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archange - Page 2

  • Neuvaine du 20 au 28 septembre pour préparer la fête de l'Archange Saint Michel

    Neuvaine à Saint Michel et aux neuf chœurs des Anges

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  • Mardi 24 mars 2015

    Mardi de la Passion
     
    St Gabriel, Archange (mémoire)
  • Méditation - Prière à St Raphaël

    « Venez à mon secours, je vous en supplie,
    glorieux Prince, saint Raphaël,
    le meilleur médecin des âmes et des corps.
    O vous qui avez guéri les yeux de Tobit,
    donnez à mes yeux la lumière physique
    et à mon âme la lumière spirituelle ;
    éloignez de moi toutes les ténèbres
    par vos célestes supplications.
    Ainsi soit-il. »

    Extrait d'un manuscrit du XI° siècle.
    Raphaël Delarbre, L'Archange Raphaël : Sa mission et son culte
    Archivum Angelicum, 1988
    (rééd. 1993 - 1ère série, hors commerce).

    La guérison de Tobit (détail), Domenico Fetti (1589-1624), Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg

  • Vendredi 24 octobre 2014

    St Antoine-Marie Claret, évêque et fondateur
    (dies natalis, voir à la date d'hier)

    Au calendrier traditionnel : St Raphaël, archange

     

    Gravure du XVIIe

    Calendrier liturgique

  • Méditation : la dévotion à Saint Michel Archange

    « Non seulement l’Église invite les fidèles à être dévots à saint Michel, mais elle le regarde comme son puissant protecteur, et elle l'invoque souvent dans ses prières. Elle a même établi deux fêtes solennelles en son honneur : le 8 mai et le 29 septembre de chaque année.
    Dépositaire des révélations divines, elle sait que ce glorieux prince des milices angéliques préside, de par Dieu, aux destinées des peuples chrétiens, et que sa céleste intervention est une source intarissable de grâces dans l'ordre physique, moral et spirituel. Aussi recommande-t-elle avec insistance la dévotion à saint Michel, la plus capable d'exterminer ces sectes maudites, filles de Satan, qui corrompent le monde par leurs subversives doctrines, leur propagande impie, leur néfaste influence sur les esprits et les cœurs.

    Écoutons les saints nous parler de cette dévotion :

    "Le zèle de notre dévotion à saint Michel, dit saint Denis, est comme la mesure de notre sanctification personnelle et pour la sanctification des âmes. – négliger cette dévotion, ajoute saint Bernard, c'est s'exposer inévitablement à la damnation éternelle ; la pratiquer c'est, au contraire, s'assurer le salut et la suprême félicité."
    Saint Liguori explique ainsi son étonnante et si consolante parole : La dévotion à saint Michel est un signe de prédestination. "La raison est, dit-il, que saint Michel, aimant beaucoup le salut de ses pieux serviteurs, ne souffrira pas qu'une âme qui conserve envers lui une dévotion particulière, tombe dans la disgrâce de Dieu ; il lui obtiendra la force de résister aux attaques de l'enfer. Si malheureusement cette âme est tombée par le passé dans quelque faute grave, dès qu'elle se recommande à ce puissant protecteur, il lui obtiendra facilement la grâce du pardon et de la persévérance ; car l’Église atteste que, lorsqu'on honore saint Michel, on participe à ses bienfaits et aux prières qu'il ne cesse d'adresser pour ceux qui le servent, afin de pouvoir les conduire au royaume des cieux : Cujus honor proestat beneficia populorum, et oratio perducit ad regna coelorum. Qu'on remarque ces paroles : Cujus… oratio perducit ad regna coelorum ; elles signifient que lorsque saint Michel recommande une âme à Dieu, il lui obtient le salut éternel. Aussi, saint Laurent Justinien exhorte tous les hommes à tâcher d'acquérir la protection de ce puissant archange, par des prières et d'autres pieux hommages, afin qu'il les secoure dans tous les besoins de l'âme ; car il ne peut dédaigner les prières qu'on lui adresse, ni laisser de protéger ceux qui se confient en son intercession et qui l'aiment.

