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Jeudi 02 octobre 2014
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Mardi 30 septembre 2014
St Jérôme, père et docteur de l’Église
Gravure d'Albrecht Dürer (1514)
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Dimanche 28 septembre 2014
26e Dimanche du Temps ordinaire
(Calendrier traditionnel : 16ème Dimanche après la Pentecôte)
Calendrier liturgique -
Le Pape François célébre les 200 ans du rétablissement des jésuites à l'église du Gesù
À l'occasion du bicentenaire du rétablissement de la Compagnie de Jésus par Pie VII (1814), le Pape François célèbre ce samedi soir l'office des Vêpres et le Te Deum à l'église romaine du Gesù (à 17h00).
Vous pourrez suivre la célébration en direct avec commentaires en français, à partir de 16h50, sur le player vidéo de Radio Vatican à l’adresse www.radiovaticana.va.
A lire : La restauration canonique de la Compagnie de Jésus (1801-1814).- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Lors de son homélie, le Saint-Père est revenu sur la riche histoire de la Compagnie de Jésus et les nombreuses tribulations qu’elle a connu puisqu’elle fut interdite pendant près de 40 ans. « Dans les temps difficiles, il n’est pas facile d’aller de l’avant, mais la Compagnie et son supérieur général de l’époque le Père Ricci (jusqu’en 1873) surent ne pas se laisser brider par le découragement et les persécutions. « La Compagnie a vécu l’humiliation avec le Christ humilié et a obéi » a rappelé le Pape. « On ne se sauve jamais des conflit avec la ruse et les stratagèmes pour résister » a-t-il expliqué, en soulignant que cette épreuve fut celle d’un discernement de la volonté de Dieu. « Seul le discernement nous sauve des écueils que sont l’égoïsme, la mondanité, la perte de notre horizon, de notre espérance » a-t-il rappelé.
Garder l’espérance dans le Seigneur qui sauve
En relisant l’histoire des jésuites, il a insisté sur l’importance de se considérer pécheur plutôt que celle de la victime face au bourreau.
Ainsi, malgré les temps difficiles, la Compagnie de Jésus a su rester fidèle à sa vocation initiale, pour la « plus grande gloire de Dieu », maintenant vivant « l’esprit d’union, d’obéissance, de patience, de simplicité évangélique et de véritable amitié avec Dieu »
Le Pape a enfin expliqué que « le navire de la Compagnie a tangué sur les flots », tout comme la barque de Pierre peut le faire aujourd’hui. C’est pour cela que les jésuites, comme tous les chrétiens et le Pape lui-même, a souligné le Saint-Père, ne doivent pas hésiter à ramer, même à contre-courant, en gardant toujours l’espérance dans le Seigneur qui sauve.
Source : Radio Vatican.
Texte intégral de l'homélie en italien sur le site internet du Vatican. -
Béatification à Madrid de Mgr Alvaro del Portillo (Madrid, 1914 - Rome, 1994)
Premier successeur de St Josémaria à la tête de l'Opus Dei
Sa vie, vidéos, dévotion et intercession, nouvelles, initiatives, enseignement, documents... sur le site de l'Opus Dei.
