Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

pentecote - Page 3

  • Dimanche 3 septembre 2017

    13ème Dimanche après la Pentecôte

    (22ème dimanche du Temps Ordinaire)

    Commentaire de l’Évangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)

  • Dimanche 27 août 2017

    12ème Dimanche après la Pentecôte

    (21ème dimanche du Temps Ordinaire)

    Commentaire de l’Évangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)

  • Dimanche 20 août 2017

    11ème Dimanche après la Pentecôte

    (20ème dimanche du Temps Ordinaire)

    Commentaire de l’Évangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)

  • Dimanche 13 août 2017

    10ème Dimanche après la Pentecôte

    (19ème dimanche du Temps Ordinaire)
     
    Commentaire de l'Evangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)

     

    Alléluia "Te decet hymnus"
     
    Allelúia, allelúia. Te decet hymnus, De us, in Sion : et tibi redde tu votum in Ierúsalem. Allelúia.
    Alléluia, alléluia ! À toi la louange est due, ô Dieu, dans Sion ; et que pour toi un vœu soit acquitté dans Jérusalem. Alléluia.
    (Psaume 64, 2)

    Ecouter (mp3).
    Commentaire spirituel et musical par un moine sur le blog de L'Homme Nouveau.
  • Dimanche 30 juillet 2017

    8ème Dimanche après la Pentecôte

    (17ème dimanche du Temps Ordinaire)

    Commentaire de l’Évangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)

  • Dimanche 23 juillet 2017

    7ème Dimanche après la Pentecôte

    (16ème dimanche du Temps Ordinaire)

    Commentaire de l’Évangile du dimanche

    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)
  • Dimanche 16 juillet 2017

    6ème Dimanche après la Pentecôte

    (15ème dimanche du Temps Ordinaire)

    Commentaire de l’Évangile du dimanche

    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)
  • Dimanche 9 juillet 2017

    5ème Dimanche après la Pentecôte

    (14ème dimanche du Temps Ordinaire)

    Commentaire de l’Évangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)

  • Dimanche 2 juillet 2017

    4ème Dimanche après la Pentecôte

    (13ème dimanche du Temps Ordinaire)

     A Laudes et aux Messes lues :
    mémoire de la Visitation de la Très Ste Vierge

     
    « La liturgie n'est pas un show, un spectacle qui ait besoin de metteurs en scène géniaux, ni d'acteurs de talent. La liturgie ne vit pas de surprises sympathiques, de trouvailles captivantes mais de répétitions solennelles. Elle ne doit pas exprimer l'actualité et ce qu'elle a d'éphémère, mais le mystère du sacré. »

    Cardinal Ratzinger (futur Benoît XVI), Entretien sur la foi, Fayard, 1985.

     

     Commentaire de l'Evangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)

  • Dimanche 25 juin 2017

    3ème Dimanche après la Pentecôte

    En certains endroits :
    Solennité de la Fête du Sacré-Cœur

    Commentaire de l’Évangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)
  • Hymne des Laudes : "Beáta nobis gáudia"

    Hymne des Laudes : "Beáta nobis gáudia"
     
    Beáta nobis gáudia
    Anni redúxit órbita,
    Cum Spíritus Paráclitus
    Illápsus est Apóstolis.

    Ignis vibránte lúmine
    Linguæ figúram détulit,
    Verbis ut essent próflui,
    Et caritáte férvidi.

    Linguis loquúntur ómnium ;
    Turbæ pavent Gentílium,
    Musto madére députant
    Quos Spíritus repléverat.

    Patráta sunt hæc mýstice,
    Paschæ perácto témpore,
    Sacro diérum círculo,
    Quo lege fit remíssio.

    Te nunc, Deus piíssime,
    Vultu precámur cérnuo :
    Illápsa nobis cælitus
    Largíre dona Spíritus.

    Dudum sacráta péctora
    Tua replésti grátia :
    Dimítte nostra crímina,
    Et da quiéta témpora.

    Deo Patri sit glória,
    Et Fílio, qui a mórtuis
    Surréxit, ac Paráclito,
    In sæculórum sæcula.
    Amen.
    Le cycle de l’année nous ramène
    les joies bienheureuses
    du jour où l’Esprit Paraclet
    descendit sur les Apôtres.

