 1950, et elle l’est toujours chez les Yuits des îles Saint Laurent et les Chukchee de Sibérie, où la survie des individus dans la force de l’âge mérite le sacrifice des anciens. Le nazisme a quant à lui organisé l’euthanasie sociale dans le fantasme de purifier la race des malades et des impotents.

    L’autorisation de l’euthanasie en France peut donc paraître un banal sursaut de l’histoire qui veut que les surhommes renversent les sous-hommes et créent l’espace de l’extension de leur volonté de puissance. Elle possède pourtant un chemin qui lui est propre, et qu’il faut comprendre pour éviter de s’y perdre.

    Le christianisme avait tâché, pendant des siècles, d’enseigner à nos ancêtres que le pauvre, l’infirme et le vieillard sont images et visages du Christ sur la terre. Il avait inscrit dans le cœur des Français le respect de la fin de vie, temps de préparation du retour à Dieu, instant du passage à témoins où la personne âgée confie sa sagesse et sa mémoire à ceux qui demeurent, destin commun d’une nature humaine qui n’est pas toute-puissante.
    Dans la mort de l’autre, chaque enfant découvre une vérité sur l’homme qu’il est : il n’est pas éternel, la vie humaine n’est pas infinie, il faut l’accomplir sans tarder.

    Cet enseignement tragiquement nécessaire est la leçon que le monde contemporain refuse d’apprendre. L’euthanasie ne sera pas introduite en France comme une loi de progrès médico-social. Elle tente de s’imposer comme une réponse nécessaire aux « situations de détresse », comme la reconnaissance, par une loi humaniste, des souffrances vécues par la population. Le bien-fondé de l’euthanasie ne sera pas argumenté, il sera illustré.

    En novembre 2002, Vincent Humbert, jeune homme de 21 ans, tétraplégique, aveugle et muet, lança son appel au Président Chirac : « Je vous demande le droit de mourir ». Refusée par les juges, la mort lui sera administrée par sa mère et son médecin.
    Vincent Lambert, victime en 2008 d’un accident de voiture, est présenté comme un malade en fin de vie alors qu’il n’est qu’une personne handicapée, en état pauci-relationnel, qui nécessiterait son transfert dans un établissement spécialisé. Cette demande, formulée par trois fois par ses avocats, lui est à ce jour toujours refusée.
    Le 6 janvier dernier, le Conseil d’Etat s’est autorisé à trancher sur la vie ou la mort d’Inès, 14 ans, contre l’avis de ses parents, en validant l’arrêt des soins demandés par l’hôpital.

    Ces affaires utilisées comme emblèmes sont rendues possibles par la brèche euthanasique ouverte par la loi Leonetti de 2005, et développée avec la loi Claeys-Leonetti de 2016.
    La loi Léonetti prônait d’éviter l’obstination déraisonnable et mettait en place le système de procédure collégiale qui, initiée par le médecin, doit désormais décider de la poursuite ou de l’arrêt des traitements si le malade est inconscient.
    Cette loi néglige la distinction entre le refus d’un traitement disproportionné et l’euthanasie par omission. Elle ne donne pas non plus de définition du mot « traitement ». Ces omissions maintiennent une confusion entre ce qui relève du soin, et qui est dû à tous comme secours vital, et ce qui relève du traitement, et qui peut être arrêté si le traitement est disproportionné par rapport au résultat espéré.
    Onze ans plus tard, Jean Leonetti, à droite, et Alain Claeys, à gauche, firent adopter une proposition de loi rendant contraignantes les directives anticipées  et validant le droit à la sédation profonde et continue jusqu’au décès, associée à l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation artificielles. L’alimentation et l’hydratation artificielles sont désormais considérées comme des traitements et donc susceptibles d’être stoppées, dans le cadre du refus de l’obstination déraisonnable.

    Présentées comme des moyens de préserver la dignité du mourant, ces lois permettent, dans les faits, aujourd’hui en France, d’euthanasier les malades, les handicapés et les vieillards, en les laissant mourir de faim et de soif. Telle est la menace qui pèse aujourd’hui sur Vincent Lambert, lequel n’est ni mourant, ni malade, ni en situation de fin de vie : il souffre d’une maladie spécifique pour laquelle le corps médical ne lui donne pas de solution adaptée, et d’une sollicitude inversée d’un monde qui pense soigner la souffrance en supprimant le patient.

    La marche de l’euthanasie en France ne ressemble à aucun autre des modes d’euthanasie qui ont traversé l’histoire. Elle est plus romantique et plus tragique. La France ne veut pas supprimer ses malades comme les Grecs, les Esquimaux ou les nazis. La France ne veut pas être le bourreau de ses membres souffrants. Elle leur donne la mort par compassion. Par charité.
    Si l’euthanasie semble s’imposer progressivement dans notre société, c’est parce que notre peuple est infesté par l’hédonisme qui renverse la hiérarchie de la place de l’autre par rapport à soi. L’important n’est plus le don mais le plaisir. Est bon ce qui procure du bien-être. Doit être éradiqué ce qui est dur à voir et provoque du déplaisir. Je n’entre en interaction avec l’autre que si je sais que de cette liaison sortira plus de bonheur pour moi.
    Ce qui compte ce n’est donc plus de se mettre au service du malade, de recevoir la sagesse de l’Ancien, d’accompagner le mourant. Ce qui compte c’est dans un premier temps de refuser toute souffrance pour le malade. Dans un dernier temps de refuser toute souffrance pour soi-même.

    Revendiquer le droit à mourir dans la dignité, c’est demander à l’État d’avoir la correction de ne pas nous laisser voir combien notre nature humaine est faible. Parce que la technique a démultiplié notre capacité à contrôler la souffrance, nous avons cru qu’il nous serait possible de ne plus jamais avoir mal. Et nous ne voulons pas que l’expérience de la vie nous prouve que nous avons tort.

    L’euthanasie est la pire réponse qu’un peuple puisse apporter à ses membres souffrants. En leur donnant la mort il leur dit : « ta vie ne vaut pas la peine d’être vécue, et tu ne vaux pas la peine que je prenne le temps et le soin de te la rendre meilleure. » L’euthanasie est une vaste tromperie, le triomphe de l’hédonisme. Pour lui barrer la route et redonner à chaque Français le sens de l’accueil d’autrui, quel que soit son visage, quel que soit son état, la marche adverse des défenseurs de la vie s’impose.

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    Source : InfoCatho.

  • Mgr Rey soutient la Marche pour la Vie du 21 janvier

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  • Marche pour la Vie 2018 : le 21 janvier à Paris

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    RDV le 21 janvier 2018 à 14h30, Porte Dauphine, Paris XVIe.

    La Marche pour la Vie vous invite à venir défendre la vie des plus petits le 21 janvier 2018. Cette année, nous marcherons sur le thème « De l’ombre à la lumière » pour inviter les pouvoirs publics à lever l’obscurité qui pèse sur les parents en détresse face à une grossesse inattendue, non désirée.

    A la veille de la révision de la loi de bioéthique, nous appelons les pouvoirs publics au respect de la dignité de la vie humaine, de l’instant de sa conception, jusqu’à sa mort naturelle. Concrètement, nous réclamons une révision de la législation sur la Procréation Médicalement Assistée qui rend l’embryon humain disponible : produit en laboratoire, fabriqué avec excédents pour garantir un plus grand taux de succès, livré à la recherche scientifique qui le détruit… L’embryon, à travers la PMA n’est plus traité comme le plus petit des enfants des hommes mais comme le plus utile des produits de l’homme.

