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Pierre Goursat, qui a fondé la communauté de l'Emmanuel en 1972, était né le 15 août 1914. Un siècle plus tard, une journée est spécialement organisée à sa mémoire à Paray-le-Monial.
09h : louange 10h : enseignement : “De quelle sainteté parle-t-on concernant Pierre ?” par le Père Bernard Peyrous 11h : Messe de l’Assomption
Après-midi spéciale Pierre Goursat avec :
14h : le film Pierre et l’Emmanuel (à retrouver ici) 15h : au choix : Pèlerinage sur la tombe de Pierre avec Bernard Peyrous Adoration animée avec des textes de Pierre sous la grande tente. 16h30 : Louange finale, action de grâce 17h : fin
Raqqa (Agence Fides) – Le 29 juillet 2013, le Père Paolo Dall’Oglio, jésuite et islamologue romain, était enlevé à Raqqa, ville de Syrie contrôlée par les milices du prétendu « État islamique ». Depuis lors, plus aucune nouvelle certaine du religieux italien ne nous est parvenue. Un an après l’enlèvement, dans différentes villes du monde, de Paris à Beyrouth, de Rome à Berlin, ont été annoncés des rassemblements, des Messes et des veillées de prière pour invoquer du Seigneur le don de sa libération et de celle des autres personnes enlevées dans ce pays arabe martyrisé par le conflit en cours.
Les moines et les moniales de la communauté al-Khalil, fondée par le Père Dall’Oglio dans le monastère syrien de Deir Mar Musa, se trouvant actuellement près la fondation monastique de Deir Maryam el Adhra sis à Souleimaniye, au Kurdistan irakien, se sont aujourd’hui recueillis en silence et dans la prière pour faire mémoire de leur ami et de toutes les autres personnes enlevées en Syrie. « Notre rassemblement – écrivent les membres de la communauté dans un communiqué parvenu à l’Agence Fides – se veut un geste pour la paix et la liberté, en Syrie et dans toute la région. Chacun peut s’unir à nous avec un cierge, un portrait du Père Dall’Oglio et d’autres détenus : pas de banderoles, pas de drapeaux, pas de slogans politiques ».
Au cours de la journée d’hier, les parents du Père Dall’Oglio ont diffusé un message vidéo accessible sur Youtube et rendu également disponible par le Bureau de Presse du Saint-Siège.
« Un an s’est désormais écoulé depuis que l’on est sans nouvelle de notre fils et frère Paul, prêtre, jésuite, italien » affirment dans l’appel fait au nom de toute la famille un frère et la sœur du Père Dall’Oglio. Dans le message, les parents du jésuite romain s’adressent également « aux responsables de la disparition d’un homme bon, d’un homme de foi, d’un homme de paix », leur demandant « d’avoir la dignité de nous faire connaître son sort. Nous voudrions le retrouver mais nous sommes aussi prêts à le pleurer ». (GV)
« L’Évangile de ce dimanche (Mt 13, 1-23) nous montre Jésus qui prêche sur les rives du lac de Galilée, et parce qu'une grande foule l'entoure, Il monte sur un bateau, il s'éloigne un peu du rivage et il prêche à partir de là. Quand il parle au peuple, Jésus utilise de nombreuses paraboles : un langage compréhensible par tous, avec des images tirées de la nature et des situations de la vie quotidienne.
La première qu'il raconte est une introduction à toutes les paraboles : c'est celle du semeur, qui jette sa semence sans s'épargner sur tous les types de terrain. Et le véritable protagoniste de cette parabole est la graine, qui produit plus ou moins de fruits selon la terre sur laquelle elle est tombée. Les trois premières sont des terres improductives : sur le chemin les graines sont mangées par les oiseaux ; sur le sol rocheux les épis sèchent rapidement, car ils n'ont pas de racines ; au milieu des ronces les grains sont étouffés par les épines. Le quatrième terrain est un bon terrain, et là seulement, la graine prend racine et porte des fruits.
