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exposition

  • Strasbourg : les Chrétiens d’Orient à l’honneur du 4 au 18 octobre 2015

    Exposition La Grande Aventure des Chrétiens d'Orient, accompagnée d'une messe pour la Paix, ainsi que d'une conférence.

    Strasbourg,Exposition,Grande Aventure,Chrétiens d'Orient,messe pour la Paix,conférenceL’exposition « La Grande Aventure des Chrétiens d’Orient » sera visible à Strasbourg, du 4 au 18 octobre 2015 à l’église Sainte Madeleine.

    Exposition « La grande aventure des Chrétiens d’Orient » :

    L’Œuvre d’Orient présente un parcours didactique et largement illustré pour découvrir la richesse et la diversité des Églises et des Chrétiens d’Orient: 

    - Histoire : de la naissance de l’Église à Jérusalem aux séparations et réconciliations avec l’Église de Rome.

    - Traditions et  rites : maronite, chaldéen, copte, melkite, syriaque, arménien, gréco-catholique, malabar…

    Une invitation à mieux connaître l’Œuvre d’Orient et ses missions aux côtés des évêques, des prêtres et des communautés religieuses, du Moyen-Orient jusqu’en Inde, d’Ukraine en Éthiopie.


    MESSE : messe pour la Paix au Proche et Moyen-Orient, le 7 octobre 2015 à 18h, présidée par le Chanoine R. Vigneron, délégué épiscopal pour la pastorale des relations culturelles et délégué diocésain de l’Œuvre d’Orient.


    CONFÉRENCE : Le Père Vigneron, délégué de l’Œuvre d’Orient, donnera une conférence sur la situation actuelle des Chrétiens d’Orient le 7 octobre à 19h.


    Lieu : église Sainte Madeleine de Strasbourg, place Sainte Madeleine, 67000 Strasbourg

    Date : du 4 au 18 octobre 2015

    Source : Œuvre d'Orient.

  • Exposition Jérôme Lejeune à Paris : du 13 au 23 mai 2015

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    L’année commémorative des 20 ans de la Fondation Jérôme Lejeune arrive à son terme : le prochain évènement est l’exposition Jérôme Lejeune à Paris à partir de la mi-mai.
    Elle sera accueillie à la mairie du 6ème arrondissement, place Sulpice.

    Cette exposition « Jérôme Lejeune, une découverte pour la vie » propose d’explorer l’univers de la génétique à travers la découverte du chromosome surnuméraire à l’origine de la trisomie 21.

    Elle fait revivre, 20 ans après sa disparition, l’aventure de Jérôme Lejeune, chercheur exceptionnel, médecin de renommée internationale, avocat de la vie et de la dignité humaine, qui a ouvert la voie de la génétique moderne.

    Cette exposition grand public intéresse plus particulièrement les lycéens, étudiants et professionnels du monde scientifique, de la santé et de la recherche. Elle s’adresse aussi à l’ensemble des citoyens interpellés par les enjeux bioéthiques d’aujourd’hui et de demain : sélection prénatale, eugénisme, transhumanisme…

    Vous êtes cordialement invités à venir la visiter, du 13 au 23 mai.

    N’hésitez pas à venir en famille et faire connaître l’exposition autour de vous.

    Informations pratiques :
    Lieu : Mairie du 6ème arrondissement – 78 rue Bonaparte - Salon François Collet (Métro St Sulpice L4)
    Dates : du mercredi 13 mai au samedi 23 mai
    Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi de 10 h 30 à 17 h, sauf le jeudi jusqu’à 19 h. Samedi matin de 10 h à 12 h
    Entrée libre

    Rejoindre l'évènement sur facebook.

    Pour organiser une visite de groupe guidée : evenements@fondationlejeune.org

  • SOS Education - INFORMATION

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    Suite au succès rencontré par notre pétition « NON au Zizi sexuel – ne bâclons pas l’éducation à la sexualité de nos enfants », l’action de SOS Éducation a été très fortement relayée par les médias.

    Nous ne pouvons que regretter certains rapprochements hasardeux, et déçus de l’instrumentalisation malveillante de notre discours à des fins de vaine polémique. Le traitement réservé à SOS Éducation et à ses membres traduit une dérive inquiétante, qui vise à stigmatiser, afin de les discréditer, les personnes usant de leur liberté de parole, faute de pouvoir leur répondre sur le fond.

