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détresse

  • Pour aider les chrétiens d’Alep : achetez des chapelets à l’AED

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    Aide à l’Église en détresse (AED) vous propose d’aider concrètement les chrétiens de Syrie en achetant des chapelets confectionnés par des familles chrétiennes d’Alep. Le prix est très modique, 5 €, et votre petit effort fera beaucoup de bien !

    « La prière et la foi me donnent la force d’avancer », confiait une chrétienne de Syrie à l’AED. Pour survivre à la guerre, à la faim, au manque de soins… des familles chrétiennes d’Alep se mobilisent quotidiennement et confectionnent ces jolis chapelets. Une invitation à prier, en ce mois d’octobre qui est celui du Rosaire, pour les chrétiens qui souffrent de la guerre et des persécutions. Chapelet de Syrie, 5 €.

    Pour commander, c’est ici !

  • Méditation - « Des profondeurs je crie vers toi, Seigneur » (Ps 129)

    « C'est un grand secret et une grâce précieuse que de chercher le contact avec Dieu à travers la détresse et la déréliction. Dieu apparaît alors comme le refuge, le salut, le père, la mère qui nous enveloppe de sa tendresse, qui nous comprend et nous sauve. Nous pouvons tout dire à Dieu, surtout nos tentations les plus inavouées et nos plaintes, car nous savons qu'il nous écoute toujours. J'ose dire que « c'est très calé », non pas comme une acrobatie, mais le contraire d'une acrobatie : une chute vertigineuse dans le vide. Comme nous sommes loin des belles définitions de la prière qu'on nous a apprises : « une élévation de l'âme vers Dieu » ! Disons plutôt que c'est une descente dans les profondeurs de nos propres enfers, là où Jésus s'est plongé le premier ; et le seul fil qui nous relie à Dieu, en nous empêchant de tomber dans le désespoir, est le cri de la supplication. Celui qui descend à cette profondeur de détresse, soutenu par le dynamisme de la supplication, peut espérer rebondir dans le Cœur du Père, mais le rebondissement est d'autant plus puissant que la descente a été plus vertigineuse. »

    Jean Lafrance (1931-1991), En prière avec Marie, Mère de Jésus (ch. VIII, 5), Abbaye Ste-Scholastique, Dourgne, 1985.

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  • Prière de Ste Thérèse-Bénédicte de la Croix

    « Mon Dieu, bénis l'esprit brisé des souffrants, la lourde solitude des hommes, l'être qui ne connaît nul repos, la souffrance qu'on ne confie jamais à personne. Bénis le cortège de ces noctambules que n’épouvante pas le spectre des chemins inconnus. Bénis la misère des hommes qui meurent en cette heure. Donne-leur, mon Dieu, une bonne fin. Bénis les cœurs, Seigneur, les cœurs amers. Avant tout donne aux malades le soulagement, enseigne l'oubli à ceux que tu as privés de leur bien le plus cher. Ne laisse personne sur la terre entière dans la détresse. Bénis ceux qui sont dans la joie, Seigneur, protège-les. Moi, tu ne m'as jamais, à ce jour, délivrée de la tristesse. Elle me pèse parfois beaucoup. Néanmoins tu me donnes ta force et je peux ainsi la porter. »

    Ste Thérèse-Bénédicte de la Croix (1891-1942), fêtée ce jour, in "La puissance de la Croix", Textes réunis et présentés par Waltraud Herbstrith, Ed. Nouvelle Cité, Coll. Spiritualité, 1982.

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  • Méditation : la supplication du pécheur est toujours exaucée

    « La prière faite avec ardeur et dans la détresse, voilà la prière qui monte jusqu'au ciel. Et pour que tu saches bien que les prières ont plus de chances d'être exaucées lorsqu'elles sont proférées dans l'angoisse, écoute ce que dit l'écrivain sacré : J'ai crié vers le Seigneur dans mon angoisse et il m'a exaucé...
    Tu manques d'assurance ? C'est au contraire une grande sécurité et un grand avantage de croire que l'on manque de motif d'assurance : comme c'est une honte et une condamnation de croire que l'on a toute raison d'être sûr de soi.
    Quand bien même tu aurais accompli beaucoup de bonnes actions, et même si ta conscience ne te reproche rien, si tu crois avoir toute raison d'être sûr de toi, tu perds tout bénéfice de la prière. Par contre, même si ta conscience est chargée du fardeau de millions de péchés, pour peu que tu sois convaincu d'être le dernier des hommes, tu pourras t'adresser à Dieu en toute assurance.
    Représente-toi par la pensée deux chars : attelle à l'un la vertu et l'orgueil, à l'autre le péché et l'humilité, et tu verras le char traîné par le péché devancer celui de la vertu, non certes par sa force propre, mais par celle de l'humilité qui y est jointe, de même que l'autre sera vaincu, non à cause de la faiblesse de la vertu, mais à cause de la masse pesante de l'orgueil... »

    St Jean Chrysostome, Homélie V sur l'incompréhensibilité de Dieu (6), SC n°28, Le Cerf, Paris, 1948.
    Texte intégral in "Œuvres Complètes", Bar-le-Duc, L. Guérin & Cie éditeurs, 1864, Tome II (Traduction sous la direction de M. Jeannin).