Dans ce cas, Jésus ne s'est pas limité à présenter la parabole, il l'a aussi expliquée à ses disciples. Le grain tombé sur le chemin indique ceux qui entendent l'annonce du Royaume de Dieu, mais ne l'accueillent pas ; ainsi le Malin vient et s'en empare. Le Malin, en effet, ne veut pas que la graine de l’Évangile pousse dans le cœur des hommes. Il s'agit de la première comparaison. La deuxième est celle de la semence qui est tombée sur les pierres : ce sont les gens qui entendent la parole de Dieu et l'accueillent tout de suite, mais superficiellement, parce qu'ils n'ont pas de racines et sont inconstants ; et lorsque les épreuves et les tribulations arrivent, ces gens sont immédiatement abattues. Le troisième cas est celui des graines qui sont tombées parmi les ronces : Jésus explique qu'il fait référence à des gens qui écoutent la parole, mais, en raison de préoccupations mondaines et de la séduction des richesses, la graine reste étouffée. Enfin, la graine tombée sur un sol fertile représente tous ceux qui écoutent la parole, l'accueillent, la gardent, la comprennent, et celle-ci porte du fruit. Le modèle parfait de cette bonne terre est la Vierge Marie.
Cette parabole s'adresse à chacun de nous aujourd'hui, comme elle parlait aux auditeurs de Jésus il y a deux mille ans. Cela nous rappelle que nous sommes le terrain où le Seigneur jette sans relâche la semence de sa Parole et de son amour. Comment l'accueillons-nous ? Et nous pouvons nous poser cette question : comment est notre cœur ? A quelle terre ressemble-t-il : à un chemin, à une pierre, à un buisson ? Il dépend de nous de devenir un bon sol sans épines ni pierres, mais labourée et cultivée avec soin, de sorte qu'il puisse porter de bons fruits pour nous et pour nos frères.
Et nous ferons bien de ne pas oublier que nous aussi nous sommes des semeurs. Dieu sème la bonne semence, et ici nous pouvons nous poser la question : quel sorte de graine sort de notre cœur et de notre bouche ? Nos paroles peuvent faire beaucoup de bien et aussi tant de mal ; elles peuvent guérir et peuvent blesser ; elles peuvent encourager et peuvent déprimer. Rappelez-vous, ce qui importe n'est pas ce qui entre, mais ce qui sort de la bouche et du cœur.
Que Notre-Dame nous apprenne, par son exemple, à accueillir la Parole, à la garder, et à la faire fructifier en nous et chez les autres. »
Israël-Palestine : Prière pour la paix
« J'adresse à tous un appel pressant à continuer à prier avec ferveur pour la paix en Terre Sainte, à la lumière des événements tragiques de ces derniers jours. J'ai encore en mémoire la rencontre du 8 Juin dernier avec le patriarche Bartholomée, le président Peres et le Président Abbas, avec qui nous avons invoqué le don de la paix et entendu l'appel à briser le cycle de la haine et de la violence. Certains pourraient penser que cette réunion a eu lieu en vain. Mais non ! La prière nous aide à ne pas nous laisser vaincre par le mal, ni à nous résigner et à accepter que la violence et la haine prennent le dessus sur le dialogue et la réconciliation. J'exhorte les parties concernées et tous ceux qui ont des responsabilités politiques au niveau local et international à ne pas économiser leurs prières, et à n'épargner aucun effort pour mettre fin à toutes les hostilités et parvenir à la paix souhaitée pour le bien de tous. Et je vous invite, vous tous, à vous joindre à cette prière. Dans le silence, tous, prions. (Prière silencieuse) Maintenant, Seigneur, aide-nous ! Donne-nous la paix, apprends-nous la paix, guide-nous vers la paix. Ouvre nos yeux et nos cœurs et donne-nous le courage de dire "Jamais plus la guerre !", "Avec la guerre tout est détruit !". Donne-nous le courage de réaliser des gestes concrets pour construire la paix... Rends-nous disponibles à écouter le cri de nos concitoyens qui nous demandent de transformer nos armes en instruments de paix, nos peurs en confiance et nos tensions en pardon. Amen. »
Apostolat de la Mer (Cf. ci-dessous)
Comme chaque deuxième week-end de juillet est célébré le Dimanche de la Mer, occasion d’attirer l’attention sur les marins du monde entier : ils sont estimés à 1,2 million à travers le monde.