    Comme nous l’avons toujours souligné, notre propos est simplement de demander une information claire et complète des parents d’élèves dont les enfants sont amenés voir l’exposition « Zizi sexuel » dans le cadre scolaire. En effet, ces sorties sont prises sur le temps d’apprentissage, et certaines représentations et mises en scène sexuellement explicites peuvent être de nature à choquer les enfants les plus jeunes.

    Par ailleurs, nous sommes convaincus que l’éducation sexuelle à l’école doit se faire dans une relation de confiance avec les parents et non pas en procédant à leur exclusion, approche retenue par cette exposition qui contient un espace « interdit aux adultes ».

    Lien vers la pétition : http://petitions.soseducation.org/non-au-zizi-sexuel/index.php

    SOS Education

    Brochure d'information sur l'exposition, disponible en téléchargement (format pdf).

  • Le piège de l’exposition du Musée Fesch (Ajaccio)

    PNG - 62.3 ko Quelle réaction doivent avoir les Corses devant une exposition dont l’ambition est de choquer leur foi et ses symboles ? Pour l’Évêque d’Ajaccio, c’est la consternation et l’indignation qui dominent, bien au-delà d’une éventuelle qualité artistique à déceler. Blesser les visiteurs du musée Fech et de la Corse témoigne d’une volonté de provocation et insulte ce qui fondamental pour nous. Un piège...

    Apprenant le choix fait par le Musée Fesch d’Ajaccio d’accueillir une exposition temporaire consacrée à M. Andres Serrano comprenant, selon les mots mêmes du descriptif, « l’œuvre la plus irrévérencieuse et la plus symbolique de son époque » – en l’occurrence la photographie d’un crucifix plongé dans l’urine – je tiens à exprimer ma consternation et mon indignation.

    Chapelet sur le sexe d’un homme mort...

    Certains soutiennent que l’auteur de ces photographies – l’une d’entre elle par exemple montre, dans la collection Serrano, un chapelet posé sur le sexe d’un homme mort – est un « digne héritier de l’histoire de l’art ». Je n’entrerai pas dans ce débat ; la postérité répondra d’elle-même. J’invite en revanche tous ceux qui se sentent concernés par cette exposition à s’interroger :

    * Doit-on tenir pour négligeable, tout particulièrement ici en Corse, le fait que de très nombreuses personnes, pour qui la représentation du Christ en Croix symbolise ce qu’il y a de plus précieux, vont être choquées et profondément blessées par ces images ?

    * Doit-on faire le jeu de ceux qui pensent que la polémique et la provocation sont aujourd’hui les meilleurs moyens de se faire connaitre ?

    Une paix sans respecter le sacré ?

    * La paix entre nous est-elle possible si nous ne respectons pas ce qui est sacré pour les autres ?

    J’appelle par ailleurs les fidèles catholiques à ne pas tomber dans le piège de la provocation. Toute action violente ou insultante vis-à-vis de cette exposition serait contraire au message du Christ en Croix, « Lui qui, insulté, ne rendait pas l’insulte » (1 P2,23).

    Et si le musée Fesch élevait vers le beau ?

    Je formule enfin le souhait que le Musée Fesch – qui doit son existence au cardinal du même nom, et qui d’ordinaire organise des expositions dignes d’intérêt – puisse à l’avenir nous élever vers le beau.

    + Olivier de Germay, Évêque d’Ajaccio

    Source : Diocèse d'Ajaccio.

  • Méditation - Prière au Sacré-Cœur Eucharistique devant le Très Saint Sacrement exposé