    S'il est salutaire en tout temps de prier saint Michel, n'est-il pas nécessaire, à l'heure présente, de recourir à sa puissante intercession, de demander à ce glorieux vainqueur de Lucifer, à ce porte-étendard du Christ, de défendre l’Église et nous-mêmes dans la lutte terrible, acharnée, des ennemis de Dieu contre la religion et nos âmes ? Il appartient à celui qui a précipité dans l'enfer Satan et les esprits rebelles, de nous obtenir la victoire en ce nouveau combat.
    "Quand l'esprit d'inconséquence, soufflé par Satan, a dit un grand évêque, se répand dans le monde y plantant les racines de l'impiété et du vice qui engendrent tous les maux, il n'y a, pour ainsi dire, qu'une seule force à y opposer : la dévotion à saint Michel, dévotion remontant à l'origine des temps et qui produit les effets les plus merveilleux sur l'athéisme, sous quelque forme qu'il se présente." Mgr Mermillod exprime la même pensée. "Au moment, dit-il, où les sociétés chancellent, parce qu'elles ont méconnu les droits de Dieu, il importe de rappeler la dévotion à l'archange qui a jeté le cri de victoire : "Quis ut Deus ? Qui est semblable à Dieu ?"
    C'était aussi le sentiment de saint François de Sales, de Pie IX et de beaucoup d'autres pontifes, comme il l'est encore aujourd'hui de l'illustre et clairvoyant Léon XIII, N.S.P. le Pape. D'après eux, le culte de saint Michel est le grand remède contre le mépris des droits divins, contre la rébellion, contre le scepticisme, le matérialisme et la négation absolue de Dieu.

    Recourons donc à saint Michel ; prenons la pieuse habitude de l'invoquer souvent ; prions-le, dans nos défaillances, dans nos tentations, de nous défendre contre la malice de nos ennemis ; de nous découvrir leurs pièges, leurs artifices ; de nous rendre insensibles à leurs séductions et sourds à leurs perfides insinuations ; réclamons surtout son assistance pour ce moment terrible où la vie ne nous apparaîtra plus que comme un songe près de finir, où toutes les espérances de la terre s'évanouiront pour nous, où toutes les illusions se dissiperont aux premiers rayons du grand jour de l'éternité, arrivant à notre âme tremblante au milieu des angoisses de l'agonie et des épouvantes de la mort. Que saint Michel et notre saint Ange gardien nous fortifient, nous rassurent alors en nous couvrant de leurs ailes, et qu'ils conduisent notre âme à Dieu !
    Pour mériter cette grâce, cette insigne protection du glorieux archange, redisons aujourd'hui, dans la sincérité de notre cœur, cette belle parole du cardinal Pie : J'accepte avec joie le devoir d'invoquer saint Michel plus fidèlement chaque jour, comme protecteur de l’Église et de notre nation, comme avocat de mon âme auprès du souverain juge ! »

    Extrait de "L'Ange Gardien", Juillet 1895, pp.75-78, dans notre dossier dédié à l'Archange St Michel.

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  • Lundi 29 septembre 2014

    Sts Michel, Gabriel et Raphaël, Archanges / fête

    Au calendrier traditionnel : DÉDICACE DE ST MICHEL, ARCHANGE

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    Calendrier liturgique

  • Fêté ce jour : le bienheureux Ghèbrè-Michel (Mikaël Ghebra, 1791-1855)

    Heureuse parution en ce début d'été de ce livret, petit par la taille mais grand par son contenu, dédié au bienheureux Ghèbrè-Michel dont il nous conte la vie.

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    Serviteur de l’Archange Michel : Le bienheureux Ghèbrè-Michel, Abyssin, prêtre de la Mission et martyr (1791-1855)

    Ardemment chrétien et assoiffé de vérité, Abba Ghèbrè-Michel quitte courageusement le monophysisme pour la foi catholique, après avoir rencontré et vu vivre saint Justin de Jacobis, avec lequel il a de longs entretiens. Ce vaillant évêque saluera en lui « ce génie abyssin, perspicace, droit, actif, exemplaire, qui n’a jamais participé au relâchement du christianisme dégénéré de son malheureux pays, et qui, hors de toute secte, a toujours cherché, dans l’étude la plus sévère, la connaissance de la vraie foi », que viendra couronner son martyre.

    Une vie exemplaire, à lire et à méditer !

    Surtout connu pour son remarquable Dictionnaire amarigna-français suivi d’un vocabulaire français-amarigna, le lazariste Joseph Baeteman (1880-1938) a aussi écrit diverses publications pour faire connaître l’Ethiopie où il a été missionnaire.

    5 €, 18x11 cm. (br.), 76 p. : envoi franco de port en France métropolitaine.

    A commander directement chez l'éditeur :

    TRIFOLIUM
    5 rue Sainte Odile
    67000 Strasbourg (France)

