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11 novembre

  • Angelus de ce dimanche 11 novembre 2018

    Lors de la prière de l’Angélus, le Pape François a commenté l’Évangile du jour, tiré du texte de Saint-Marc, qui revient sur deux figures opposées : le scribe et la veuve. Le Pape a précisé que ce jugement de Jésus sur les scribes dénonce l’instrumentalisation de la loi de Dieu à des fins de pouvoir personnel.

    Compte rendu de Cyprien Viet à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

    Après la prière de l'Angelus, le Pape a salué la béatification hier à Barcelone du Père Teodoro Illera del Olmo et de ses 15 compagnons, martyrs espagnols.

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    « Ce sont treize consacrés et trois fidèles laïcs. Neuf religieux et laïcs appartenaient à la Congrégation de Saint-Pierre-aux-liens, trois religieuses étaient capucines de la Mère du Divin Pasteur et l’une était franciscaine du Sacré Cœur. Ces nouveaux bienheureux ont tous été tués pour leur foi, dans des lieux et à des dates différentes, durant la guerre et la persécution religieuse du siècle dernier en Espagne. Louons le Seigneur pour ces témoins courageux et un applaudissement pour eux ! »

    Il a ensuite évoqué le centenaire de l'armistice de 1918 :

    « Nous célébrons aujourd'hui le centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale, que mon prédécesseur Benoît XV a qualifié de "massacre inutile". Pour cette raison, aujourd'hui, à 13h30, heure italienne, des cloches sonneront dans le monde entier, même celles de la basilique Saint-Pierre. La page historique de la Première Guerre mondiale est pour tous un avertissement sévère invitant à rejeter la culture de la guerre et à rechercher tous les moyens légitimes pour mettre fin aux conflits qui ensanglantent encore de nombreuses régions du monde. Il semble que nous n'apprenions pas. Alors que nous prions pour toutes les victimes de cette terrible tragédie, disons avec force : investissons dans la paix, pas dans la guerre ! Et, comme signe emblématique, prenons celui du grand Saint Martin de Tours, dont nous nous souvenons aujourd'hui : il a coupé son manteau en deux pour le partager avec un homme pauvre. Ce geste de solidarité humaine indique tout le chemin pour construire la paix. »