    Nous réclamons une interdiction stricte de l’euthanasie en France. Nous ne voulons pas que nos malades soient abandonnés et nos personnes âgées privées de leurs derniers moments de vie, si durs soient-ils. Cette fuite par l’injection du produit létal est le fait d’une société qui refuse la souffrance – comme si la condition humaine pouvait dissocier la personne, dans son autonomie démiurgique et le corps, matériau voué à la décomposition et à la maladie.

    Nous revendiquons la mise en place de politiques de santé publique qui fassent cesser l’avortement. Nous voulons, a minima, que soient réintroduits dans la loi la condition de détresse, le délai de réflexion et que soit supprimé le délit d’entrave à l’avortement qui punit les informations dissuasives et non les informations qui incitent à l’avortement.

    La Marche pour la Vie recherche encore 500 bénévoles ! Pour nous aider à guider le cortège, accueillir les visiteurs, participer à la logistique, distribuer nos tracts et partager notre communication, n’hésitez pas et inscrivez-vous ici. Nous vous remercions vivement !

    La Marche pour la Vie rappelle que toute vie naissante est une chance pour le monde. Que la lumière est du côté de ceux qui défendent, soutiennent et accueillent la vie à naître, quel que soit son visage, quelles que soient ses fragilités. Pour que chaque enfant conçu puisse ouvrir les yeux sur la lumière du jour, pour que l’obscurité de la culture de mort soit percée par la lumière de la défense de la vie, rejoignez-nous le 21 janvier 2018, Porte Dauphine à 14h30 et venez marcher pour la Vie.

    Sources : Marche pour la Vie - InfoCatho.

    MA(L)CHANCE - À un choix de te perdre

  • Jean-Marie Le Méné commente le sondage publié par le journal La Croix

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    Un sondage publié par le journal La Croix sur « les Français et la bioéthique » montrerait une opinion publique largement favorable à la GPA, à la « PMA pour toutes », à la légalisation de l’euthanasie ou à la modification génétique des embryons humains [1]. Jean-Marie le Méné évoque pour Gènéthique les risques d’un débat entendu.

    Gènéthique : La Croix proposait aujourd’hui un sondage sur les questions de bioéthique. Ce sondage est présenté comme le signe d’un basculement de l’opinion publique sur ces sujets, notamment sur la fin de vie, la GPA... Pensez-vous que ce soit le cas ? Pourquoi ?
    Jean-Marie Le Méné : Commencer un débat de bioéthique avec un sondage est pour le moins regrettable. Je ne crois pas qu’on fasse de vraie politique à coups de sondages, sauf peut-être pour des questions matérielles, savoir s’il faut construire un rond-point dans le village… Mais pas pour demander à la population si elle souhaite qu’on autorise la fabrication, moyennant finances, de bébés sans père. Ni pour demander à l’opinion publique si elle envisage qu’on supprime les vieux, les handicapés et les malades. Ces questions sont trop graves pour faire l’objet d’opinions. Les personnages politiques qui ont une certaine épaisseur se moquent des sondages. Robert Badinter a fait abolir la peine de mort indépendamment des sondages.

    G : Pensez-vous que, sur ces questions, les enjeux soient bien posés et que les Français aient les informations suffisantes pour prendre une position argumentée ? Si non, quel est le risque de publier ces résultats ?
    JMLM : Le problème est que nous ne faisons plus de politique mais de la gestion. Les grands principes et le bien commun ne sont plus des priorités. Il faut être pragmatique et trouver une solution, la moins mauvaise possible. C’est « L’empire du moindre mal » décrit par le philosophe Jean-Claude Michéa dans son essai sur la philosophie libérale. Peu importe la vérité, le droit arrangera les choses. L’essentiel est de ne pas faire de vagues, de rester bienveillant et ouvert à la liberté de l’autre.
    Dans ces conditions, il est utile de nourrir un débat permettant de tendre vers une position consensuelle ou au moins acceptable par tous. Peu importe les questions et les réponses. Elles n’ont aucun intérêt, mais juste pour objet d’entretenir l’illusion du « prendre soin » et du « vivre ensemble ». C’est ce qui s’est passé aux États généraux entre 2009 et 2011. C’est ce qui risque fort de se passer en 2018. Commenter les sondages est une activité « occupationnelle » pour distraire l’opinion le temps que la technoscience et le marché s’entendent entre eux sur les transgressions à venir.

    G : L’article met en cause une « sacralisation » de la liberté individuelle. Le philosophe Pierre Le Coz « ne cache pas son inquiétude » : « On arrive à une logique selon laquelle la liberté individuelle l’emporte clairement et de manière quasi automatique. Mais si c’est le cas, nous prenons le risque d’aller vers la fin de l’éthique ». Êtes-vous d’accord avec ce constat ?
    JMLM : Je regrette que quelqu’un comme Pierre Le Coz « ne cache pas son inquiétude » après avoir été vice-président du CCNE pendant des années jusqu’en 2012. Que n’a-t-il manifesté son inquiétude quand il était encore au CCNE et qu’il aurait pu déjà s’opposer à la recherche sur l’embryon, à l’eugénisme, à la loi Léonetti qui anticipait l’euthanasie, etc. ?
    Nous ne prenons pas « le risque d’aller vers la fin de l’éthique », c’est fait. La création d’un comité d’éthique étatique signe la fin de l’éthique dès lors que celle-ci est discutée et mise aux voix.

    G : Quels sont les véritables enjeux de la révision des lois de bioéthique ?
    JMLM : Il n’y en a qu’un, c’est le respect de la vie et de la dignité de la personne humaine.
    Toutes les lois de bioéthique ont été des lois de transgression de cet unique principe. Elles sont faites pour cela. Je crains que celle de 2018 ne fasse pas exception.

    - Jean-Marie le Méné est l'un des fondateurs et président de la fondation Jérôme Lejeune, reconnue d'utilité publique.

    [1] La Croix, 3 janvier 2017, « Bioéthique, comment l’opinion a basculé » : 64% des Français seraient favorable à l’autorisation de la GPA, 60%  pour la « PMA pour toutes », que 89% d’entre eux pensent qu’il faut légaliser l’euthanasie et/ou le suicide assisté et qu’ils sont à 80% favorables à la modification génétique des embryons humains pour guérir les maladies les plus graves avant la naissance.

    Source : Gènéthique.org.

  • Association de sauvegarde de la chapelle Saint-Hilaire

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    « La restauration de cette chapelle pourra sembler complètement folle à certains rationalistes. Mais elle est un cri dans le désert à la suite de saint Jean-Baptiste. Un cri qui rappelle les racines chrétiennes du pays. Elle est un signe pour tous que nous devons recevoir, préserver, restaurer notre héritage chrétien et notamment les monuments de prière qui sont comme l'âme de nos cités. »

    F. Louis-Marie, O.S.B., abbé de Sainte-Madeleine du Barroux
    (Les Amis du Monastère, n°164, décembre 2017)

    Participez au Sauvetage.

    Crédit photo : Les Amis de Saint-Hilaire.

  • "La persécution des chrétiens aujourd’hui dans le monde"

    Ce film de Raphaël Delpard est projeté depuis le 15 novembre au cinéma Le Lucernaire à Paris.

