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  • MISÉRICORDE : Espérance pour le monde (témoignages) - Partie I

    Partie II sur Youtube

  • 23 septembre : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise

    "Le Fils de l'homme est livré aux mains des hommes ; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il ressuscitera." Mais les disciples ne comprenaient pas ces paroles... (Mc 9, 30-31)

    « En tout ce qui touche à la Passion de notre Seigneur Jésus-Christ, bien-aimés, voici ce qu'apporte la foi catholique, voici ce qu'elle oblige à croire : nous devons savoir qu'en notre Rédempteur deux natures se sont rencontrées ; de plus, leurs propriétés respectives demeurant, une telle unité s'est faite des deux substances que, depuis le moment où, répondant au besoin du genre humain, le Verbe s'est fait chair dans le sein de la bienheureuse Vierge, il n'est plus permis de penser qu'il est Dieu sans penser qu'il est homme, ni de le penser homme sans penser qu'il est Dieu. L'une et l'autre nature certes manifestent leur vérité par des actions distinctes, mais aucune ne brise son union avec l'autre. Rien ici qui soit exempt de réciprocité, l'humilité est toute dans la majesté, la majesté toute dans l'humilité ; l'unité n'amène pas la confusion, pas plus que la propriété ne rompt l'unité. D'une part le passible, de l'autre l'inviolable ; et cependant au même appartient aussi la gloire. Le même est dans la faiblesse, qui est aussi en puissance ; le même est sujet à la mort et le même est vainqueur de la mort. Dieu a donc pris l'homme en sa totalité, il s'est uni à lui et se l'est uni à lui-même, par raison de miséricorde et de puissance, de telle manière que chacune des natures se trouvât dans l'autre et qu'aucune ne perdît ce qui lui est propre en passant dans l'autre. »

    Saint Léon le Grand (406-461), Sermon LIV, Troisième Sermon sur la Passion (1), in Sermons Tome III, Trad. Dom René Dolle, SC n°74, Cerf, 1961.

  • Mai : le mois de la Vierge Marie - 17ème jour

    Dix-septième jour : De l’acceptation de la volonté de Dieu

    L’homme ici-bas est rarement content de la position qu’il occupe. S’il est pauvre, il voudrait être riche ; s’il a en partage les biens de la terre, il souhaite d’en posséder davantage encore. Toute son existence s’épuise en vains désirs ; il oublie qu’il n’est point créé pour acquérir des trésors passagers et pour en jouir, mais pour mériter par ses travaux, par ses luttes et ses victoires sur lui-même, des richesses éternelles qui ne craindront ni la rouille ni les vers.
    Considérons Marie, notre Mère du Ciel. Fille des rois et appelée à être un jour la Reine des Anges et des hommes, Elle ne recherche pas les satisfactions et les jouissances ; Elle est pauvre, sa vie s’écoule dans le travail et dans la privation, et jamais Elle ne se plaint de la part qui lui est faite. Son âme est trop grande, son cœur trop noble pour souhaiter et désirer des biens qui ne sont que cendre et poussière. Elle élève ses regards plus haut, et n’a sur les lèvres que des paroles d’actions de grâces pour les dons spirituels qu’Elle a reçus de Dieu ! Imitons-la, et sachons nous trouver heureux dans la situation où la divine Providence nous a placés.

    Exemple. – Saint François de Sales, ayant à consoler une grande douleur, disait : « Il ne faut pas seulement agréer que Dieu nous frappe, mais acquiescer que ce soit sur l’endroit qui lui plaît. En pertes temporelles, que Dieu touche et pince où Il voudra, et sur telle corde de notre luth qu’Il choisira, jamais Il ne fera qu’une bonne harmonie. Seigneur Jésus, sans réserve, sans si, sans mais, sans exception, sans limitation, votre volonté soit faite sur père, sur mère, sur fille en tout et partout. Je ne dis pas qu’il ne faille souhaiter et prier pour leur conservation ; mais il ne faut pas dire à Dieu : Laissez ceci et prenez cela. »

    Prière du Bienheureux Louis de Grenade. – Ô Reine de miséricorde, ma douceur et ma vie, j’élève mes cris vers Vous, pauvre exilé dans cette vallée de larmes ; secourez-moi dans mes traverses, défendez-moi dans mes périls, conduisez-moi en présence de Jésus-Christ, qui vit et règne dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il.

    Résolution. – Je verrai la volonté de Dieu dans les divers événements de la vie, et j’accepterai sans murmure la position où il m’a placé.
    Marie, Consolatrice des affligés, priez pour nous.

    "Mois de Marie pour tous", par M.A.G.
    Approbation + Flavien, Evêque de Bayeux et Lisieux, le 13 octobre 1874.
    Imprimatur Brugis, 23a Februarii 1932. Jos. Van der Meersch vic. gen.

