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journée mondiale de la jeunesse

  • Message du Pape François pour la XXXIIIe Journée mondiale de la jeunesse

    « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu » (Lc 1, 30).

    Le message du Pape François pour les Journées Mondiales de la Jeunesse de 2019 a été dévoilé ce jeudi 22 février. Il est extrait de l’Évangile selon Saint Luc « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu ». Ces JMJ auront lieu cette année dans les diocèses le 25 mars prochain.

    Le commentaire d'Olivier Bonnel est à lire sur Vatican.News.

    Texte intégral du Message en français sur le site internet du Vatican.

  • XXXIIe Journée Mondiale de la Jeunesse

    « Le Puissant fit pour moi des merveilles » (Lc 1,49).
     
    (Cf. le Message du Pape publié le mardi 21 mars dernier)

  • Message du Pape François pour la XXXIIe Journée mondiale de la Jeunesse

    « L’Église et la société ont besoin de vous » : le Pape François s’adresse aux jeunes dans un message diffusé et publié à l’occasion de la 32e Journée mondiale de la Jeunesse qui aura lieu le 9 avril 2017, lors du Dimanche des Rameaux. Elle a cette année pour thème « le Puissant fit pour moi des merveilles » tiré de l’Évangile de Saint Luc. Le Pape transmet ainsi un long message ainsi qu’une version vidéo afin d’atteindre le maximum de personnes à travers le monde.

    Cette journée annuelle, célébrée dans tous les diocèses, se place sur le chemin qui part des dernières JMJ, à Cracovie, l’été dernier, pour aller vers les prochaines, qui auront lieu en 2019 à Panama, en passant par le Synode des Évêques qui se tiendra à Rome à l’automne 2018 et qui sera consacré aux jeunes.

    Le message du Pape est centré cette année autour de la figure de Marie, qui « nous accompagne et nous anime par sa foi ». « Elle ne s’enferme pas chez elle, parce qu’elle n’est pas une “jeune-divan” qui essaie de se sentir bien installée et à l’abri, sans que personne ne la dérange. Elle est mue par la foi, parce que la foi est le cœur de toute l’histoire de notre Mère » déclare le Pape François.

    Pour le Pape, les jeunes sont à l’image de Marie. « Vous pouvez rendre le monde meilleur, laisser une empreinte qui marque l’histoire, votre histoire et celle de bien d’autres personnes », dit-il dans la vidéo enregistrée. « Votre vision des choses, votre courage, vos rêves et vos idéaux abattent les murs de l’immobilisme et ouvrent des voies qui nous conduisent vers un monde meilleur, plus juste, moins cruel et plus humain », poursuit-il.

    Il invite les jeunes à « cultiver une relation de familiarité et d’amitié avec la Vierge Sainte » ; « Elle est notre Mère. Parlez-lui comme à une mère. » conseille-t-il. « Si vous le faîtes, vous ne le regretterez pas » assure enfin le Pape.

    Source : Radio Vatican (XS).

    En texte intégral, version française :

    Message du Pape François à l'occasion des XXXIIèmes Journées Mondiales de la Jeunesse 2017

    Message Vidéo du Pape François aux jeunes du monde entier à l'occasion des prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse

  • Message du Pape François pour la XXXIe Journée Mondiale de la Jeunesse, 2016

    « Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde » (Mt 5, 7)

    Extrait :

    « Je vous propose, chers jeunes qui êtes très concrets – pour chacun des sept premiers mois de l’année 2016 –, de choisir une œuvre de miséricorde corporelle et une œuvre de miséricorde spirituelle à mettre en pratique chaque mois. Laissez-vous inspirer par la prière de sainte Faustine, humble apôtre de la Miséricorde Divine pour notre temps :