    « Ô Cœur Eucharistique, ô amour souverain du Seigneur Jésus, qui avez institué l'auguste Sacrement pour demeurer ici-bas au milieu de nous, pour donner à nos âmes votre chair comme nourriture et votre sang comme céleste breuvage, nous croyons fermement, Seigneur Jésus, à cet amour suprême qui institua la Très Sainte Eucharistie, et ici, devant cette Hostie, il est juste que nous adorions cet amour, que nous le confessions et l'exaltions comme le grand foyer de la vie de votre Église. Cet amour est pour nous une pressante invitation ; vous semblez nous dire : « Voyez combien je vous aime ! En vous donnant ma chair en nourriture et mon sang en breuvage, je veux, par ce contact, exciter votre charité, vous unir à moi ; je veux réaliser la transformation de vos âmes en moi, le Crucifié ; en moi qui suis le Pain de la vie éternelle ; donnez-moi donc vos cœurs, vivez de ma vie vous vivrez de Dieu. » Nous le reconnaissons, ô Seigneur, tel est l'appel de votre Cœur Eucharistique, et nous vous en remercions, et nous voulons, oui, nous voulons y répondre. Accordez-nous la grâce de bien nous pénétrer de cet amour suprême par lequel, avant de souffrir, vous nous avez conviés à prendre et à manger votre Corps sacré. Gravez dans le fond de nos âmes le propos stable d'être fidèles à cette invitation. Donnez-nous la dévotion, la révérence nécessaires pour honorer, pour recevoir dignement le don de votre Cœur Eucharistique, ce don de votre amour final. Que nous puissions ainsi, par votre grâce, célébrer effectivement le souvenir de votre Passion, réparer nos offenses et nos froideurs, alimenter et accroître notre amour pour vous, et conserver toujours vivante dans nos cœurs la semence de la bienheureuse immortalité. Ainsi soit-il. »

    Prière du Père Albert Lepidi O.P. (1838-1925) - Professeur de philosophie au collège des Dominicains à Louvain de 1862 à 1868, régent des études de 1872 à 1885, puis Maître du Sacré Palais apostolique au Vatican, décédé à Rome le 31 juillet 1925.

    (300 jours d'indulgence chaque fois qu'on récitera cette prière devant le Saint-Sacrement exposé, et une indulgence plénière une fois par mois, lorsque, l'ayant récitée chaque jour, on aura fait une demi-heure d'adoration par semaine.)
    Léon XIII, bref du 2 juin 1902.

    Prière in "Rayons du Cœur Eucharistique" par le Père Fr. Bouchage, Rédemptoriste, Librairie G. Beauchesne, Paris, 1923.

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  • Premières Vêpres et Te Deum à la Basilique Saint-Pierre

    Premières vêpres de la solennité de Sainte Marie Mère de Dieu
    Te Deum en remerciement de l'année écoulée
    Exposition du Saint Sacrement et bénédiction Eucharistique
    Basilique vaticane à 17h00

    A 17h en la basilique vaticane, le Saint-Père a présidé les premières Vêpres en la solennité de Sainte Marie Mère de Dieu, suivies de l'exposition du Saint Sacrement, du Te Deum, chant traditionnel d'action de grâce pour la conclusion de l'année civile et de la bénédiction eucharistique. "Alors que nous terminons l'année 2013 - a dit le Pape dans son homélie - recueillons, comme dans un panier, les semaines, les mois que nous avons vécu, pour tout offrir au Seigneur, et demandons-nous courageusement : comment avons-nous vécu le temps qu'Il nous a donné ? L'avons-nous surtout utilisé pour nous-mêmes, pour nos intérêts, ou avons-nous su aussi le dépenser pour les autres ? Combien de temps avons-nous réservé pour être avec Dieu dans la prière, le silence, l'adoration ?".

    "Pensons ensuite, nous citoyens romains, à cette ville de Rome", a poursuivi le Saint-Père. Que s'est-il passé cette année ? Que se passe-t-il et que se passera-t-il ? Comment est la qualité de vie dans cette ville ? Cela dépend de nous tous ! Comment est la qualité de notre citoyenneté ? Cette année, avons-nous contribué, à notre petite échelle, à la rendre vivable, ordonnée, accueillante ? Certes, qui est investi d'autorité a une plus grande responsabilité, mais chacun de nous est coresponsable, dans le bien et dans le mal".

    "Rome est une ville d'une beauté unique. Son patrimoine spirituel et culturel est extraordinaire. Pourtant, à Rome aussi, tant de personnes sont marquées par des misères matérielles et morales, des personnes pauvres, malheureuses, souffrantes, qui interpellent la conscience de tout citoyen. A Rome, nous sentons peut-être plus fortement cette différence entre l'ambiance majestueuse et chargée de beauté artistique et la gêne sociale de celui qui a plus de mal. Rome est une ville pleine de touristes, mais aussi pleine de réfugiés. Rome est pleine de gens qui travaillent, mais aussi pleine de personnes qui ne trouvent pas de travail ou accomplissent des travaux sous payés et parfois indignes. Tous ont le droit d'être traités avec la même attitude d'accueil et d'équité, parce que chacun est porteur de dignité humaine".