  • Jeudi 8 mai 2014

    Calendrier liturgique

  • Lundi 24 mars 2014

    Calendrier liturgique

  • Méditation : dès le réveil, se préparer aux combats spirituels

    « La première chose que vous avez à faire à votre réveil, c’est d’ouvrir les yeux de l’âme et de vous considérer comme en un champ clos, avec cette loi expresse que celui qui ne combat pas doit périr à jamais. Là, vous vous figurerez être en présence de votre ennemi, je veux dire de cette inclination mauvaise que vous avez déjà entrepris de combattre et qui se tient tout armée pour vous blesser et vous donner la mort. À votre droite, vous verrez Jésus-Christ votre invincible capitaine, la Vierge Marie avec Saint Joseph son époux bien-aimé, d’innombrables troupes d’anges et de saints, parmi lesquels l’archange saint Michel ; à votre gauche, vous verrez le démon et ses satellites prêts à exciter la passion ennemie et à vous persuader de céder à ses suggestions. Vous vous imaginerez alors entendre la voix de votre ange gardien, vous parlant de la sorte : « Vous avez aujourd’hui à combattre contre cet ennemi, et contre d’autres encore. Ne craignez point, ne perdez point courage ; ne cédez ni à la frayeur ni à quelque considération que ce soit ; car votre Seigneur et votre capitaine est ici près de vous avec ses glorieuses phalanges, pour combattre avec elles contre vos ennemis et il ne souffrira pas qu’ils vous soumettent par la force ou la ruse. Demeurez ferme, faites-vous violence, quoiqu’il doive vous en coûter parfois. Criez souvent au secours du plus profond de votre cœur ; appelez à votre aide votre Seigneur, la Vierge Marie et tous les saints, et vous remporterez infailliblement la victoire. Si vous êtes faible et peu aguerri, si vos ennemis sont forts et nombreux, songez que les troupes de celui qui vous a créé et racheté sont plus nombreuses encore, que votre Dieu est infiniment plus puissant que votre ennemi et qu’il désire bien plus ardemment vous sauver que le démon ne désire vous perdre. Combattez donc ; et ne vous lassez jamais de souffrir : de cette fatigue, de la violence que l’on déploie contre ses mauvaises inclinations, de la peine que l’on éprouve à surmonter les habitudes mauvaises, naissent la victoire et ce trésor inestimable qui procure le royaume du Ciel, et l’éternelle union de l’âme avec son Dieu. Vous commencerez le combat au nom du Seigneur et vous prendrez pour armes la défiance de vous-même, la confiance en Dieu, la prière et l’exercice de vos puissances spirituelles. Vous appellerez au combat cet ennemi et cette passion que vous vous êtes proposé de vaincre, selon l’ordre indiqué ci-dessus ; vous lui apposerez tantôt la résistance, tantôt la haine, tantôt les actes de la vertu contraire, lui donnant ainsi coup sur coup des blessures mortelles, pour plaire aux regards de votre divin Maître qui est là, avec toute l’Église triomphante, à contempler votre combat. Je vous répète que vous ne devez point vous lasser de combattre, mais considérer l’obligation qui nous incombe à tous de servir Dieu et de lui plaire, et la nécessité où nous sommes de combattre, attendu que nous ne pouvons abandonner le champ de bataille sans être blessés et blessés à mort. J’ajoute qu’en fuyant loin de Dieu comme un rebelle, et en vous donnant au monde et aux plaisirs de la chair, vous n’échapperez point à la peine. Il vous faudra combattre malgré vous, et vous serez en butte à tant de contrariétés que vous sentirez souvent la sueur inonder votre front et des angoisses mortelles pénétrer votre cœur. Considérez ici quelle folie il y aurait à s’imposer un travail si rude, avec la perspective de tourments infiniment plus horribles et d’une mort éternelle, et cela pour échapper à une peine passagère qui nous conduit à la vie éternelle et infiniment heureuse où l’âme jouit de la présence de son Dieu. »

    Lorenzo Scupoli, Le combat spirituel (chap. XVI), Trad. R.P. Jean Brignon, Chez Durand, Paris, 1774.
    Texte intégral (format pdf).

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  • Méditation - Prière : dans le dernier combat...

    « Quelque salutaire que soit, ô mon Dieu ! la crainte de vos jugements, je sais qu'une parfaite confiance en vous, qui êtes notre Père, et en Jésus-Christ votre Fils et notre Rédempteur, doit la modérer. Tant d'heureux pénitents ont obtenu de vous miséricorde, entre autres celui qui, témoin de vos supplices, s'écria : "Souvenez-vous de moi, Seigneur, quand vous serez arrivé dans votre royaume." (Lc 13, 42). Je vous adresse la même prière avec la confiance que me donne l'excès de vos bontés. Souvenez-vous, divin Sauveur, de vos anciennes miséricordes. C'est vous seul que j'ai offensé. C'est en votre présence que j'ai péché. Mais lorsque je fais réflexion sur votre redoutable justice, je me représente aussitôt le nombre presque infini de vos bienfaits, et particulièrement le sang que vous avez répandu pour moi avec tant d'abondance, et me sentant fortifié par cette grande marque de votre amour, il n'y a rien que je n'attende de votre miséricorde ; mettez donc votre croix et votre passion entre le jugement de Dieu et mon âme, lorsqu'elle sortira de ce monde, et n'abandonnez pas aux bêtes infernales une âme qui vous bénit et vous loue : Ne tradas bestiis animas confitentes tibi, et animas pauperum tuorum ne obliviscaris in finem (Ps 73, 19).