    Le feu à l’éclat vibrant
    a pris la forme d’une langue,
    pour qu’ils abondent de paroles
    et soient brûlants de charité.

    Ils parlent les langues de tous ;
    les foules de Gentils sont dans la stupeur,
    ils croient pris de vin nouveau
    ceux que l’Esprit vient de remplir.

    Ces faits s’accomplissent selon le mystère,
    le temps pascal étant écoulé,
    s’ouvre un cycle sacré de jours
    où la loi remettait toutes les dettes [1].

    Vous, maintenant, Dieu très clément,
    nous vous en prions, prosternés :
    accordez-nous les dons de l’Esprit
    qui nous viennent du ciel.

    Vous venez de consacrer ces cœurs
    remplis de votre grâce :
    remettez nos crimes,
    donnez des jours paisibles.

    Gloire soit rendue à Dieu le Père
    Et au Fils qui est ressuscité des morts,
    Ainsi qu’au Consolateur,
    Dans les siècles des siècles.
    Ainsi soit-il.
     
    [1] Allusion au jubilé, ère de pardon, de libération des esclaves, de remise de dettes, qui avait lieu tous les cinquante ans.
    NB : la traduction française proposée en sous-titres sur la vidéo est celle de la mise en vers par P. Corneille (1606-1684).
  • Méditation - Ce que demande de nous la conduite de l'Esprit de Dieu

    « Il faut : 1° l'attention pour entendre sa voix ; 2° la générosité pour lui obéir.

    - L'attention pour entendre sa voix nous est enseignée par ces mots de l'Imitation : Heureux les yeux de l'âme, qui, fermés aux choses du dehors, sont attentifs aux choses du dedans. Heureuses les oreilles qui, au lieu d'écouter le bruit extérieur, écoutent la vérité qui les enseigne à l'intérieur (1). C'est-à-dire qu'il faut retirer son âme de la dissipation, de la légèreté, du tumulte des créatures et des pensées inutiles, des passions qui agitent et des imaginations qui égarent ; il faut veiller sur soi, pour ne point troubler l'opération de Dieu dans l'âme, ne la point empêcher, ne la point interrompre, ne la point affaiblir ; mais le laisser opérer sans obstacle comme il l'entend, et tout faire, lire, parler, travailler en grande paix intérieure, de concert avec lui. L'Esprit-Saint n'agit point dans le trouble (2) ; car pourquoi parlerait-il à qui n'écoute pas ? Pour parler à l'âme, l'Esprit de Dieu veut la trouver calme, recueillie, attentive à écouter dans le silence intérieur de toutes ses puissances, prosternées en quelque sorte devant lui comme Marie, sœur de Lazare, aux pieds de Jésus, pour recevoir avec un religieux respect toutes ses bonnes inspirations, et lui dire comme Samuel : Parlez, Seigneur, votre serviteur vous écoute (3), ou comme David : J'écouterai ce que dira au-dedans de moi le Seigneur mon Dieu (4).

    - 2° A l'attention il faut joindre la générosité. L'Esprit-Saint laisse à leur faiblesse les âmes lâches et pusillanimes, qui, tendres sur elles-mêmes jusqu'à ne pas vouloir sacrifier une volonté, résistent à ses inspirations. Que servirait sa direction à qui ne veut pas la suivre ? Il lui faut des âmes fortes et généreuses, qui sans hésitation obéissent à sa voix, quoi qu'il en coûte ; des âmes qui, comme ces bons serviteurs et ces servantes dont parle David, ont continuellement les yeux attachés sur les mains de leur maître pour courir au moindre signe, ou comme ces animaux mystérieux d'Ezéchiel, qui vont partout où l'Esprit de Dieu les appelle (5) ; et, quand il en trouve de la sorte, oh ! que de progrès rapides il leur fait faire dans les routes de la perfection !

