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  • Mercredi 11 juillet 2018

    De la férie

    Mémoire de St Pie 1er, pape et martyr


    Au nouveau calendrier :
    St Benoît, co-patron de l’Europe (Fête en Europe)

  • Méditation - Les 3 sermons de St Bernard...

    ... pour la Fête des Apôtres Saint Pierre et Saint Paul

    - Premier Sermon : Des trois manières dont les apôtres nous gardent, et des trois degrés de notre vie.

    - Deuxième Sermon : Vous avez comblé vos amis d'un excès de gloire (Psal. CXXXVIII, 17)

    - Troisième Sermon : Sur ce passage du livre de la Sagesse : « Ce sont des hommes de miséricorde (Eccli. XLIV, 10). »

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  • Méditation - Fête de la Très Sainte Trinité

    « Toute notre vie doit être une fête continuelle en l'honneur de la sainte Trinité, à l'imitation des bienheureux qui n'ont d'autre occupation dans le ciel que de louer Dieu et de l'adorer. Le mystère de la sainte Trinité, qui est le plus auguste de nos mystères, nous impose les plus grands devoirs. Croire, aimer et même imiter la sainte Trinité, autant qu'un objet si élevé peut être proportionné à nos forces, voilà ce que demande de nous le Dieu trois fois saint (*).

    Adorons donc le Père céleste, qui est le principe de toute chose et des augustes personnes mêmes qui sont dans son sein, et auxquelles il communique sa nature. Adorons son Fils unique, qui est la splendeur de sa gloire, le caractère de sa substance, et qui comme lui soutient tout par la puissance de sa parole ; qui est aussi élevé au-dessus des anges, que le nom qu'il a reçu est plus excellent que le leur, et qui est adoré des anges mêmes. Adorons cet Esprit divin, qui, procédant du Père et du Fils, et consubstantiel à l'un et à l'autre, doit être adoré et glorifié avec eux.

    Mais quel tribu de reconnaissance et d'amour ne devons-nous pas à ces augustes personnes ? Au Père, qui nous a créés, qui nous conserve, qui nous a adoptés pour ses enfants, et qui nous a aimés jusqu'à nous sacrifier son propre Fils ; au Fils, qui s'est chargé de tout le poids de nos crimes, et qui s'est fait victime pour nous réconcilier avec la justice de son Père ; au Saint-Esprit, qui habite, opère et prie même en nous, et qui par sa résidence intérieure, par son action vivifiante, par son inspiration actuelle, est véritablement notre esprit ? Pourrions-nous nous rappeler les rapports admirables qui nous attachent et nous lient à l'adorable Trinité, sans sentir nos cœurs pénétrés de la plus vive reconnaissance, et embrasés du plus saint amour ? »

    (*) : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait. » (Mt 5, 48) - « Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. » (Lc 18, 27 ; cf. Lc 1, 37)

    Père Alphonse de la Mère des Douleurs (1842-1927), Carme déchaussé, Pratique journalière de l'oraison et de la contemplation divine d'après la méthode de sainte Thérèse et de saint Jean de la Croix, Tome troisième (Dimanche de la Trinité), Desclée, De Brouwer, Lille - Paris - Bruges, 1916.

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  • Jeudi 24 mai 2018 : Fête de Notre Dame de Sheshan, « Aide des chrétiens », en Chine

    Le Pape a invité hier tous les fidèles réunis place Saint-Pierre à s’unir par la prière à leurs frères chinois.

    « Pour eux, prions la Sainte Vierge pour qu’ils puissent vivre la foi avec générosité et sérénité, et pour qu’ils sachent accomplir des gestes concrets de fraternité, de concorde et de réconciliation, en pleine communion avec le Successeur de Pierre. L’Église universelle prie avec vous et pour vous afin qu’au travers même des difficultés vous puissiez continuer à vous confier à la volonté de Dieu. La Sainte Vierge vous aidera toujours et vous gardera dans son cœur de mère. »

    C’est en 2008 que Benoît XVI, dans une lettre qu’il avait adressée aux catholiques chinois, avait exprimé sa volonté qu’une journée de prière se tienne chaque année le 24 mai pour l’Église en Chine. Il avait rédigé alors une prière à Notre Dame de Sheshan, vénérée dans la basilique du même nom, près de Shanghaï, premier lieu marial en Chine.

