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cathedrale - Page 3

  • Visite pastorale au Molise - Rencontre avec les malades dans la cathédrale d'Isernia

  • Visite pastorale du Pape François en Molise (Italie méridionale)

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    Interventions du Saint-Père et vidéos KTO mis en ligne dès que disponibles

    7h45     Départ en hélicoptère de l’héliport du Vatican

    8h45     Atterrissage à l’héliport de l'Université du Molise à Campobasso

    9h00     Rencontre avec le monde du travail et de l'industrie dans l’Aula Magna de l’Université du Molise

    Discours du Saint-Père

    10h30     Messe à l'ancien stade Romagnoli à Campobasso

    Homélie du Saint-Père

    12h30     Salut à un groupe de malades dans la cathédrale de Campobasso

    13h00     Déjeuner avec les pauvres assistés par la Caritas à la « Casa degli Angeli » de Campobasso

    14h30     Transfert en hélicoptère au sanctuaire marial de Castelpetroso, où l’on vénère Notre-Dame des Douleurs, patronne de la région

    15h15     Rencontre avec les jeunes du diocèse des Abruzzes et du Molise sur l'esplanade du sanctuaire

    Discours du Saint-Père

    16h00     Transfert en voiture à Isernia

    16h30     Rencontre avec les détenus de la prison d'Isernia

    Discours du Saint-Père

    17h45     Salut des malades dans la cathédrale d'Isernia

    18h15     Rencontre avec la population et ouverture de l'Année jubilaire célestine place de la cathédrale d'Isernia (ville natale du Pape Célestin V) - L'Année jubilaire a été promulguée par les évêques des Abruzzes et du Molise à l’occasion du 8ème centenaire de la naissance de ce Pape du XIIIe siècle (1215-2015).

    Discours du Saint-Père

    19h30     Départ en hélicoptère de la caserne des pompiers d'Isernia

    20h15     Arrivée au Vatican

  • Visite pastorale du Pape François en Molise (Italie méridionale)

    Samedi prochain, 5 juillet, le Pape François effectuera une visite pastorale dans la région italienne du Molise.

    Il quittera le Vatican en hélicoptère pour parvenir peu avant 9h à Campobasso, où il s'adressera à l'université au monde du travail. Puis il célébrera la Messe dans un ancien stade avant de se rendre à la cathédrale pour y rencontrer des malades. Il déjeunera avec certains d'entre eux au siège local de la Caritas.

    Il gagnera ensuite en hélicoptère le sanctuaire de Castelpetroso pour y rencontrer la jeunesse. Après quoi il se rendra par la route à Isernia pour y visiter les détenus de la prison.

    Après avoir salué des malades en la cathédrale d'Isernia, ville natale du pape Célestin V, le Saint-Père s'adressera à la population sur la place et ouvrira l'Année jubilaire célestine, promulgué par les évêques des Abruzzes et du Molise à l’occasion du 8ème centenaire de la naissance de ce pape du XIIIe siècle (1215-2015).

    Il regagnera le Vatican vers 20h15.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 30.6.14)

    Programme détaillé et minuté sur le site internet du Vatican.

  • Ordinations à la Fraternité Saint-Pierre et à l'Institut du Christ Roi

    Ordinations,Fraternité,Saint-Pierre,FSSP,normalisation,cathédrale,Chartres,Mgr Aillet,communautés,Ecclesia Dei,motu proprio,Summorum pontificum,Benoît XVI,liturgie traditionnelle,John BergTrois diacres de la Fraternité Saint-Pierre seront ordonnés prêtres le samedi 28 juin dans la cathédrale de Chartres. L’occasion de faire le point sur les relations entre l’épiscopat français et les communautés Ecclesia Dei.

    Samedi 28 juin, trois diacres français de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) seront ordonnés prêtres dans la cathédrale de Chartres par Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Oloron et Lescar. Une première, puisque les ordinations sacerdotales des ordinants français de cette communauté de prêtres traditionnels ont habituellement lieu dans leur séminaire de Wigratzbad, en Bavière, ou plus rarement en France, à l’abbaye Notre-Dame de Fongombault.

    Sept ans après le motu proprio Summorum pontificum sur la liturgie traditionnelle, cet évènement serait-il le signe d’une normalisation des relations entre l’épiscopat français et les communautés Ecclesia Dei ?

    Pour l’abbé John Berg, Supérieur général de la FSSP, c’est « un geste fort » de Mgr Pansard, l’évêque de Chartres. « En nous ouvrant sa cathédrale, il montre que nous avons toute notre place dans l’Église. C’est aussi, ajoute-t-il, un signe de l’accueil toujours plus favorable des communautés attachées à la forme extraordinaire du rite romain en France. »

    Du côté de Mgr Nicolas Brouwet, évêque de Tarbes et de Lourdes, il est après tout « normal et logique » que ces prêtres soient ordonnés dans une cathédrale française et non pas en Allemagne, puisqu’ils sont « français et en communion avec Rome ». 

