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cor

  • Septuor en mi mineur pour clarinette, basson, cor, violon, alto, violoncelle, contrebasse

    Consortium Classicum - Dir. Dieter Klöcker, clarinette
     
    Daté de 1850, le manuscrit a été attribué par erreur à Rodolphe d'Autriche (né Rudolf Johannes Joseph Rainier von Habsbourg-Lotharingen), archiduc et cardinal autrichien, mort en 1831 à Baden. Son véritable auteur est inconnu.
  • Hymne de l'Office des Laudes de la Fête du Sacré-Coeur de Jésus

    Cor, arca legem cóntinens (XVIIIème siècle)
    Schola Sainte Cécile

    Hymnus

    Cor, arca legem cóntinens
    Non servitútis véteris,
    Sed grátiæ, sed véniæ,
    Sed et misericórdiæ.

    Cor, sanctuárium novi
    Intemerátum fœderis,
    Templum vetústo sánctius,
    Velúmque scisso utílius.

    Te vulnerátum cáritas
    Ictu paténti vóluit,
    Amóris invisíbilis
    Ut venerémur vúlnera.

    Hoc sub amóris symbolo
    Passus cruénta et mýstica,
    Utrúmque sacrifícium
    Christus sacérdos óbtulit.

    Quis non amántem rédamet ?
    Quis non redémptus díligat,
    Et Corde in isto séligat
    Ætérna tabernácula ?

    Iesu, tibi sit glória,
    Qui Corde fundis grátiam,
    Cum Patre, et almo Spíritu,
    In sempitérna sæcula. Amen.
    Hymne

    Cœur, arche contenant la Loi,
    non de l’antique servitude,
    mais la loi de grâce, mais celle du pardon,
    mais celle de la miséricorde.

    Cœur, sanctuaire inviolé
    de la nouvelle alliance,
    temple plus saint que l’ancien,
    voile plus utile que celui qui fut déchiré.

    Votre amour a voulu
    que vous soyez blessé par un coup visible,
    pour que d’un amour invisible
    nous vénérions les blessures.

    Sous ce symbole de l’amour,
    le Christ Prêtre, ayant souffert
    de façon sanglante et mystique,
    offrit un double sacrifice.

    A Celui qui nous aime qui ne rendrait son amour ?
    Quel racheté ne le chérirait pas
    et dans ce Cœur ne se choisirait pas
    une demeure éternelle ?

    Jésus, à Vous soit la gloire,
    Vous dont le Cœur répand l’amour,
    ainsi qu’au Père et à l’Esprit nourricier,
    dans les siècles sempiternels. Amen.
  • Hymne des laudes de la fête du Sacré-Coeur (1962) : "Cor, arca legem cóntinens"

    1. Cor, arca legem cóntinens, non servitútis véteris, sed grátiæ, sed véniæ, sed et misericórdiæ.
    1. Cœur, arche contenant la Loi, non de l’antique servitude, mais la loi de grâce, mais celle du pardon, mais celle de la miséricorde.

    2. Cor sanctuárium novi Intemerátum féderis, templum vetústo sánctius, velúmque scisso utílius.
    2. Cœur, sanctuaire inviolé de la nouvelle alliance, temple plus saint que l’ancien, voile plus utile que celui qui fut déchiré.

    3. Te vulnerátum cáritas ictu paténti vóluit, amoris invisíbilis ut venerémur vúlnera.
    3. Ton amour a voulu que tu fusses blessé par un coup visible, pour que d’un amour invisible nous vénérions les blessures.

    4. Hoc sub amóris sýmbolo passus cruénta et mýstica, utrúmque sacrifícium Christus Sacérdos óbtulit.
    4. Sous ce symbole de l’amour, le Christ Prêtre, ayant souffert de façon sanglante et mystique, offrit un double sacrifice.

    5. Quis non amántem redámet ? Quis non redémptus díligat, et Corde in isto séligat ætérna tabernácula ?
    5. A Celui qui nous aime qui ne rendrait son amour ? Quel racheté ne le chérirait pas et dans ce Cœur ne se choisirait pas une demeure éternelle ?

    6. Jesu, tibi sit glória, Qui Corde fundis grátiam, cum Patre et almo Spíritu in sempitérna s?cula. Amen.
    6. A toi soit la gloire, Jésus, qui par ton Cœur répands la grâce, ainsi qu’au Père et à l’auguste Esprit, dans les siècles éternels. Amen.

    Traduction française : Notre-Dame des Neiges.