    D'après Vatican.News.

    « Vierge très sainte, Mère du Verbe incarné et notre Mère,
    vénérée dans le sanctuaire de Sheshan sous le vocable d’« Aide des Chrétiens »,
    toi vers qui toute l’Église qui est en Chine regarde avec une profonde affection,
    nous venons aujourd’hui devant toi pour implorer ta protection.
    Tourne ton regard vers le peuple de Dieu et guide-le avec une sollicitude maternelle
    sur les chemins de la vérité et de l’amour, afin qu’il soit en toute circonstance
    un ferment de cohabitation harmonieuse entre tous les citoyens.

    Par ton « oui » docile prononcé à Nazareth, tu as permis
    au Fils éternel de Dieu de prendre chair dans ton sein virginal
    et d’engager ainsi dans l’histoire l’œuvre de la Rédemption,
    à laquelle tu as coopéré par la suite avec un dévouement empressé,
    acceptant que l’épée de douleur transperce ton âme,
    jusqu’à l’heure suprême de la Croix, quand, sur le Calvaire, tu restas
    debout auprès de ton Fils, qui mourait pour que l’homme vive.

    Depuis lors, tu es devenue, de manière nouvelle, Mère
    de tous ceux qui accueillent dans la foi ton Fils Jésus
    et qui acceptent de le suivre en prenant sa Croix sur leurs épaules.
    Mère de l’espérance, qui, dans l’obscurité du Samedi-Saint,
    avec une confiance inébranlable, est allée au devant du matin de Pâques,
    donne à tes fils la capacité de discerner en toute situation,
    même la plus obscure, les signes de la présence aimante de Dieu.

    Notre-Dame de Sheshan, soutiens l’engagement de tous ceux qui, en Chine,
    au milieu des difficultés quotidiennes, continuent à croire, à espérer, à aimer,
    afin qu’ils ne craignent jamais de parler de Jésus au monde et du monde à Jésus.
    Dans la statue qui domine le Sanctuaire, tu élèves ton Fils,
    le présentant au monde avec les bras grands ouverts en un geste d’amour.
    Aide les catholiques à être toujours des témoins crédibles de cet amour,
    les maintenant unis au roc qui est Pierre, sur lequel est construite l’Église.
    Mère de la Chine et de l’Asie, prie pour nous maintenant et toujours. Amen ! »

    Benoît XVI, Prière à Notre Dame de Sheshan, 15 mai 2008.
    © Copyright - Libreria Editrice Vaticana.
     
  • Mardi 1er mai 2018

    St Joseph artisan

    (S. Joseph, travailleur, Mémoire facultative au nouveau calendrier)

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    Rappel historique de cette fête de Saint Joseph :

    - en 1847, Pie IX étend à tout le rite romain la fête du "Patronage de Saint Joseph" (d’origine carmélitaine). Elle est fixée au 3ème dimanche après Pâques.
    - le 8 décembre 1870, Pie IX proclame Saint Joseph "Patron de l’Église universelle", et élève la fête à la 1ère classe. Il fait du 19 mars une fête solennelle.
    - En 1889, Léon XIII lui décernait officiellement le titre de "saint patron des pères de famille et des travailleurs".
    - en 1911, Pie X en change l’intitulé comme "Solennité de saint Joseph, patron de l’Église universelle" et la dote d’une Octave commune.
    - en 1913, la réforme du calendrier de saint Pie X (qui désire libérer les dimanches perpétuellement empêchés par une fête de saint) déplace la Solennité au mercredi précédent (le mercredi étant le jour spécialement consacré à saint Joseph dans la dévotion). En compensation, la fête est élevée à l’honneur de solennité de première classe suivie d’une octave.
    - en 1955, Pie XII institue la "Solennité de Saint Joseph Artisan" le 1er mai, faisant disparaître la fête mobile du Patronage de Saint Joseph et toute son Octave.

