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A lire sur Radio Vatican.
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Sanctuaire de Notre-Dame du Rosaire de Madhu
Après la Messe suivie par une énorme foule sur le front de mer de Colombo, le Pape s'est rendu au Sanctuaire marial de Madhu, en zone tamoule, lieu symbolique qui fut sur la ligne de front.
En 1544, des chrétiens survivants d'un massacre ordonné par le roi de Jaffna trouvèrent refuge en ce lieu, où ils construisirent un oratoire. En 1583 fut construite une première chapelle. Après la fin des persécutions hollandaises, débarqués à Ceylan en 1656, d'autres réfugiés chrétiens y placèrent une icône de la Vierge. Avec le concours de coreligionnaires portugais, cette communauté construisit la première église. Le succès du sanctuaire marial se développa avec Joseph Vaz, qui en fait un centre missionnaire. L'édifice actuel, qui remonte à 1872, a été consacré en 1944. En 1924 fut couronnée la Vierge de Madhu. A la demande des évêques, le sanctuaire fut respecté durant toute la guerre civile. Zone démilitarisée, Madhu abrita des réfugiés au point qu'à partir de 1990 le domaine devint un véritable camp. Restitué au diocèse de Mannar, le culte y est rétabli depuis décembre 2010. Ici aussi, un demi million de fidèles est venu prier avec le Pape pour la paix qui a été établie en 2009.
« Nous demandons, a déclaré le Pape, la grâce de faire réparation pour nos péchés et tout le mal que cette terre a connu ». « Ce n'est pas facile. Mais c'est seulement quand nous arrivons à comprendre le mal dont nous sommes capables, et auquel peut-être nous avons pris part, que nous pouvons faire l'expérience d'un vrai remords et d'un vrai repentir ». Le Pape a salué « les efforts des Srilankais des deux communautés, tamoule et cinghalaise, pour reconstruire l'unité qui a été perdue ».
Sources : Vatican Information Service et Radio Vatican.
Texte intégral du discours du Saint-Père ci-dessous.
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Grâce présidentielle à l'occasion de la visite du Pape
(612 prisonniers ont libérés)
Le Pape invité à visiter un temple bouddhiste
Il est sept heures quarante-cinq du matin et déjà un grand soleil inonde le Galle Face Green, un parc longeant la mer, au nord de Colombo. Le Pape a traversé la foule en papamobile avant le début de la Messe de canonisation du bienheureux Joseph Vaz. On parle de plus de mille prêtres présents et de plus de 500.000 fidèles, dont un tiers qui a prié le Rosaire avant de dormir sur place. Ceux qui se sont endormis sur le trajet de la papamobile ont été réveillés à 4 heures du matin ! Parmi eux se trouvent de nombreux Indiens venus de Goa.
Né à dans cette ville du sud de l’Inde en 1651, Joseph Vaz est considéré par les catholiques comme « l’apôtre du pays ». Fondateur en 1684 d’une société de prêtres suivant l’Oratoire de St Philippe de Neri, il prend la décision de se rendre au Sri Lanka, sous domination hollandaise et calviniste. L’Église y vit des heures sombres. Elle est privée de prêtre depuis trente ans. Joseph Vaz, à la peau sombre, rentre incognito au Sri Lanka en 1686, comme ouvrier mendiant. Il recherche de nuit les catholiques pour échapper à la surveillance des Hollandais. Pour leur échapper, il part vers le sud, dans le Royaume bouddhiste de Kandy. Il y sera emprisonné. On le prend pour un espion.
Mais le détenu se comporte si bien qu’il impressionne ses gardiens, puis le roi qui décide, finalement, de le libérer et lui permet de poursuivre sa mission. Le prêtre partagera sa vie entre le Royaume de Kandy et des excursions clandestine sur les côtes hollandaises. Il meurt exténué à l’âge de 49 ans. Joseph Vaz a également, avec un autre prêtre, traduit la Bible en langue cinghalaise.
