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hosties

  • 22e profanation (vols, dégradations) dans les églises des Pays de l’Ain

    Le dimanche 16 août 2015, un ciboire contenant le Saint-Sacrement et un calice ont été volés dans l’église de Gex. Le même jour, un ciboire, un calice et un reliquaire, inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, ont été dérobés dans l’église de Collonges. Enfin, une tentative d’effraction a échoué à l’église de Bellegarde-sur-Valserine. Au mois de juillet déjà, l’église de Saint-Jean-de-Niost avait à nouveau été victime d’un vol, durant lequel un calice, un ciboire et un ostensoir avaient été volés.

    Depuis le mois d’octobre 2014, c’est la 22ème fois que des profanations, des vols ou des dégradations importantes ont lieu dans les églises des Pays de l’Ain.

    Comme le prévoit le droit de l’Église,
    l’église de Gex est fermée au culte à cause de cette profanation,
    jusqu’à la messe de réconciliation et de réparation célébrée ce jeudi 20 août 2015 à 19 h.
    A cette occasion, le Saint-Sacrement sera remis dans le tabernacle.
    Cette messe sera suivie d’une veillée d’adoration

    Voir le Communiqué sur le site internet du diocèse de Belley-Ars.

  • Communiqué de Mgr Aillet suite à la profanation de l'église Saint-Vincent d'Hendaye

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    Communiqué de monseigneur Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, suite à la profanation de l’église Saint-Vincent de la paroisse Notre-Dame de la Bidassoa d’Hendaye où, vendredi 24 avril 2015, le ciboire, contenant les hosties consacrées, ainsi que la lunule contenant l’hostie utilisée pour l’Adoration du Très Saint Sacrement, ont été volés, sans dégradation ni effraction.

    Rome, le mardi 28 avril 2015

    Dans la journée du vendredi 24 avril 2015, une profanation a été commise dans l’église Saint-Vincent de la paroisse Notre-Dame de la Bidassoa d’Hendaye. Le ciboire, contenant les hosties consacrées, ainsi que la lunule contenant l’hostie utilisée pour l’Adoration du Très Saint Sacrement, ont été volés, sans dégradation ni effraction. [1]

    Je m’associe à la peine de la communauté catholique d’Hendaye, blessée au cœur même de son être, et tiens à assurer le curé, monsieur l’abbé Jean-Marc Lavigne, les prêtres et les fidèles de cette paroisse de ma prière et mon soutien le plus fraternel. Je remercie aussi le maire d’Hendaye, monsieur Ecenarro, d’avoir eu le courage des mots pour exprimer son soutien aux catholiques de sa ville et dénoncer l’acte de profanation qui « touche la société en général ».

    Quand le vol d’objets de culte, les dégradations d’églises ou de cimetières chrétiens, en hausse constante dans notre pays, atteignent durement nos consciences, combien plus la profanation de l’hostie consacrée, essence même de notre foi, heurte notre cœur ! Il ne s’agit plus de symboles, mais de la réalité même qui nous pousse à aller adorer Jésus-Christ en personne, à la messe ou à l’adoration eucharistique, sous l’apparence des hosties qui viennent précisément d’être volées. Comme l’exprimait l’abbé Jean-Marc Lavigne : « on touche au sacré, ce qui est grave, mais aussi à la vie intime de chacun ». Par son caractère gravissime, cet acte atteint directement la réalité la plus sacrée de notre culte et la communauté catholique tout entière à l’heure même où celle-ci est meurtrie par les persécutions de ses frères d’Afrique et d’Orient.

    Au nom de toute notre communauté catholique, et en particulier d’Hendaye, je supplie le ou les auteurs de ce sacrilège de prendre la mesure de l’acte qu’ils ont commis[2] en dérobant ces objets sacrés et de rendre le plus rapidement possible les hosties présentes dans le ciboire et la lunule volés.

    En communion avec le curé de la paroisse, monsieur l’abbé Jean-Marc Lavigne, qui m’a fait part très rapidement de cet acte de profanation qui l’a bouleversé, et auquel je réitère toute mon amitié et mon soutien dans cette épreuve qu’il n’a – en 31 ans de sacerdoce- jamais connu auparavant, j’invite les membres de notre communauté ecclésiale à entrer, à son initiative, dans la prière et le jeûne : « Il faut réagir sans peur, sans repli, avec calme et sérénité, en Christ, vainqueur du mal. ».

