ASSOMPTION DE LA T. STE VIERGE MARIE
L'Assomption de la Vierge, par Nicolas Poussin (1594-1665)
(Musée du Louvre, Paris)
En France, fête patronale depuis la consécration de notre pays à Notre-Dame par le roi Louis XIII en 1638.
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ASSOMPTION DE LA T. STE VIERGE MARIE
L'Assomption de la Vierge, par Nicolas Poussin (1594-1665)
(Musée du Louvre, Paris)
En France, fête patronale depuis la consécration de notre pays à Notre-Dame par le roi Louis XIII en 1638.
Dédicace de la basilique Sainte-Marie-Majeure
(Ste Marie aux Neiges)
Icône "Salus Populi Romani", d'après la sainte image vénérée à Sainte Marie Majeure
(Source et crédit photo)
Ste Marthe, vierge
Fête du Sacré-Coeur de Jésus
« ...Et me découvrant son divin Cœur : Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes qu'il n'a rien épargné, jusqu'à s'épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance je ne reçois de la plus grande partie que des ingratitudes, par les mépris, irrévérences, sacrilèges et froideurs qu'ils ont pour moi dans ce Sacrement d'amour. Mais ce qui est encore plus rebutant, c'est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés. C'est pour cela que je te demande que le premier vendredi après l'octave du Saint-Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon Cœur, en lui faisant réparation d'honneur par une amende honorable, communiant ce jour-là pour réparer les indignités qu'il a reçues pendant le temps qu'il a été exposé sur les autels ; et je te promets que mon Cœur se dilatera pour répandre avec abondance les influences de son divin amour sur ceux qui lui rendront cet honneur. »
(Source)
Ste Jeanne d'Arc (en France)
Calendrier liturgique
Après une rencontre privée avec le Roi Abdallah II et sa famille, le Pape François s’est adressé aux plus hautes autorités du royaume hachémite, les chefs religieux et le corps diplomatique, soit quelque 300 personnes rassemblées dans le grand salon du palais royal Al-Husseini, à Amman.
Le Roi Abdallah II s'est adressé au Pape, dans un discours prononcé en anglais et arabe. Le souverain hachémite a chaleureusement souhaité la bienvenue au Pape, saluant son engagement pour la Paix et l'harmonie entre les religions et les cultures. Le Roi Abdallah II a d'ailleurs annoncé la tenue au Vatican, en novembre prochain, d'une rencontre en vue de promouvoir le dialogue interreligieux.
Le Pape s'est adressé, à son tour, au Roi et à son auditoire :
« Je remercie Dieu de pouvoir visiter le Royaume Hachémite de Jordanie, sur les traces de mes prédécesseurs Paul VI, Jean-Paul II et Benoît XVI, et je remercie Sa Majesté le Roi Abdallah II pour ses cordiales paroles de bienvenue, dans le vivant souvenir de notre récente rencontre au Vatican. J’étends mon salut aux membres de la famille royale, au Gouvernement et au peuple de Jordanie, terre riche d’histoire et de signification pour le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam.
Ce pays fait un accueil généreux à un grand nombre de réfugiés palestiniens, irakiens, et provenant d’autres régions en crise, en particulier la Syrie toute proche, bouleversée par un conflit qui dure depuis trop longtemps. Un tel accueil mérite l’estime et le soutien de la communauté internationale. L’Église Catholique, selon ses possibilités, veut s’engager dans l’assistance aux réfugiés et à ceux qui vivent dans le besoin, surtout par l’intermédiaire de Caritas Jordanie.
Alors que je constate avec douleur la permanence de fortes tensions au Moyen Orient, je remercie les Autorités du Royaume pour ce qu’elles font et je les encourage à continuer de s’engager dans la recherche d’une paix durable, souhaitée pour toute la région ; dans ce but une solution pacifique à la crise syrienne est plus que jamais nécessaire et urgente, ainsi qu’une solution juste au conflit israélo-palestinien.
Je profite de cette occasion pour renouveler mon profond respect et mon estime pour la communauté musulmane, et manifester mon appréciation pour le rôle de guide joué par Sa Majesté le Roi dans la promotion d’une plus juste compréhension des vertus proclamées par l’Islam, et la sereine cohabitation entre fidèles des différentes religions. J’exprime ma reconnaissance à la Jordanie pour avoir encouragé diverses initiatives importantes en faveur du dialogue interreligieux pour la promotion de la compréhension entre Juifs, Chrétiens et Musulmans, parmi lesquelles le « Message Interreligieux d’Amman », et pour avoir promu au sein de l’ONU la célébration annuelle de la « Semaine d’Harmonie entre les Religions ».