Sauveur de la foi alors qu’elle était menacée dans le pays, l’Église srilankaise a demandé dès 1737 sa béatification, célébrée par St Jean-Paul II, le 15 janvier 1995. Vingt ans plus tard, à un jour près, le Pape François a canonisé Joseph Vaz représenté ce mercredi par une statue de bois. (le décret a été signé le 17 septembre dernier). L’autel est d’ailleurs le même que celui utilisé en 1995.
Ce mercredi, le Sri Lanka a donc son premier saint. La joie est immense, comme le prouvent les 500.000 personnes rassemblées ce matin, dont des bouddhistes et des hindous. Une tristesse cependant, les catholiques n’ont pas de lieu où aller prier leur saint. Joseph Vaz serait enterré sous une station de police à Kandy.
Lors de son homélie, le Pape a détaillé la vie et les qualités de saint Joseph Vaz, prêtre exemplaire, et exemple de zèle missionnaire : « Saint Joseph savait comment offrir la vérité et la beauté de l’Évangile dans un contexte multi-religieux, avec respect, dévotion, persévérance et humilité. Voilà la voie pour suivre Jésus aujourd’hui encore. »
Source : Radio Vatican.
Texte intégral de l'homélie du Saint-Père ci-dessous.
08h30 Messe et canonisation du bienheureux Jose (Joseph) Vaz au Galle Face Green à Colombo
14h00 Transfert en hélicoptère à Madhu
Au centre de conférences Bandaranaike Memorial de Colombo, le Pape a rencontré les représentants des différentes religions du Sri Lanka, et des autres confessions chrétiennes. Le pays compte 70% de bouddhistes, 12,6 % d’hindouistes, 9,7 de musulmans et 7,16 % de catholiques. Avant l'implantation du bouddhisme sur l'île au IIIe siècle av.JC, l'hindouisme était dominant (il est principalement pratiqué au nord par les tamouls). Vers 200 av.JC, une cinquantaine d'année après son arrivée, le bouddhisme Theravada a été proclamé religion officielle. Sa relance remonte au milieu du XIXe siècle. L'islam a commencé sa pénétration au XVe siècle par le biais des marchands naviguant, parallèlement au christianisme, diffusé dès le siècle précédent, mais surtout à compter du XVIe siècle, grâce aux missionnaires franciscains. En présence d'un millier de participants, l'assemblée s'est ouverte par une prière ou une bénédiction de chacune des religions représentée. Puis, à la suite des paroles d'accueil du moine bouddhiste Eigithasiri Niyangoda Thero, le Saint-Père a pris la parole :
« Le développement des relations interreligieuses et œcuméniques prend une signification toute particulière et urgente au Sri Lanka où depuis trop d’années les hommes et les femmes de ce pays ont été victimes de conflits civils et de violence. » « Je tiens, a-t-il déclaré, à réaffirmer le respect sincère de l’Église à votre égard, envers vos traditions et vos croyances ». Le Pape a dit espérer que « sa visite aidera à encourager et à approfondir les diverses formes de collaboration interreligieuse et œcuménique, qui ont été entreprises durant ces dernières années. » « Surtout en ce moment de l’histoire de votre pays, a–t-il ajouté, tellement de personnes de bonne volonté cherchent à reconstruire les bases morales de toute la société. Que l’esprit de coopération entre les leaders des différentes communautés religieuses puisse s’exprimer dans un engagement à donner la priorité à la collaboration entre tous les srilankais pour tous les efforts à faire en vue de renouveler la société et ses institutions. »
Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 13.1.15) et Radio Vatican.
Texte intégral du discours du Saint-Père ci-dessous.