    Je serai en union de prière depuis Rome, ce mercredi 29 avril prochain à 19 heures, avec la paroisse d’Hendaye à l’occasion de la messe de réparation qui sera célébrée dans l’église Saint-Vincent et qui sera suivie de l'adoration eucharistique jusqu'à 21h30. J’invite tous les fidèles qui le pourront à participer à cet acte de réparation.

    + Marc Aillet

    [1] Vols à l'église d'Hendaye : « réagir sans peur », Sud-Ouest du mardi 28 avril 2015.

    [2] Code de Droit Canonique, 1367.

    Téléchargez le communiqué (format pdf)

    Source : Diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron.

  • Diocèse de Belley-Ars : le St Sacrement retiré des tabernacles, à cause des profanations

    Copie_de_Copie_de_Blason_MgrRoland

    « Proclamez la Bonne Nouvelle » Mc 16, 15

    ORDONNANCE SUR LES TABERNACLES PAROISSIAUX

    PASCAL ROLAND
    Par la grâce de Dieu et l’autorité apostolique du Saint-Siège
    ÉVÊQUE DE BELLEY-ARS

    Vu la lettre du vicaire général à tous les curés
    et le communiqué de l’évêché sur la profanation des tabernacles et le vol des ciboires,
    en date du lundi 09 février,
    Vu les canons 934, 937, 938, 1213 du Code de Droit canonique.

    DEMANDE

    À tous les curés de paroisse de procéder aux mesures suivantes :

    1. Le Saint-Sacrement sera retiré des tabernacles de toutes les églises et chapelles paroissiales et sera déposé en un lieu sécurisé.
    2. La porte de ces tabernacles restera ostensiblement ouverte.
    3. Pour les besoins de la prière publique ou privée, le Saint-Sacrement pourra être remis temporairement dans ces tabernacles à condition qu’une présence suffisante de fidèles soit assurée.
    4. Seuls feront exception à ces mesures les tabernacles métalliques bien fixés et munis d’une serrure résistante.

    Ces mesures entrent en vigueur à dater de ce jour et le resteront jusqu’à nouvel ordre.
    L’évêque forme le vœu que ces mesures exceptionnelles manifesteront à tous la gravité de ces faits et contribueront à décourager leur renouvellement.

    Donné à Ars-sur-Formans,
    Le mardi 10 février 2015,
    En la fête de sainte Scholastique.

    + Pascal ROLAND

    P. Christian JOSSELIN
    Chancelier

    Tabernacle profanation Neuville les Dames

    Le tabernacle de l’église de Neuville-les-Dames

     Diocèse de Belley-Ars

    Rappel :

    Profanations et vols de ciboires dans l'Ain

    Profanations à Sainte-Julie et à Saint-Jean-de-Niost

    Profanation à Saint-Etienne-du-Bois

  • Quand le Stade Français (rugby) se moque des catholiques, du dimanche et de l'Eucharistie

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    "En prévision de la compétition qui opposera le dimanche 30 novembre prochain l’équipe du Stade Français à celle de Brive, une campagne de publicité à été lancée par les responsables du Stade Français sur le thème “80 minutes pour passer un sacré dimanche”, illustrée d’une coupe qui a tous les aspects d’un ciboire, et de figures de formes plus au moins ovales qui en jonchent la composition et qui ont, elles, l’aspect d’hosties.
    Malheureusement, cette campagne impose un usage déplacé et volontaire de symboles et d’objets qui revêtent une grande importance pour les chrétiens, notamment les catholiques, en violation totale de la recommandation « races, ethnies et religions » des règles déontologiques du Jury de déontologie publicitaire, qui note, en son point numéro 4, qu’il « convient de proscrire toute utilisation du rituel ou des textes qui serait de nature à ridiculiser ou à choquer ses adeptes.»
    Ce mésusage est d’autant plus douloureux pour eux que des médias ont encore tout récemment signalé des cas de profanations de tabernacles d’églises accompagnées de vols de ciboires et d’espèces consacrées.
    Vous admettrez que les catholiques soient vraiment lassés de ces banalisations incessantes de symboles et d’objets du culte qui leurs sont chers, pour des motifs purement publicitaires ou mercantiles. Vous rajoutez à leurs souffrances pour des raisons qui me demeurent obscures.
    Le Stade Français s’honorerait en présentant publiquement aux catholiques, par votre truchement, ses regrets pour avoir involontairement porté atteinte à leur sensibilité."

    Signer la pétition de l'AGRIF.

    Lettre ouverte au Président du Stade Français.