    Ô Vierge sainte, Mère de Dieu, Reine des Anges et des hommes, et particulièrement du clergé, je vous reconnais pour ma souveraine, en l'honneur de la dépendance que le Fils de Dieu mon Sauveur et mon Dieu a voulu avoir de vous, et en cette qualité je vous donne sur mon âme et sur ma vie tout le pouvoir que je puis vous donner selon Dieu. Regardez-moi, je vous prie, comme chose qui vous appartient, et faites de votre serviteur l'objet de vos miséricordes. J'ai recours à vous pour être délivré du péché, et pour être préservé de la mort éternelle. Je vous prie pour cela d'assister à ma mort, vous qui avez été présente à celle de votre divin Fils, et de me protéger, dans ce temps de ma plus grande nécessité, contre tous les ennemis de mon salut.
    Saint Michel Archange, qui êtes le chef des armées de Dieu, Ange mon protecteur, qui veillez à ma garde, saint Joseph, dont on croit que la mort a été honorée de la présence du Sauveur, défendez-moi dans le dernier combat, afin qu'aidé de vos prières, je puisse être admis en votre bienheureuse compagnie.
    Que le collège des saints Apôtres, que l'armée nombreuse des martyrs et des confesseurs, que l'assemblée des vierges, que les patriarches viennent à ma rencontre, qu'ils me consolent par de doux embrassements, et qu'ils me portent comme à l'envi dans le sein d'Abraham. Ainsi soit-il. »

    D.B.C. Dal Monte, Méditations ecclésiastiques suivies de divers Opuscules à l'usage des prêtres, pour faire suite aux Méditations ecclésiastiques de M. Chevassu, Tome sixième (Préparation à la mort, VI & VII), J.B. Pélagaud, Lyon - Paris, 1863.

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    William Bouguereau (1825-1905), Une âme portée au Ciel, 1878
    Huile sur toile, Musée du Périgord

  • Méditation - Prières à St Raphaël

    Hymne des Vêpres de St Raphaël
    (fêté ce jour au calendrier traditionnel)

    « Divin guide, Raphaël,
    recevez avec bonté l'hymne
    chantant nos supplications
    que vous consacrent nos voix joyeuses.
    Dirigez notre course vers le salut,
    soutenez nos pas,
    que nous n'errions jamais à l'aventure
    loin du chemin du Ciel.
    Regardez-nous d'En-Haut,
    de l'étincelante lumière du Ciel
    provenant du Père des Lumières,
    remplissez nos âmes.
    Rendez la santé aux malades,
    dissipez la nuit des aveugles ;
    en chassant les maux des corps
    rendez aux cœurs la vigueur.
    Assistant le Souverain Juge,
    plaidez la cause de nos crimes,
    et apaisez la colère vengeresse,
    fidèle intercesseur auprès de la Divinité.
    Vous qui avez repris le Grand Combat,
    confondez l'orgueilleux Ennemi ;
    contre les esprits rebelles,
    donnez-nous la force,
    augmentez en nous la grâce.
    Gloire à Dieu le Père
    ainsi qu'à son Fils Unique,
    avec l'Esprit Paraclet,
    maintenant et dans tous les siècles des siècles.
    Amen. »

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    « Glorieux Archange, saint Raphaël, grand Prince de la Cour Céleste, illustre par les dons de la sagesse et de la grâce, guide des voyageurs sur terre et sur mer, consolation des malheureux et refuge des pécheurs, je vous supplie de m'assister dans toutes mes nécessités et les peines de cette vie, comme vous avez soutenu le jeune Tobie dans ses pérégrinations. Puisque vous êtes le remède de Dieu, je vous prie humblement de guérir mon âme de ses infirmités et mon corps des maux qui l'affligent. Je vous demande, en particulier, de respecter ce corps, temple vivant du Saint-Esprit. Amen. »

    Prière diffusée par l'Association des Saints Anges gardiens - 21 montée St Laurent - 69005 Lyon.
    Spécimen de la revue de l'Association sur simpe demande.

  • Jeudi 24 octobre 2013

    Calendrier liturgique

    Mois du Rosaire

  • Chant de l'Offertoire pour la fête de St Michel Archange

    Ant. ad Offertorium. Apoc. 8, 3 et 4.
    Stetit Angelus iuxta aram templi, habens thuríbulum áureum in manu sua, et data sunt ei incénsa multa : et ascéndit fumus aromátum in conspéctu Dei, allelúia.

    Offertoire
    L’Ange se plaça devant l’autel du temple, ayant un encensoir d’or dans sa main ; et il lui fut donné beaucoup de parfums : et la fumée des parfums monta devant Dieu, alléluia.