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    Le pharisien et le publicain, par Duncan Long.

  • Méditation : la vulnérabilité et la grâce

    « Il y a quelque chose de pire que d'avoir une mauvaise pensée. C'est d'avoir une pensée toute faite.
    Il y a quelque chose de pire que d'avoir une mauvaise âme ; et même de se faire une mauvaise âme. C'est d'avoir une âme toute faite.
    Il y a quelque chose de pire que d'avoir une âme perverse. C'est d'avoir une âme habituée.
    On a vu les jeux incroyables de la grâce et les grâces incroyables de la grâce pénétrer une mauvaise âme et même une âme perverse, et on a vu sauver ce qui paraissait perdu. Mais on n'a pas vu mouiller ce qui était verni, on n'a pas vu traverser ce qui était imperméable, on n'a pas vu tremper ce qui était habitué.
    De là viennent tant de manques (car les manques eux-mêmes sont causés et viennent), de là viennent tant de manques que nous constatons dans l'efficacité de la grâce, et que, remportant des victoires inespérées dans l'âme des plus grands pécheurs elle reste souvent inopérante auprès des plus honnêtes gens. C'est que précisément les plus honnêtes gens, ou simplement les honnêtes gens, ou enfin ceux qu'on nomme tels, et qui aiment à se nommer tels, n'ont pas de défauts eux-mêmes dans l'armure. Ils ne sont pas blessés. Leur peau de morale constamment intacte leur fait un cuir et une cuirasse sans faute. Ils ne présentent point cette ouverture que fait une affreuse blessure, une inoubliable détresse, un regard, un point de suture éternellement mal joint, une mortelle inquiétude, une invisible arrière-pensée, une amertume secrète, un effondrement perpétuellement masqué, une cicatrice éternellement mal fermée.
    Ils ne présentent point cette entrée à la grâce qu'est essentiellement le péché. Parce qu'ils ne sont pas blessés, ils ne sont plus vulnérables.
    Parce qu'ils ne manquent de rien, on ne leur apporte rien. Parce qu'ils ne manquent de rien, on ne leur apporte pas ce qui est tout. La charité même de Dieu ne panse point ce qui n'a pas de plaies (*). C'est parce qu'un homme était par terre que le Samaritain le ramassa. C'est parce que la face de Jésus était sale que Véronique l'essuya d'un mouchoir. Or celui qui n'est pas tombé ne sera jamais ramassé, et celui qui n'est pas sale ne sera jamais essuyé.
    Les honnêtes gens ne "mouillent" pas à la grâce. »

    (*) : NdR « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades... En effet, je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs. » (Mt 9, 12-13, Mc 2, 17 & Lc 5, 31)

    Charles Péguy, Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne, Gallimard, 1935.

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    Tableau de George Frederic Watts RA (1817-1904), City Art Gallery, Manchester.
    (Source et crédits : Project Gutenberg / Victorian Web)

  • Méditation : tendre la main...

    « L'homme n'a rien de plus commun avec Dieu que la capacité de faire le bien ; et même si nous n'en sommes capables que dans une mesure toute différente, faisons du moins tout ce que nous pouvons. Dieu a créé l'homme et l'a relevé après sa chute. Toi donc ne méprise pas celui qui est tombé dans la misère. Dieu, ému par la grande détresse de l'homme, lui a donné la Loi et les prophètes, après lui avoir donné la loi non écrite de la nature. Il a pris soin de nous conduire, de nous conseiller, de nous corriger. Finalement il s'est donné lui-même en rançon pour la vie du monde...
    Lorsque toi tu navigues le vent en poupe, tends la main à ceux qui font naufrage. Quand tu es en bonne santé et dans l'abondance, porte secours aux malheureux. N'attends pas d'apprendre à tes dépens combien l'égoïsme est un mal et combien il est bon d'ouvrir son cœur à ceux qui sont dans le besoin. Prends garde, parce que la main de Dieu corrige les présomptueux qui oublient les pauvres. Tire leçon des malheurs d'autrui et prodigue à l'indigent ne serait-ce que les plus petits secours. Pour lui, qui manque de tout, ce ne sera pas rien.
    Pour Dieu non plus d'ailleurs, si tu as fait ton possible. Que ton empressement à donner ajoute à l'insignifiance de ton don. Et si tu n'as rien, offre-lui tes larmes. La pitié jaillie du cœur est un grand réconfort pour le malheureux, et une compassion sincère adoucit l'amertume de la souffrance. »