Le Pape François est arrivé au Sri Lanka. Dans son premier discours adressé aux autorités, le Pape a évoqué « les horreurs de la guerre civile » que le pays a traversées. « Dépasser l’héritage amer d’injustices, d’hostilités et de défiance laissé par le conflit n’est pas une tâche facile ». Le Pape a insisté sur le rôle « important » que « les personnes qui appartiennent à des traditions religieuses différentes » peuvent jouer dans le processus de réconciliation et de reconstruction, en cours dans le pays. « Le processus de guérison, a-t-il dit, demande d’inclure la recherche de la vérité, non pas dans le but d’ouvrir de vieilles blessures, mais plutôt comme moyen nécessaire pour promouvoir la justice, la guérison et l’unité ». Le Saint-Père a évoqué l’importance de l’amélioration des infrastructures et de pourvoir aux besoins matériels, mais plus encore il faut, a-t-il dit, « promouvoir la dignité humaine, le respect des droits de l’homme et la pleine inclusion de tous les membres de la société ».
Relation de l'arrivée sur Radio Vatican.
Texte intégral du discours du Saint-Père ci-dessous.
Trajet jusqu'à Colombo.
Après son trajet en papamobile de trente-cinq kilomètres entre l’aéroport et la nonciature apostolique qui a duré un peu plus longuement que prévu, le Pape a décidé d’annuler sa rencontre, en privé, avec les vingt évêques du pays qu’il avait rencontrés en mai dernier lors de leur visite ad limina au Vatican. La délégation pontificale accompagnant le Pape s’est, elle, rendue au siège de l’archevêché pour déjeuner avec les prélats srilankais.
Le Saint-Père devrait rester à la nonciature jusqu’à la visite de courtoisie au nouveau président du Sri Lanka, prévue à 17heures, heure locale (12h30 à Rome). Photos officielles, entretien privé, présentation au Pape des proches du président. Échange de dons. Le Pape devrait offrir un atlas du XVI° siècle à Maithripala Sirisena. Il sera ensuite présenté aux autorités et responsables du pays. Aucun discours ne sera prononcé, mais une brève cérémonie est prévue : deux timbres commémorant la visite ont été émis à l’occasion de la venue du Pape.
La rencontre interreligieuse de ce mardi soir au Centre de Congrès BMICH (Bandaranaike Memorial international Conference Hall) devrait commencer aux alentours de 18h30, heure locale.
Source : Radio Vatican.
L'avion A330 du Pape François vient de décoller de l'aéroport Leonardo da Vinci de Fiumicino, près de Rome. Il a quitté le tarmac à 19h00 précises. Le vol assuré par la compagnie italienne Alitalia doit parcourir 7630 km pour rallier Colombo, la capitale du Sri Lanka après 9h40 de vol. Le Pape doit atterrir à 09h00 heure locale après avoir passé la nuit à bord. Comme à son habitude, François portait avec lui sa mallette noire qui ne le quitte jamais quand il part en voyage.
Manille (Agence Fides) – En posant son regard sur le Seigneur crucifié, le pauvre par excellence, « dépouillé de Sa dignité même », l’Église aux Philippines invite « à célébrer l’année 2015 comme celle des pauvres ». Le Christ, par Sa souffrance, « se fait opprimé, méprisé, impuissant, misérable » remarquent les Évêques dans un message rendu public le 30 novembre par S.Exc. Mgr Socrates B. Villegas, Archevêque de Lingayen Dagupan et Président de la Conférence épiscopale, transmis à l’Agence Fides.
Le message s’adresse ainsi à tous les pauvres : « Sur Sa croix, Il est avec toi. Le Christ est le Dieu avec vous. Il a pris ta nudité, ta vulnérabilité, la faim, la maladie, la honte » invitant à « crier vers Lui en regardant le Seigneur crucifié dans les yeux ». Quel message arrive de cette croix ? demandent les Évêques. Un message de résurrection : « Je suis venu pour porter la vie en Abondance. Bienheureux, vous les pauvres, bienheureux, vous qui avez faim, bienheureux, serez-vous lorsqu’ils vous haïront ». « Au cours de l’Année des pauvres, nous vous disons à tous : venez à Jésus et vous trouverez le repos », exhortant par ailleurs à prier et à demander de l’aide au Christ en toute circonstance.
