St Bonaventure, évêque, confesseur et docteur de l’Église
(fêté hier au calendrier traditionnel)
Œuvres de St Bonaventure à lire et/ou télécharger ICI.
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St Bonaventure, évêque, confesseur et docteur de l’Église
(fêté hier au calendrier traditionnel)
St Camille de Lellis
(400e anniversaire du dies natalis - fête au calendrier traditionnel le 18 juillet)
Benoît XIV béatifia (2 février 1742) et canonisa (29 juin 1746) Camille de Lellis. Un décret de la Congrégation des Rites (15 décembre 1762), signé par Clément XIII le 18 juillet, étendit sa fête à toute l’Eglise. Avec St Jean de Dieu, Léon XIII le proclama patron des malades et des hôpitaux (22 juin 1886), et Pie XI le proclama également patron du personnel des hôpitaux (28 août 1930).
Cf. allocution du Pape Français après l'Angélus de ce dimanche 13 juillet.
A noter également le 14 juillet :
915ème anniversaire de la prise de Jérusalem par les croisés, sous la direction de Godefroid de Bouillon (14 juillet 1099)
221ème anniversaire de la mort du Saint de l'Anjou, Jacques Cathelineau, Généralissime de la grande armée catholique et royale (14 juillet 1793)
15ème Dimanche du Temps ordinaire
(Calendrier traditionnel : 5ème Dimanche après la Pentecôte)
Calendrier liturgique
Le Cœur Immaculé de Marie
Calendrier liturgique
St Antoine de Padoue, prêtre, confesseur et docteur de l'Eglise
Du 13 au 15 juin, la paroisse de Cuges-les-Pins (13780) fête son saint patron avec un pèlerinage. Au programme le 15 juin, à 10h00, sera célébrée la Grand Messe solennelle avec trompette et orgue, suivie de la procession dans le village avec la relique de St Antoine ; l'après-midi à 15h00 célébration des Vêpres, procession vers la chapelle de Saint Antoine et bénédiction des pèlerins et du village avec le Saint-Sacrement.
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A lire, à propos de St Christophe Magallanes et des martyrs du Mexique
5ème Dimanche de Pâques
(Calendrier traditionnel : 4ème Dimanche après Pâques)
Calendrier liturgique
St Mina (Menas), monastère copte orthodoxe à Mariut, près d'Alexandrie
(restauré sous le pontificat du Pape Kyrillos VI, à partir de 1959)
« Le corps du Christ était de même substance que celui de tous les hommes, c'était un corps humain, et bien que par un nouveau prodige il fût issu de la vierge seule, il était cependant mortel, et il est mort selon le sort commun à ses semblables. Mais à cause de la venue en lui du Verbe, il n'était plus soumis à la corruption comme le voulait sa propre nature ; par la présence en lui du Verbe de Dieu, il était étranger à la corruption. Ainsi deux prodiges se rencontrent dans le même être : la mort de tous s'accomplissait dans le corps du Seigneur, et d'autre part la mort et la corruption étaient détruites par le Verbe qui habitait en ce corps (1). La mort était nécessaire, et il fallait qu'il mourût pour tous, pour payer la dette de tous. Aussi, comme je l'ai déjà dit, puisque le Verbe ne pouvait mourir lui-même, - il était immortel, - il prit un corps capable de mourir, afin de l'offrir pour tous comme son bien propre, et, souffrant lui-même pour tous dans ce corps où il était venu, de réduire à rien le maître de la mort, c'est-à-dire le diable, et "délivrer ceux qui par crainte de la mort, étaient leur vie durant assujettis à l'esclavage" (Hébr., II, 15).
Assurément, puisque le Sauveur de tous est mort pour nous, nous les fidèles du Christ nous ne mourons plus de mort comme autrefois selon la menace de la loi, car cette peine a pris fin, mais puisque la corruption a cessé et a disparu par la grâce de la résurrection, il reste que, selon la condition de notre corps mortel, nous nous décomposons seulement pour le temps que Dieu a fixé à chacun, pour que nous puissions obtenir une plus belle résurrection (2). Car à la façon des semences jetées en terre, nous ne périssons pas dans la dissolution, mais nous sommes semés pour ressusciter, puisque la mort a été réduite à rien par la grâce du Sauveur. C'est pourquoi le bienheureux Paul, qui se fait pour tous le garant de la résurrection, dit : "Il faut que ce corps corruptible revête l'incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l'immortalité. Quand le corruptible aura revêtu l'incorruptibilité, et le mortel l'immortalité, alors se réalisera la parole qui a été écrite : la mort a été absorbée dans la victoire ; où est, mort, ton aiguillon ? où, enfer, ta victoire ?" (I Cor., XV, 53-55). »
(1) : Les métaphores du temple et de l'instrument sont familières à la christologie de saint Athanase. Bien qu'elles aient été reprochées à Nestorius, elles seront reprises dans la formule d'union de 433.
(2) : Après la mort rédemptrice du Sauveur, la mort a perdu pour les hommes son caractère de pénalité, elle n'est plus que le résultat de leur condition de créatures, et le moyen pour eux de parvenir à la résurrection glorieuse. Une telle conception, qui semble oublier que la mort reste chose douloureuse et cruelle, et qu'elle demeure une conséquence du péché (Rom., VI, 12 ; I Cor., XV, 21), paraîtra assurément trop optimiste, même si elle peut s'appuyer sur certains textes de saint Paul (Rom., VIII, 17 ; II Tim., II, 11).
St Athanase d'Alexandrie, Traité sur l'Incarnation du Verbe (20-21 : La Rédemption), Trad. et notes de P. Th. Camelot o.p., SC n°18, Le Cerf, 1946.
Saint Athanase le Grand, fresque du XIIIe siècle à Ohrid (Macédoine)
(Source et crédit photo)
St Pie V, pape
(au calendrier traditionnel : Ste Catherine de Sienne)
Calendrier liturgique
Octave : Vendredi de Pâques
Litanies Majeures, à Saint-Pierre de Rome
Calendrier liturgique