        « Aide-moi, Seigneur,
        pour que mes yeux soient miséricordieux, pour que je ne soupçonne jamais ni ne juge d’après les apparences extérieures, mais que je discerne la beauté dans l’âme de mon prochain et que je lui vienne en aide[…]
        pour que mon oreille soit miséricordieuse, afin que je me penche sur les besoins de mon prochain et ne reste pas indifférente à ses douleurs ni à ses plaintes […]
        pour que ma langue soit miséricordieuse, afin que je ne dise jamais de mal de mon prochain, mais que j’aie pour chacun un mot de consolation et de pardon […]
        pour que mes mains soient miséricordieuses et remplies de bonnes actions […]
        pour que mes pieds soient miséricordieux, pour me hâter au secours de mon prochain, en dominant ma propre fatigue et ma lassitude […]
        pour que mon cœur soit miséricordieux, afin que je ressente toutes les souffrances de mon prochain[…] (Journal, 163). »

    Texte intégral en français  ci-dessous.

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  • Angélus de ce Dimanche 29 mars 2015

    « Laissez-vous remplir par la tendresse du Père, pour la diffuser autour de vous ! » : après la Messe célébrée place Saint-Pierre, le Pape François a adressé lors de l'Angélus un salut spécial aux jeunes, alors que le dimanche des Rameaux marque chaque année la Journée mondiale de la jeunesse célébrée dans chaque diocèse à travers le monde.

    « Chers jeunes, je vous exhorte à poursuivre votre chemin, que ce soit dans les diocèses, ou dans le pèlerinage à travers les continents, qui vous portera l'an prochain à Cracovie, patrie de Saint Jean-Paul II, initiateur des Journées mondiales de la jeunesse » a lancé le Pape. Les prochaines JMJ auront lieu à Cracovie, en Pologne, du 25 juillet au 1er août 2016 sur le thème « Bienheureux les miséricordieux, car ils trouveront la miséricorde » (Mt 5,7), une phrase « qui est en belle harmonie avec l'Année sainte de la miséricorde » a relevé le Saint-Père, un événement qu'il avait lui-même annoncé il y a quelques semaines.

    Le Souverain Pontife a ensuite conseillé, au début de cette Semaine de préparation à Pâques, d'apprendre de la figure de la Vierge Marie, « qui était elle aussi présente quand Jésus est entré à Jérusalem acclamé par la foule, mais son cœur , comme celui de son Fils, était prêt au sacrifice ». Il a également confié à son intercession les victimes du crash aérien de l'A320 de Germanwings dans les Alpes françaises mardi dernier, « parmi lesquelles figurait un groupe d'étudiants allemands ».

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Message de Pape François pour la XXXe Journée mondiale de la Jeunesse, en 2016

    « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5,8)

    « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu », tel est le thème, tiré de Matthieu, choisi pour cette XXXe édition, préparation à la Journée mondiale internationale qui se déroulera à Cracovie (Pologne) en juillet 2016. Dans son message du 31 janvier, rendu public ce jour, le Pape rappelle le chemin des Béatitudes évangéliques comme étapes de ce pèlerinage. Après avoir réfléchi l'an dernier sur la Béatitude des pauvres en esprit, nous avons découvert ensemble, écrit-il, "la signification révolutionnaire des Béatitudes et l’appel fort de Jésus à se lancer courageusement dans l’aventure de la recherche du bonheur. Cette année nous réfléchirons sur la sixième Béatitude: Bienheureux les cœurs purs, car ils verront Dieu".

    Texte intégral en français ci-dessous.

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  • Bénédiction des rameaux, procession et Messe célébrée par le Pape François sur la place Saint-Pierre


    Livret de la célébration

    Quelque 100 000 personnes massées sur la place Saint-Pierre de Rome ont assisté à la célébration solennelle du Dimanche des Rameaux, présidée par le Pape François. Cette fête coïncidait avec la 29e Journée mondiale de la Jeunesse. A la fin de la Messe, un groupe de jeunes brésiliens a remis la croix des JMJ aux jeunes polonais qui la porteront en pèlerinage jusqu’à Cracovie. L’occasion pour le Saint-Père d’annoncer que Jean-Paul II sera désormais le grand patron des JMJ et de confirmer que le 15 août prochain il rencontrera les jeunes asiatiques en Corée du Sud.