    Saint Grégoire de Nazianze (330-390), De l'amour des pauvres, 27-28 ; PG 35, 891-894 (Trad. Orval et coll. Icthus, vol. 6, Grasset, Paris)

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  • Méditation - Poésie : Chant de la Divine Merci

    « Dieu grand, Dieu saint, Dieu sans faute,
    Puisque Vous ne voulez pas
    Qu'en marchant sur terre j'ôte
    Leur malheur à ceux d'en bas ;

    Puisqu'il vous est nécessaire
    Pour votre travail de Dieu
    Comme à l'homme la misère
    Du bois souffrant pour son feu ;

    La nuit de la créature,
    Puisqu'il faut sans doute afin
    De vous aider qu'elle dure,
    Je lui donnerai la main.

    La détresse de la terre,
    Tant qu'il la faudra, mon Dieu,
    Mêler à votre mystère,
    Je lui baiserai les yeux.

    Ah ! faites, immense Père,
    Faites vite, Père obscur,
    Ce que Vous avez à faire,
    Si vaste, si long, si dur !

    Moi, je porte cette foule.
    Je soutiendrai dans mes mains
    Humaines d'où le sang coule,
    Le poids de ces fronts humains.

    Les affamés de ce monde,
    Les faibles et leur langueur,
    Viendront manger à la ronde
    Le pain que j'ai dans le cœur,

    Et pendant que je les mène
    Se refaire en mon amour,
    Ils apercevront leur peine
    Qui devient ciel alentour.

    Et pendant qu'en moi je serre
    Ces errants que j'ai trouvés,
    Ils verront dans leur misère
    Un royaume se lever.

    Et pendant que je les aime
    A mourir pour eux de mort,
    Ils se diront que Vous-même
    Les aimez malgré leur sort.

    Que s'ils souffrent, si je souffre
    Avec eux si tendrement,
    C'est que Vous dans votre gouffre
    Ne pouvez faire autrement.

    Et les pauvres pleins de peine,
    Fermant les yeux dans mon cœur,
    Attendront là l'incertaine
    Bonté de votre labeur.

    Les pauvres gens sans science,
    Se confiant au ciel noir,
    Mêleront leur patience
    A votre œuvre sans la voir.

    Et tant qu'ô main paternelle,
    Dans l'ombre vous n'aurez pas
    Fini la chose éternelle,
    Je les tiendrai dans mes bras,

    Dans mes bras grands ouverts d'homme
    Crucifié, mais pendant
    Que leur douleur et moi sommes
    Sous la charge haletants,

    Tenez vos portes ouvertes,
    Pour que je ramène ici
    Ces pauvres âmes désertes
    Et ces pauvres corps transis,

    Préparez la grand'lumière,
    Préparez le feu, la paix,
    Pour que sitôt la dernière
    Sueur versée, à jamais,

    Tous ensemble, eux, moi, vous, comme
    Des frères au même lieu,
    Ils se reposent d'être homme,
    Et nous, Père, d'être Dieu. »

    Marie Noël (1883-1967), extrait du "Chant de la Divine Merci" in Les Chants de la Merci, Éditions Crès et Cie, Paris, 1930.

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  • Méditation : rendre grâces en toutes circonstances

    « Il faut, en toute circonstance et quoi qu'il arrive, rendre grâces à Dieu. Voilà la véritable reconnaissance. Lui rendre grâces dans la prospérité n'a rien de bien méritoire, car c'est chose toute naturelle. Mais lui rendre grâces quand nous sommes dans la détresse, voilà ce qu'il y a d'admirable. Lui rendre grâces de ce qui pousse les autres au blasphème, de ce qui les jette dans l'impatience, voilà la philosophie ! Agir ainsi c'est réjouir le Cœur de Dieu, c'est humilier le démon, c'est déclarer que le malheur n'est rien. C'est à la fois rendre grâces à Dieu, emprunter la main de Dieu pour extirper le mal et terrasser le démon. Si vous vous montrez impatient, le démon, parvenu au comble de ses vœux, est là ; Dieu, blessé de vos blasphèmes et de vos outrages vous abandonne, en étendant, en augmentant votre plaie. Mais si vous rendez grâces à Dieu, le démon, voyant qu'il n'a rien à faire là, se retire, et Dieu, que vous honorez, vous honore davantage. L'homme qui rend grâces à Dieu de ses maux ne peut plus les ressentir. L'âme est heureuse de sa vertu ; la conscience est heureuse parce qu'elle chante ses propres louanges et sa victoire ; or la conscience, étant heureuse, ne peut être affligée. L'homme qui murmure sent peser sur lui le double fardeau de son malheur qui l'accable et de sa conscience qui le flagelle ; l'homme qui rend grâces à Dieu est couronné par sa conscience qui proclame son triomphe. »

    St Jean Chrysostome (fêté ce jour), Homélie VIII (5) sur l’Épitre aux Colossiens, in "Œuvres complètes" Tome XI, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Jeannin, Bar-le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1864.