  • Méditation - Prière : St Michel, Archange, protecteur de l'Église

    « Après l'adorable nom de Jésus, "qui fait fléchir tout genou au ciel, sur la terre et dans les enfers" ; après le nom suave et béni de Marie, parfum de salut qui exhale la grâce divine, dit saint Ambroise, est-il nom plus digne de respect que celui du glorieux prince des célestes phalanges ? Michael ou Michel signifie : qui est semblable à Dieu ? quis ut Deus ?
    Michael est un nom de puissance et de victoire. Comme un roi anoblit sur le champ de bataille le général qui a vaillamment combattu pour sa cause, ainsi Dieu a voulu que le cri de guerre, le cri d'humilité et d'amour du valeureux archange contre Satan, devint son titre de noblesse. A ce nom de Michael, à cette parole foudroyante : Quis ut Deus ? l'orgueilleux Lucifer et sa troupe rebelle tombèrent, rapides comme l'éclair, dans l'abîme creusé par la vengeance divine.
    Michael ! qui est comme Dieu ? nom sublime, dit le cardinal Desprez, qui renferme tout le culte que la créature doit à son Créateur, nom qui contient en substance les actes de Foi, d'Espérance, de Charité et de Contrition. "Ô nom mille et mille fois béni, s'écrie un pieux auteur, nom tout puissant sur le ciel, la terre et l'enfer, nom acclamé et loué par la très sainte Trinité dans les cieux, où il sera toujours le nom et le cri du triomphe, nom grand et salutaire pour la terre et surtout pour l’Église militante dont il est le rempart et le bouclier, nom formidable pour les démons qu'il met incontinent en déroute ; que j'aime à vous redire sans cesse et à vous célébrer toujours, car, selon l'expression des saints Pères, chaque fois que vous êtes prononcé, le ciel répète son cri de victoire, de reconnaissance et de sainte allégresse ; la terre tremble comme au jour où l'Archange y descend et le chrétien retrouve sa force et son espérance, malgré ses défaillances ; l'enfer de nouveau frémit de rage et d'impuissance et courbe son front découronné, pour cacher la honte de ses constantes défaites."
    A l'exemple de saint Michel, combattons vaillamment les ennemis de Dieu. L'heure actuelle est une heure de crise et de formidable tempête. L’Église de Jésus-Christ est attaquée de toutes parts, et ses ennemis ne sentent même plus le besoin de dissimuler leurs coups. Mais ayons confiance ; saint Michel combat avec nous, et bientôt luira le jour où, le règne de Dieu s'affermissant, nous pourrons pousser, nous aussi, notre cri de fidélité et de victoire : Quis ut Deus ? Qui est comme Dieu ?
    A ceux qui foulent aux pieds l'autorité divine, qui ne veulent plus relever que de leur sot orgueil, qui répètent chaque jour, avec une effrayante énergie, leur cri de négation : Il n'y a point de Dieu ! disons hardiment : Il y a un Dieu, c'est le Dieu qui a créé les mondes, le Dieu qui commande à la vie et à la mort. Malheur à celui qui ne l'écoute pas ! Il s'ensevelit dans la nuit la plus obscure, il se traîne dans la honte, il se condamne à une mort irrémédiable, à la mort éternelle.
    N'ayons pas peur des clameurs impies ; manifestons fièrement notre foi ; aux échos de l'enfer, répondons par les échos du ciel : Quis ut Deus ? Notre voix finira par couvrir celle de l'impiété, par l'étouffer et l'anéantir ; elle retentira victorieuse sur la terre, comme jadis celle des bons anges dans le ciel.
    Michael ! Qui est semblable à Dieu ? Ce nom doit être la devise du chrétien. En traversant les ombres du temps et de l'espace, il n'a rien perdu de sa force et de sa vertu première. Toujours il renversera les projets des impies et confondra leurs complots diaboliques, comme il précipita Satan dans l'enfer ; il sera toujours un glaive de feu contre le blasphème, l'orgueil et la cupidité.
    Michael ! Qui est semblable à Dieu ? N'est-ce pas la suprême et victorieuse réponse à tous les sophismes, à toutes les calomnies et à toutes les haines de l'enfer ? Opposons donc cette puissante affirmation, comme une digue aux débordements de l'impiété et de l'apostasie. Mais n'oublions pas non plus de nous en faire à nous-mêmes une salutaire protestation dans les épreuves de notre for intérieur, un bouclier contre les traits du monde ou du démon. Il est impossible que, passant souvent dans l'âme, le nom de saint Michel n'y laisse pas quelques-unes de ces fortes empreintes qui fixent dans le bien, ou du moins quelques-uns de ces rayons vivifiants qui éclairent, réchauffent, encouragent et consolent toujours.