    Dans son homélie, le Pape a posé la question : Qui suis-je, devant Jésus qui entre en fête à Jérusalem ?... Qui suis-je, devant Jésus qui souffre ? "Cette semaine - a-t-il dit - commence par la procession festive avec les rameaux d’olivier : tout le peuple accueille Jésus. Les enfants, les jeunes gens chantent, louent Jésus. Mais cette semaine avance dans le mystère de la mort de Jésus et de sa résurrection. Nous avons écouté la Passion du Seigneur. Il sera bon de nous poser seulement une question : qui suis-je ? Qui suis-je, devant mon Seigneur ? Qui suis-je, devant Jésus qui entre en fête à Jérusalem ? Suis-je capable d’exprimer ma joie, de le louer ? Ou est-ce que je prends de la distance ? Qui suis-je, devant Jésus qui souffre ?... Nous avons entendu beaucoup de noms, beaucoup de noms. Le groupe des dirigeants, quelques prêtres, quelques pharisiens, quelques maîtres de la loi, qui avaient décidé de le tuer. Ils attendaient l’opportunité de le prendre. Suis-je comme l’un d’eux ? Nous avons entendu aussi un autre nom : Judas. Trente pièces de monnaie. Suis-je comme Judas ?... Les disciples qui ne comprenaient rien, qui s’endormaient alors que le Seigneur souffrait. Ma vie est-elle endormie ? Ou suis-je comme les disciples, qui ne comprenaient pas ce qu’était trahir Jésus ? Comme cet autre disciple qui voulait tout résoudre par l’épée. Suis-je comme lui ? Suis-je comme Judas, qui fait semblant d’aimer et embrasse le Maître pour le livrer, pour le trahir. Suis-je un traître ? Suis-je comme ces dirigeants qui en hâte font un tribunal et cherchent de faux témoins. Suis-je comme eux ? Et quand je fais ces choses, si je les fais, est-ce que je crois que par là je sauve le peuple ? Suis-je comme Pilate ? Quand je vois que la situation est difficile, dois-je me laver les mains si je ne sais pas assumer ma responsabilité et je laisse condamner ou je condamne les personnes ? Suis-je comme cette foule qui ne savait pas bien si elle était dans une réunion religieuse, dans un jugement ou dans un cirque, et choisit Barrabas ? Pour eux c’est la même chose : c’était plus divertissant, pour humilier Jésus. Suis-je comme les soldats qui frappent le Seigneur, lui enlèvent ses vêtements, l’insultent, se divertissent par l’humiliation du Seigneur ? Suis-je comme le Cyrénéen qui revenait du travail, fatigué, mais qui a eu la bonne volonté d’aider le Seigneur à porter la croix ? Suis-je comme ceux qui passaient devant la croix et se moquaient de Jésus : Il était si courageux ! Qu’il descende de la croix et nous croirons en lui ! Se moquer de Jésus… Suis-je comme ces femmes courageuses, et comme la Maman de Jésus, qui étaient là et souffraient en silence ? Suis-je comme Joseph, le disciple caché, qui porte le corps de Jésus avec amour, pour lui donner une sépulture ? Suis-je comme les deux Marie qui demeurent devant le sépulcre pleurant, priant ? Suis-je comme ces chefs qui le lendemain sont allés chez Pilate pour dire : Regarde ce que celui-ci disait, qu’il ressusciterait. Qu’il n’y ait pas une autre tromperie !, et ils bloquent la vie, ils bloquent le sépulcre pour défendre la doctrine, pour que la vie ne sorte pas ? Où est mon cœur ? A laquelle de ces personnes je ressemble ? Que cette question nous accompagne durant toute la semaine."