Le site Internet ouvert pour la béatification.- - - - - - - - - - - -
A l'occasion de la béatification d'Alvaro del Portillo (1914-1994), successeur de St Josemaría à la tête de la Prélature de l'Opus Dei, le Pape a rédigé un message (26 juin), lu au cours de la Messe présidée par le Cardinal Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints. Reprenant les trois paroles favorites du nouveau bienheureux qui, a-t-il dit, traduisent sa vie intérieure, le Saint-Père a affirmé qu'Alvaro del Portillo "était bien conscient des nombreux dons que Dieu lui avait concédés. Et s'il remerciait Dieu pour cette manifestation d'amour paternel, il ne s'arrêta pas là. La reconnaissance de l'amour du Seigneur réveilla dans son cœur le désir de le suivre avec une plus grande dévotion et générosité, et à vivre une vie d'humble service aux autres. Son amour pour l’Église, épouse du Christ, était particulièrement remarquable, et il la servit avec un cœur dépouillé d'intérêt mondain, loin de la discorde, accueillant pour tous et cherchant toujours le bon chez les autres, ce qui unit, ce qui construit. Il confessait qu'il se retrouvait souvent devant Dieu les mains vides, incapable de répondre à tant de générosité. Mais la confession de la pauvreté humaine n'est pas le fruit du désespoir... C'est s'ouvrir à sa miséricorde, à son amour... qui n'humilie pas, ni ne jette dans l'abîme de la faute, mais qui...nous fait sortir de notre prostration et nous fait marcher plus décidés et joyeux. Le Serviteur de Dieu Alvaro connaissait bien notre besoin de miséricorde divine et il dépensa beaucoup d'énergie pour encourager les personnes avec lesquelles il entrait en contact, à s'approcher du sacrement de la confession, sacrement de la joie. Aide-moi davantage, demandait-il auissi. Le Seigneur ne nous abandonne jamais... Sa grâce ne nous fait jamais défaut, et avec son aide, nous pouvons apporter son nom au monde entier. Dans le cœur du nouveau bienheureux battait le désir de porter la Bonne nouvelle à tous les cœurs. Il parcourut ainsi de nombreux pays, donnant naissance à des projets d'évangélisation, sans crainte des difficultés, mû par son amour de Dieu et de ses frères... La première condition pour leur annoncer le Christ est de les aimer, parce que le Christ les aimait déjà avant. Il faut sortir de nos égoïsmes et de notre confort et aller à la rencontre de nos frères. C'est là que le Seigneur nous attend. Nous ne pouvons pas garder la foi pour nous-mêmes, c'est un don que nous avons reçu pour le donner et le partager avec les autres. Le bienheureux Alvaro del Portillo nous envoie un message très clair. Il nous dit de nous en remettre au Seigneur, qu'il est notre frère, notre ami, qui jamais ne nous abandonne et qui est toujours à notre côté. Il nous encourage à ne pas avoir peur d'aller à contre-courant et de souffrir pour annoncer l’Évangile. Il nous enseigne enfin que dans la simplicité et le quotidien de notre vie nous pouvons trouver un chemin sûr de sainteté".
Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 29.9.14). -
Vendredi 26 septembre 2014
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Jeudi 25 septembre 2014
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Mercredi 24 septembre 2014
Notre-Dame des Grâces - Notre-Dame de la Merci
Au temps où d’innombrables fidèles étaient détenus misérablement sous la cruelle servitude des Sarrasins, au risque de perdre le salut éternel, la bienheureuse Vierge Marie, apparaissait la nuit à saint Pierre Nolasque, au bienheureux Raymond de Pennafort et à Jacques, roi d’Aragon, leur dit qu’il serait très agréable à son Fils unique et à elle-même, si l’on fondait en son honneur un Ordre religieux chargé d’arracher les captifs à la tyrannie des Turcs. C’est pourquoi, après avoir conféré entre eux et s’être mis tous d’accord, ils entreprirent de fonder un institut en l’honneur de la Vierge Mère, sous le vocable de sainte Marie de la Merci, de la rédemption des captifs. Les associés s’engageaient par un quatrième vœu à demeurer comme otages au pouvoir des païens, s’il en était besoin pour la délivrance des chrétiens. Le roi lui-même leur permit de porter ses propres armes sur la poitrine et veilla à ce que l’institut d’une si éminente charité fût approuvé par Grégoire IX. Afin de rendre à Dieu et à la Vierge Mère de dignes actions de grâces pour un si grand bienfait et pour cette institution, le siège apostolique accorda la célébration de cette fête particulière.