    De fait, depuis plusieurs années, certains évêques n’hésitent plus à confier des missions apostoliques à des prêtres issus de communautés Ecclesia Dei dont la qualité de leur formation théologique est appréciée. « Ils ont par exemple des missions dans des écoles catholiques, des officialités. Dans mon diocèse, deux prêtres de la Fraternité Saint-Pierre exercent leur ministère à Lourdes, l’un dans le sanctuaire, l’autre auprès d’une communauté de fidèles attachés au rite romain traditionnel », explique Mgr Brouwet. De son côté, Mgr Castet, évêque de Luçon, se félicite des relations « très fraternelles » qu’il entretient avec les deux prêtres de la Fraternité Saint-Pierre en exercice dans son diocèse : « Ils font un très bon travail, nous avons des contacts réguliers ».  

    Pour eux, cette situation récente est le fruit du motu proprio Summorum pontificum, publié en juillet 2007 par le pape Benoît XVI libéralisant la messe en forme extraordinaire. « Cela a créé un apaisement et une dynamique qui se poursuit aujourd’hui, analyse l’abbé Berg. Les aspirations des fidèles attachés à ce patrimoine liturgique sont reconnues comme légitimes, leurs demandes sont mieux accueillies dans les diocèses. Il faut ajouter à cela un contexte général de bienveillance et de meilleure compréhension entre les catholiques, qui ressentent un grand besoin d’unité face à la culture relativiste ambiante et qui se retrouvent dans les causes urgentes de défense de la vie, de la famille et des fondements de la société ». 

    « Le motu proprio Summorum pontificum publié par Benoît XVI en 2007 a créé un apaisement et une dynamique qui se poursuit aujourd’hui. »

    Un bémol cependant, lié justement à la célébration de la messe. « Les prêtres des communautés Ecclesia Dei ne célèbrent pas la messe dans la forme ordinaire, ce qui m’empêche de leur confier certains ministères, regrette Mgr Brouwet. C’est dommage car cela me donnerait un bon coup de main. Je ne peux pas imposer la forme extraordinaire aux fidèles. Il faut qu’ils aient accès à la messe ordinaire. » Une opinion que partage Mgr Castet qui « regrette simplement que leur choix liturgique empêche leur ardeur apostolique de se développer plus largement ».

    Cette demande de bi-ritualisme pose la question du respect de la spécificité des communautés Ecclesia Dei, dont le pape François a souligné le « charisme propre » lorsqu’il a accordé le 28 octobre dernier sa bénédiction apostolique à la FSSP à l’occasion de son vingt-cinquième anniversaire.

    Pour sa part, de manière pragmatique, l’évêque de Fréjus-Toulon, Monseigneur Rey, a ouvert en septembre 2013 une formation au sein du séminaire La Castille : la Maison Saint Charles Borromée. Elle accueille les futurs prêtres diocésains attachés à la forme extraordinaire du rite romain et souhaitant la célébrer de manière principale, sans exclure la célébration dans la forme ordinaire.

    Élisabeth Caillemer

    Source : Famille chrétienne - Crédit photo ©P.RAZZO-CIRIC.

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    « A nos Amis et Bienfaiteurs »

    Si l’on comprenait bien le prêtre sur la terre, on mourrait, non de frayeur, mais d’amour ! Ces paroles du saint Curé d'Ars résonnent à nos oreilles, à quelques jours de notre ordination sacerdotale. Alors que le monde rejette plus que jamais le prêtre et ce qu'il représente, il nous faut pénétrer davantage ce mystère du sacerdoce auquel Notre-Seigneur nous a appelés. Écoutons ce que disait le pape François lors d'une cérémonie d'ordinations sacerdotales le 11 mai dernier :

    Parmi tous ses disciples, le Seigneur Jésus veut en choisir quelques-uns en particulier, pour qu’en exerçant publiquement dans l’Église en son nom la charge sacerdotale en faveur de tous les hommes, ils poursuivent sa mission personnelle de maître, prêtre et pasteur. (...) 

    Ils seront en effet conformés au Christ, prêtre suprême et éternel, c’est-à-dire qu’ils seront consacrés comme véritables prêtres du Nouveau Testament, et à ce titre, qui les unit dans le sacerdoce à leur évêque, ils seront les prédicateurs de l’Évangile, les pasteurs du peuple de Dieu, et ils présideront les actes du culte, en particulier lors de la célébration du sacrifice du Seigneur. 

    Quant à vous, frères et fils bien-aimés, qui allez être élevés à l’ordre du presbytérat, considérez qu’en exerçant le ministère de la sainte doctrine vous participerez de la mission du Christ, unique maître. Dispensez à tous cette Parole, que vous avez vous-mêmes reçue avec joie, de vos mères, de vos catéchistes. Lisez et méditez assidûment la parole du Seigneur pour croire ce que vous avez lu, pour enseigner ce que vous avez appris dans la foi, pour vivre ce que vous avez enseigné. 