« Aujourd'hui c'est le "Dimanche de la Mer". Je tourne mes pensées vers les gens de la mer, les pêcheurs et leurs familles. J'invite les communautés chrétiennes, en particulier celles du littoral, à être attentives et sensibles à leur égard. J'invite les aumôniers et les bénévoles de l'Apostolat de la mer à poursuivre leur engagement dans la pastorale de ces frères et sœurs. Je vous confie tous, en particulier ceux qui sont en difficulté et loin de leur maison, à la protection maternelle de Marie, Étoile de la mer. »
Je me joins à la prière des pasteurs et des fidèles qui participent au pèlerinage de la famille de Radio Maria à Jasna Gora, à Czestochowa. Merci pour vos prières et je vous bénis de tout cœur.
14 juillet 2014 : 400e anniversaire du dies natalis de St Camille de Lellis
« Je salue maintenant avec grande affection tous les fils spirituels et filles de saint Camille de Lellis, dont on rappelle demain le 400e anniversaire de sa mort. J'invite la famille camilienne, au sommet de cette année jubilaire, à être un signe du Seigneur Jésus qui, comme le Bon Samaritain, se penche sur les blessures du corps et de l'esprit de l'humanité souffrante, en versant l'huile de la consolation et le vin de l'espérance. Pour vous qui êtes réunis ici, place Saint-Pierre, ainsi que les professionnels de la santé affectés dans vos hôpitaux et maisons de soins infirmiers, je souhaite de grandir de plus en plus dans le charisme de la charité, alimentée par le contact quotidien avec les malades. Et, s'il vous plaît, n'oubliez pas, n'oubliez pas de prier pour moi. »
« Sa Sainteté le Pape François s’unit de grand cœur à l’intercession des personnes venues commémorer les événements dramatiques qui se sont déroulés en ces lieux il y a soixante-dix ans, et prier pour la paix. Il adresse son cordial salut à Monsieur le Cardinal André Vingt-Trois, Archevêque de Paris, à Monseigneur Jean-Claude Boulanger, Évêque de Bayeux-Lisieux, ainsi qu’aux représentants des autres communautés ecclésiales et à toutes les personnes rassemblées.
Le Saint-Père rend hommage aux nombreux soldats qui ont quitté leur pays pour débarquer sur les plages de Normandie, afin de lutter contre la barbarie nazie et libérer la France occupée. Il n’oublie pas non plus les soldats allemands entraînés dans ce drame, ainsi que toutes les victimes de cette guerre. Il convient que les générations présentes expriment leur reconnaissance à tous ceux qui ont consenti de si lourds sacrifices. C’est par la transmission de la mémoire et par l’éducation des nouvelles générations au respect que tout homme créé à l’image de Dieu qu’il est possible d’envisager, dans l’espérance, un avenir meilleur.
Cette commémoration nous rappelle que l’exclusion de Dieu de la vie des personnes et des sociétés ne peut apporter que mort et malheur. Les Nations européennes peuvent trouver dans l’Évangile du Christ, Prince de la paix, la racine de leur histoire et une source d’inspiration pour nouer entre elles des relations toujours plus fraternelles et solidaires.
Le Saint-Père souhaite que Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix co-patronne de l’Europe, qui donne son nom à la cloche bénie en cette occasion, soit un guide et une protectrice pour avancer sur le chemin de la paix. Confiant chacun des participants à la protection de la Vierge Marie, il leur accorde de grand cœur la Bénédiction apostolique. »
Cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d'Etat de Sa Sainteté Lettre envoyée à l’archevêque de Paris, Mgr André Vingt-Trois, et l’évêque de Bayeux, Mgr Jean-Claude Boulange.