    - Où sont en nous et ce recueillement et cette générosité ? »

    1. III Imit., I, 1. - 2. III Reg., XIX, 11. - 3. I Reg., III, 9. - 4. Ps. LXXXIV, 9. - 5. Ezech., I, 12.

    Abbé André-Jean-Marie Hamon (1795-1874), Méditations à l'usage du clergé et des fidèles pour tous les jours de l'année (Jeudi de la Pentecôte, second point), 19e édition revue, corrigée, augmentée, Tome 2, Paris, Victor Lecoffre, 1886.

    colombe-ciel-11a.jpg

  • Mercredi 7 juin 2017

    Mercredi des Quatre-Temps de Pentecôte

    Les Quatre-Temps d’été étaient primitivement une fête d’action de grâces pour la moisson qui s’achève alors dans les pays méditerranéens. Aujourd’hui, la liturgie ne fait plus que de faibles allusions à la moisson. — Cf. les leçons du samedi des Quatre-Temps. Au contraire, le froment et la moisson sont devenus des symboles de la vie surnaturelle. Notre froment est le « pain de vie » eucharistique (Evang. d’aujourd’hui). Notre moisson est la moisson des âmes que le Saint-Esprit apporte à son Église (« alors, les greniers se remplissent de grains et les celliers regorgent de vin et d’huile ») (leçon de vendredi). La semaine des Quatre-Temps est toujours un temps de renouveau spirituel, d’examen de conscience et de résolution.

    Justement, la semaine de la Pentecôte permet de faire revivre le sens primitif et l’impression de joie reconnaissante d’autrefois. Car ce n’est pas la pénitence, mais la reconnaissance qui constitue la pensée des Quatre-Temps. On peut jeûner aussi par reconnaissance. D’une manière générale, habituons-nous à cultiver dans la vie chrétienne les valeurs positives plutôt que les valeurs négatives, plutôt la conscience de notre qualité d’enfants de Dieu que la conscience de notre état de pécheurs. — Le mercredi des Quatre-Temps est un jour consacré, à Marie, un jour de recueillement intime ; le vendredi est un jour de pénitence et le samedi un jour d’action de grâces. Nous ferons, par conséquent, un bref retour sur le trimestre écoulé.

    Ces trois mois passés furent sans doute l’époque la plus importante de toute l’année liturgique : le Carême et le temps pascal ! Que de grâces nous avons reçues ! Comment en avons-nous usé ? Que seront nos fruits et notre moisson ? « Je médite sur tes commandements qui me sont très chers ». Cette antienne d’Offertoire se rencontre tous les mercredis de Quatre-Temps et nous présente ce jour comme un jour de recueillement spirituel.

    Dom Pius Parsch (1884-1954), Le Guide dans l’année liturgique, Salvator - Casterman, 1936.

  • 10h30, place Saint-Pierre : Messe célébrée par le Pape François

     
     
    - Texte intégral de l'homélie traduite en français sur le site internet du Vatican.

  • Méditation - Importance de la visite du Saint-Esprit

    « Le Saint-Esprit est notre véritable Instituteur, parce qu'il est le Maître des âmes. Les instituteurs de la terre ne parlent qu'aux sens ; mais le Saint-Esprit parle à l'âme. Il en bannit toute idée grossière, toute attache aux biens périssables, tout obstacle au règne de la grâce ; il donne l'intelligence et le goût des vérités révélées. Éclairés de sa lumière, les apôtres, auparavant si lents à saisir les vérités relatives au salut, ne trouvèrent plus rien d'obscur dans l’Écriture Sainte. Ils reconnurent la bonté infinie et les autres attributs de Dieu ; les grands mystères de la religion leur furent développés ; et de simples pécheurs, qui naguère ne connaissaient que leurs filets et leurs barques, ils deviennent tout à coup des maîtres consommés dans la science la plus relevée. Des hommes sans lettres réduisent au silence les savants et les sages de toutes les nations ; ils confondent les philosophes par leur éloquence et le zèle éclairé qui les anime, et auquel rien ne peut résister.

    Le même Esprit nous est donné suivant les besoins particuliers de nos âmes. Pourquoi voyons-nous donc tant de chrétiens s'aveugler volontairement et marcher dans les ténèbres, connaître si imparfaitement leurs devoirs, faire tant de chutes, avoir des idées si superficielles des mystères de la foi, être si peu touchés de leurs besoins spirituels, de leurs désordres et des dangers auxquels ils sont exposés ? La raison en est bien simple : c'est qu'ils ne se préparent point à recevoir sa lumière et ses inspirations.