Je voudrais maintenant adresser un salut plein d’affection aux communautés chrétiennes qui, présentes dans le pays depuis les temps apostoliques, offrent leur contribution au bien commun de la société dans laquelle elles sont pleinement insérées. Bien qu’étant aujourd’hui numériquement minoritaires, elles peuvent développer une action qualifiée et appréciée dans les champs éducatif et sanitaire, par des écoles et des hôpitaux, et elles peuvent professer avec tranquillité leur foi, dans le respect de la liberté religieuse qui est un droit humain fondamental et que je souhaite vivement être tenu en grande considération partout au Moyen Orient et dans le monde entier. Celui-ci « comprend à la fois au niveau individuel et collectif, la liberté de suivre sa conscience en matière religieuse et la liberté de culte… la liberté de choisir la religion que l’on juge être vraie et de manifester publiquement sa propre croyance » (Benoît XVI, Exort. Ap. Ecclesia in Medio Oriente, n. 26). Les chrétiens se sentent et sont citoyens à part entière, et ils entendent contribuer à la construction de la société avec leurs concitoyens musulmans, en offrant leur contribution propre et spécifique.
J’adresse enfin un souhait spécial pour la paix et la prospérité du Royaume de Jordanie et de son peuple, avec le vœu que cette visite contribue à augmenter et à promouvoir les bonnes et cordiales relations entre chrétiens et musulmans.
Je vous remercie pour votre accueil et votre courtoisie. Que Dieu Tout Puissant et Miséricordieux accorde à Vos Majestés bonheur et longue vie, et qu’il comble la Jordanie de ses bénédictions. Salam ! »
Source : Radio Vatican.
Cérémonie d'accueil du Pape François au Palais royal al-Husserini d'Amman,
suivie de la visite de courtoisie à ses Majestés le Roi et la Reine de Jordanie
Arrivée du Pape François en Jordanie, à l'aéroport international Queen Alia d'Amman
Le Pape a été accueilli à sa descente d’avion par le représentant du Roi Abdallah II, le Prince Ghazi Bin Muhammed, le Patriarche latin de Jérusalem, S.B Fouad Twal, et le custode de Terre Sainte, le père Pierbattista Pizzaballa. Des enfants lui ont offert un bouquet d’iris noirs, la fleur nationale du Royaume hachémite de Jordanie.
De nombreux fidèles, jordaniens bien sûr, mais également Syriens, Libanais, Irakiens et Égyptiens, venus spécialement pour l’occasion, étaient présents aux abords de l’aéroport, brandissant drapeaux et fanions, aux couleurs de leurs pays et de celles du Saint Siège. Une foule petite mais débordante d’enthousiasme qui ne s'est pas privée d’acclamer le Pape François, lors du passage de son convoi, aux cris de "Viva il Papa !"
Après la cérémonie d’accueil sur le tarmac de l’aéroport, et un bref entretien au Royal Pavillion de l'aéroport avec le Prince Ghazi Bin Muhammad, François se rend au palais royal Al-Husseini d’Amman, où l’attendent le Roi Abdallah II, et sa femme, la reine Rania.
Source : Radio Vatican.
« Ô Verbe fait chair, Fils de Dieu et Fils de Marie, Divinité abaissée jusqu'à nous pour nous élever jusqu'à Vous, faites-moi bien comprendre que vous êtes la grande réalité des temps et de l'éternité. Montrez-moi clairement que c'est perdre son existence que de la passer loin de Vous, et que c'est gaspiller les trésors de son cœur que de ne Vous les consacrer pas. Oh ! faites-moi voir clairement que c'est n'avoir point le sens ni de l'ordre ni de son bien véritable et que c'est se tromper lamentablement, que de poursuivre autre chose que Vous.
Tout passe, dans la nature, en nous et en dehors de nous. Ne sont-ce pas de perpétuels écroulements, en toutes ces petites choses qui nous donnent l'illusion du bonheur possédé ou rêvé, en tous nos espoirs, en tous nos biens terrestres, en toutes nos affections ? En notre être naturel, physique ou moral, au sein du monde où se meut notre existence passagère, n'est-ce pas sans cesse, toujours renouvelé, le désolant effondrement de la créature ?
Mais Vous, ô Jésus, Vous, Fils de Dieu et Fils de la Vierge, Vous êtes l'Humanité rendue divine, par votre Incarnation ; Vous êtes le principe et la fin de toutes choses. Agneau si tendre et si doux, si faible et si persécuté, si meurtri, si sanglant, Agneau sans tache, Victime très sainte immolée journellement pour nous, Vous êtes le Roi universel des siècles et des nations. Vous êtes la glorieuse Majesté d'Amour qui subsiste à jamais.
Les années s'écoulent, les siècles s'enfuient, les générations disparaissent, les royaumes s'effondrent. Tout meurt, à vos pieds. Sous votre regard tranquille, qui embrasse comme un point les temps et les espaces, les gloires pâlissent, les chefs-d’œuvre se flétrissent, les souvenirs s'effacent, les astres s'éteignent... Et Vous, ô mon Maître adoré, Vous, Vous restez debout, victorieux, toujours bon, toujours grand, toujours puissant, toujours souverain, toujours aimable, humble et doux : toujours le même, éternellement jeune, éternellement beau, éternellement digne de tous les hommages, éternellement digne de tous les amours. Christus heri, et hodie : ipse et in saecula. »
Chanoine Marie-Eugène Henry, Chapelain de Paray-le-Monial, Lueurs Divines Tome I, Paray-le-Monial, Imprimerie nouvelle, 1935.