    Ô saint Michel, glorieux chef de la milice céleste, vous dont le bras a conservé toute sa vaillance, vous, plein de bonté pour les enfants de Dieu et de sollicitude pour l’Église de Jésus-Christ, daignez nous secourir dans nos épreuves et nos douleurs, déjouez les complots de l'enfer, couvrez de votre protection l’Église notre mère, comme d'un bouclier contre lequel viendront s'émousser tous les traits de ses ennemis ; consolez, fortifiez, inspirez nos pontifes, nos religieux et religieuses ; conduisez leurs plumes, dictez leurs paroles, donnez-leur cet esprit de fermeté, de force et de sagesse que vous puisez en Dieu, afin que l’Église trouve en chacun d'eux un ardent défenseur de sa foi. Ô saint Archange, soutenez-nous dans les combats du Seigneur, et hâtez, par votre puissante intercession, l'heureux jour du triomphe du bien sur le mal, de l’Église du Christ sur l'infernale persécution de Satan. »

    Extrait de "L'Ange Gardien" n°4, Août 1895 & n°8, Décembre 1895.

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  • Dimanche 29 septembre 2013

    [ St Michel, Archange ]

    N.B. : la liturgie de ce dimanche a la préséance sur la mémoire de l'Archange St Michel
    (et des Archanges St Gabriel et St Raphaël au nouveau calendrier)

     Calendrier liturgique

  • Samedi 10 août 2013

    St Laurent, diacre et martyr

    Calendrier liturgique

  • Dimanche 24 mars : Dimanche des Rameaux et de la Passion

    Calendrier liturgique

  • 20 décembre : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise

    L'Annonciation (Lc 1, 26-38)

    « Le Verbe éternel se faisant homme, et daignant habiter parmi les hommes, tel est le grand mystère que célèbre aujourd'hui l'Eglise universelle, et dont elle salue chaque année le retour par des transports de joie. Après l'avoir une première fois reçu pour sa propre rédemption, le monde fidèle en a consacré le souvenir de génération en génération, afin de perpétuer l'heureuse substitution de la vie nouvelle à la vie ancienne. Maintenant donc, lorsque le miracle depuis longtemps accompli nous est remis annuellement sous les yeux dans le texte des divines Ecritures, notre dévotion s'enflamme et s'exhale en chants de triomphe et de joie. Le saint Evangile que nous lisions nous rappelait que l'archange Gabriel a été envoyé du ciel par le Seigneur pour annoncer à Marie qu'elle serait la Mère du Sauveur. L'humble Vierge priait, silencieuse et cachée aux regards des mortels; l'ange lui parla en ces termes : « Je vous salue, Marie, » dit-il, « je vous salue, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous » (Lc 1, 28). O annonciation miraculeuse ! ô salutation céleste, apportant la plénitude de la grâce et illuminant ce cœur virginal ! L'Ange était descendu porté sur ses ailes de feu et inondant de clartés divines la demeure et l'esprit de Marie. Député par le Juge suprême et chargé de préparer à son Maître une demeure digne de lui, l'ange, éblouissant d'une douce clarté, pénètre dans ce sanctuaire de la virginité, rigoureusement fermé aux regards de la terre : « Je vous salue, Marie, » dit-il, « je vous salue, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous » ; Celui qui vous a créée vous a prédestinée ; Celui que vous devez enfanter vous a remplie de ses dons. A l'aspect de l'ange, la Vierge se trouble et se demande quelle peut être cette bénédiction. Dans son silence humble et modeste, elle se rappelle le vœu qu'elle a formé, et, jusque-là, tout à fait étrangère au langage d'un homme, elle se trouble devant un tel salut, elle est saisie de stupeur devant un tel langage, et n'ose d'abord répondre au céleste envoyé. Plongée dans l'étonnement, elle se demandait à elle-même d'où pouvait lui venir une telle bénédiction. Longtemps elle roula ces pensées dans son esprit, oubliant presque la présence de l'ange que lui rappelaient à peine quelques regards fugitifs attirés par l'éclat de l'envoyé céleste. Elle hésitait donc et s'obstinait dans son silence ; mais l'ambassadeur de la Sainte Trinité, le messager des secrets célestes, le glorieux archange Gabriel, la contemplant de nouveau, lui dit : « Ne craignez pas, Marie, car vous avez trouvé grâce devant Dieu ; voici que vous concevrez et enfanterez un fils, et vous le nommerez Jésus. Il sera grand et sera appelé le Fils du Très-Haut, et le Seigneur-Dieu lui donnera le siège de David son père; il régnera éternellement sur la maison de Jacob, a et son règne n'aura pas de fin » (Lc 1, 30-21). Alors Marie, pesant sérieusement ces paroles de l'ange et les rapprochant de son vœu de virginité perpétuelle, s'écria : « Comment ce que vous me dites pourra-t-il se réaliser, puisque je ne connais point d'homme ? ». Aurai-je un fils, moi qui ne connais point d'homme ? Porterai-je un fruit, moi qui repousse l'enfantement ? Comment pourrai-je engendrer ce que je n'ai point conçu ? De mon sein aride, comment pourrai-je allaiter un fils, puisque jamais l'amour humain n'est entré dans mon cœur et n'a pu me toucher. L'ange répliqua : Il n'en est point ainsi, Marie, il n'en est point ainsi ; ne craignez rien ; que l'intégrité de votre vertu ne vous cause aucune alarme ; vous resterez vierge et vous vous réjouirez d'être mère ; vous ne connaîtrez point le mariage, et un fils fera votre joie ; vous n'aurez aucun contact avec un homme mortel, et vous deviendrez l'épouse du Très-Haut, puisque vous mettrez au monde le Fils de Dieu. Joseph, cet homme chaste et juste, qui est pour vous, non point un mari mais un protecteur, ne vous portera aucune atteinte ; mais « l'Esprit-Saint surviendra en vous », et, sans qu'il s'agisse ici d'un époux et d'affections charnelles, « la vertu du Très-Haut vous couvrira de son ombre : voilà pourquoi le Saint qui naîtra de vous sera appelé le Fils de Dieu ».

