Jerusalem Quartet (2013)
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Jerusalem Quartet (2013)
Moscow Symphony Orchestra - Dir. Yuri Simonov
3. Andante grazioso
Elena Bashkirova, piano ; Maxim Vengerov, violon ; Boris Pergamenschikow, violoncelle
Wilhelm Kempff, piano (1950)
Wo ist ein so herrlich Volk, zu dem Götter also nahe sich tun als der Herr,
unser Gott, so oft wir ihn anrufen. Hüte dich nur und bewahre deine Seele wohl, dass du nicht vergessest der Geschichten, die deinen Augen gesehen haben, und dass sie nicht aus deinem Herzen kommen alle dein Leben lang, Und sollst deinen Kindern und Kindeskindern kundtun. Amen. (5.Mose 4,7,9) Quelle est en effet la grande nation dont les dieux soient aussi proches que le Seigneur notre Dieu est proche de nous chaque fois que nous l’invoquons ? [Et quelle est la grande nation dont les décrets et les ordonnances soient aussi justes que toute cette Loi que je vous donne aujourd’hui ?] Mais prends garde à toi : garde-toi de jamais oublier ce que tes yeux ont vu ; ne le laisse pas sortir de ton cœur un seul jour. Enseigne-le à tes fils, et aux fils de tes fils. (Dt 4, 7-9) |
Bingham String Quartet - David Campbell, clarinette
Orchestre Philharmonique de Berlin - Dir. Herbert von Karajan
Anne-Sophie Mutter, violon
NDR Chor - North German Radio Chorus
Im Herbst (Klaus Groth, 1819-1899)
Ernst ist der Herbst. Und wenn die Blätter fallen, sinkt auch das Herz zu trübem Weh herab. Still ist die Flur, und nach dem Süden wallen die Sänger, stumm, wie nach dem Grab. Bleich ist der Tag, und blasse Nebel schleiern die Sonne wie die Herzen, ein. Früh kommt die Nacht: denn alle Kräfte feiern, und tief verschlossen ruht das Sein. Sanft wird der Mensch. Er sieht die Sonne sinken, er ahnt des Lebens wie des Jahres Schluß. Feucht wird das Aug', doch in der Träne Blinken, entströmt des Herzens seligster Erguß. Traduction : Le Madrigal de Lille |
En automne
Sévère saison que l'automne. Et lorsque tombent les feuilles, Le cœur lui aussi sombre dans une morne douleur. Silencieuse est la plaine. Et vers le sud s'en vont en silence les chanteurs, comme au tombeau. Pâle est le jour, Et des brumes pâles enveloppent le soleil et les cœurs. Précoce est la nuit, car toutes les forces se reposent, Et, enfouie au plus profond, l'âme repose. L'homme devient doux. Il voit le soleil sombrer, Il pressent la fin de sa vie et de l'année. L'œil se mouille, Mais les larmes brillantes Sont aussi le plus doux épanchement du cœur. |
Sveriges Radio Symfoniorkester - Dir. Carlo Maria Giulini