1. Jesu, meine Freude 0:02
2. Es ist nun nichts Verdammliches 1:05 3. Unter deinem Schirmen 3:53 4. Denn das Gesetz 4:54 5. Trotz dem alten Drachen 5:50 6. Ihr aber seid nicht fleischlich 8:08 7. Weg mit allen Schätzen 10:50 8. So aber Christus in euch ist 12:00 9. Gute Nacht, o Wesen 13:51 10. So nun der Geist 17:26 11. Weicht, ihr Trauergeister 18:52 (Texte intégral allemand/français) |
jesu
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J.S. Bach : Motet BWV 227 'Jesu, meine Freude'
Vocalconsort Berlin - Dir. Daniel Reuss (2012)(si la lecture vidéo est impossible, merci de cliquer ICI) -
J.-S. Bach : Motet "Jesu, meine Freude" BWV 227
Vocalconsort Berlin - Dir. Daniel Reuss (2012)
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Hymne "Jesu, dulcis memoria"
The Cathedral Singers - Dir. Richard Proulx
Cette hymne est attribuée à Saint Bernard de Clairvaux (1090-1153). Sa longueur varie d’un manuscrit à l’autre, et va de 42 à 53 strophes. De fait, elle était divisée en trois parties, et employée dans trois offices différents de la Fête du Nom de Jésus (vêpres, matines, laudes). Le texte figure dans le Romanum Breviarium, le Bréviaire romain de 1908, avec ce découpage en trois parties (tel qu’il est donné ici), selon le site internet www.preces-latinae.org.
Cette fête se célébrait anciennement, dans le temps de Noël, au dimanche entre la Circoncision (1er janvier) et l’Épiphanie (6 janvier), ou faute d'un tel dimanche, le 2 janvier.
1ère partie en 5 strophes (vêpres)
Trad. littérale française : Yves Kéler 13.10.08Jesu, dulcis memoria,
dans vera cordis gaudia:
sed super mel et omnia
ejus dulcis praesentia.
Nil canitur suavius,
nil auditur jucundius,
nil cogitatur dulcius,
quam Jesus Dei Filius.
Jesu, spes paenitentibus,
quam pius es petentibus!
quam bonus te quaerentibus!
sed quid invenientibus?
Nec lingua valet dicere,
nec littera exprimere:
expertus potest credere,
quid sit Jesum diligere.
Sis, Jesu, nostrum gaudium,
qui es futurum praemium:
sit nostra in te gloria,
per cuncta semper saecula.
Amen.Doux est le souvenir de Jésus,
Qui donne les vraies joies du cœur,
Mais plus que le miel et toutes choses
Est sa douce présence.
Rien de plus suave n’est chanté,
Rien de plus joyeux n’est écouté,
Rien de plus doux n’est pensé,
Que Jésus, le Fils de Dieu.
Jésus, espoir du pénitent,
Combien doux tu es pour ceux qui te prient !
Combien bon pour ceux qui te cherchent !
Mais que n’es-tu pour ceux qui te trouvent ?
Ni la langue ne veut le dire,
Ni l’écriture l’exprimer ;
Qui l’a éprouvé peut croire
Ce qu’est de choisir Jésus.
Sois, Jésus, notre joie,
Toi qui dois être notre récompense,
Que notre gloire soit en toi
A travers tous les siècles toujours. -
Jean Sébastien Bach : Motet n° 3 en mi mineur, BWV 227 "Jesu, meine Freude"
Vocalconsort Berlin - Dir. Daniel Reuss
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G.P. Telemann : Cantate "Machet die Tore weit", Aria "Jesu, komm in meiner Seele" (Jésus, viens dans mon âme)
Vienna State Opera (Choeur et orchestre), W. Bottcher - Teresa Stich-Randall (1927-2007), soprano
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Palestrina : "Jesu, rex admirabilis"
The Monteverdi Choir, dir. John Eliot Gardiner, Soli Deo Gloria, 2006
Jesu, rex admirabilis
et triumphator nobilis,
dulcedo ineffabilis,
totus desiderabilis,
mane nobiscum, Domine,
et nos illustra lumine,
pulsa mentis caligine,
mundum reple ducedine.