    Que votre doctrine, qui n’est pas la vôtre, soit donc la nourriture du peuple de Dieu : vous n’êtes pas les maîtres de la doctrine ! C’est la doctrine du Seigneur, et vous devez être fidèles à la doctrine du Seigneur ! Que votre doctrine soit donc une nourriture pour le peuple de Dieu, le parfum de votre vie, une joie et un soutien pour les fidèles du Christ, pour qu’avec la parole et l’exemple vous édifiiez la maison de Dieu, qui est l’Église. 

    Et ainsi vous continuerez l’œuvre sanctificatrice du Christ. À travers votre ministère, le sacrifice spirituel des fidèles est rendu parfait, car il est lié au sacrifice du Christ, qui par vos mains au nom de toute l’Église est offert de manière non sanglante sur l’autel lors de la célébration des saints mystères.

    Chers amis, conscients de notre faiblesse, nous nous confions à vos prières pour être des prêtres selon le Cœur de Jésus, n'hésitez pas à nous confier les vôtres !

    Vos futurs prêtres.

    Abbé Francis Altiere

    Abbé Benjamin Coggeshall

    Abbé Joel Estrada

    Abbé Robert Vignaud

    Abbé Similien Waché de Corbie

    Abbé Andrew Todd

    Abbé Louis Poucin de Wouilt

    Abbé François de Beaurepaire

    Source : Institut du Christ Roi Souverain Prêtre - Lettre juin 2014.

  • Le Pape François en Calabre

    Première étape de son voyage, une prison de Castrovillari, dans le sud de l’Italie : rencontre avec des détenus
     
    « L’exécution de la peine ne doit pas être dégradée à un unique instrument de punition et de rétorsion sociale, à la fois nocif pour l’individu et pour la société. »

    Le Pape a ainsi souligné le « thème du respect des droits fondamentaux de l’homme et l’exigence d’adapter en conséquence les conditions d’exécution de la peine ». Pour le Souverain Pontife, cet aspect de la politique pénitentiaire est « essentiel » et l’attention qu’il faut lui porter « doit toujours rester élevé ».

    « Mais cette perspective n’est pas encore suffisante, a encore affirmé le Pape, si elle n’est pas accompagnée et complétée par un engagement concret des institutions pour une réinsertion effective dans la société ». Et ce parcours n’est pas seulement humain, mais dans ce cheminement entre aussi « la rencontre avec Dieu », a lancé François aux détenus : « la capacité de nous laisser regarder par Dieu qui nous aime, qui est capable de nous comprendre et de pardonner nos erreurs ».

    « Le Seigneur est un maître de la réinsertion : il nous prend par la main et nous ramène dans la communauté sociale ». Car « toujours Il pardonne, accompagne, comprend : à nous de nous laisser comprendre, pardonner et accompagner ».

    Source : Radio Vatican.
    Texte intégral du dicours en italien : site internet du Vatican.

     
    Seconde étape du déplacement, la ville de Cassano all’Jonio

    C'est là qu’un enfant de 3 ans, Cocò Campolongo, a été assassiné en janvier dernier puis brûlé dans une voiture aux côtés de son grand-père, dans le cadre d’un règlement de compte mafieux. Un crime fermement condamné par le Saint-Père qui avait appelé les assassins à se convertir.

    Il a rencontré les prêtres dans la cathédrale.

    Face à eux, le Pape s’est réjoui de ce qu’il y a « de plus beau » dans le sacerdoce : la « surprise toujours renouvelée d’être appelé par le Seigneur Jésus. Appelé à Le suivre, à Le porter aux autres, avec Sa parole et Son pardon ». « Le regard de Jésus, a poursuivi le Pape, nous renouvelle et nous réanime ».

    Mais cette joie ne vient pas sans un bémol : « il n’est parfois pas facile de rester devant le Seigneur, car nous sommes pris par tant de choses, tant de personnes », nuance le Souverain Pontife. Ce regard de Jésus peut même inquiéter un prêtre, le « mettre en crise ». « Mais cela nous fait du bien ! » a lancé François.

    Car ce regard permet de définir un prêtre. Le regard de Jésus lui permet de savoir s’il travaille comme « un bon ouvrier » ou s’il est devenu un simple « employé ». Soit « nous sommes des canaux ouverts, généreux au travers desquels s’écoulent abondamment son amour et sa grâce, a imagé le Pape, soit nous nous mettons nous-mêmes au centre et, au lieu d’être des canaux, nous devenons des écrans qui n’aident pas à la rencontre avec le Seigneur, Sa lumière et la force de l’Évangile. »

    Le sacerdoce est aussi marqué par la « beauté de la fraternité » : « être prêtre ensemble, suivre le Seigneur non pas seuls, mais ensemble », raconte le Pape. Mais cela ne va pas de soi, car aujourd’hui, les prêtres sont immergés dans une culture qui aujourd’hui « exulte le “je” jusqu’à l’idolâtrer », regrette François. Et de mettre en garde aussi contre un « certain individualisme pastoral qui est malheureusement diffus dans nos diocèses. »

    Le Pape a donc invité les prêtres à réagir avec le choix de la fraternité. Ce choix « correspond à la réalité qui nous constitue, au don que nous avons reçu, mais qui doit toujours être accueilli et cultivé : la communion dans le Christ autour de l’évêque. » Et cette communion « demande d’être vécue, selon le Saint-Père, en cherchant des formes concrètes et adaptées au temps et à la réalité du territoire, mais toujours dans une perspective apostolique, avec un style missionnaire, avec fraternité et simplicité de vie ».