L’Année des pauvres constitue également un avertissement pour les riches afin qu’ils ne vivent pas « une vie d’égoïstes » mais orientée vers le bien commun et la solidarité. Les riches sont, eux aussi, invités à « fixer leurs regards sur Jésus » et à écouter Sa voix : « Tout ce que vous avez fait à l’un de ceux-ci, le plus petit d’entre mes frères et sœurs, c’est à moi que vous l’avez fait ».
« Aux Philippines – écrivent les Évêques – cela signifie bloquer avec urgence la corruption ». « Il est urgent d’interrompre l’usage impropre des fonds du peuple, d’arrêter la destruction indiscriminée de l’environnement, de combattre la pauvreté, de redistribuer équitablement la richesse, de construire une économie qui réponde aux critères de justice, de fournir une instruction respectueuse de toutes nos personnes, en tant qu’êtres humains et enfants de Dieu ». Le dernier appel s’adresse aux Curés et aux prêtres, appelés à quitter les conforts et à embrasser à nouveau une vie simple, proche des pauvres. (PA)
Source : Agence Fides (01/12/2014).
Transmissions vidéo en direct du CTV et sur KTO
Lundi 12 janvier 2015
19h00 | Départ en avion de l'Aéroport de Rome/Fiumicino pour Colombo |
Le Père Matthieu Dauchez sur KTO - Un cœur qui écoute - Émission du 24/10/2011
Le Père Matthieu Dauchez est incardiné dans le diocèse de Manille aux Philippines, où il vit au service des plus pauvres, et notamment des enfants des rues. À seulement 36 ans, il est aujourd'hui directeur de la fondation « Tulay ng kabataan », qui signifie en tagalog « un pont pour les enfants ». Par cette fondation, il rencontre les enfants des rues avec les autres membres de l'association pour les convaincre de venir dans des foyers d'insertion. Confrontés aux pires fléaux, ces enfants sont bien souvent dépendants de drogues, livrés à la prostitution et à la violence. Difficile pour ces enfants abandonnés à eux-mêmes de quitter cet univers qui les plombe. Pourtant, le Père Matthieu Dauchez est l'acteur et le témoin de véritables miracles, dans cette ville où les extrêmes se croisent : les pires fléaux se dissipant parfois au profit de grandes joies, de pardons et de réconciliations. Le Père Matthieu Dauchez témoigne de ces grâces reçues dans "Un cœur qui écoute".
TF1 - "Des anges en enfer" - Reportage sur l'action de la Fondation Tulay ng kabataan à Manille
Fondation Tulay ng kabataan
Antenne française : ANAK - Un Pont pour les enfants
8 rue des réservoirs - 78000 Versailles - France
Ce matin, en Salle de Presse du Saint-Siège, ont été présentées par Mgr Rino Fisichella, Président du Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation, assisté du Secrétaire Mgr José Octavio Ruiz Arenas et du Sous Secrétaire Mgr Graham Bell, la Journée pour la vie contemplative (21 novembre), la Rencontre des catéchumènes avec le Pape (23 novembre) et la Messe de clôture de l'Année de la foi (24 novembre).