    O séjour digne de Dieu ! Avant que l'ange ne lui eût fait connaître clairement le Fils qui lui était promis au nom du ciel, Marie ne laissa échapper de ses lèvres pudiques aucune parole d'assentiment. Mais dès qu'elle sut que sa virginité ne subirait aucune atteinte, dès qu'elle en reçut l'attestation solennelle, faisant de son cœur un sanctuaire digne de la Divinité, elle répondit : « Voici la servante du Seigneur, qu'il me soit fait selon votre parole ». Comme si elle eût dit : « Mon cœur est prêt, ô Dieu, mon cœur est prêt », puisque mon sein doit rester intact. « Qu'il me soit fait selon votre parole », ô glorieux archange Gabriel; qu'il vienne dans sa demeure, « Celui qui a placé sa tente dans le soleil » (Ps XVIII, 6). Puisque je dois demeurer vierge, « que le Soleil de justice se lève en moi » (Ml IV, 2) sous ses rayons je conserverai ma blancheur, et la fleur de mon intégrité s'épanouira dans une chasteté perpétuelle. « Que le juste sorte dans toute sa splendeur » (Is LVI, 1), et que le Sauveur brille « comme un flambeau » (Si XLVIII, 1). Le flambeau du soleil illumine l'univers ; il pénètre ce qui semble vouloir lui faire obstacle, et il n'en jette pas moins ses flots de lumière. Qu'il apparaisse donc aux yeux des hommes « le plus beau des enfants des hommes » ; « qu'il s'avance comme un époux sort du lit nuptial » (Ps XLIV, 3) ; car maintenant je suis assurée de persévérer dans mon dessein. Quelle parole humaine pourrait raconter cette génération ? Quelle éloquence serait suffisante pour l'expliquer ? Les droits de la virginité et de la nature sont conservés intacts, et un fils se forme dans les entrailles d'une vierge. Lorsque les temps furent accomplis, le ciel et la terre purent contempler cet enfantement sacré auquel toute paternité humaine était restée complètement étrangère. Telle est cette ineffable union nuptiale du Verbe et de la chair, de Dieu et de l'homme. C'est ainsi qu'entre Dieu et l'homme a été formé « le Médiateur de Dieu et des hommes, l'homme Christ Jésus » (I Tm II, 5). Ce lit nuptial divinement choisi, c'est le sein d'une Vierge. Car le Créateur du monde venant dans le monde, sans aucune coopération du monde, et pour racheter le monde de toutes les iniquités qui le souillaient, devait sortir du sein le plus pur et entourer sa naissance d'un miracle plus grand que le miracle même de la création. Car, comme le dit lui-même le Fils de Dieu et de l'homme, le Fils de l'homme est venu « non point pour juger le monde, mais pour le sauver » (Jn XII, 47).