    On a prié en français pour les chrétiens persécutés

    La liturgie avait commencé par la traditionnelle bénédiction des palmes tressées venues comme chaque année des villes italiennes de San Remo et Bordighera : 3000 palmes confectionnées selon une très ancienne tradition locale. La palme réservée au Saint-Père symbolisait la Sainte Trinité. Les oliviers et les fleurs qui ornaient la place avaient été offerts par la région italienne des Pouilles. Un espace aménagé autour de l’obélisque évoquait l’accueil du Christ à Jérusalem. La crosse utilisée par le Pape François avait été spécialement réalisée en bois d’olivier par les détenus de la prison de Sanremo.

    Pendant la prière des fidèles, on a prié en français pour ceux qui sont persécutés à cause de leur foi, afin que le Seigneur soutienne la fidélité et la modération des chrétiens durant l’épreuve. On a par ailleurs prié en chinois pour la paix entre les peuples et la justice dans le monde. A la fin de la célébration, le Pontife a longuement salué la foule en liesse à bord de sa jeep. Il est même sorti du périmètre de la place pour saluer ceux qui se trouvaient sur l'avenue de la Conciliazione.

    Source : Radio Vatican
    et Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 14.4.14).

     

    Ce 13 avril est également la XXIXe Journée mondiale de la Jeunesse 2014 sur le thème :
    « Heureux les pauvres de cœur, car le Royaume des Cieux est à eux » (Mt 5, 3)
    Rappel du Message du Pape François pour cette Journée sur le site internet du Vatican.
     
    La Croix des JMJ en route vers Cracovie

    Le Dimanche des Rameaux coïncide avec la Journée Mondiale de la Jeunesse, décentralisée dans les diocèses quand elle ne donne pas lieu au rassemblement mondial estival qui se tient tous les deux ou trois ans.

    A cette occasion, cette année, un groupe de jeunes Brésiliens a remis la Croix des JMJ aux jeunes Polonais qui la porteront en pèlerinage jusqu’à Cracovie. Après Rio de Janeiro, en 2013, c’est dans cette ville polonaise que se tiendront les prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse en juillet 2016. Avec la Croix, les jeunes brésiliens ont remis également aux organisateurs polonais l’icône mariale Salus populi Romani. S'ouvrent donc deux ans de pérégrination pour la Croix et l'Icône mariale, qui devraient visiter tous les diocèses de Pologne en préparation des JMJ.

    Les JMJ sous l'intercession du futur Saint Jean-Paul II

    Le Pape François a annoncé que Jean-Paul II, qu'il canonisera dans deux semaines en même temps que Jean XXIII, sera désormais le saint patron des JMJ. « Dans la communion des saints, il continuera à être pour les jeunes un père et un ami », a expliqué le Pape François. Cette démarche est particulièrement émouvante pour les Polonais qui préparent les JMJ de 2016, car Cracovie était le diocèse dans lequel Karol Wojtyla avait été prêtre, puis évêque durant 20 ans, de 1958 à 1978, avant de devenir le Pape Jean-Paul II.

    L'ancien secrétaire de Jean-Paul II et actuel archevêque de Cracovie, le cardinal Stanislaw Dziwisz, était présent place Saint-Pierre ce dimanche, tout comme l'archevêque de Rio de Janeiro, le cardinal Orani Joao Tempesta, qui accompagnait les jeunes Brésiliens venus transmettre la Croix des JMJ aux jeunes Polonais.

    30 ans de pérégrinations

    Jean-Paul II avait offert aux jeunes en 1984 cette Croix alors exposée dans la basilique Saint-Pierre dans le cadre de l'année de la Rédemption 1983-1984, pour qu'elle circule dans le monde entier, « en signe de l'amour du Christ pour l'humanité ». En 30 ans, elle a traversé tous les continents, traversant les lieux les plus divers : Prague au temps de la Tchécoslovaquie communiste, les villages du Rwanda martyrisés par le génocide de 1994, la ville italienne de l'Aquila marquée par le séisme de 2009...