    Le point le plus essentiel de cette préparation est le renoncement sincère aux choses terrestres. Pour être frappé de la lumière céleste et bien concevoir les vérités du salut, il faut avoir les yeux fermés au monde, y vivre comme si on n'y vivait pas, remplir ses devoirs avec l'exactitude d'un chargé d'affaires qui veut rendre un compte détaillé de sa gestion, et qui se tient en garde contre les pièges qu'on pourrait lui tendre. La méditation des choses saintes, la prière fervente et la pratique des vertus chrétiennes, sont les autres moyens que nous devons employer pour préparer notre entendement à recevoir les rayons de la lumière divine par la visite du Saint-Esprit. »

    Père Alphonse de la Mère des Douleurs, Pratique journalière de l'oraison et de la contemplation divine d'après la méthode de Sainte Thérèse et de Saint Jean de la Croix, Tome III (Saint jour de la Pentecôte, Méditation), Desclée de Brouwer & Cie, Lille - Paris - Bruges, 1917.

    Pentecôte,Saint-Esprit

  • Dimanche 4 juin 2017

    Pentecôte
     
    Commentaire de l'Evangile du dimanche
    (Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux)

    pentecote_4a.jpg

    Le chant de l'Alleluia de la Pentecôte (Emitte)

    Allelúia, allelúia.
    V/. Emítte Spíritum tuum, et creabúntur, et renovábis fáciem terræ. (Ps. 103, 30)
    V/. Vous enverrez votre souffle et ils seront créés, et vous renouvellerez la face de la terre.

    Ecouter (mp3).

    Commentaire spirituel et musical par un moine sur le Blog de L'Homme Nouveau.

  • Méditation - Préparation à la Pentecôte

    « Considérez combien il est nécessaire de se bien disposer à recevoir le Saint Esprit dans cette Fête prochaine. 1. Parce que faute de préparation, l'on se prive des grâces que Dieu communique ce jour-là plus abondamment qu'aux autres. 2. Parce qu'en ce jour les hommes ont été faits les enfants adoptifs de Dieu, par le moyen de la grâce et de la charité que le Saint Esprit a répandues dans les cœurs. Dignité si grande, que Saint Jean ne pouvant l'exprimer, se contente de dire avec étonnement : Videte qualem charitatem dedit nobis Pater, ut filii Dei nominemur et fimus, I Joan. 3,1 (1). 3. Parce que cette Fête est comme l'anniversaire de la naissance de l’Église, dont nous sommes les membres ; la Loi chrétienne ayant commencé d'y être publiée, et d'obliger ceux à qui elle fut annoncée. Enfin, parce que celui que nous avons à recevoir, est un Dieu. Neque enim homini preparatur habitatio, sed Deo, 1 Paral. 29,1. (2).

    Considérez quelles préparations firent les Apôtres pour recevoir le Saint Esprit. Saint Luc nous apprend dans leurs Actes, qu'étant tous assemblés avec les disciples dans le Cénacle, ils y demeurèrent enfermés avec la Sainte Vierge, persévérant dans une oraison continuelle. Et cum introissent in caenaculum, ascenderunt ubi manebant Petrus et Joannes, etc. Hi omnes erant perseverantes unanimiter in oratione cum mulieribus, et Maria matre Jesu, et fratribus ejus, Act. 1,13-14 (3). Paroles dans lesquelles nous sont marqués trois excellentes dispositions. La première est le recueillement qui les retire des promenades et des visites de la ville, en les enfermant dans leur maison ; qui les retire même des allées et venues qu'ils pourraient faire dans la maison en les enfermant dans une chambre ; enfin qui les dégage des pensées inutiles et de l'affection de toutes les choses créées, et les fait rentrer en eux-mêmes, pour ne penser qu'à Dieu et à eux-mêmes. La seconde, c'est l'union fraternelle qui les unit de cœur aussi étroitement, comme ils l'étaient de maison et de chambre, en sorte qu'on peut déjà dire de ces premiers Chrétiens ce qu'on dit après des autres : Multitudinis credentium erat unum et anima una, Act. 4,31 (4). La troisième, c'est la prière fervente et continuelle qu'ils adressent au ciel, encore qu'ils ne doutassent pas de la promesse qui leur avait été faite.