(Fête instituée en 1696 - Leçon du Bréviaire Romain)(Mercredi des Quatre-Temps d’automne, jour de jeûne et d’abstinence)
Historique et actualité des Quatre-Temps
[La Liturgie de l'Église romaine, J. A. Jungmann, S.J., 1957, & Cæremoniale episcoporum, 1984]
Calendrier liturgique -
Mardi 23 septembre 2014
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Lundi 22 septembre 2014
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Dimanche 21 septembre 2014
25e Dimanche du Temps ordinaire
[St Matthieu]
(Calendrier traditionnel : 15ème Dimanche après la Pentecôte)
Calendrier liturgique -
Samedi 20 septembre 2014
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Jeudi 18 septembre 2014
St Joseph de Cupertino, confesseur
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Mercredi 17 septembre 2014
St Robert Bellarmin, prêtre et docteur
(dies natalis)Catéchèse de Benoît XVI sur St Robert Bellarmin (Audience générale du mercredi 23 février 2011)
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Mardi 16 septembre 2014
Sts Corneille, pape, et Cyprien, évêque, martyrs
(Bréviaire romain, XVe) -
Sacrement du mariage pour 20 couples à la Basilique Saint-Pierre
Le Pape François a présidé dans la basilique Saint-Pierre une Messe au cours de laquelle une vingtaine de couples originaires du diocèse de Rome ont échangé leurs consentements.
« Le mariage est symbole de la vie, de la vie réelle, ce n’est pas une “fiction” ! C’est le sacrement de l’amour du Christ et de l’Église », le Pape François l’a rappelé ce dimanche matin à l’occasion du mariage de vingt couples, dans la basilique Saint-Pierre au Vatican. Une célébration inédite au cours de laquelle le Saint-Père a souligné que le mariage est « la réciprocité des différences », entre un homme et une femme. Il est « un voyage exigeant, parfois difficile, parfois aussi conflictuel, mais c’est la vie ! » précisant que « l’amour du Christ peut rendre aux époux la joie de cheminer ensemble ». Jésus qui « les guérit par l’amour miséricordieux qui surgit de sa croix, par la force d’une grâce qui régénère et remet en chemin, sur la route de la vie conjugale et familiale ».
Texte intégral de l’homélie du Pape François
« La première lecture nous parle de la marche du peuple dans le désert. Pensons à ces gens en marche, guidés par Moïse ; c’était surtout des familles : des pères, des mères, des enfants, des grands-parents ; des hommes et des femmes de tout âge, beaucoup d’enfants, avec les vieux qui éprouvaient la fatigue… Ce peuple fait penser à l’Église en marche dans le désert du monde d’aujourd’hui, il fait penser au Peuple de Dieu, qui est composé en majorité de familles.
Cela fait penser aux familles, à nos familles, en chemin sur les routes de la vie, dans l’histoire de chaque jour… Elle est incalculable la force, la charge d’humanité contenue dans une famille : l’aide réciproque, l’accompagnement éducatif, les relations qui grandissent avec la croissance des personnes, le partage des joies et des difficultés… Mais, les familles sont le premier lieu où nous nous formons comme personnes et en même temps elles sont les “briques” pour la construction de la société.
Revenons au récit biblique. À un certain point « le peuple n’a pas supporté le voyage » (cf. Nb 21, 4). Ils sont fatigués, l’eau manque et ils mangent seulement la “manne”, une nourriture prodigieuse, donnée par Dieu, mais qui en ce moment de crise semble insuffisante. Alors ils se lamentent et protestent contre Dieu et contre Moïse : « Pourquoi nous avez-vous fait partir ?... » (cf. Nb 21, 5). Il y a la tentation de revenir en arrière, d’abandonner le chemin.
Cela fait penser aux couples d’époux qui “ne supportent pas le voyage”, le voyage de la vie conjugale et familiale. La fatigue du chemin devient une lassitude intérieure ; ils perdent le goût du Mariage, ils ne puisent plus l’eau de la source du sacrement. La vie quotidienne devient pesante, et bien des fois, “écœurante”.