    Dans les pays hôtes des JMJ, mais aussi dans d'autres territoires, cette Croix a accompagné de multiples rassemblements, des plus grandes cathédrales aux plus petites paroisses, du cadre intimiste de petites aumôneries à des rassemblements de masse, comme pour les trois millions de jeunes réunis sur la plage de Copacabana en juillet 2013.

    Une Croix en signe d'espérance

    Partout où elle passe, la Croix apaise les esprits et les cœurs. Dans un Brésil marqué par de violentes émeutes, les passants étaient surpris de voir que les attroupements autour de la Croix se déroulaient sans le moindre incident.

    De nombreux lieux de fractures ou de « périphéries existentielles », comme des hôpitaux ou des prisons, ont aussi reçu la visite de la Croix des JMJ. A Rebbibia, dans la banlieue romaine, là même où Jean-Paul II avait offert son pardon à son agresseur du 13 mai 1981, Mehmet Ali Agça, c'est le directeur de la prison en personne qui avait demandé le passage de la Croix et l'avait portée en 2010. A l'issue d'une cérémonie sur le sacrement de la réconciliation, des détenus qui ne s'étaient jamais confessés depuis l'enfance avaient alors demandé à rencontrer un prêtre.

    Pour les organisateurs de cette pérégrination, la Croix des JMJ doit être amenée « là où les jeunes souffrent, comme signe d'espérance pour ceux qui l'ont perdue. »

    Source : Radio Vatican.
  • Message 2014 du Pape François pour les prochaines Journées mondiales de la jeunesse

    Voici le message du Saint-Père, daté du 21 janvier et intitulé "Heureux les pauvres de cœur, car le Royaume des Cieux est à eux", en préparation à la XXIXème Journée mondiale de la jeunesse (2016) :

    Bien chers jeunes,

    L’extraordinaire rencontre que nous avons vécue à Rio de Janeiro, lors de la XXVIIIème Journée Mondiale de la Jeunesse, est encore imprimée dans ma mémoire : une grande fête de la foi et de la fraternité ! La population brésilienne nous a accueillis à bras ouverts, comme la statue du Christ Rédempteur qui, du haut du Corcovado domine la magnifique baie de Copacabana. Au bord de la mer, Jésus a renouvelé son appel pour que chacun de nous devienne son disciple-missionnaire, qu’il le découvre comme le trésor le plus précieux de sa vie et partage cette richesse avec les autres, proches et lointains, jusqu’aux extrêmes périphéries géographiques et existentielles de notre temps.

    La prochaine étape du pèlerinage intercontinental des jeunes sera à Cracovie, en 2016. Pour rythmer notre marche, j’aimerais, durant les trois années qui viennent, réfléchir avec vous sur les Béatitudes évangéliques que nous pouvons lire dans l’Évangile selon saint Matthieu (5, 1-12). Cette année nous commencerons par méditer la première : « Heureux les pauvres de cœur, car le Royaume des Cieux est à eux » (Mt 5, 3) ; pour 2015 je propose « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5, 8) ; et enfin, en 2016, le thème sera « Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde » (Mt 5, 7).

    1. La force révolutionnaire des Béatitudes

    Cela fait toujours du bien de lire et de méditer les Béatitudes ! Jésus les a proclamées au cours de sa première grande prédication, au bord du lac de Galilée. Il y avait une grande foule et il est monté sur la colline, pour instruire ses disciples, c’est pourquoi cette prédication est appelée “le discours sur la montagne”. Dans la Bible, la montagne est perçue comme le lieu où Dieu se révèle, et Jésus en prêchant sur la colline se présente comme le maître divin, comme le nouveau Moïse. Et que révèle-t-il ? Jésus révèle le chemin de la vie, ce chemin qu’il parcourt lui-même, plus encore, qu’il est lui-même, et il le propose comme le chemin du vrai bonheur. Pendant toute sa vie, de sa naissance dans la grotte de Bethléem jusqu’à sa mort sur la croix et sa résurrection, Jésus a incarné les Béatitudes. Toutes les promesses du Royaume de Dieu se sont accomplies en lui.