"Une année entièrement consacrée à raviver la foi des croyants se termine, mais reste désormais le souhait de maintenir vivant l'enseignement que nous avons reçu ces mois-ci - a dit Mgr Fisichella, rappelant que plus de 8 millions et demi de pèlerins se sont rendus cette année sur la tombe de Pierre pour professer leur foi. Il a aussi souligné que "pour clôturer cette année nous avons pensé à une série de signes en vue de montrer la continuité de la foi et le chemin que nous sommes appelés à parcourir pour ne pas qu'elle soit oubliée dans la vie quotidienne". Le premier acte sera la visite du Pape, le jeudi 21 novembre, au monastère des Camaldules de l'Aventin où il rencontrera la communauté. Cette journée, qui coïncide avec l'anniversaire de l'entrée au monastère de Sœur Nazarena Crotta, dernière recluse qui vécut dans ces murs, sera consacrée à ceux qui ont choisi la vie de clôture comme dévouement privilégié à une vie de prière et de contemplation. Sur le thème : 'Préparés pour passer la Porte de la foi', samedi 23 novembre, aura lieu le deuxième acte consacré aux catéchumènes. Le témoin passera dans la main de 500 catéchumènes accompagnés de leur catéchistes, provenant de 47 pays des cinq continents. Le Pape recevra 35 d'entre eux à l'entrée de la basilique St Pierre et leur posera les questions traditionnelles du rite. Enfin, l'Année de la foi se conclura par une Messe solennelle dimanche 24 novembre à 10h30 Place St Pierre, et se caractérisera par trois événements mettant en valeur ce moment : l'exposition des reliques de Saint Pierre, la remise par le Pape de son exhortation Evangelii Gaudium et un geste de charité en faveur du peuple des Philippines. Au cours de l'Eucharistie, une collecte sera faite comme contribution des pèlerins pour l'Année de la foi et sera affectée aux dommages subis par le peuple philippin. Mgr Fisichella a conclu en soulignant que "souvent, habitués que nous sommes à souligner les facteurs de crise, nous oublions de regarder aussi tous les signes positifs et d'espérance qui sont réellement présents dans l’Église. L'Année de la foi nous a permis d'en faire l'expérience. Soutenus par un témoignage si imposant, enthousiaste et convaincu, qui s'exprime surtout dans le silence du quotidien, nous regardons vers l'avenir avec plus de sérénité, forts de l'expérience accomplie en cette Année qui, nous l'espérons, pourra prolonger dans le temps tous ses effets positifs".
Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 18.11.13).
- Jacques Berthieu, prêtre français, jésuite, mort à Madagascar (1838-1896) ; il était né à Polminhac et il a été tué à Ambiatibe : il est considéré comme un martyr de la foi et de la chasteté ; il a été béatifié par Paul VI le 17 octobre 1965, pendant le concile Vatican II.
« La mission progresse, bien que les fruits ne soient encore qu’en espérance en bien des endroits et peu visibles en d’autres. Mais que nous importe, pourvu que nous soyons de bons semeurs : Dieu fera pousser en son temps. »
- Kateri Tekakwitha (1656-1680), laïque, indienne d’Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), appelée aussi « lys des Agniers », morte trois ans après son baptême ; elle est spécialement honorée au sanctuaire de Kahnawake et Jean-Paul II l’a béatifiée le 22 juin 1980.
« Qui est-ce qui m'apprendra ce qu'il y a de plus agréable à Dieu afin que je le fasse ? »
- Pedro Calungsod (1654-1672), catéchiste, laïc, martyr aux Philippines, béatifié en l’an 2000 par Jean-Paul II : il était originaire de Cebu et il a été tué à Guam dans l’archipel des Îles Marianne.
- Maria Anna Cope (1838-1918), religieuse allemande des Sœurs du Tiers-Ordre franciscain de Syracuse (New York), au siècle : Barbara Cope ; elle est connue comme « Mother Marianne of Molokai » : née en Allemagne, elle est en effet morte à Molokaï (Hawaï, Etats-Unis) ; elle avait émigré aux Etats-Unis à l’âge de 3 ans et avait ensuite pris la nationalité américaine ; elle a évangélisé les lépreux à Molokaï ; elle a été béatifiée le 15 mai 2005 par Benoît XVI.
- Giovanni Battista Piamarta (1841-1913), prêtre italien, fondateur des congrégations de la Sainte-Famille de Nazareth et des humbles servantes du Seigneur ; il a été béatifié par Jean-Paul II en 1997.
- Maria del Carmen (1848-1911), religieuse espagnole, au siècle, Maria Salles y Barangueras, fondatrice de la congrégation des Soeurs conceptionnistes missionnaires de l’enseignement, pour la formation des femmes ; elle a été béatifiée par Jean-Paul II en 1998.
- Anna Schäffer (1882-1925), laïque allemande, plus précisément, mystique bavaroise ; elle a été béatifiée par Jean-Paul II en 1999.