    Le Souverain Pontife a, pour conclure, encouragé les prêtres dans leur travail avec les familles et pour la famille, « en ces temps difficiles aussi bien pour la famille comme institution que pour les familles victimes de la crise ». Et c’est en ces temps difficiles que « Dieu fait sentir Sa proximité, Sa grâce et la force prophétique de Sa parole », a conclu le Saint-Père.

    Source : Radio Vatican.
    Texte intégral du discours en italien : site internet du Vatican.


    Troisième et dernière étape : Messe à la Marina de Sibari

    Dans son homélie, lors de la Messe à Sibari, le Pape François s’en est pris aux mafieux. « Ils sont excommuniés », a-t-il tonné. « Quand l’adoration du Seigneur se substitue à l’adoration de l’argent, a poursuivi le Souverain Pontife, s’ouvre alors la route du péché, de l’intérêt personnel et de l’abus ». L’homme devient alors « adorateur du mal », « comme ceux qui vivent du crime et de la violence ».

    La Calabre en « connait les conséquences », a regretté le Pape. Ce mal, incarné dans la région par la mafia calabraise, doit « être combattu, éloigné ». « Il faut lui dire non, a encore martelé François. L’Église que je sais si engagée dans l’éducation des consciences doit toujours plus se dépenser pour que le bien puisse prévaloir. »

    Le Pape a alors invité les fidèles à « renoncer à Satan et toutes ses séductions » : comme lors de la Fête-Dieu jeudi au Vatican, il a demandé de « renoncer aux idoles de l’argent, de la vanité, de l’orgueil et du pouvoir ». « Nous, chrétiens, nous ne voulons rien adorer ni personne en ce monde, si ce n’est Jésus-Christ, qui est présent dans la Sainte Eucharistie », a ajouté le Souverain Pontife.

    Ces paroles ont fait écho à celles de Mgr Nunzio Galantino, l’évêque de Cassano, dans son adresse de salut. « La délinquance organisée ralentit le processus de croissance, et pas seulement économique, a regretté le prélat. Il ne se nourrit pas seulement d’argent sale, mais aussi des consciences endormies et, par conséquent, complices. »

    Ce peuple calabrais, l’évêque de Rome l'a « confirmé non seulement dans la foi, mais aussi dans la charité, pour l’accompagner et l’encourager dans son chemin avec Jésus ». Le Pape a ainsi exprimé son soutien à l’évêque de Cassano et à toute son Église, mais aussi à l’éparchie de Lungro. Tous sont, pour le Saint-Père, « courageusement engagés dans l’évangélisation et l’encouragement de styles de vie et d’initiatives qui placent au centre la nécessité des pauvres et des derniers ».

    Et dans cette région enfin où plus d’un jeune sur deux est au chômage, le Souverain Pontife les a incités à « ne pas se laisser voler l’espoir » en adorant Dieu « dans vos cœurs et, restant unis à Lui, vous saurez vous opposer au mal, à l’injustice et à la violence ».

    En ce jour où l’Église « loue le Seigneur pour le don de l’Eucharistie », le Pape a invité les fidèles à « adorer Jésus et à marcher avec Lui ». Deux aspects inséparables que François a développé dans son homélie.

    « Ces aspects marquent de leur emprunte toute la vie du peuple chrétien », a affirmé le Saint-Père. Un peuple qui « adore Dieu qui est Amour, qui à travers Jésus-Christ s’est donné pour nous, s’est offert sur la Croix pour expier nos péchés ».

    Source : Radio Vatican.
    Texte intégral de l'homélie en italien : site internet du Vatican.