    « Si rien n’arrête le flot destructeur, dans quelques années, en dehors des lieux sanctuarisés, les chrétiens auront disparu. »

  • 8ème Veillée mondiale de prière pour la Vie naissante le 2 décembre

    Adoraziuone-4.jpgEn 2010, le Saint-Père Benoit XVI, devant l'ampleur du Mal commis contre l'enfant à naître, a voulu frapper à la porte de la conscience et des coeurs de chaque personne humaine comme des Etats, afin que la vie humaine soit aimée, accueillie, respectée, défendue, protégée, depuis sa conception jusqu'à son terme naturel. Benoît XVI a lancé un appel au monde entier afin que soient organisées des Veillées de prière, au moment de l'entrée de l'Eglise, dans le Temps de l'Avent. L'annonce faite depuis Rome a aussitôt été relayée par la Famille Missionnaire l'Evangile de la Vie, qui a fait en sorte, grâce à des relais comme le Salon Beige, que cet appel pressant du Saint-Père soit largement entendu. Plus de 500 Veillées de prières ont eu lieu en France, ce 27 novembre 2010.

         Depuis lors, chaque année, l'entrée en Avent est marquée par cette Veillée de prière pour toute vie naissante. La prière de Benoit XVI, pour la Veillée de prière de 2010, traduite en français, en collaboration avec l'Evangile de la Vie et Zenit, est chaque année diffusée lors de es veillées de prière organisées partout en France.

         Cette année, 2 décembre 2017, nous répondons volontiers à cet appel du Saint-Père.

    - Annoncer une Veillée : ici  (date, lieu, heure. Présidée par...)

    pour nous aider à veiller et à prier :

    - Prières pour la Vie : Saint Jean Paul II  - 25.3.1995 - Benoit XVI - 27.11.2010 --- Images disponibles à l'Evangile de la Vie, pour les distribuer lors des Veillées (libre participation aux frais)

    - Homélie du Saint-Père Benoit XVI, le 27 novembre 2010, lors de la Première Veillée mondiale de prière pour toute vie naissante, en la Basilique Saint Pierre à Rome.

    - Neuvaine pour la vie naissante avant la fête de l'Immaculée Conception - Mgr d'Ornellas

    - L'enseignement de Benoit XVI sur l'Evangile de la Vie (en construction) 2005 - 2006 - 2007 - 2008 - 2009 - 2010 - 2011 - 2012- 2013 -

    - Homélie de Benoit XVI à Fatima, le 13 mai 2010

    - Méditation de Benoit XVI à Assise, le 27 octobre 2011

    - Avec le Pape François : Veillée pour la Vie : 15 juin 2013 - Homélie de la Messe du 16 juin 2013, journée Evangelium Vitae -Veillée avec les familles 26 octobre 2013 - Homélie de la Messe avec les familles 27 octobre 2013 - Discours à 5000 médecins catholiques, le 15 novembre 2014 - Discours au colloque international sur la complémentarité homme-femme, le 17 novembre 2014 - 

    - Le Père Hubert Lelièvre sur Zenit 2010 : Pourquoi le Saint-Père demande la Veillée de prière

    - Discours d'ouverture de Saint Jean Paul II au Consistoire extraordinaire du 4 au 7 avril 1991 avec les Cardinaux du monde entier

    Lettre de Saint Jean Paul II à tous les évêques du monde entier. - Pentecôte 1991

    - Messe pour la Vie : texte de la Messe pour la Vie approuvée à l'unanimité par la Conférence des Evêques des USA. Traduction non officielle.

    Veillee-de-priere---1.jpg- La prière pour la Vie qui conclue l'Encyclique Evangelium Vitae : disponible pour la distribuer lors de la Veillée de prière, mais aussi pour l'ajouter à un faire-part de naissance, de mariage... Pour en recevoir des exemplaires (préciser le nombre désiré. Libre participation aux frais) : l'Evangile de la Vie, 32 Cours de la République - 84500 Bollène. Mais aussi par mail

    - une quête peut être faite : qu'elle soit envoyée pour aider et encourager les mouvements et associations qui servent la vie et la famille.  (l'Evangile de la Vie ; Alliance Vita ; la Fondation Lejeune ; Magnificat ; Mère de Miséricorde ; Choisir la Vie ; Centre Missionnaire de la Vie ; Petites Soeurs des Maternités Catholiques...). Le bien à faire ne manque pas. La générosité de tous, fruit de cette Veillée de prière, aidera concrètement et encouragera !

    - Une Litanie des Saints pour la Vie. (à venir)

    - Litanies de louange et de supplication lors de la Grande Veillée pour la vie du 28 mai 2009 à Notre-Dame de Paris

    - L'Encyclique Evangelium Vitae de Saint Jean Paul II : à lire, à relire. A offrir. Accueillons cette Veillée de prière pour évangéliser : pourquoi ne pas parler autour de nous de cette belle Lettre Encyclique Evangelium Vitae, de la donner même, aux médecins, infirmières, pharmaciens, législateurs, chercheurs, étudiants en médecine ou infirmières, avec un petit mot comme : "Le Pape demande à l'Eglise de veiller et de prier pour toute vie naissante. Je me permets de vous donner le texte d'une Lettre sur la vie, ce que nous vivons dans l'Eglise" ou "Je sais / je ne sais ce que vous en pensez, comme vous me connaissez, je me permets de vous donner ce que que nous essayons de vivre dans l'Eglise." C'est un témoignage concret.

    - Pour recevoir l'Encyclique : Editions Téqui

    Méditation sur le Chemin de Croix, lors des JMJ à Madrid, en août 2011

    VEILLÉES 2017

    - De nombreuses mamans attendent un enfant  alors que leur époux, militaire, se trouve quelque part sur le front pour servir notre Patrie. Nous pensons tout particulièrement à ces familles qui vivent ainsi  la grossesse, la naissance - annoncées ici.

    Source : L’Evangile de la Vie.

  • L'édito d'InfoCatho : Couvrez-moi cette croix que je ne saurais voir

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    Les dévots de la laïcité n’en sont plus à une tartufferie de plus ou de moins. On cache la croix de Ploermel, mais le pape qui porte en lui une forte connotation religieuse ne dérange pas (encore). Après les polémiques sur les crèches, les croix dans les mairies, les musulmans qui refusent d’entrer dans un cimetière, les datations avant/après Jésus-Christ qu’on gomme pour ne pas heurter, la charge médiatique contre la croix pendentif de Valérie Boyer et j’en oublie, à quand les croix sur les clochers, les cols romains, les robes de bure et les nombreux calvaires bretons ? On en viendra bientôt à éviter les carrefour en forme de croix….

    Bien entendu que les tartuffes de l’ordre nouveau qui s’offusquent en vierges effarouchées, ont la sensibilité laïcarde bien orientée. Il ne s’agit pas de préserver l’espace public d’un certain empiètement du religieux sur la neutralité, mais de mettre dehors tout ce qui heurte l’idéologie de la secte maçonnique ou des grands-prêtres de l’ordre anticlérical dont les dogmes sont bien plus obtus que les fondements de la foi chrétienne avec lesquelles ils sont bien en peine de dialoguer. L’ostracisme, comme l’argument autoritaire qui consiste à écraser quand on ne peut argumenter, révèle tout à la fois la peur de sa propre fragilité et le totalitarisme, ce corolaire inévitable de la défaillance intellectuelle et morale.

    Comme une réponse à cette chasse aux sorcières, Mgr Habert, dans un document, « ces églises qui font l’Eglise », invitait justement les chrétiens à se mobiliser pour maintenir en vie, ouvertes et accueillantes nos petites églises les plus reculées, comme signes vivants de la présence du Christ. Un enjeu, disait-il, bien plus grand qu’il n’y parait. C’est bien ce que semblent avoir compris les dévots de la laïcité.

    Cyril Brun, rédacteur en chef

    Source : InfoCatho.

    A lire également : Jean-Paul II - La démocratie sans valeurs se transforme en totalitarisme.

