Sur le thème :
« Ces quelques prières ferventes que tu m’as adressées ont touché mon Cœur de Mère. » (3ème app.)
(avec la participation de Monseigneur Pansard, évêque de Chartres)
Toutes informations sur le site internet du Sanctuaire.
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Pèlerinage annuel à Pellevoisin (31 août - 1er septembre)
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Méditation : Révélation de Notre Seigneur sur cette fête demandée par Lui à Ste Marguerite-Marie
« Etant une fois devant le Saint Sacrement, un jour de son octave, je reçus de mon Dieu des grâces excessives de son amour, et me sentis touchée du désir de quelque retour et de lui rendre amour pour amour. Et il me dit : "Tu ne peux m'en rendre un plus grand qu'en faisant ce que je t'ai déjà tant de fois demandé." Alors me découvrant son divin Cœur : "Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu'il n'a rien épargné jusqu'à s'épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et mépris qu'ils ont pour moi dans ce sacrement d'amour. Mais ce qui m'est encore plus sensible est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. C'est pourquoi je te demande que le premier vendredi d'après l'octave du Saint Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon divin Cœur en communiant ce jour-là et en lui faisant réparation d'honneur par une amende honorable pour réparer les indignités qu'il a reçues pendant le temps qu'il a été exposé sur les autels. Je te promets aussi que mon Cœur se dilatera pour répandre avec abondance les influences de son divin amour sur ceux qui lui rendront cet honneur et qui procureront qu'il lui soit rendu". »
Notre-Seigneur à Ste Marguerite-Marie, Récit de la quatrième révélation (la "grande apparition"), entre le 13 et le 20 juin 1675, in Vie écrite par elle-même, Vie et Œuvres, Paris, Poussielgue, 1867, T.II, p.355.
Texte complet ICI.Eglise Saint-Pierre de Nancy - Autel du Sacré-Cœur
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Ouverture de la cause en béatification du P. Michel Guérin, ancien curé de Pontmain
Le diocèse du Mans a annoncé l'ouverture le 1er juin dernier de la cause en béatification du P. Michel Guérin (1801-1872), curé de Pontmain lors de l'apparition mariale de 1871.
Tous les détails sur le site du diocèse du Mans. -
Regina Cœli de ce dimanche 7 avril 2013
Au cours du dimanche concluant l'octave de Pâques, appelé par Jean-Paul II dimanche de la divine miséricorde, le Pape a salué les fidèles réunis Place St Pierre pour l'Angélus par les paroles de Jésus ressuscité : "La paix soit avec vous", et a expliqué que cette paix était plus qu'un salut ou un simple vœu. "C'est un don - a-t-il dit - et même le don précieux que le Christ offre à ses disciples après être passé par la mort et les enfers". C'est une paix "qui est le fruit de la victoire de l'amour de Dieu sur le mal,...du pardon. La véritable paix, la paix profonde, provient de l'expérience de la miséricorde de Dieu".
Le Saint-Père a ensuite évoqué les apparitions de Jésus à ses disciples enfermés dans le Cénacle. La première fois, il manquait Thomas qui n'a pas cru ce que lui ont raconté les apôtres. La deuxième fois, où Thomas était présent, Jésus lui dit après que celui-ci a touché ses plaies : Parce que tu as vu, tu as cru. Heureux celui qui croit sans avoir vu. Le Pape a ajouté : "Et qui étaient ceux qui avaient cru sans avoir vu ? D'autres disciples, d'autres hommes et femmes de Jérusalem qui, bien que n'ayant pas rencontré Jésus ressuscité, crurent au témoignage des apôtres et des femmes. C'est une parole sur la foi très importante, que nous pouvons appeler la béatitude de la foi. En tout temps et en tout lieu, bienheureux sont ceux qui, par la Parole de Dieu proclamée dans l'Eglise et témoignée par les chrétiens, croient que Jésus Christ est l'amour de Dieu incarné, la Miséricorde incarnée. Et cela vaut pour chacun de nous !".
Avec la paix, Jésus donne à ses disciples l'Esprit Saint, "pour qu'ils répandent dans le monde le pardon des péchés, ce pardon que seul Dieu peut donner et qui a coûté le sang de son Fils. L'Eglise est envoyée par le Christ ressuscité pour transmettre aux hommes la rémission des péchés, et faire grandir ainsi le Règne de l'amour, semer la paix dans les cœurs, pour qu'elle s'affirme aussi dans les relations, les sociétés et les institutions. Et l'Esprit du Christ ressuscité chasse la peur du cœur des apôtres et les poussent à sortir du Cénacle pour apporter l'Evangile. Ayons davantage de courage, nous aussi, pour témoigner notre foi dans le Christ ressuscité ! Nous ne devons pas avoir peur d'être chrétiens et de vivre en chrétiens !".
Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 8.4.13) -
Lundi 11 février 2013
11 février : Notre-Dame de Lourdes
XXIe Journée mondiale du malade
Message du Pape Benoît XVI : « Va, et toi aussi, fais de même » (Lc 10, 37)
(Publié le 2 janvier 2013 - Texte intégral par le lien ci-dessus)
Calendrier liturgique -
Dimanche 9 décembre 2012
Calendrier liturgique
2ème dimanche de l'Avent -
8 décembre : 1ère apparition à l'Ile Bouchard (1947)
Jacqueline Aubry nous donne son témoignage. A l'âge de 12 ans, elle allait à l'école comme tous les enfants de son âge. Ses parents n'étaient pas pratiquants, mais sa maman l'avait quand même inscrite à l'école des Soeurs. En ce 8 décembre 1947, fête de la Sainte Vierge, Jacqueline, sa petite soeur et une petite voisine entrent dans l'église pour aller dire une petite prière. C'est alors, qu'au 4ème "Je vous salue Marie", Jacqueline aperçoit une dame d'une beauté extraordinaire...
L'Ile Bouchard - Témoignage de Jacqueline Aubry
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29 novembre 1932 : 1ère apparition de Beauraing
Ce jeudi 29 novembre marque le début des apparitions de la Vierge Marie entre novembre 1932 et janvier 1933 à cinq enfants, dont Gilberte Degeimbre est la dernière survivante.
La Vierge au Coeur d'or
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Anniversaire de l'Apparition de Notre-Dame de la Salette (19 septembre 1846)
« Souvenez-vous, ô Notre-Dame de La Salette, véritable Mère des douleurs, des larmes que vous avez versées pour moi sur le Calvaire ; souvenez-vous aussi de la peine que vous prenez toujours pour moi, afin de me soustraire à la justice de Dieu, et voyez si, après avoir tant fait pour votre enfant, vous pouvez maintenant l'abandonner. Ranimé par cette consolante pensée, je viens me jeter à vos pieds, malgré mes infidélités et mes ingratitudes. Ne repoussez pas ma prière, ô Vierge Réconciliatrice, mais convertissez-moi, faites-moi la grâce d'aimer Jésus par dessus tout, et de vous consoler vous-même par une vie sainte pour que je puisse un jour vous voir au ciel. Amen.
Notre-Dame de La Salette, Réconciliatrice des pécheurs, priez sans cesse pour nous qui avons recours à vous. »
Imprimatur: La Salette, le 26 juin 1966
+ André-Jacques Fougerat, Evêque de Grenoble -
Nuit du 18 au 19 juillet 1830, apparition de la Sainte Vierge à Ste Catherine Labouré, rue du Bac à Paris
« Venez au pied de cet autel. Là, les grâces seront répandues sur toutes les personnes qui les demanderont avec confiance et ferveur. »
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3 juillet : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise
« Pour nous amener à la foi et nous guérir de nos maux, le Christ a dû faire pendant sa vie des miracles corporels. [...]
Nous devons savoir que tous les miracles qu'il a faits sur les corps ont pour but de nous instruire et de nous faire parvenir à ce qui ne passe pas, à ce qui n'aura jamais de fin. Il a rendu les yeux aux aveugles, et la mort devait encore les leur fermer ; il a ressuscité Lazare, et Lazare devait encore mourir. Tout ce qu'il a fait pour la guérison des corps ne tendait pas à les rendre immortels, quoique néanmoins il doive finir par assurer aux corps mêmes une éternelle santé : mais comme on ne croyait pas aux invisibles réalités, il a voulu, par le moyen d'actions visibles et passagères, élever la foi vers les choses invisibles.
Que nul donc, mes frères, ne s'avise de dire que Notre-Seigneur Jésus-Christ ne fait maintenant rien de semblable, et que pour ce motif les premiers temps de l'Eglise étaient préférables à ceux-ci. Notre-Seigneur lui-même ne préfère-t-il pas quelque part ceux qui croient sans avoir vu à ceux qui croient parce qu'ils voient ? Telle était durant sa vie la faiblesse chancelante de ses disciples que non contents de l'avoir vu ressuscité, ils voulaient encore, pour croire à sa résurrection, le toucher de leurs mains. Le témoignage de leurs yeux ne leur suffisait pas, ils voulaient de plus palper son corps sacré et toucher les cicatrices encore fraîches de ses blessures : et ce n'est qu'après s'être assuré par lui-même de la réalité de ces cicatrices, que l'apôtre incrédule s'écria : "Mon Seigneur et mon Dieu !"