  • Méditation - « Surrexit Christus, Alleluia ! »

    « Jésus est ressuscité, il n'est plus ici ; Surrexit, non est hic (Mc 16). Ce furent les premières paroles que l'ange adressa aux pieuses femmes accourues, dès la pointe du jour, au tombeau du Seigneur. Quelle joie elles durent répandre dans leur cœur désolé ! Quelle joie ces mêmes paroles répandent encore aujourd'hui dans le cœur des fidèles, à qui l’Église les fait entendre dans l'office et la messe de ce grand jour. Surrexit !... Il est ressuscité ! Jésus, notre bien-aimé Roi, notre Père, dont la douloureuse Passion nous arracha tant de soupirs, a repris vie, pour ne plus mourir ! Vainqueur de tous ses ennemis et de la mort même, il jouit, dans son humanité glorifiée, d'ineffables délices ; son Père céleste lui a donné la toute-puissance dans le ciel, sur la terre et dans les enfers ! Réjouissons-nous avec lui et pour lui. Exultemus et laetemur. Qu'en ce beau jour la joie dilate notre cœur ! L’Église nous y invite par son exemple : aux habits de deuil, aux accents lugubres des lamentations elle a fait succéder les ornements de fête, les cantiques d'allégresse mêlés au cri mille fois répété du joyeux Alleluia. - Surrexit Christus, Alleluia ! Jésus est ressuscité, Alleluia ! Sicut dixit, Alleluia ! Comme il l'avait prédit, Alleluia ! Alleluia ! (Mt 26)
    [...]
    Je vais tâcher aujourd'hui d'avoir toujours mes pensées fixées sur Jésus ressuscité ; de me réjouir avec lui et de rendre ma joie féconde en bonnes œuvres. »

    Père Bruno Vercruysse, Nouvelles méditations pratiques pour tous les jours de l'année (Résurrection de Notre-Seigneur Jésus-Christ), Braine-le-Comte - Paris, Charles Lelong - Jouby et Roger, 1874.

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    « La résurrection n’est pas passée, la résurrection nous a rejoints et saisis. Nous nous accrochons à elle, c’est-à-dire au Christ ressuscité, et nous savons que Lui nous tient solidement, même quand nos mains faiblissent. Nous nous accrochons à sa main, et ainsi nous nous tenons la main les uns des autres, nous devenons un unique sujet, et pas seulement une seule chose. C’est moi, mais ce n’est plus moi : voilà la formule de l’existence chrétienne fondée sur le Baptême, la formule de la résurrection à l’intérieur du temps. C’est moi, mais ce n’est plus moi : si nous vivons de cette manière, nous transformons le monde. »

    Benoît XVI, extrait de l'homélie de la Vigile de Pâques, 15 avril 2006.

  • Lundi 19 mars 2018

    St Joseph, Époux de la Bse Vierge Marie

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    Mémoire du Lundi de la Passion

  • Dimanche 7 janvier 2018

    Fête de la Sainte Famille
    (Premier dimanche après l’Épiphanie)

     En France, comme au nouveau calendrier :
    Solennité de l’Épiphanie

    A Rome, l’Épiphanie ayant été célébrée hier 6 janvier, ce dimanche 7 marque la Fête du Baptême du Seigneur – dans d’autres pays (dont la France) elle sera célébrée demain lundi 8.

  • Dimanche 31 décembre 2017

    Dimanche dans l’Octave de la Nativité
     
    Au nouveau calendrier :
    Fête de la Sainte Famille

  • Méditation - Un bon emploi du temps

    « Qu'est-ce donc que cette fête à laquelle Notre Seigneur nous dit de monter et dont le temps est à tout instant ? La fête la plus élevée et la plus vraie, la fête suprême, est la fête de la vie éternelle, c'est-à-dire l'éternelle félicité où nous serons vraiment en face de Dieu. Cela, nous ne pouvons pas l'avoir ici-bas ; mais la fête que nous pouvons avoir, c'est un avant-goût de celle-là, une expérience de la présence de Dieu dans l'esprit par la jouissance intérieure que nous en donne un sentiment tout intime. Le temps qui est toujours nôtre, c'est celui de chercher Dieu et de poursuivre le sentiment de sa présence dans toutes nos œuvres, notre vie, notre vouloir et notre amour. C'est ainsi que nous devons nous élever au-dessus de nous-mêmes et de tout ce qui n'est pas Dieu, en voulant et n'aimant que lui seul, en toute pureté, et rien autre chose. Ce temps est de tous les instants.