  • Antonio Lotti (v.1665-1740) : Messe à 3 voix en si b majeur - Kyrie eleison

    Maîtrise de la Cathédrale Notre Dame de Paris
    Orgue de chœur : Yves Castagnet

  • Giovanni Pierluigi da Palestrina (1526-1594) : Magnificat quarti toni

    Chœur de la Cathédrale de Westminster - Dir. James O'Donnell

  • Francisco Guerrero (1528-1599) : Motet "Ave Virgo sanctissima"

    Westminster Cathedral Choir - Dir. Martin Baker

  • 1. Tu lucis ante terminum, Thomas Tallis ; 2. Nunc dimittis antiphon: Salva nos, Domine 3. Nunc dimittis tertii toni, George Malcolm ; 4. Salva nos, Domine

    Choir of Westminster Cathedral - Dir. Martin Baker

  • Francisco Guerrero (1528-1599) : Motet "O Domine"

    Westminster Cathedral Choir

  • George Herbert (poète anglais, 1593-1633) : Hymne "The God of Love my Shepherd" (Ps. 23)

    Truro Cathedral Choir - Dir. Christopher Gray

    "The God of love my Shepherd is,
    And He that doth me feed:
    While He is mine and I am His,
    What can I want or need?"
  • Rencontre à la cathédrale Saint-Rufin avec les prêtres, religieux, et personnes de la vie consacrée

    Le Pape au clergé : "Rencontrons les gens et leurs vies au quotidien"

    Après une matinée consacrée aux défavorisés, handicapés ou pauvres avec qui il aura pris le repas de midi, et une Messe célébrée en plein air sur le parvis de la Basilique d’Assise, l’après-midi du Pape François a débuté vers 14h30 par une visite à l’Eremo dei Carceri, l’ermitage où Saint François allait se retirer pour prier dans les moments difficiles. Un des lieux forts et symboliques de la spiritualité franciscaine, sur les pentes du mont Subasio. Le Pape s’est recueilli de manière privée dans la cellule de François.

    Il est ensuite revenu dans le centre d’Assise où dans la cathédrale de Saint Rufin il a rencontré le clergé, les religieux et les membres des conseils pastoraux du diocèse. Écouter la Parole de Dieu, cheminer ensemble, annoncer jusque dans les périphéries : voilà les trois recommandations que leur a adressées le Pape. « L’Église c’est la communauté qui écoute avec foi et avec amour le Seigneur qui parle », a déclaré François qui ajoutait que « cheminer ensemble, c’est-à-dire faire synode, représente l’expérience la plus belle que nous vivons ». S’adressant toujours au clergé, le Pape – « se mettant lui aussi avec eux », rappelait l’importance de « collaborer, d’être unis, de reconnaître ses erreurs et de demander pardon, mais aussi d’accepter les excuses des autres en pardonnant ». « Marcher ensemble sans fuites en avant, sans nostalgies du passé ! »

    Sortir des préjugés, des rigidités mentales ou pastorales

    Le Pape en venait à la troisième recommandation : la mission, « un élément que j’ai beaucoup vécu quand j’étais à Buenos Aires, l’importance de sortir pour aller à la rencontre des autres, dans les périphéries, qui sont des lieux, mais surtout des personnes, des situations de vie ». « N’ayez pas peur de sortir, et d’aller à la rencontre de ces personnes, de ces situations, ne vous laissez pas enfermer par les préjugés, par les habitudes, la rigidité mentales ou pastorales ! » Et quittant son texte comme il en a l’habitude, le Pape se permettait alors un autre conseil au clergé, celui d’éviter « les homélies interminables, ennuyeuses, dans lesquelles on ne comprend rien ! »

    N’oubliant pas que parmi son auditoire se trouvait pas mal de monde des conseils pastoraux du diocèse, le Pape, là encore en improvisant dans la bonne humeur, leur demandait : « Qui d’entre vous connaît la date de son baptême ? » Et il recommandait dès lors que les enfants sachent le jour où ils ont été baptisés, car c’est le jour de leur naissance comme fils de Dieu ». Le Pape insistait aussi sur le rôle primordial des parents pour éduquer les enfants, mais à condition « que leur conscience soit illuminée par la Parole de Dieu ». Il insistait aussi pour que les « catéchistes soient inspirés par cette même Parole de Dieu, et la transmettent, plutôt que les informations de la télévision ». « Demandons-nous, a ajouté le Pape, quelle place tient la Parole de Dieu dans nos vies de tous les jours. Suis-je au diapason avec Dieu ou sur les idées à la mode, ou encore sur moi-même ? »

    Source : Radio Vatican.

  • Rencontre avec des pauvres et des prisonniers

    Rencontre en la Cathédrale de Cagliari

    "Merci à tous d'être ici aujourd'hui. Je lis la fatigue sur vos visages, mais je vois aussi l'espérance. Sentez-vous aimés du Seigneur, et aussi de tant de personnes bonnes qui, par leurs prières et leurs œuvres, participent à soulager les souffrances du prochain. Je me sens à la maison ici...Nous sentons ici de façon forte et concrète que nous sommes tous frères. Ici, le seul Père est notre Père céleste et Jésus-Christ est le seul Maître. La première chose que je veux donc partager avec vous est justement cette joie d'avoir Jésus comme Maître, comme modèle de vie...Nous avons tous des difficultés, tous... Nous tous qui sommes ici, tous, nous avons des misères... des fragilités. Personne ici n'est meilleur que l'autre. Nous sommes tous égaux devant le Père, tous !". C'est par ces paroles que le Pape François s'est adressé aux prisonniers et aux pauvres assistés par la Caritas réunis cet après-midi en la cathédrale de Cagliari.