Monseigneur le duc d'Anjou (*) et Madame la duchesse d'Anjou, invités par le clergé et les autorités municipales, assisteront à Aigues-Mortes, le 25 avril, jour anniversaire de la naissance et du baptême du Roi Saint Louis, à une Messe pontificale célébrée par Monseigneur Wattebled, évêque de Nîmes, Uzès et Alès en l'église Notre Dame des Sablons à 19 heures.
Célébrations dans les abbayes bénédictines italiennes
Cinquante ans se sont écoulés depuis que le pape Paul VI, le 24 octobre 1964, a proclamé saint Benoît patron de l’Europe. Les célébrations ont commencé en début d’année à Nursie (Norcia, en Italie), où se sont rencontrés les représentants des communautés italiennes fondées par saint Benoît, celles de Cassino et Subiaco.
Une messe solennelle a été présidée par l’abbé ordinaire de Subiaco, Mauro Meacci, marquée par l’allumage du flambeau bénédictin « Pro pace et Europa una » qui, cette année, sera porté en Croatie, entrée dans l’Europe le 1er juillet 2013.
Des célébrations sont prévues ce 21 mars, jour du dies natalis du saint de Nursie qui fut le pionnier de la vie monastique en Occident, messager de paix, protecteur de la foi chrétienne et porteur de civilisation dans toute l’Europe.
Des célébrations sont prévues aussi dans la région historique Sabine, à Farfa, lieu de l’ancienne abbaye impériale, dont la communauté bénédictine de Saint-Paul-Hors-les-Murs est propriétaire depuis 1921.
L’évêque de Sabina-Poggio Mirteto, Mgr Ernesto Mandara, a donné le coup d’envoi aux célébrations par une messe célébrée en la basilique de l’abbaye le samedi 15 mars, suivie ce vendredi 21 mars d’une autre célébration eucharistique présidée par le prieur, Dom Eugenio Gargiulo O.S.B.
Y-a-t-il encore des choses à dire sur le curé des sans-logis qui, le 1er février 1954 lançait au micro de Radio Luxembourg (RTL), son appel historique à l’insurrection de la Bonté ? Oui, répondent les auteurs de ce livre riche en anecdotes et confidences, sur celui qui fut longtemps la personnalité préférée des Français.
Rassemblant leurs souvenirs, citant des sources inédites, notamment sur « l’affaire Garaudy », ils dressent le portrait bouleversant d’un homme dont l’engagement est né de son expérience, faite à 14 ans, d’un Dieu d’Amour. Cette « brûlure d’Assise » est le secret qui donne sens à sa vie et son action.
René Poujol, journaliste, est bien connu du public. Il a "suivi" l’activité de l’abbé Pierre pendant une trentaine d’années. Jean-Marie Viennet, ancien vicaire général du diocèse de Belfort-Montbéliard, a été Secrétaire général d'Emmaüs international pendant 25 ans, et a accompagné l'abbé Pierre à travers le monde. Il en a été le confident et le confesseur.
Un livre extraordinairement vivant, passionnant, qui nous fait vivre aux côté de l'abbé Pierre tout au long de son combat et de sa longue vie de prière, en faveur des plus démunis.
En 1063 eut lieu la consécration de l'abbatiale Saint Pierre à Moissac, événement capital pour la communauté de moines qui y vivait et pour l'essor ultérieur de la ville. 2013 est l'occasion de fêter le 950e anniversaire de cette dédicace.
Du 21 au 24 novembre, de nombreux événements sont prévus pour célébrer cet anniversaire. Le programme des festivités, colloques, animations, visites et célébrations est détaillé ici.
Vous trouverez également dans ces pages l'historique de l'abbatiale, de nombreuses photographies et vidéos réalisées dans l'abbaye, et quelques liens utiles.
N.B. : la liturgie de ce dimanche a la préséance sur la mémoire de l'Archange St Michel (et des Archanges St Gabriel et St Raphaël au nouveau calendrier)