    [...] Dieu est toujours là présent, et même si nous ne le sentons pas il est cependant secrètement entré pour la fête. Où Dieu est, là il y a en vérité jour de fête ; il ne peut manquer, ni s'abstenir d'être là, où l'appelle une intention loyale et où l'on ne cherche que lui seul ; il doit de toute nécessité être là. Il y est peut-être de manière cachée, mais il y est. »

    Jean Tauler (v.1300-1361), Extraits du Sermon XII, Les Éditions du Cerf, Sagesses Chrétiennes, Paris, 1991.

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  • Méditation - Devenir un saint !

    « Devenir un saint et un grand saint.
    Pour la gloire de Dieu, il faut se sanctifier soi-même ainsi que toutes les âmes présentes et futures, par l'intermédiaire de l'Immaculée.
    Fuir à priori non seulement le péché mortel, mais encore le péché véniel délibéré.
    Ne pas permettre que le mal reste sans réparation et sans destruction ; que le bien reste sans fruit et sans développement.
    Que la règle soit l'obéissance - la volonté de Dieu - par l'Immaculée. N'être qu'un instrument.
    Penser à ce que l'on fait, ne pas se préoccuper du reste, que ce soit en mal ou bien.
    Sers l'ordre et l'ordre te servira.
    Action pacifique et bienveillante.
    Se rappeler que l'on est la priorité exclusive, inconditionnelle, absolue, irrévocable de l'Immaculée.
    Qui que l'on soit, quoi que l'on ait ou puisse avoir, tout : pensées, paroles, actions et désirs sont son absolue propriété.
    Tout est à elle et non à soi, faire ce qu'elle veut. Également sont à elle toutes les intentions : elle dispose, agit et corrige, car elle ne peut se tromper.
    Être un instrument dans ses mains, ne faire que ce qu'elle veut.
    Tout recevoir de ses mains. Recourir à elle comme l'enfant à sa maman. Se confier à elle.
    S'occuper d'elle, de sa gloire et de ses biens, et lui confier le soin de sa vie.
    Ne rien avoir à soi, mais reconnaître que l'on reçoit tout d'elle. Tout le fruit de notre travail dépend de notre union avec elle. Comme elle est l'instrument de la Miséricorde divine...
    La vie (en chacun de ses instants), la mort (où, quand et comment), l'éternité, tout est tien, Vierge Immaculée. Fais de moi ce qui te plaît.
    Tout est possible en celui qui, par l'Immaculée, est ma force.
    Vie intérieure : en premier lieu, tout pour sa propre sanctification et, donc, tout pour la sanctification des autres. »
    (Février 1920 : Exercices spirituels)
    NB : Le Père Kolbe lui-même avait noté : A lire chaque mois...

    St Maximilien Kolbe, in "Le Bienheureux Père M. Kolbe - Entretiens spirituels inédits", traduits et présentés par l'Abbé J.-F. Villepelée, P. Lethielleux - Dessain et Tolra, Paris, 1974.

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  • Méditation - Promesses du Sacré Coeur de Jésus à Ste Marguerite-Marie