    Source : Abbaye St Benoît.

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  • Méditation : "ad lucem per crucem"...

    « Pour entrer dans sa gloire, gloire à laquelle Il avait droit par sa nature divine, le Christ a du souffrir. Le Père a voulu que cette gloire fût pour l'Homme-Dieu une récompense et un salaire : Dignus est Agnus qui occisus est accipere virtutem et divinitatem... et gloriam et benedictionem ("L'Agneau qui a été immolé a mérité de recevoir la force, et la divinité, et la gloire, et la bénédiction." 2° Rep.) Et pour les Saints de l'Ancien Testament comme pour ceux du Nouveau, la voie de la sanctification a toujours été celle de la tribulation, ainsi que l'affirmait Judith aux habitants de Béthulie : "Ils doivent se souvenir comme notre Père Abraham a été tenté et éprouvé par de nombreuses tribulations pour devenir l'ami de Dieu. Et de même tous ceux qui ont été agréables à Dieu ont dû demeurer fidèles au milieu de beaucoup d'épreuves" (Jdt VIII, 22-23). Et, en leur indiquant le moyen de profiter de leur extrême détresse, elle leur donnait les raisons de cette volonté d'en-haut : "Ne nous révoltons donc pas pour les maux que nous endurons ; mais, considérant combien ces châtiments que le Seigneur nous inflige comme à ses serviteurs, sont inférieurs à nos péchés, soyons bien convaincus qu'Il nous les envoie pour nous corriger et non pour nous perdre." (Ibid. 26-27) - Acceptons donc la loi providentielle nous obligeant, pour arriver à l'union divine, à nous assouplir au bon plaisir de notre Père des cieux dans la douleur et dans les sacrifices : Quod si extra disciplinam estis, cujus participes facti sunt omnes, ergo adulteri et non filii estis. ("Si vous n'étiez point châtiés, comme tous les autres l'ont été, c'est que vous seriez des bâtards et non des enfants légitimes" Hb XII, 8).

    [...] Ce serait nous faire une faveur périlleuse que de nous admettre aux intimités de l'oraison et de nous fixer sur la colline de l'encens avant de nous avoir éprouvés sur la montagne de la myrrhe, où l'âme se purifie des principes de corruption qu'elle porte encore en elle. - Admirons cette conduite de l'infinie Sagesse, et remercions-La de l'amour qu'Elle nous témoigne, en renouvelant ainsi les vases de nos coeurs avant d'y verser le vin nouveau, qui, sans cela, les ferait éclater.

    O Marie, qui portiez continuellement sur votre coeur comme un bouquet de myrrhe, le souvenir de la Passion de Jésus, faites que nous trouvions dans le culte de sa Croix, la force d'être doux à la souffrance ! »

    Méditations Cartusiennes pour tous les jours de l'année (Mercredi de la 2e semaine après l'Octave de Pâques), par un Chartreux, T.II, Imprimerie de Parkminster, Partridge Green, Sussex, 1921.

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  • 24 avril : Rappel - La Nuit des Témoins (AED)


    Pour la quatrième édition, l’AED vous invite à venir nombreux à la Nuit des Témoins annuelle, grande veillée de prière et de témoignage, qui aura lieu cette année dans quatre villes de France : Paris, Grenoble, Bayonne et Lille.

    La Nuit des Témoins à Grenoble, en la cathédrale Notre-Dame, le lundi 21 mai 2012.
    Messe à 18h30 et veillée de prière de 20h30 à 22h.

    La Nuit des Témoins à Bayonne, en la cathédrale Sainte-Marie, le mardi 22 mai 2012.
    Messe à 20h et veillée de 21h à 22h30.

    La Nuit des Témoins à Lille, à Notre-Dame de la Treille, le mercredi 23 mai 2012
    Messe à 19h30 et veillée de prière de 21h à 22h.

    La Nuit des Témoins à Paris, en la cathédrale Notre-Dame, le vendredi 25 mai 2012
    Messe à 18h30 et veillée de 20h à 21h30.