  • 24 avril : Méditation

    « C'est parce que nous méprisons la grâce divine et le don gratuit de la vie, que nous perdons la foi. A l'écoute de la grâce, la bonté de Dieu pour l'homme qu'il comble de ses dons, nous apparaît.
    Comment exprimer notre reconnaissance ? Par un simple merci ? Cela est bien faible au regard de la générosité du Seigneur et dire "merci" ne suffit pas à nous entraîner dans une dynamique. Dès lors que l'on goûte à la plénitude de la grâce, la réponse s'impose : le don de Dieu appelle l'action de grâce.
    Oser dire : "Je te bénis Seigneur pour tout ce que tu m'as donné", "Je te bénis pour ce que tu m'as enseigné à travers tous les événements de ma vie", "Je te bénis pour tout ce que tu me permets de vivre en cet instant"... nous entraîne dans un élan de générosité et dans une puissance d'amour qui seront les fondements de notre relation et de nos échanges avec Dieu, avec l'autre et avec nous-mêmes et feront de nous les témoins des merveilles qu'il a opérées en nous.

    Dans "action de grâce" il y a le mot "action". L'action ne doit pas se limiter à la bénédiction verbale mais aller au-delà. Cela implique de redistribuer autour de nous ce que nous avons reçu du Seigneur. L'action de grâce ne peut donc être vécue comme un rite à accomplir mais comme un témoignage vivant et actif des énergies divines qui nous animent. Elle accomplit dans un acte d'amour, un geste venant de la profondeur de notre coeur qui seul peut exprimer la miséricorde et l'amour.

    "Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas l'amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit" (1Co 13, 1). »

    Suzanne Giuseppi Testut, La déposition - Parcours spirituel à l'école de saint François d'Assise, Nouvelle Cité, 2009.

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    Précisions sur le tableau de Jean-Louis Bézard (1799-1881) ci-dessus : "Les Sept oeuvres de miséricorde", en l'église paroissiale de l'Invention-de-la-Sainte-Croix d'Aubusson, dans la Creuse, ici.

  • 15 avril : Petit Journal de Sainte Faustine

    « L'humanité ne trouvera pas la paix tant qu'elle ne se tournera pas avec confiance vers ma Miséricorde. »

    Jésus à Sainte Faustine, Petit Journal, 1934 (I.130) & 1936 (II.139).

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  • 15 avril : Méditation

    « La miséricorde, c'est le Père qui envoie son Fils (cf. Eph 4, 4-7), et c'est le Fils qui nous fait comprendre cette miséricorde par le mystère de l'Incarnation. c'est à travers l'humanité assumée par le Verbe divin, Fils de Dieu, que nous découvrons le mieux la miséricorde. Toute la vie du Christ n'est qu'une vie de miséricorde ; toutes les actions du Christ à notre égard sont faites par miséricorde. La miséricorde regarde la misère de l'autre, et il n'y a miséricorde que quand on voit la misère de l'autre... Et dans la miséricorde, on regarde la misère de l'autre comme étant notre propre misère... la miséricorde consiste à voir, à regarder et à connaître le mal de l'autre d'une façon profonde, de sorte que ce mal de l'autre soit comme notre mal. On rend la vie au misérable, à celui qui souffre et qui n'en peut plus, et on fait tout ce qu'on peut, par soi-même ou par d'autres, pour venir au secours de sa misère. [...]

    Jésus agit toujours par miséricorde (c'est sa manière d'agir, parce qu'il est miséricordieux), et sa miséricorde s'enracine dans nos coeurs pour que nous puissions, à notre tour, être miséricordieux...
    La miséricorde va impliquer ce qu'il y a de plus grand dans notre activité à l'égard des autres : leur apporter un renouveau de vie, un surcroît de vie à partir de leurs fautes, en réponse à leur misère qui nous a permis de nous déloger et d'aller vers eux. Il y a comme un appel...

    La miséricorde a ceci de très particulier qu'elle appelle la miséricorde : "Bienheureux les miséricordieux, ils obtiendrons miséricorde". Donc, faire la miséricorde nous dispose à recevoir la miséricorde de Dieu, la miséricorde du Christ. C'est peut-être la disposition la plus parfaite à recevoir la miséricorde du Christ, et donc à être tout proche de Jésus, à le connaître et à le comprendre. »

    P. Marie-Dominique Philippe, un feu sur la terre, Mame, coll. "Hommes de Parole", 2001.

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    A voir : notre dossier dédié à la Miséricorde Divine

  • 15 avril : Dimanche de la Divine Miséricorde

    Au calendrier traditionnel :

    Dimanche in Albis (dans l'octave de Pâques)


    Ce Dimanche s’appelle également "Quasimodo", des premiers mots de l’Introït : "Quasi modo géniti infantes, alleluia...", ou "Pâques closes", car c’est en ce jour que s’achève l’Octave de Pâques.

     

     

  • 6 avril : Premier jour de la neuvaine à la Misricorde divine

    Cette neuvaine est disponible sur notre site.

    Prions-la ensemble, "en réparation de nos péchés, et de ceux du monde entier".