    "En regardant Jésus nous voyons qu'il a choisi la voie de l'humilité et du service...il n'a pas été indécis ou indifférent. Il a fait un choix et il l'a porté en avant jusqu'au bout. Il a choisi de se faire homme, et comme homme serviteur, jusqu'à la mort sur une croix. Voilà quelle est la voie de l'amour, il n'y en a pas d'autre. C'est pourquoi nous voyons que la charité n'est pas simplement de l'assistanat, et encore moins de l'assistanat pour tranquilliser les consciences. Non, ceci n'est pas de l'amour, c'est du commerce... L'amour est gratuit. La charité, l'amour est un choix de vie... Il n'y a pas d'autres voies pour cet amour : être humbles et solidaires. Ce mot solidarité, dans cette culture du rebut où l'on jette ce qui ne sert plus, pour garder seulement ceux qui se sentent justes, qui se sentent purs, qui se sentent propres. Malheureux ! Ce mot solidarité risque d'être effacé du dictionnaire parce que c'est un mot qui dérange...parce qu'il t'oblige à regarder l'autre et à te donner à l'autre avec amour". Mais, a ajouté le Pape, ce ne sont pas les prêtres qui ont inventé le chemin de l'humilité et de la solidarité, c'est Jésus et "l'humilité du Christ n'est pas de la moralité ou un sentiment...elle est réelle, c'est le choix d'être petit, de rester avec les petits, avec les exclus, d'être entre nous, tous pécheurs. Attention, ce n'est pas une idéologie ! C'est une façon d'être et de vivre qui part de l'amour, qui part du Cœur de Dieu".

    "Mais il ne suffit pas de regarder, il faut suivre !... Jésus n'est pas venu au monde pour se faire voir... Il est le chemin et un chemin sert...à être parcouru", a souligné le Saint-Père tout en remerciant les prisonniers de l'effort fait pour le suivre "même dans la fatigue, dans la souffrance, entre les murs d'une prison". Il a aussi remercié les personnes qui se consacrent aux œuvres de miséricorde, en les encourageant à poursuivre et en rappelant que les œuvres de charité doivent toujours être accomplies "avec tendresse et toujours avec humilité !... Parfois - a-t-il ajouté - le service des pauvres est fait avec arrogance. Je suis sûr que vous avez déjà vu cela... Certains s’enorgueillissent, se remplissent la bouche avec les pauvres ; certains instrumentalisent les pauvres pour des intérêts personnels ou ceux de leur groupe. Je le sais, c'est humain mais cela ne va pas !... Et je dis même que c'est un péché ! C'est un péché grave d'utiliser les nécessiteux, ceux qui ont besoin, qui sont la chair de Jésus, par vanité. Je me sers de Jésus pour ma vanité et cela est un péché grave ! Mieux vaudrait pour ces personnes qu'elles restent chez elles !". Pour suivre Jésus sur le chemin de la charité, il faut "aller avec lui aux périphéries de l'existence... Pour le Bon Pasteur ce qui est...perdu et déprécié fait l'objet de l'attention la plus grande. Dans l’Église, les premiers sont ceux qui ont le plus de besoin humain, spirituel et matériel... En suivant le Christ sur le chemin de la charité, nous semons l'espérance... Ceux qui ont des responsabilités politiques et civiles ont leur devoir, comme citoyens, qu'ils doivent jouer activement. Certains membres de la communauté chrétienne sont appelés à s'engager dans le domaine de la politique qui est une forme haute de la charité comme disait Paul VI. Mais comme Église nous avons tous la forte responsabilité de semer l'espérance avec des œuvres de solidarité en cherchant toujours à collaborer le mieux possible avec les institutions publiques dans le respect de nos compétences respectives. La Caritas est l'expression de la communauté, et la force de la communauté chrétienne est de faire grandir la société de l’intérieur, comme le levain...Ne vous laissez pas voler l'espérance, au contraire, semez-là !".

    A la fin de la rencontre, le Pape a rejoint les moniales cloîtrées de Cagliari pour prier et les encourager avec la certitude que "le Seigneur vous a appelé pour soutenir l’Église par la prière".

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 23.9.13)

  • Gabriel Fauré : Messe de Requiem Op. 48 - Sanctus

    Chœur de la cathédrale Ste Marie d'Edimbourg

  • Messe avec les évêques, prêtres, religieux et séminaristes à la cathédrale Saint-Sébastien de Rio

    La cathédrale Saint-Sébastien de Rio de Janeiro - dont les vitraux sont l’œuvre de Lorenz Hailmar et illustrent les quatre caractéristiques de l’Eglise, qui est une (vert), sainte (rouge), catholique (bleu) et apostolique (jaune) - a accueilli hier à 9h00 (heure locale, 14h00 heure de Rome) le Pape François qui y a célébré la Messe avec les évêques de la Journée mondiale de la jeunesse, en présence des prêtres, religieuses, religieux et séminaristes. Les textes de la liturgie, à l’occasion de l’Année de la foi, étaient extraient de la Messe pour l’évangélisation des peuples. Dans son homélie, le Saint-Père est revenu sur les trois aspects de la vocation : Appelés par Dieu, appelés pour annoncer l’Evangile, appelés à promouvoir la culture de la rencontre.