En ce moment de désarroi – dit la Bible – arrivent les serpents venimeux qui mordent les gens, et beaucoup meurent. Ce fait provoque le repentir du peuple, qui demande pardon à Moïse et lui demande de prier le Seigneur pour qu’il éloigne les serpents. Moïse supplie le Seigneur et celui-ci donne le remède : un serpent de bronze, suspendu à une hampe ; quiconque le regarde sera guéri du venin mortel des serpents.
Que signifie ce symbole ? Dieu n’élimine pas les serpents, mais il offre un “antidote”: à travers ce serpent de bronze, fait par Moïse, Dieu transmet sa force de guérison – force de guérison ‑ qui est sa miséricorde, plus forte que le venin du tentateur.
Jésus, comme nous l’avons entendu dans l’Évangile, s’est identifié à ce symbole : en effet, le Père, par amour, l’a « donné » aux hommes, Lui, le Fils unique, pour qu’ils aient la vie (cf. Jn 3, 13-17) ; et cet amour immense du Père pousse le Fils, Jésus, à se faire homme, à se faire serviteur, à mourir pour nous et à mourir sur une croix ; à cause de cela, le Père l’a ressuscité et lui a donné la domination sur tout l’univers. Ainsi s’exprime l’hymne de la Lettre de saint Paul aux Philippiens (2, 6-11). Celui qui se confie à Jésus crucifié reçoit la miséricorde de Dieu qui guérit du venin mortel du péché.
Le remède que Dieu offre au peuple vaut aussi, en particulier, pour les époux qui “ne supportent pas le chemin” et sont mordus par les tentations du découragement, de l’infidélité, de la régression, de l’abandon… À eux aussi, Dieu le Père donne son Fils Jésus, non pour les condamner, mais pour les sauver: s’ils se confient à Lui, il les guérit par l’amour miséricordieux qui surgit de sa croix, par la force d’une grâce qui régénère et remet en chemin, sur la route de la vie conjugale et familiale.
L’amour de Jésus, qui a béni et consacré l’union des époux, est en mesure de maintenir leur amour et de le renouveler quand humainement il se perd, se déchire, s’épuise. L’amour du Christ peut rendre aux époux la joie de cheminer ensemble ; parce que le mariage, c’est cela : le cheminement ensemble d’un homme et d’une femme, dans lequel l’homme a la tâche d’aider son épouse à être davantage femme, et la femme a la tâche d’aider son mari à être davantage homme. C’est la tâche que vous avez entre vous. “Je t’aime, et par cela je te fais plus femme” – “Je t’aime, et par cela je te fais plus homme”. C’est la réciprocité des différences. Ce n’est pas un chemin simple, sans conflits, non, il ne serait pas humain. C’est un voyage exigeant, parfois difficile, parfois aussi conflictuel, mais c’est la vie ! Et parmi cette théologie que nous donne la Parole de Dieu sur le peuple en marche, aussi sur les familles en marche, sur les époux en marche, un petit conseil. Il est normal que les époux se disputent : c’est normal. Cela arrive toujours. Mais je vous conseille : ne jamais finir la journée sans faire la paix. Jamais. Un petit geste est suffisant. Et ainsi on continue à marcher. Le mariage est symbole de la vie, de la vie réelle, ce n’est pas une “fiction” ! C’est le sacrement de l’amour du Christ et de l’Église, un amour qui trouve dans la Croix sa vérification et sa garantie. Je vous souhaite, à vous tous, un beau chemin : un chemin fécond ; que l’amour grandisse. Je vous souhaite du bonheur. Il y aura les croix : elles y seront ! Mais le Seigneur est toujours là pour nous aider à avancer. Que le Seigneur vous bénisse ! »
Sources : Radio Vatican & Site internet du Vatican. -
Dimanche 14 septembre 2014
Vénération de la Sainte-Croix, Les Très Riches Heures du duc de Berry (Folio 193r)
(Source et crédit photo) -
Jeudi 11 septembre 2014
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Mardi 09 septembre 2014
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Lundi 08 septembre 2014
Naissance de la Bse Vierge Marie, Il Perugino (v.1448-1523)
(Source et crédit photo)