    "C'est le dernier jour de l'année. Que ferons-nous, comment agirons-nous l'année prochaine pour améliorer notre ville ? Rome, cette nouvelle année, aura un visage encore plus beau s'il est encore plus riche d'humanité, hospitalier, accueillant, si nous sommes tous attentifs et généreux envers ceux qui sont dans le besoin, si nous savons collaborer avec un esprit constructif et solidaire pour le bien de tous. Rome, cette nouvelle année, sera meilleure, si personne ne la regarde de loin, comme une carte postale, ne regarde sa vie du balcon, sans s'impliquer dans les nombreux problèmes humains, les problèmes d'hommes et de femmes qui, à la fin... et depuis le début, que nous le voulions ou non, sont nos frères. Dans cette perspective - a poursuivi le Pape - l’Église de Rome se sent engagée à apporter sa contribution à la vie et à l'avenir de la ville, c'est son devoir !, elle se sent engagée à l'animer avec le levain de l’Évangile, à être un signe et un instrument de la miséricorde de Dieu". Après la célébration eucharistique, le Pape s'est rendu brièvement à la crèche dressée au pied de l'obélisque de la place.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 2.1.14)

  • Messe de clôture de l'Année de la foi (ouverte le 11 octobre 2012)

    Place St Pierre à 10h30, en la solennité du Christ Roi,
    Messe de clôture de l'Année de la foi (ouverte le 11 octobre 2012)

    Exposition des reliques de Saint Pierre
    & remise par le Pape François de son exhortation Evangelii Gaudium


    Texte intégral de l'homélie sur le site internet du Vatican

    Le Pape François conclut l'Année de la Foi

    Jésus pardonne toujours et ne condamne jamais ; quand les hommes trouvent le courage de demander son
    pardon, le Seigneur ne laisse jamais une telle demande sans réponse. C’est le cœur de la réflexion que le Pape François a livrée aux fidèles ce dimanche matin, au cours de la Messe conclusive de l’Année de la Foi, sur la place Saint-Pierre. Pour la première fois, les reliques attribuées au Prince des Apôtres ont été exposées publiquement à la vénération des fidèles. Elles avaient été portées en procession avant la Messe et placée à côté de l’autel. Pendant la prière du Credo, le Souverain Pontife a pris dans les bras le reliquaire en bronze, profondément recueilli.
    Autre geste inédit : une collecte spéciale a été effectuée au profit des sinistrés des Philippines, ravagées par le typhon Ayan.

    Une homélie sous le signe de la centralité du Christ dans nos vies

    C’est une homélie pleine d’espoir que le Pape a délivré lors de cette Messe solennelle. Il tenu d’abord à rendre hommage à son initiateur, Benoît XVI « pour qui, a déclaré François, nous avons maintenant une pensée pleine d’affection et de reconnaissance. Avec cette initiative providentielle, il nous a donné la possibilité de redécouvrir la beauté de ce chemin de foi qui a débuté le jour de notre Baptême, qui nous a faits fils de Dieu et frères dans l’Église. Un chemin qui a pour objectif final la pleine rencontre avec Dieu, et au cours duquel l’Esprit Saint nous purifie, nous élève, nous sanctifie, pour nous faire entrer dans le bonheur auquel aspire notre cœur. »

    Le Pape a également adressé une salutation cordiale aux Patriarches et aux Archevêques Majeurs des Églises orientales catholiques présents à la célébration. L’occasion de témoigner sa reconnaissance à l’égard de ces communautés, qui ont confessé le nom du Christ avec une fidélité exemplaire, souvent payée fort cher. « En même temps, par leur intermédiaire, a ajouté François, je veux rejoindre avec ce geste tous les chrétiens qui vivent en Terre Sainte, en Syrie et dans tout l’Orient, afin d’obtenir pour tous le don de la paix et de la concorde. »