    Partant du premier d’entre eux, Appelés par Dieu, le Pape a dit croire en la nécessité de raviver ce qu'on croit acquis : "Ce n'est pas vous qui m'avez choisi mais moi qui vous ai choisi, a dit Jésus. Nous avons été appelés par Dieu et appelés pour demeurer avec Jésus, unis à lui d’une manière profonde... Et cette vie en Christ est précisément ce qui garantit notre efficacité apostolique, la fécondité de notre service... Ce n’est pas la créativité pastorale, ce ne sont pas les rencontres ou les planifications qui assurent les fruits, mais le fait d’être fidèles à Jésus... Et nous savons bien ce que cela signifie : le contempler, l’adorer et l’embrasser, en particulier à travers notre fidélité à la vie de prière, dans notre rencontre quotidienne avec lui présent dans l’Eucharistie et dans les personnes les plus nécessiteuses. Le fait de demeurer avec le Christ ne signifie pas s’isoler, mais c’est demeurer pour aller à la rencontre des autres. Il me vient à l’esprit quelques paroles de Mère Teresa de Calcutta : Nous devons être très fiers de notre vocation qui nous donne l’opportunité de servir le Christ dans les pauvres. C’est dans les favelas, dans les cantegriles, dans les villas miseria, que l’on doit aller chercher et servir le Christ. Nous devons aller chez eux comme le prêtre se rend à l’autel, avec joie".

    Pour expliquer le deuxième aspect, Appelés pour annoncer l’Evangile, le Pape a fait allusion aux évêques venus à Rio pour accompagner les jeunes de la JMJ et a souligné : “C’est notre engagement de pasteurs de les aider à faire brûler dans leur cœur le désir d’être des disciples missionnaires de Jésus. Certes, face à cette invitation beaucoup pourraient se sentir un peu effrayés, pensant qu’être missionnaire signifie laisser nécessairement son pays, sa famille et ses amis. Dieu nous veut missionnaires...que ce soit chez nous ou au loin. Aidons donc les jeunes à se rendre compte qu’être des disciples missionnaires est une conséquence du fait d’être baptisés, fait partie essentielle de l’être chrétien, et que le premier lieu à évangéliser est sa propre maison, le milieu d’étude ou de travail, la famille et les amis. Ils ont besoin d'être entendus, alors je vous demande vivement de leur consacrer du temps. Même si c'est épuisant, cette démarche est gratifiante, et c'est ce que Jésus attend de nous, évêques. N’économisons pas nos forces dans la formation des jeunes ! Aidons nos jeunes à redécouvrir le courage et la joie de la foi... Eduquons les à la mission. Aidons les à sortir, à partir. Jésus a fait ainsi avec ses disciples, qu'il n'a pas tenus attachés à lui comme une mère poule avec ses poussins ; il les a envoyés ! Nous ne pouvons pas rester enfermés dans la paroisse, dans nos communautés, quand tant de personnes attendent l’Evangile ! Ce n’est pas simplement ouvrir la porte pour accueillir, mais c’est sortir par la porte pour chercher et rencontrer ! Ne pensons pas qu'ils frappent à la porte seulement pour s'agiter. Ne craignons rien, car les apôtres sont passés par la. Avec courage, pensons à la pastorale en partant de la périphérie, en partant de ceux qui sont les plus loin, de ceux qui d’habitude ne fréquentent pas la paroisse. Eux aussi sont invités à la table du Seigneur”.

    Le Pape a conclu en évoquant le troisième aspect : Appelés à promouvoir la culture de la rencontre. “Malheureusement, dans beaucoup de milieux, s’est développée un sorte d'humanisme économique qui impose au monde une culture de l’exclusion, une culture du rebut. Il n’y a de place ni pour l’ancien ni pour l’enfant non voulu. Il n’y a pas de temps pour s’arrêter avec ce pauvre au bord de la route. Parfois il semble que pour certains, les relations humaines soient régulées par deux dogmes modernes : efficacité et pragmatisme... Ayez le courage d’aller à contre-courant. Ne renonçons pas à ce don de Dieu, l’unique famille de ses enfants. La rencontre et l’accueil de tous, la solidarité et la fraternité, sont les éléments qui rendent notre civilisation vraiment humaine... Soyons des serviteurs de la communion et de la culture de la rencontre... Ne soyons pas présomptueux en imposant nos vérités. Ce qui nous guide c’est l’humble et heureuse certitude de celui qui a été trouvé, rejoint et transformé par la Vérité qui est le Christ et qui ne peut pas ne pas l’annoncer". Après la Messe et après avoir béni les personnes présentes, le Pape François s’est rendu en papamobile au théâtre municipal pour rencontrer la classe dirigeante du Brésil.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 28.7.13)