  • Semaine Thérésienne du 26 septembre au 1er octobre

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    Chaque année depuis maintenant plus de 10 ans, à l’approche de la fête de Thérèse le 1er octobre, le sanctuaire Sainte-Thérèse organise un grand événement, la « Semaine Thérésienne ». Il est actuellement le rendez-vous incontournable des amis parisiens de la Petite Thérèse.

    En 2016, environ 10 000 pèlerins y ont participé.

    Liturgies festives, conférences, soirées de prière, vénération des reliques, spectacles, concerts, animations enfants, projections de films… sont au programme de ces jours intenses et priants.
    De nombreux intervenants, témoins et artistes se succèdent pour permettre aux participants de mieux connaitre la Petite Thérèse et de prier avec elle.

    Cet événement reçoit le soutien de plusieurs partenaires comme Radio Notre Dame, KTO, Le Jour du Seigneur…

    Télécharger le programme de la Semaine Thérésienne 2017

    Source : InfoCatho.

    La Semaine Thérésienne organisée par le sanctuaire Sainte-Thérèse d’Apprentis d’Auteuil (Paris 16) est devenu le rendez-vous incontournable des amis parisiens de la Petite Thérèse. 10 000 pèlerins sont attendus pour cette 12ème édition dont le programme est une nouvelle fois aussi riche que varié : liturgies festives, conférences, soirées de prière, spectacles, cinéma, mini-retraites, animations enfants...

    Avec la participation de nombreux témoins et artistes :
    Mgr Thibault Verny, P. Bernard Peyrous, P. Joël Pralong, P. Pierre Dumoulin, Bernard Dubois, Luc Adrian, Jean-Renaud et Lorène d’Eliissagaray, Abba, le Jeune Chœur Liturgique, Jean-Luc Guyard...

    Et pour la première fois : un son et lumière (spectacle en videomapping ) :
    « Thérèse, entre terre et ciel » pour célébrer les 20 ans de la proclamation de Thérèse, docteur de l’Église.

  • PMA : « l’éradication scientifique du père est une utilisation particulièrement perverse de la science »

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    Le pédopsychiatre Pierre Lévy-Soussan considère l’ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes célibataires comme « une régression du dialogue démocratique, une régression de la place du père, voire de l’homme, une régression des droits de l’enfant et d’une conception humaniste de la médecine ».

    Il explique que « transformer un enfant ‘de la science’ en son enfant ne va pas de soi ». Les parents doivent accompagner l’enfant. Supprimer le père, ne fait que confronter davantage la mère aux « questions taraudantes de l’enfant » sur l’histoire de sa conception. « Charge à l’enfant de porter cette histoire, parfois bien lourde pour lui, dans une relation duelle, un face à face qu’aucun homme ne viendra limiter, interrompre, temporiser », se désole le médecin.

    Pierre Lévy-Soussan remarque que « l’éradication scientifique du père est une utilisation particulièrement perverse de la science ». L’enfant est souvent confronté au mal-être de ne pas pouvoir accéder à ses origines biologiques. D’après le pédopsychiatre, « imaginer qu'une levée de l'anonymat du don pourrait pallier la privation de filiation paternelle est un leurre supplémentaire : un père n'est jamais réductible à du sperme, à un donneur, à un ‘fournisseur’, mais il est une fiction, pour parler comme Joyce, nécessaire à l'enfant et auquel l'enfant ‘croit’ ».

    La liberté des femmes vient, selon lui, s’exercer aux dépens de celle des enfants, « que la société doit protéger de la toute-puissance parentale ».

    Sources : Gènéthique.org - Le Point, Pierre Lévy-Soussan : "Sacrifier scientifiquement le père est une forme ultime de violence faite aux enfants" (03/07/2017).
    Photo : Pixabay/DR

  • Un écho chrétien à l’actualité…

    « Le plus grand destructeur de la paix, aujourd'hui, est le crime commis contre l'innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu'est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? … aujourd'hui on tue des millions d'enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu. Et nous ne disons rien…

    C'est pourquoi, aujourd'hui, en présence de Sa Majesté et devant vous tous qui venez de pays différents, je vous le demande : prions tous d'avoir le courage de défendre l'enfant à naître et de donner à l'enfant la possibilité d'aimer et d'être aimé. Et je pense qu'ainsi —avec la grâce de Dieu — nous pourrons apporter la paix dans le monde. Nous en avons la possibilité. »

    Ste Teresa de Calcuta, discours à Oslo, 10 décembre 1979.

    Texte intégral du discours de Mère Teresa ci-dessous.

    A lire également, la remarquable étude de Claire de La Hougue : La déconstruction de la Loi Veil.

    Lire la suite

  • Alliance VITA lance un Guide des directives anticipées

    Le gouvernement a lancé une campagne d'information sur l'application de la nouvelle loi fin de vie, confirmant nos alertes sur une interprétation euthanasique de cette loi avec :
    - le droit à "une sédation profonde et continue jusqu'au décès" présenté comme un prétendu « droit à dormir avant de mourir ».
    - les "directives anticipées contraignantes " confuses pouvant conduire à des actes contraires à la déontologie médicale sous la pression de l'émotion.
     
    Alliance VITA a décidé de réagir à cette campagne pour dénoncer la vision réductrice d'une question complexe et la confusion entretenue entre la sédation et l'euthanasie.

    Guide des directives anticipées VITA

    Alliance VITA,Guide,directives anticipéesAfin de lever toute ambiguïté sur les dérives d’interprétation, Alliance VITA a choisi d’éditer un guide des directives anticipées, inspiré des retours d’expérience de son service d’écoute SOS fin de vie, et avec l’aide de son réseau de soignants.

    Alliance VITA,Guide,directives anticipéesCe guide pratique se veut une aide à la compréhension et la rédaction des directives anticipées, dans le respect de l’éthique médicale, récusant à la fois l’acharnement thérapeutique et l’euthanasie.

     

    Il comprend 3 parties :

    - un guide illustré des démarches à suivre pour faire connaitre ses directives anticipées,

    - un formulaire à personnaliser qui rassemble l'ensemble des éléments indispensables à la prise en compte de ces directives,

    - une carte à découper et conserver dans son porte-feuille.

     

    Ce guide est gratuit et accessible au téléchargement via le lien ci-dessous :

     

    Téléchargez et Imprimer

     

    Nous vous invitons à télécharger et compléter le formulaire

    pour vous-même et à le faire connaître largement autour de vous.

     

    Pour les personnes ne disposant pas d'imprimante, vous pouvez nous adresser une demande d'envoi de la brochure papier par courrier postal.

     

    Source : Alliance VITA.

  • Liberté Politique attaque en justice le Ministère de l'Education Nationale

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    Article rédigé par François Billot de Lochner, le 24 février 2017

    Le ministère dit de « l’Éducation nationale » s’est transformé, depuis quelques années notamment, en ministère des perversités sexuelles en tous genres. Soyons clairs : si son responsable, Vallaud-Belkacem, qui a la grande chance personnelle de bénéficier d’une double nationalité franco-marocaine, avait sévi de façon identique à Rabat, elle croupirait sans doute actuellement dans les geôles de la monarchie chérifienne, sur ordre personnel du Commandeur des croyants. Le sachant, elle préfère évidemment sévir en France, pays des droits de l’homme qui la protège, et qui protège ou encourage également tous les dévoiements pour tous. Car les cours de perversion sexuelle, dans « l’enseignement », commencent maintenant…dès la maternelle.