    Insister sur la centralité du Christ

    Les lectures bibliques qui ont été proclamées avaient comme fil conducteur la centralité du Christ. Le Christ centre de la création, du peuple et de l’histoire. Dans la deuxième Lecture, tirée de la Lettre aux Colossiens, l’Apôtre Paul nous offre une vision très profonde de la centralité de Jésus. Il nous le présente comme le Premier-né de toute la création : en lui, par lui et pour lui toutes choses furent créées. Il est le centre de toutes choses, il est le principe. Dieu lui a donné la plénitude, la totalité, pour qu’en lui toutes choses soient réconciliées (cf. 1, 12-20). Cette image nous fait comprendre que Jésus est le centre de la création ; et, par conséquent, l’attitude demandée au croyant, s’il veut être tel, est de reconnaître et d’accueillir dans sa vie cette centralité de Jésus-Christ, dans ses pensées, dans ses paroles et dans ses actions. Quand on perd ce centre, parce qu’on le substitue avec quelque chose d’autre, il n’en vient que des dommages, pour l’environnement autour de nous et pour l’homme lui-même.

    Le Christ est le centre du peuple de Dieu   

    En plus d’être le centre de la création, le Christ est le centre du peuple de Dieu. C’est ce qui nous est exposé dans la première Lecture, qui raconte le jour où les tribus d’Israël vinrent chercher David et, devant le Seigneur, lui donnèrent l’onction de roi sur Israël (cf. 2 S 5, 1-3). À travers la recherche de la figure idéale du roi, ces hommes cherchaient en réalité Dieu lui-même : un Dieu qui se fasse proche, qui accepte de devenir compagnon de route de l’homme, qui se fasse leur frère. Le Christ, descendant du roi David, est le “frère” autour duquel se constitue le peuple, qui prend soin de son peuple, de nous tous, au prix de sa vie. En lui nous sommes un, unis à lui, nous partageons un seul chemin, un seul destin.

    Le Christ est le centre de l’histoire de l’humanité et de tout homme

    Enfin, le Christ est le centre de l’histoire de l’humanité et de tout homme. C’est à lui que nous pouvons rapporter les joies et les espérances, les tristesses et les angoisses dont notre vie est tissée. Lorsque Jésus est au centre, même les moments les plus sombres de notre existence s’éclairent, et il nous donne l’espérance, comme cela arrive au bon larron dans l’Évangile d’aujourd’hui. Tandis que tous les autres s’adressent à Jésus avec mépris – “Si tu es le Christ, le Roi Messie, sauve-toi toi-même en descendant de la croix !” – cet homme, qui a commis des erreurs dans sa vie, mais s’en repend, s’agrippe à Jésus crucifié en implorant : « Souviens-toi de moi quand tu viendras inaugurer ton Règne » (Lc 23, 42). Et Jésus lui promet : « Aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis » (v. 43). Jésus prononce seulement la parole du pardon, non celle de la condamnation ; et quand l’homme trouve le courage de demander ce pardon, le Seigneur ne laisse jamais tomber une telle demande.

    Source : Radio Vatican.

    C’est à la fin de cette Messe conclusive de l’Année de la Foi que le Souverain Pontife a remis son exhortation apostolique Evangelii Gaudium à un évêque letton, à un prêtre tanzanien, à un diacre australien, choisis parmi les plus jeunes à avoir été ordonnés, et à des représentants des différentes expressions de l’Église, notamment des groupes qui se sont successivement rendus à Rome en pèlerinage dans le cadre de l’Année de la Foi. Parmi eux un non-voyant qui a reçu un exemplaire audio ; deux journalistes pour bien souligner le rôle que les médias ont à jouer ; et deux artistes pour marquer la valeur de la beauté en tant que forme privilégiée de l’Évangélisation : le sculpteur japonais Etsuro Sotto qui a collaboré à la Sagrada Familia de Barcelone et une jeune peintre polonaise Anna Gulak.

    Comme le Pape François l’avait lui-même annoncé au mois de juin, ce texte est une élaboration très personnelle faite sur la base des propositions approuvées l’année dernière par les participants au Synode sur la nouvelle évangélisation. « J’aime cette idée et je suivrai ce chemin » - avait-il dit.

    Cette exhortation apostolique, qui encourage les catholiques à être missionnaires, sera rendue publique officiellement le mardi 26 novembre.

    Source : Radio Vatican.

  • A propos du Sacré Coeur de Jésus

     

     

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