  • Salut du Pape aux jeunes Argentins, à la cathédrale de Rio

    Le Pape François, ajoutant une nouvelle activité au programme officiel, s’est rendu à la cathédrale de Rio pour saluer ses compatriotes argentins auxquels il s’est adressé. Il a remercié les jeunes qui s’étaient approchés pour le saluer et leur a dit : "Je veux une Eglise qui aille dans la rue ! Je veux que nous nous détachions de la mondanité, de la commodité, du confort, du cléricalisme, de ce qui nous laisse renfermés sur nous-mêmes. Les paroisses, les collèges, les institutions sont faites pour sortir ! Si elles ne sortent pas, elles deviennent des ONG, et l’Eglise ne peut être une ONG"... Je pense qu’aujourd’hui, notre civilisation mondiale a dépassé les bornes... elle a dépassé les bornes ! Parce qu’il est là le culte rendu au dieu argent, qui nous rend témoins d’une philosophie et d’une pratique d’exclusion des deux extrémités de la vie qui sont les promesses des peuples. Evidemment, on pourrait penser que puisse exister une sorte d’euthanasie cachée, c’est-à-dire qu’on ne s’occupe pas des personnes âgées, mais cela aussi c’est une euthanasie culturelle ; nous ne devons pas la laisser parler, nous ne devons pas la laisser agir ! Et l’exclusion des jeunes... Le nombre de jeunes sans travail, sans emploi, est très élevé ! C’est une génération qui n’a pas l’expérience de la dignité gagnée par le travail. Cette civilisation nous a conduit à exclure ces deux extrémités qui sont notre avenir !".

    Puis le Pape a encouragé les jeunes à sortir, à se faire valoir et à lutter pour les valeurs, demandant aussi aux personnes âgées de se faire entendre pour enseigner et transmettre la sagesse. "Pour le peuple argentin, je le demande de tout coeur aux personnes âgées, ne renoncez pas à être la réserve culturelle de notre peuple qui transmet la justice, qui transmet l’histoire, qui transmet les valeurs, qui transmet la mémoire du peuple. Et vous - s’adressant de nouveau aux jeunes - s’il vous plaît, ne vous opposez pas aux personnes âgées ! Laissez-les parler, écoutez-les, et mettez-les en avant ! Mais sachez, aujourd’hui, vous jeunes et personnes âgées, que vous êtes condamnés au même destin, l’exclusion ! Ne vous laissez pas exclure ! C’est clair ? C’est pourquoi je crois qu’il faut se mettre au travail". Il a ensuite rappelé que la foi n’est pas une plaisanterie, que c’est quelque chose de très sérieux. "Dieu qui est venu se faire l’un de nous, c’est un scandale ! Et qu’il soit mort sur la croix est un scandale, le scandale de la croix. La croix continue d’être un scandale, mais c’est le seul chemin sûr, celui de la croix de Jésus, l’incarnation de Jésus. S’il vous plaît, ne “pressez” pas votre foi en Jésus-Christ ! Vous pouvez pressez une orange, une pomme, une banane, mais, s’il vous plaît, ne pressez pas votre foi! La foi est entière, elle se se presse pas ! C’est la foi en Jésus. C’est la foi dans le fils de Dieu fait homme qui m’a aimé et est mort pour moi. Alors, liez-vous ! Prenez soin des deux extrémités du peuple que sont les personnes âgées et les jeunes ! Ne vous laissez pas exclure, ne laissez pas non plus exclure les personnes âgées, et ne pressez pas votre foi en Jésus Christ". Le Saint-Père a ensuite encouragé ses hôtes à lire les Béatitudes et le chapitre XXV de l’Evangile de Matthieu. "Avec ces deux textes, vous avez votre programme d’action", a-t-il dit avant de conclure, prier la Vierge et donner sa bénédiction.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 26.7.13)

  • Le botafumeiro dans la cathédrale de Saint Jacques de Compostelle

    Visite du pape Benoît XVI en Espagne - 06/11/2010 (Source : KTO)

  • Giovanni Pierluigi da Palestrina : Missa Papae Marcelli (Messe du pape Marcel) - Credo

    Westminster Cathedral Choir - Dir. David Hill

  • William Byrd (1543-1623) : Messe pour cinq voix - "Sanctus"

    Choeur de la Cathédrale de Westminster, le 18 septembre 2010

  • Grzegorz Gerwazy Gorczycki (v.1667-1734) : Motet "Omni Die Dic Mariae"

    Cantores Minores, Varsovie (Pologne) - Choeur d'hommes et enfants de la Cathédrale St Jean-Baptiste
    Dir. Joseph A. Herter - Michael Oczko, orgue