    Si l’on analyse en détail ce qui est enseigné à nos enfants, de la maternelle à la terminale, force est de constater que la dictature pornographique frappe à grande échelle les populations les plus jeunes et les plus sensibles, celles qui doivent bénéficier de l’attention la plus grande et de la protection la plus efficace sur les sujets, fondamentaux : de la sexualité et de la transmission de la vie ; des évidentes différences entre les sexes ; de ce qui ressort de la sexualité naturelle et de la sexualité anormale ; du danger patent de refuser les notions de bien et de mal concernant les parties du corps les plus intimes, et qui sont « cachées » car hautement sensibles. Au lieu de cela, le ministère s’est attribué la mission de décrire, avec complaisance et à grande échelle, les  possibilités infinies offertes par une sexualité chosifiée, en présentant les choses de telle façon que les enfants sont puissamment incités à « tout essayer », même et souvent le pire. Ce qui les amène souvent, effectivement, à tout essayer,  même et souvent le pire…

    De cela résulte une imposition abjecte du vice devenu vertu, de l’horreur devenue merveille, du mensonge devenu vérité banale, du sexe devenu organe d’intérêt unique. Le cœur, l’âme, l’intelligence ? Connais pas. Existe pas. Le sexe et autres parties proches du sexe ? Y a que ça qui compte, allons-y à fond, là est l’épanouissement. Les fonctionnaires du ministère en charge du dossier ont-ils un sexe à la place ou à côté du cerveau ? La question mérite d’être posée, et pourrait justifier d’ailleurs une intéressante analyse scientifique de la chose.

    Les livres ou supports, soit disant « conseillés » mais en fait imposés par le ministère, sont une incitation pure et simple à la débauche la plus glauque dès le plus jeune âge, avec son florilège de textes et photos immondes détaillant de façon infecte, systématiquement infecte, toujours plus infecte les parties du corps concernées. Pour être précis, consulter pour étude de tels supports donne tout simplement envie de vomir. Si des personnes du monde des adultes réagissent ainsi, comment de jeunes enfants ne seraient-ils pas définitivement souillés par cette déferlante d’ignominies ?

    Je viens de publier un livre sur ce sujet (Les parfums du château – Terra Mare) et nous menons actuellement une action forte auprès des candidats à la présidentielle (Le Manifeste de la dernière chance – Terra Mare). En complément de ces actions, France Audace et Liberté politique ont pris la décision d’attaquer en justice le ministère de l’Éducation nationale, qui, de façon évidente, conçoit, diffuse et promeut la perversité à grande échelle, sans laisser la moindre possibilité aux enfants d’échapper à sa tyrannie pornographique : sa responsabilité est évidente, et il doit donc être poursuivi pour cela. La responsabilité personnelle de Najat Vallaud-Belkacem sera bien sûr recherchée, et, espérons-le, sanctionnée. Nous sommes bien décidés à tout mettre en oeuvre pour stopper cette déferlante pornographique notamment organisée par le ministère.

    François Billot de Lochner,
    président de la Fondation de Service politique,
    de Liberté politique et de France Audace.

    Source : Liberté politique.com.

  • IVG.net dénonce les 8 mensonges de Laurence Rossignol

    Article rédigé par Michel Janva, le 23 février 2017

    IVG.jpg

    [Source : Le Salon Beige]

     Sur leur site :

    "Pour monter combien la désinformation est en fait du coté du gouvernement, nous avons relevés Les 8 mensonges sur l'IVG dans le site « officiel »  www.ivg.gouv.fr :

    1/ Il n'y a pas de conséquences psychologiques après une IVG. 

    Réponse du gynécologue Philippe Faucher sur le site du gouvernement : « La majorité des études scientifiques sérieuses qui ont été publiées sur le sujet montrent qu’il n’y a pas de séquelle à long terme psychologique de l’avortement. Il n’y a pas de syndrome post-traumatique qui persisterait à distance, plusieurs années après un avortement. » 

    Faux !  Des centaines de d’études scientifiques qui ont été publiées dans les revues internationales depuis plus de 30 ans attestent l'existence de ces souffrances à court et long terme. Le Professeur René Ecochard du CHU de Lyon vient de compiler une partie de ces études dont la méta-analyse réalisée par Priscilla K. Coleman publiée en 2011 dans le British Journal of Psychiatry  qui de son coté fait une synthèse  portant sur 22 études, 36 critères et 877.181 femmes (dont 163.831 ayant fait une IVG). Des études controversées existent certes bien dans un sens ou un autre mais ne peuvent pas changer sérieusement  le large consensus sur cette question.

    2/ Nos témoignages seraient « trompeurs », « faux » « culpabilisants », etc... 

    Faux :   Notre site dispose de plus de 1.000 témoignages authentiques de souffrance. Notre page facebook (ivg, vous hesitez ?) regorge de posts anonymes ou signés. Cela est attesté par 48.000 likes alors que la page facebook du site prônée par le gouvernement « IVG : J'ai avorté et je vais bien ! merci » n’accueille que 73 membres … !

    3/ Une IVG ne peut pas rendre stérile : 

    Une sage-femme (Mme Aunis ) répond péremptoirement: "Que ce soit par la méthode médicamenteuse ou chirurgicale, il n’y a pas de risque de stérilité . Bien au contraire, la fertilité revient assez rapidement. Il faudra donc anticiper pour que vous ayez un moyen de contraception dès le jour de l’intervention. »

    Faux :  Les études internationales montrent par exemple que les femmes ayant des antécédents d'un avortement sont face à un risque 2,3 fois plus élevé d'avoir un cancer du col utérin, par rapport aux femmes sans antécédents d’avortement. Les femmes avec deux IVG et plus sont confrontés à un risque relatif de 4,92 (M-G, Le, et al., “Oral Contraceptive Use and Breast or Cervical Cancer: Preliminary Results of a French Case- Control Study, Hormones and Sexual Factors in Human Cancer Etiology, ed. JP Wolff, et al., Excerpta Medica: New York (1984) pp.139-147; F. Parazzini, et al., “Reproductive Factors and the Risk of Invasive and Intraepithelial Cervical Neoplasia,” British Journal of Cancer, 59:805-809 (1989); H.L. Stewart, et al., “Epidemiology of Cancers of the Uterine Cervix and Corpus, Breast and Ovary in Israel and New York City,” Journal of the National Cancer Institute 37(1):1-96; I. Fujimoto, et al., “Epidemiologic Study of Carcinoma in Situ of the Cervix,” Journal of Reproductive Medicine 30(7):535 (July 1985); N. Weiss, “Events of Reproductive Life and the Incidence of Epithelial Ovarian Cancer,” Am. J. of Epidemiology, 117(2):128-139 (1983); V. Beral, et al., “Does Pregnancy Protect Against Ovarian Cancer,” The Lancet, May 20, 1978, pp. 1083-1087; C. LaVecchia, et al., “Reproductive Factors and the Risk of Hepatocellular Carcinoma in Women,” International Journal of Cancer, 52:351, 1992.)

    Autre exemple : L’Endométrite est un risque post-avortement surtout pour les adolescentes, qui sont 2,5 fois plus susceptibles d'avoir une endométrite après une IVG que les femmes de 20-29 ans (Burkman, et al., “Morbidity Risk Among Young Adolescents Undergoing Elective Abortion” Contraception, 30:99-105 (1984); “Post-Abortal Endometritis and Isolation of Chlamydia Trachomatis,” Obstetrics and Gynecology 68(5):668- 690, (1986)

    Quelques études controversées existent bien dans le sens du deni mais ne peuvent pas changer sérieusement un large consensus sur cette question.

    4/ « L’IVG, c’est votre droit » dit le site du gouvernement ! 