    O vous, Mère du Saint des Saints, qui avez semé dans le sein de l'Eglise le parfum de la fleur maternelle et la blancheur du lis des vallées, en dehors de toutes les lois de la génération et de toute intervention purement humaine ; dites-moi, je vous prie, ô Mère unique, de quelle manière, par quel moyen la Divinité a formé dans votre sein ce Fils dont Dieu seul est le Père. Au nom de ce Dieu qui vous a faite digne de lui donner naissance à votre tour, dites-moi, qu'avez-vous fait de bien ? Quelle grande récompense avez-vous obtenue ? Sur quelles puissances vous êtes-vous appuyée ? Quels protecteurs sont intervenus ? A quels suffrages avez-vous eu recours ? Quel sentiment ou quelle pensée vous a mérité de parvenir à tant de grandeur ? La vertu et la sagesse du Père « qui atteint d'une extrémité à l'autre avec force et qui dispose toutes choses avec suavité » (Sg VIII, 1), le Verbe demeurant tout entier partout, et venant dans votre sein sans y subir aucun changement, a regardé votre chasteté dont il s'est fait un pavillon, dans lequel il est entré sans y porter atteinte et d'où il est sorti en y mettant le sceau de la perfection. Dites-moi donc comment vous êtes parvenue à cet heureux état ? Et Marie de répondre : Vous me demandez quel présent m'a mérité de devenir la mère de mon Créateur ? J'ai offert ma virginité, et cette offrande n'était pas de moi, mais de l'Auteur de tout bien ; car tout don « excellent et parfait nous vient du Père des lumières » (Jc I, 17). Toute mon ambition, c'est mon humilité ; voilà pourquoi « mon âme grandit le Seigneur, et mon esprit a tressailli en Dieu mon Sauveur » (Lc I, 47) ; car il a regardé, non pas ma tunique garnie de noeuds d'or, non pas ma chevelure pompeusement ornée et jetant l'éclat de l'or, non pas les pierres précieuses, les perles et les diamants suspendus à mes oreilles , non pas la beauté de mon visage trompeusement fardé ; mais « il a regardé l'humilité de sa servante ».

    Le Verbe est venu plein de douceur à son humble servante, selon l'oracle du Prophète : « Gardez-vous de craindre, fille de Sion. Voici venir à vous votre Roi plein de douceur et de bonté, assis sur un léger nuage » (Is LXII, 11). Quel est ce léger nuage ? C'est la Vierge Marie dont il s'est fait une Mère sans égale. Il est donc venu plein de douceur, reposant sur l'esprit maternel, humble, « calme et craignant ses paroles » (Is LXVI, 1). Il est venu plein de douceur, remplissant les cieux, s'abaissant parmi les humbles pour arriver aux superbes, ne quittant pas les cieux et présentant ses propres humiliations pour guérir avec une mansuétude toute divine ceux qu'oppressent les gonflements de l'orgueil. O profonde humilité ! O grandeur infinie des trésors de la sagesse et de la science de Dieu ; que les « jugements de Dieu sont incompréhensibles et ses voies impénétrables » (Rm XI, 33). Le pain des Anges est allaité par les mamelles d'une mère ; la source d'eau vive jaillissant jusqu'à la vie éternelle demande à boire à la Samaritaine, figure de l'Eglise ; il ne refuse pas de manger avec les publicains et les pécheurs, lui que les Anges au ciel servent dans la crainte et la terreur. Le Roi des rois a rendu à la santé le fils de l'officier, sans employer aucun remède et par la seule efficacité de sa parole. Il guérit le serviteur du centurion et loue la foi de ce dernier, parce qu'il a cru que le Seigneur commande à la maladie et à la mort comme lui-même commandait à ses soldats. Quelque cruelles que fussent les souffrances de la paralysie, il en trouva la guérison infaillible dans la visite miséricordieuse de Jésus-Christ. Une femme affligée depuis de longues années d'une perte de sang qui faisait de ses membres une source de corruption, s'approche avec foi du Sauveur qui sent aussitôt une vertu s'échapper de lui et opérer une guérison parfaite. Mais comment rappeler tant de prodiges ? Le temps nous manque pour énumérer tous ces miracles inspirés à notre Dieu par sa puissance infinie et sa bonté sans limite. Abaissant sa grandeur devant notre petitesse et son humilité devant notre orgueil, il est descendu plein de piété, et, nouveau venu dans le monde, il a semé dans le monde des prodiges nouveaux. C'est lui que les évangélistes nous dépeignent sous différentes figures : l'homme, le lion, le boeuf et l'aigle. Homme, il est né d'une Vierge sans le concours de l'homme ; lion, il s'est précipité courageusement sur la mort et s'est élevé sur la croix par sa propre vertu ; boeuf, il a été volontairement immolé dans sa passion pour les péchés du peuple ; et comme un aigle hardi, il a repris son corps, est sorti du tombeau, a fait de l'air le marchepied de sa gloire, « est monté au-dessus des chérubins, prenant son vol sur les ailes des vents », et maintenant il siège au ciel, et c'est à lui qu'appartient l'honneur et la gloire dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il ».

    Saint Augustin, Cinquième sermon pour la fête de l’Annonciation.

    Source : Abbaye Saint Benoît.

  • 24 octobre : Sanctoral

    St Antoine-Marie Claret, Évêque (1807-1870)
    (fêté hier au calendrier traditionnel)

    Au calendrier traditionnel : St Raphaël, Archange

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    L'Archange Raphaël et Tobie - Filippino Lippi (1457-1504)