    Considérez, suivant ce modèle, que pour recevoir le Saint Esprit, il faut de notre part apporter ces trois dispositions que pratiquèrent les Apôtres. La première, la retraite, parce qu'on ne peut se rendre capable d'être reçu en la familiarité de Dieu, qu'en se retirant des affaires du monde. La seconde, l'union et la charité qui fait que nous ne voulons faire tort à personne, mais au contraire que nous faisons du bien à tous autant que nous le pouvons. La troisième, c'est la prière ; car encore que Dieu soit assez bon pour nous donner le Saint Esprit sans le demander, et que par tous nos efforts nous ne le puissions mériter, néanmoins il veut que nous le demandions, mais que nous le demandions avec instance et persévérance, au matin, sur le midi et au soir, au commencement, au progrès et à la fin de nos actions.

    Voyez maintenant comment vous pouvez pratiquer cette retraite, ou en vous retirant effectivement quelques jours de la semaine, pour penser un peu plus sérieusement à vous-même ; ou en retranchant quelques entretiens moins nécessaires, en parlant et conversant moins que vous ne faites ; ou enfin, s'il faut toujours agir, tâchant d'agir avec moins d'empressement et d'attache naturelle. Regardez ensuite si vous avez cette union de charité avec tout le monde ; si vous n'avez point d'envie, de jalousie, ni d'aversion contre personne ; et enfin quelle prière vous avez dessein de faire. Vous n'en sauriez trouver de plus belle que celle dont se sert l’Église en ce temps, Veni Creator, ou Veni Sancte Spiritus. Servez-vous-en, et outre cela adressez souvent vos vœux au ciel, par de fréquentes et courtes aspirations. »

    1. 1ère Lettre de Saint Jean : "Voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes."
    2. 1er Livre des Chroniques : "Ce n'est pas pour un homme, mais pour Dieu même, que nous voulons préparer une maison."
    3. Actes des Apôtres : "À leur arrivée, ils montèrent dans la chambre haute où ils se tenaient habituellement ; c’était Pierre, Jean... Tous, d’un même cœur, étaient assidus à la prière, avec des femmes, avec Marie la mère de Jésus, et avec ses frères."
    4. Actes des Apôtres : "La multitude de ceux qui étaient devenus croyants avait un seul cœur et une seule âme."

    P. Matthieu Beuvelet (1622?-1657), Méditations sur les principales vérités chrétiennes et ecclésiastiques, Tome I, Méditation pour l'Octave de l'Ascension, A Paris, Chez George & Louis Josse, 1690.

    Matthieu Beuvelet,préparation,Pentecôte,Esprit,Saint,Saint-Esprit,grâces,apôtres,disciples,cénacle,Sainte Vierge,retraite,union,charité,prière,persévérance

    Duccio di Buoninsegna, 1308-11, La Pentecôte
    Panneau de la face postérieure de la Maestà
    Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption (Santa Maria Assunta), Sienne

  • Pèlerinage de Pentecôte de Notre-Dame de Chrétienté : les 3, 4, et 5 juin 2017

  • Dimanche 16 octobre 2016

    Vingt-deuxième Dimanche après la Pentecôte
     
     
    (29e dimanche du Temps Ordinaire)
     
    Introït "Si iniquitates"
    Ant. ad Introitum. Ps. 129, 3-4.
    Si iniquitátes observáveris, Dómine : Dómine, quis sustinébit ? quia apud te propitiátio est, Deus Israël.
    Si vous regardez nos péchés, Seigneur, Seigneur qui subsistera ? Mais auprès de vous se trouve le pardon, Dieu d'Israël.

    Ps. ibid., 1-2.
    De profúndis clamávi ad te, Dómine : Dómine, exáudi vocem meam.
    Du fond de l'abîme je crie vers vous Seigneur, Seigneur écoutez ma voix.

    V/. Glória Patri.

    Ecouter (mp3).

    Commentaire spirituel et musical par un moine sur le blog de L'Homme Nouveau.

  • Dimanche 9 octobre 2016

    Vingt-et-unième Dimanche après la Pentecôte
     
     
    (28e dimanche du Temps Ordinaire)