    Incomplet donc trompeur : L’ivg n’est pas seulement un « droit» mais c’est aussi "l’obligation" pour les médecins et bien sûr pour le Gouvernement de respecter la loi en informant la femme "des risques et des effets secondaires potentiels de l'IVG" (art L 2212-3 du code de la Santé

    5/ L’IVG médicamenteuse évacue un "oeuf" :  

    Le site du gouv. affirme « Ce médicament interrompt la grossesse. Il bloque l’action de l’hormone nécessaire au maintien de la grossesse (la progestérone), favorise les contractions de l’utérus et l’ouverture du col utérin. À l’issue de cette première étape, il peut survenir des saignements plus ou moins importants. Exceptionnellement, l’oeuf peut déjà être évacué à ce stade. »

    Faux !  Quand la femme fait une ivg, elle n’évacue pas un « Œuf » mais un « embryon » . Scientifiquement la phase embryonnaire débute au 25 eme jour qui suit la conception. Le site est volontairement et grossièrement trompeur ! 

    6/ L’IVG chirurgicale consiste en une aspiration de l’œuf : 

    Faux :  La femme enceinte n’évacue pas un « Œuf » mais au moins un « embryon » ou plus souvent encore un « fœtus » car scientifiquement la phase fœtale débute à la 8 eme semaine de grossesse ! Le site gouvernemental parle de « contenu de l’utérus » au lieu d’exprimer la réalité de l’acte. Quant aux conséquences, elles sont absentes comme « évacuées » en quelques lignes fallacieusement rassurantes. 

    7/ Le site du gouvernement s'affiche "neutre"

    Faux : Le numéro vert anonyme et gratuit du gouvernement 0800 08 11 11 est tenu par des opératrices qui sont des militantes du Mouvement du Planning familial ou bien formées par le Planning. (cf; communiqué de presse du Planning Familial en date 28 septembre 2015). Elles encouragent de fait l’ivg par leurs conseils. Lorsque les délais sont dépassés, elles conseillent des cliniques à l’étranger (preuves disponibles). Les liens qui sont donnés sur le site du gouv ne sont pas neutres :

    • ivglesadresses.org (site du revho qui se définit comme féministe et à « la gauche de la gauche »)
    • planning-familial.org ( cf plus haut)
    • avortementancic.net (site créé par l’Association nationale des centres d’IVG et de contraception)

    8/ Les informations trouvées sur certains sites Internet sont erronées :

    « Certains sites Internet que vous trouverez via/par les moteurs de recherche vous indiqueront qu’ils proposent une information neutre et médicale mais sont en réalité édités par des militants contre l’avortement. Il en va de même pour les forums où certains témoignages sont montés de toutes pièces par des opposants au droit à l’interruption volontaire de grossesse. Ils sont parfois difficiles à reconnaître mais méfiez-vous systématiquement des sites et numéros verts consacrant par exemple une grande part de leur contenu à la maternité et aux soi-disant complications et traumatismes liés à une IVG ». 

    Faux :  Le 8eme des mensonges sur l'IVG ! On peut voir plus haut la véracité de tous nos témoignages. Le site du gouvernement est en réalité tenu par des militants pro-ivg. Il est ouvertement partisan et n’hésite pas à nous dénigrer et nous diffamer sans aucune autre argumentation que le persiflage, le sarcasme et le mensonge grossier."

    Source : Liberté politique.com

  • Ce samedi 14 janvier sur KTO, à 20h40 : le prince Louis de Bourbon invité de V.I.P.

    Le prince Louis de Bourbon est ce samedi soir l'invité de l'émission d'Emmanuelle Dancourt sur K.T.O.
    Si vous ne recevez KTO sur votre télévision, il est possible de regarder la chaîne en streaming sur le Net, ou de regarder l'émission en différé, sur KTO ou sur Youtube.

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    Présentation de l'émission par KTO :
    C´est Louis de Bourbon, duc d´Anjou et prétendant légitimiste aux trônes de France et de Navarre, qui est reçu cette semaine par Emmanuelle Dancourt. Franco-espagnol et né en 1974 d´Alphonse de Bourbon et de Carmen Martínez-Bordiú y Franco, il doit faire face à plusieurs épreuves dès son enfance, notamment les décès tragiques de son frère aîné François de Bourbon dans un accident de voiture en 1984, puis de son père lors d´un accident de ski en 1989. Aujourd´hui marié à la Vénézuélienne María Margarita Vargas Santaella, il vit à Madrid et travaille en tant que vice-président international de la Banco Occidental de Descuento (BOD). Par ailleurs très sportif, il pratique notamment le hockey sur glace, l´équitation et la course à pieds. Malgré son statut, c´est un homme d´une grande humilité que cette émission permet de découvrir. Portrait d´un prince très attachant.

  • La Basilique Notre Dame de Bon Secours à Saint-Avold en Moselle menacée de démolition

    « Par ces quelques lignes, c'est un appel de la plus haute urgence que je vous adresse, pour que l'Eucharistie quotidienne, pour que le culte marial puissent encore et toujours être célébrés à Saint-Avold, pour que les pèlerins puissent se rendre individuellement ou en groupes dans notre sanctuaire » précise l'Abbé Olivier Riboulot, Recteur de la Basilique. Ce haut lieu du patrimoine spirituel et architectural de notre pays est pourtant menacé de démolition.

    L'édifice naquit une première fois au XVIème siècle en tant que petit oratoire créé par les bénédictins au pied de la colline de Valmont et dédié à la Vierge Marie. Suite à une série de faits miraculeux rapportés ici et là, elle devint un lieu de pèlerinage très prisé. Face à l'ampleur des visiteurs et au manque de places, les bénédictins (vers 1680-1685) transformèrent ce petit oratoire en chapelle, sans doute la première de Valmont, dite la Walmer Kapelle.

    Un siècle plus tard, la chapelle fut détruite par les révolutionnaires lors de la campagne de déchristianisation en 1794, mais la statue de la Vierge pu être préservée. De nombreux fidèles venaient quotidiennement prier sur ces ruines, malgré les interdits formels de l'époque. Une fois cette période passée et le culte rétabli, la chapelle fut restaurée par les fidèles de la ville et des environs et fut notamment renommée « Notre-Dame aux Trois-Montagnes » selon l'Abbé Houllé, plus communément appelée « Chapelle de Valmont » car elle se situe au pied de la colline de Valmont. La statue rescapée de la Vierge y fut transportée en procession le dimanche 10 août 1806, à l'issue des vêpres solennelles.

    L'afflux des fidèles reprit alors sa progression et rapidement la chapelle s'avéra inadaptée au succès du pèlerinage. Cette situation incita l'archiprêtre Lemire (1838-1922) à entreprendre la construction d'un lieu de prière plus vaste. La pose de la première pierre eut lieu le lundi de Pentecôte, 26 mai 1890, en présence de plus de 3000 personnes venues en procession. Édifiée en un temps record, la nouvelle chapelle, placée sous le vocable de Notre-Dame de Bon-Secours, fut bénie en octobre 1890 par l'évêque de Metz, Monseigneur Fleck. Puis, dés 1897, l'Abbé Lemire engagea la seconde phase de son ambitieux projet portant sur l'adjonction d'une imposante construction de plan centré octogonal, couverte d'un majestueux dôme, à l'image de celui de la Basilique Saint-Pierre de Rome.