Ainsi les traces de ses plaies le révélaient et il avait guéri toutes les blessures d'autrui. Ne pouvait-il ressusciter sans ces marques sanglantes ? Ah ! c'est qu'il voyait, dans le coeur de ses disciples, des plaies qu'il voulait fermer en conservant les cicatrices de son corps. Et quand Thomas eut enfin confessé sa foi en s'écriant : "Mon Seigneur et mon Dieu ! C'est pour m'avoir vu, dit le Seigneur, que tu as cru : heureux ceux qui croient sans voir." N'est-ce pas nous, mes frères, que regardent ces dernières paroles ? N'est-ce pas nous et ceux qui nous suivront ? Peu de temps en effet après qu'il se fut dérobé aux regards mortels pour affermir la foi dans les coeurs, ceux qui croient en lui le firent sans avoir vu, et le mérite de leur foi fut considérable, et afin d'acquérir cette foi ils approchèrent de lui leur coeur pour l'aimer et non la main pour le toucher. »
Saint Augustin (354-430), Sermon LXXXVIII (L'aveuglement spirituel, 1-2).
Source : Clerus.org -
7 juin : Anniversaire de l'apparition de Saint Joseph à Cotignac
Anniversaire de l'apparition de Saint Joseph au berger Gaspard Ricard, à Cotignac (le 7 juin 1660) : tous les renseignements historiques, et l'organisation des pèlerinages sur le site de Notre-Dame de Grâces.
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21 mai : Notre-Dame des Ardents (translation des reliques)
Nous célébrons également aujourd'hui Notre-Dame des Ardents, apparue à Arras pour la première fois dans la nuit du 24 au 25 mai 1105.
On peut lire aussi l'hymne à Vêpres : Ardens eum fureret
"Le fléau des Ardents, mal affreux, faisait rage ;
par pitié pour nos pères, tu descends des cieux
et d’un cierge qui brille en tes mains, la lumière
rallume la santé des corps." ... -
13 mai : Notre-Dame de Fatima
Notre-Dame de Fatima : 1ère apparition le 13 mai 1917
« Notre-Dame de Fatima, Mère de Jésus et de l'Église, nous avons besoin de vous. Accordez-nous la lumière qui rayonne de votre bonté, le réconfort qui émane de votre Cœur immaculé, la charité et la paix dont vous êtes la Reine… Obtenez le soulagement aux âmes du purgatoire, la guérison aux malades, la pureté aux jeunes, la foi et la concorde aux familles, la paix à tous les hommes. Ramenez ceux qui sont perdus sur le droit sentier, donnez-nous beaucoup de vocations et de saints prêtres, protégez le Saint-Père, les évêques et la Sainte Église de Dieu.
Marie, écoutez-nous et ayez pitié de nous. Tournez vers nous vos regards miséricordieux. Et après cet exil, montrez-nous Jésus, le fruit béni de vos entrailles, ô clémente, ô tendre, ô douce Vierge Marie.
Ainsi soit-il. »
(Source) -
8 mai : Sanctoral
Saint Désiré, Chancelier royal et évêque de Bourges (+ 550)
Au calendrier traditionnel :
De la férie - Et avant 1960 :
Apparition de Saint Michel Archange au Mont Gargan (492)La fête de l’apparition de Saint Michel Archange sur le Mont Gargan, dans les Pouilles, le 8 mai 492 est l’une des fêtes qui furent supprimées en 1960 (trois en quelques jours, avec l’Invention de la Sainte Croix, le 3 mai, et Saint Jean devant la Porte latine, le 6).
Il s’agit de la première apparition (en Occident) de Saint Michel. Quand l’Archange apparaîtra à Saint Aubert, évêque d’Avranches, il lui dira qu’il veut être honoré sur le Mont Tombe (actuel Mont Saint-Michel) comme il l’est au Mont Gargan.
« Je suis heureux d'être parmi vous à l'ombre de ce sanctuaire de l'Archange Saint Michel, qui, depuis quinze siècles de pèlerinage, et un point de référence pour ceux qui cherchent Dieu et souhaitent se mettre à la suite du Christ, par qui "ont été créées toutes choses dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, Trônes, Seigneuries, Principautés, et Dominations" (Col. 1, 16.).
[...]
À ce stade, comme l'a fait dans le passé un si grand nombre de mes prédécesseurs à la chaire de Pierre, je suis venu pour profiter un moment de l'atmosphère propre à ce sanctuaire, fait de silence, de prière et de pénitence ; je suis venu pour vénérer et invoquer Saint Michel Archange, pour protéger et défendre la Sainte Eglise, à un moment où il est difficile de faire un témoignage chrétien authentique sans compromis et sans accomodations... »
Jean-Paul II, extrait du Discours à la population de Monte Sant'Angelo (Foggia), Dimanche 24 mai 1987.