    « Si vous saviez, ma bonne mère, combien je me sens pressée d'aimer le Sacré-Cœur de Notre-Seigneur Jésus-Christ ! Il me semble que la vie ne m'est donnée du tout que pour cela, et cependant je fais tout le contraire ; il me fait de continuelles faveurs et je ne le paie que d'ingratitude. Il m'a gratifiée d'une visite qui m'a été extrêmement favorable pour les bonnes impressions qu'elle a laissées dans mon cœur. Alors il m'a confirmé que le plaisir qu'il prend d'être aimé, connu et honoré de ses créatures est si grand, que, si je ne me trompe, il m'a promis que tous ceux qui lui auront été dévoués et consacrés ne périront jamais ; et que, comme il est la source de toutes bénédictions, il les répandra avec abondance dans tous les lieux où sera posée et honorée l'image de son divin Cœur ; qu'il réunira les familles divisées et protégera et assistera celles qui seraient en quelque nécessité et qui s'adresseront à lui avec confiance ; qu'il répandra la suave onction de son ardente charité sur toutes les communautés qui l'honoreront et se mettront sous sa spéciale protection ; qu'il en détournera tous les coups de la divine Justice, pour les remettre en grâce lorsqu'elles en seront déchues. Il m'a donné à connaître que son sacré Cœur est le Saint des saints, le Saint d'amour ; qu'il voulait qu'il fût connu à présent pour être le Médiateur entre Dieu et les hommes, car il est tout-puissant pour faire leur paix, en détournant les châtiments que nos péchés ont attirés sur nous, nous obtenant miséricorde. »

    Sainte Marguerite-Marie, Lettre XXXVII à la Mère Greyfié, à Semur (1685), in "Œuvres Complètes", Tome deuxième, Troisième édition refondue par les soins de Mgr Gauthey, Paris, Poussielgue, 1915.

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  • Alleluia de la Fête de ce jour : Solemnitas

    Allelúia, allelúia. V/. Solémnitas gloriósæ Vírginis Maríæ ex sémine Abrahæ, ortæ de tribu Iuda, clara ex stirpe David. Allelúia.
    Allelúia, allelúia. V/. Voici la Solennité de la glorieuse Vierge Marie de la race d’Abraham, née de la tribu de Juda, de la noble lignée de David. Alléluia.

  • Samedi 7 octobre 2017

    Fête du Très Saint Rosaire

    (Notre Dame du Rosaire)

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    Murillo, La Vierge Marie présentant le Rosaire à St Dominique

     

  • Mercredi 9 août 2017

    Vigile de St Laurent, diacre martyr
     

     Au nouveau calendrier :

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  • Angelus du 29 juin 2017

    Après avoir célébré la Messe place Saint-Pierre en la Solennité des Saints Pierre et Paul, le Pape François a récité la prière de l’Angélus. Dans son commentaire de l’Évangile de ce jeudi 29 juin 2017, il est revenu sur les deux « libérations » des deux saints. Elles révèlent « le chemin commun des deux Apôtres qui furent envoyés par Jésus pour annoncer l’Évangile dans des environnements difficiles et dans certains cas, hostiles », a-t-il expliqué.

    Ces deux exemples nous parlent à nous, aujourd’hui et nous disent que « le Seigneur est toujours à notre côté, qu’il marche avec nous, qu’il ne nous abandonne jamais » a précisé le Pape. « Dieu nous tend la main, particulièrement quand nous traversons des épreuves, il nous vient en aide et nous libère des menaces de nos ennemis » a-t-il poursuivi. Mais, met-il en garde, « notre vrai ennemi est le péché ».

    Heureusement, via le sacrement de la pénitence, « en recevant la grâce du pardon, nous sommes libérés des liens du mal et allégés du poids de nos erreurs. Ainsi nous pouvons continuer notre parcours de joyeux annonciateurs et témoins de l’Évangile, démontrant que nous, les premiers, nous avons reçu la miséricorde ».

    Après la prière, le Pape est revenu sur la célébration de la matinée, lors de laquelle il a béni les palliums des archevêques métropolitains nommés au cours de l’année. Il les a encouragés à « poursuivre avec joie leur mission au service de l’Évangile, en communion avec toute l’Église ». Il a également salué la délégation du Patriarcat œcuménique de Constantinople dont la « présence est le signe des liens fraternels existant entre nos Églises ».

    Source : Radio Vatican (XS).

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

  • 09h30 : Place Saint-Pierre, Messe célébrée par le Pape François

    et bénédiction des palliums pour les nouveaux archevêques métropolites
     
     
     
    Texte intégral de l'homélie traduite en français sur le site internet du Vatican.

  • Giovanni Pierluigi da Palestrina (v.1526-1594) : "Tu es Petrus"

    Motet à six voix pour la Fête des Saints Pierre et Paul
    The Tallis Scholars