    La bénédiction de l'édifice achevé eut lieu en octobre 1902, douze années exactement après la première cérémonie. L'immense succès que connut ensuite le pèlerinage de Notre-Dame de Bons-Secours valut au sanctuaire d'être élevé au rang de Basilique mineure, le 31 août 1932, par le Pape Pie XI. « Aujourd'hui, nous devons faire face à de nouvelles difficultés matérielles qui peuvent être fatales pour notre Sanctuaire, donc pour le pèlerinage. L'édifice a mal vieilli et risque l'interdiction d'accès au public, pour des questions de sécurité, avant moins de dix-huit mois. Si interdiction, la prochaine étape serait la démolition » affirme le Recteur du Sanctuaire. En effet, la coupole est en très mauvais état et nécessite un sérieux travail de restauration, surtout au niveau de la charpente. Les murs de la partie octogonale en particulier, mais aussi ceux de la nef, subissent les infiltrations qui accélèrent le processus de délabrement. Certains vitraux sont descellés et menacent de tomber. Dans la coupole, des fissures apparues il y a quelque temps, grandissent de plus en plus, laissant présager le pire. Il s'agit ici de la seule et unique Basilique de la Moselle.

    Dés sa naissance, la chapelle du Valmont puis Notre-Dame de Bon-Secours, fut très vite un lieu incontournable pour tous les pèlerins. Rapidement apparurent des ex-voto en remerciements à la Vierge Marie pour des guérisons obtenues ou des vœux exaucés. La Vierge Marie tient une place unique dans l'histoire du Salut, à la fois Mère de Dieu, mais aussi de tous les hommes quand le Christ l'a confié à l'apôtre Jean au pied de la Croix. Et sans la foi, aucun homme sur la terre ne peut vivre une expérience miraculeuse.

    Depuis des siècles on vient chercher le secours de Marie à Saint-Avold, bien avant la proclamation de Marie Secours des Chrétiens par le pape Pie VII le 24 mai 1814, lors de son retour de captivité à Rome. Alors, comment envisager de démolir ce monument unique en son genre, de bafouer l'histoire de la France alors qu'elle pourrait être rénovée ! Et puis, rappelons-nous cette lettre écrite par le pape Grégoire IX en 1239 au roi Saint Louis : « Ainsi Dieu choisit la France et de préférence à toute les autres nations de la terre pour la protection de la foi catholique et pour la défense de la liberté religieuse. Pour ce motif le royaume de France est le royaume de Dieu ».

    Contact : Notre Dame de Bon Secours.

    Eric MUTH

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    Pour participer à la rénovation de la Basilique Notre Dame de Bon Secours, imprimez ce document et adressez-le au :
    Presbytère Saint Nabor
    5, rue du Général de Gaulle
    57500 Saint-Avold

    Compléments :
    Diocèse de Metz
    Cessation des activités au foyer Notre-Dame à Saint-Avold, septembre 2016
    Pèlerinage jubilaire à Saint-Avold, juillet 2016

    La Basilique Notre Dame de Bon Secours à Saint Avold en péril (France 3, juin 2016)

  • Alliance VITA demande au ministère de la Santé de retirer "les informations inexactes" de son site

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    Dans une lettre recommandée adressée à la ministre des affaires sociales et de la santé, Marisol Touraine, l’organisation Alliance VITA demande le retrait des « informations inexactes ou non objectives sur l'avortement qui peuvent induire en erreur les personnes qui consultent ce site » (cf. L'avortement, droit ou drame ?).

    L’association explique que « le recours concerne particulièrement une vidéo intitulée ‘Y a-t-il des conséquences psychologiques après une IVG ?’, dans laquelle un gynécologue affirme ‘qu'il n'y a pas de séquelle à long terme psychologique de l'avortement’ ». Selon Alliance VITA, cette affirmation va à l'encontre du rapport de l'IGAS en 2010, qui souligne « le manque d'étude objective sur les conséquences de l'IVG qui demeure un événement souvent difficile à vivre sur le plan psychologique » (cf. Prendre en compte le syndrome post-avortement).

    Dans son courrier, Alliance VITA souligne également que « le déni de toute séquelle à long terme consécutive à un tel événement est susceptible de tromper les femmes, non seulement lorsqu'elles hésitent, mais aussi lorsqu'elles ressentent ce type de souffrance longtemps après une IVG » (cf. Les conséquences psychiques de l’avortement mises en lumière).

    Alliance VITA demande ainsi la mise à jour du dossier guide contenant les informations sur l'IVG, qui date de novembre 2014. Or l'article L.2212-3 du code de la Santé publique impose « une mise à jour annuelle », d'autant plus nécessaire que les dispositions sur l'IVG ont changé à plusieurs reprises depuis cette date.

    L’association a précisé qu’elle se réservait  « le droit d'introduire un recours contentieux auprès du tribunal administratif » si le ministère ne lui répondrait pas favorablement.

    Sources: Gènéthique.org - Famille Chrétienne (14/12/2016)
  • Délit d'entrave numérique à l'IVG : L’Assemblée nationale adopte la censure

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    Les députés ont discuté jeudi 1er décembre de la proposition de loi relative à l’extension du délit d’entrave.

    La commission des affaires sociales avait légèrement modifié ce texte à la demande de la rapporteur du texte Catherine Coutelle (cf. délit d’entrave numérique à l’IVG : vers une entrée « dans la police des idées et dans la dictature d’une vision totalitaire ») sans en changer pour autant ni l’esprit, ni l’objectif, à savoir préserver le « droit à l’IVG » des « allégations trompeuses » diffusées au grand public, notamment, mais non exclusivement, par voie numérique.

    Le texte discuté par les députés était le suivant : "Constituerait un délit d’entrave, puni de deux ans d'emprisonnement et de 30000 euros d'amende, les pressions morales et psychologiques à l'encontre  des femmes venues s’informer sur un avortement « par tout moyen de communication au public, y compris en diffusant ou en transmettant par voie électronique ou en ligne, des allégations, indications de nature à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif, sur les caractéristiques ou les conséquences médicales d’une interruption volontaire de grossesse »".  

    Vers un totalitarisme dans le domaine de l’information

    Philippe Gosselin affirme avec force que la mention « par tous moyens de communication au public, y compris par voie numérique » constitue bien une « interdiction générale et absolue [qui porte]  bien une atteinte à la liberté d’expression ». Yannick Moreau le confirme, « vous nous dites que nous avons le droit de ne pas être d’accord, mais qu’on n’a pas le droit de le dire  […] c’est totalitaire ».

    Le député Dominique Tian rappelle que l’obsession du gouvernement d’attaquer les sites qui présentent un numéro vert n’a pas de sens : « Toute société peut avoir un numéro vert, c’est un droit aussi pour ces sites ».  Ce manque de bon sens se manifeste dans ce texte uniquement parce qu’il traite de l’avortement pense Marion Maréchal Le Pen : « Remplacer dans ce texte le terme IVG par n’importe quel autre mot, et tout le monde sera choqué de la censure que vous opérez ».

    Jean-Frédéric Poisson dénonce  « une innovation juridique extrêmement hasardeuse » car en voulant censurer « tous les moyens d’expression » dissidents sur l’avortement, le gouvernement outrepasse le délit d’entrave qui, par nature, est physique. Cela nécessiterait soulève-t-il de censurer toutes les allégations fausses que l’on trouve sur internet. Cela n’a pas de sens.

    « Du paternalisme » au « féminisme patriarcal » ? 

    Au milieu du débat, Catherine Lemorthon fustige le paternalisme des députés de la droite qui contestaient la modification à outrance de la loi Veil ces dernières années : « Les femmes sont assez grandes pour prendre leur décision, ça suffit avec le paternalisme, quand les femmes ont pris leur décision d’avorter mieux qu’elle le fasse le plus rapidement possible ».  