Adoration de l'Agneau mystique des frères Van Eyck (panneau central)
5ème Dimanche de Pâques
(Calendrier traditionnel : 4ème Dimanche après Pâques)
Calendrier liturgique
Calendrier liturgique
(abstinence)
St Cyrille de Jérusalem, évêque, confesseur et docteur
Fresque d'une église orthodoxe grecque (XIVe siècle) (Source)
Catéchèse de Benoît XVI sur St Cyrille de Jérusalem, audience générale du 27 juin 2007
Le jeudi 13 février 2014, une loi effrayante sur l'euthanasie des enfants a été adoptée par le Parlement belge : les médecins seront autorisés à tuer des enfants de « moins de 18 ans » qui sont en phase terminale et qui souffrent de douleurs sévères, sans perspective de soulagement.
Selon cette nouvelle loi, la décision de tuer un enfant devra être approuvée par les parents et les médecins traitants. Il est en outre nécessaire que le jeune patient soit conscient de la situation et qu'il comprenne ce que l'euthanasie signifie. On peut seulement imaginer ce que cela signifie pour un jeune enfant qui voit ses parents dans le désespoir à propos de sa propre souffrance.
Cette loi est unique et lance un signal à l'Europe. Il y a aussi d’effrayants rapports concernant l’utilisation de l’euthanasie de façon non réglementée ou laxiste, non seulement aux Pays-Bas, mais également, et de plus en plus, en Belgique. Des pédiatres belges ont déclaré que la loi n'était pas nécessaire, car « les équipes de soins palliatifs pour les enfants sont parfaitement capables de soulager la douleur, tant à l'hôpital qu’à la maison ».
De nombreux membres de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe ont signé une déclaration affirmant que cette loi « trahit quelques uns des enfants les plus vulnérables en Belgique » et « promeut la vision inacceptable qu'une vie ne vaut pas la peine d’être vécue, ce qui remet en question le fondement même de la société civilisée ».
Suite à l’adoption de la loi par le Parlement belge, c'est maintenant à Philippe, Roi des belges, de la signer. En théorie, il a la possibilité de refuser de signer. C’est, cependant, très rare et pourrait attiser des débats houleux. Mais le Roi Philippe peut maintenant poser un signal fort en faveur de la dignité de la personne humaine. Son oncle, le Roi Baudouin, n’avait, héroïquement, pas consenti à une libéralisation de l'avortement en 1990.
Il y a quelques jours, une pétition a été adressée au Roi en lui demandant de refuser son consentement. Celle-ci a recueilli plus de 130.000 signatures. Signer la pétition en ligne: citizengo.org/fr/4166-refusez-signer-loi-pour-leuthanasie-des-mineurs
Source : Europe pour le Christ (Europe4Christ.net)
2ème dimanche du Temps Ordinaire
(2ème dimanche après l’Épiphanie)
Calendrier liturgique
« Épiphanie du Seigneur ! Solennelle et divine revanche sur l'humiliation et l'effondrement d'un Dieu dans une crèche ! La crèche est le trône de l'abaissement du Verbe ; l’Épiphanie est la proclamation de la gloire du Dieu caché. Aujourd'hui, l’Église salue le Roi des rois, et le Dominateur des dominateurs.
[...]
Je vous adore, ô Jésus, Roi des rois, dans la main de qui est déposé la royauté qui doit régir mon âme : et regnum in manu ejus.
Je vous adore, Dieu de Dieu, Lumière de Lumière, qui illumine tout homme, Vous dont la puissance est éternelle, à qui reste soumis tout ce qui doit se soumettre ici-bas : et potestas.
Je vous adore, ô Mortel, Dieu-Roi, qui devez mourir un jour, Vous dont l'empire a pour centre le Calvaire, d'où vous régnerez par le bois sacré : et imperium.
Main de l'Enfant-Dieu, je me rends à votre Domination ; je m'abrite sous l'aile de votre puissance ; je confesse l'empire de votre Croix ; Vous êtes le Dieu béni aux siècles des siècles.
Venez, avancez, régnez, ô Tout-Puissant ! Prenez séjour en la maison de mon âme ; je vous en ouvre, ô Jésus, toutes les avenues. Vous avez tous les droits, tous les pouvoirs ; tous vos ordres, elle les adore, ô Jésus-Christ, Roi et Dieu, Homme qui venez mourir pour dominer. »
Dom Vandeur, Épiphanie du Seigneur, in "Élévations sur la Messe de chaque jour" (Noël, Épiphanie), Éditions de Maredsous, 1955.
Épiphanie du Seigneur
(Au nouveau calendrier liturgique, là où le 6 février n'est pas férié, l’Église latine reporte la célébration de cette fête au dimanche le plus proche, afin que le plus grand nombre des fidèles puissent la commémorer dignement.)
"Ecce Advenit" : Introït de la Messe de l’Épiphanie
Capella Gregoriana