    Peu après Laurence Rossignol enfonce le clou, répétant en boucle que l’objectif de cette proposition de loi est de protéger les femmes contre des informations fausses. Ce que relève de façon partial Alain Ballay : « Personne ne doit dicter ce que les femmes doivent penser ou ressentir ». 

    La contradiction est soulignée par Marion Maréchal Le Pen : « Pour qui prenez-vous les femmes, en voulant supprimer des informations sur l’IVG ? ». Les femmes sont capables de faire la part des choses dans les informations qu’elles lisent.

    Tous les amendements de suppression de l’article unique de la proposition de loi ont été rejetés par 17 voix contre 35, et les députés présents ont courageusement poursuivi le débat pour tenter de contrer cette proposition de loi. On peut notamment citer les interventions des députés Moreau, Dhuicq, Lurton, Poisson, Gosselin, Bompard, Fromantin, Larrivé, Tian, Maréchal Le Pen, Le Callenec. Toutes soulignant l’atteinte manifeste à la liberté d’expression, l’absurdité juridique, et l’atteinte à la vie humaine de ce texte.

    Retrouvez le compte rendu des débats sur le dossier législatif en cliquant ici.

    Et le live tweet de Gènéthique sur @Genethique

    Suite et source : Gènéthique.org.

    Sur le même sujet, à lire :

  • Le temps des pornosalaucrates

    Article rédigé par François Billot de Lochner, le 02 décembre 2016

    Les pornosalaucrates, qui imposent mondialement leurs infectes pratiques sexuelles, se déchaînent comme jamais.

    Nous avons eu hier le triste privilège de pouvoir visionner dans toutes les rues de France et de Navarre l’infâme affichage de toutes les perversités, organisé par le ministère de la Santé : la rue, utile outil de perversion pour tous.

    Nous avons aujourd’hui la possibilité de visionner en famille l’ignoble film Sausage party, pour les douze ans et plus, afin d’initier nos chers petits aux pratiques les plus honteuses : le cinéma, utile moyen d’éducation à tous les vices pour tous.

    Nous allons avoir demain la possibilité de nous repaître de photos de nus intégraux se livrant à tous les dévoiements possibles. Ces photos, réalisées par la très homosexualiste association Aides,  seront publiées en pleines pages dans de multiples journaux. La grande presse sur la table du salon familial, pour l’éducation des parents et enfants au dévoiement pour tous.

    En bref, les cochonneries pour tous, dans la rue, au cinéma, dans les foyers : plus belle, la vie de débauche pour tous !

    La pornographie est un tsunami mondial, que les autorités morales devraient dénoncer à temps et à contretemps. Du côté des grandes autorités morales, Eglise catholique comprise, peu de dénonciation à temps, et moins encore à contretemps… L’humanité dans son ensemble, tous âges, sexes et pays confondus, part sexuellement à la dérive, dans le silence assourdissant de ceux qui devraient hurler leur colère et agir avec tous les moyens dont ils disposent pour lutter contre ce fléau.

    Que sera le coup d’après ? L’exaltation de la pédophilie ? La zoophilie ? Quoi d’autre ? Allons, cherchons bien, nous allons sûrement trouver ! Quand on a un sexe à la place du cerveau, cela doit aider à inventer des idées sexuellement géniales.

    Le « marché pornographique »  a devant lui un avenir radieux. Les pornocrates et autres pornosophes peuvent se frotter les mains : ils vont connaître des lendemains enchanteurs. Qu’ils se méfient cependant des lendemains qui ne chantent plus : il pourrait y avoir un retour de bâton contre leur dictature mondiale. La révolte des familles s’est fortement exprimée contre les récentes affiches ignobles. Le film Sausage party peut accélérer le mouvement de colère. Les infâmes publications à venir d’Aides également. N’oublions pas aussi que le nouveau Code de procédure pénale, au travers de son article 227-24, permet en théorie de réprimer avec une grande sévérité ceux qui fabriquent, diffusent ou promeuvent les matériaux pornographiques.

    L’action en référé que nous avons menée contre le ministère de la Santé a permis le retrait des affiches. Nous étudions actuellement la possibilité d’une action contre les journaux diffuseurs de la prochaine et épouvantable campagne d’Aides.

    Nous mènerons, avec les moyens qui sont les nôtres, ce combat inégal pour la restauration de la dignité humaine, affreusement mutilée par les pornocrates de tous les pays, unis dans leur volonté farouche de tuer la beauté de la personne, en la transformant en simple et glauque objet sexuel.

    François Billot de Lochner

    Président de la Fondation de Service politique,
    de Liberté politique et de France Audace

    Source : Liberté politique.

  • « Sausage Party » : le film qui initie la jeunesse au sexe en groupe et à la pornographie

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    [Source : Info Chrétienne]

    « Sausage Party » est un film pour adulte, interdit aux mineurs aux Etats-Unis, mais accessible en France pour les enfants de 12 ans et plus. L’humour qu’il véhicule émane d’un monde où la pornographie n’est pas un problème. Soyez avertis !
    Vous avez été choqué par la campagne publicitaire « sexe entre hommes ».
    Vous avez été inquiété par la possible diffusion du film Pride aux collégiens le 1er décembre.
    Vous avez craint pour vos libertés fondamentales avec l’adoption par la Commission des Affaires Sociales du délit d’entrave numérique à l’IVG.
    Mais vous n’aviez encore rien vu !

    Depuis le 30 novembre 2016, les salles françaises proposent à vos enfants de 12 ans et plus un film d’animation pornographique, le dessin animé « Sausage Party, la vie privée des aliments. »

    Ce film, qui a rencontré un vif succès aux Etats-Unis, était là-bas interdit aux mineurs car c’est un film pornographique pour adulte !

    Orgie sexuelle, voyeurisme, fellation, sodomie, sexe entre hommes, entre femmes : voilà le point culminant de ce film dans la scène de l’orgie. Vous ne voulez pas voir ça, ni dans cet extrait et encore moins dans une salle de cinéma avec votre enfant de 12 ans !

    Sausage Party est décrit comme un « Toy Story pour adultes », un « food porn », c’est une initiation et une incitation à considérer comme « normal » le sexe en groupe.

    Paris Normandie rapporte :

    Scènes sexuellement explicites entre aliments, propos obscènes, consommation de stupéfiants avec modes d’emploi plein cadre, dialogues souvent outranciers truffés d’insultes et grossièretés diverses et variées : «Sausage Party» comporte tous les ingrédients pour susciter la polémique.

    Envie de voir ça avec vos ados ?

    La pornographie semblerait être la base culturelle que la société veut donner aux jeunes, déjà admise par beaucoup comme « normale » : maintenant le film incite à passer à l’étape suivante qui est la mise en pratique en groupe.

    La pornographie a des effets dévastateurs et irréversibles chez les jeunes. Vous devez les protéger de ce fléau dans vos maisons, sur Internet, dans les écoles et maintenant aussi dans les salles de cinéma ! Ne laissez pas l’industrie puissante de la pornographie faire de vos enfants de futurs clients zombies et drogués. Les effets de la pornographie sur le cerveau sont comparables à ceux de l’héroïne !

    Parents, ne laissez pas vos enfants être exposés au sexe en groupe et à la pornographie !

    Prions pour nos familles, prions pour nos enfants, prions pour un réveil dans ce monde voué à l’impureté et à l’iniquité.

    Source et suite : Info Chrétienne - Liberté politique.

    A lire également : Info Chrétienne dénonce Sausage Party et devient le coup de gueule de Touche Pas à Mon Poste !