    En proclamant les Béatitudes Jésus nous invite à le suivre, à parcourir avec lui la voie de l’amour, la seule qui conduise à la vie éternelle. Ce n’est pas une route facile, mais le Seigneur nous assure de sa grâce et il ne nous laisse jamais seuls. La pauvreté, les afflictions, les humiliations, les luttes pour la justice, les fatigues de la conversion quotidienne, les combats pour vivre l’appel à la sainteté, les persécutions et bien d’autres défis sont présents dans notre vie. Mais si nous ouvrons la porte au Christ, si nous le laissons entrer dans notre histoire, si nous partageons avec lui nos joies et nos souffrances, nous ferons l’expérience d’une paix et d’une joie que seul Dieu, amour infini, peut nous donner.

    Les Béatitudes de Jésus sont porteuses d’une nouveauté révolutionnaire, d’un modèle de bonheur contraire à celui qui nous est communiqué habituellement par les médias, par la pensée dominante. Pour la mentalité du monde, c’est un scandale que Dieu soit venu se faire l’un d’entre nous, qu’il soit mort sur une croix ! Dans cette logique mondaine, ceux que Jésus proclame bienheureux sont considérés comme “perdants”, faibles. Au contraire le succès à tout prix, le bien-être, l’arrogance du pouvoir, l’affirmation de soi au dépens des autres, sont exaltés.

    Jésus nous interpelle, chers jeunes, pour que nous répondions à son offre de vie, pour que nous décidions quelle voie nous voulons parcourir pour arriver à la vraie joie. Il s’agit d’un grand défi pour la foi. Jésus n’a pas eu peur de demander à ses disciples s’ils voulaient vraiment le suivre ou s’ils préféraient s’en aller par d’autres chemins (cf. Jn 6, 67). Et Simon surnommé Pierre a eu le courage de répondre : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » (Jn 6, 68). Si vous aussi savez dire “oui” à Jésus, votre vie de jeune se remplira de sens, et ainsi, elle sera féconde.

    2. Le courage du bonheur

    Mais que signifie au juste le mot “bienheureux” (en grec makarioi) ? Cela veut dire vraiment heureux. Alors, dites-moi : aspirez-vous vraiment au bonheur ? À une époque où l’on est attiré par tant d’apparences de bonheurs, on risque de se contenter de peu, ou d’avoir une idée de la vie “en miniature”. Au contraire, aspirez à de grandes choses ! Élargissez vos cœurs ! Comme disait le bienheureux Pier Giorgio Frassati, « vivre sans foi, sans patrimoine à défendre, sans soutenir une lutte continue pour la vérité, ce n’est pas vivre mais vivoter. Nous ne devons jamais vivoter, mais vivre » (Lettre à I. Bonini, 27 février 1925). Le jour de la Béatification de Pier Giorgio Frassati, le 20 mai 1990, Jean-Paul II l’a appelé “l’homme des Béatitudes” (Homélie de la Messe : AAS 82 [1990], 1518).

    Si vraiment vous laissez émerger les aspirations les plus profondes de votre cœur, vous vous rendrez compte qu’il y a une soif inextinguible de bonheur en vous, et c’est cela qui vous permettra de distinguer et de refuser les nombreuses offres “à bon prix” que vous rencontrez autour de vous. Quand nous recherchons le succès, le plaisir, la possession égoïste et que nous en faisons des idoles, nous pouvons, certes, expérimenter des moments d’ivresse, une fausse impression de satisfaction ; mais à la fin nous devenons esclaves, nous ne sommes jamais satisfaits, nous sommes poussés à vouloir toujours plus. Et c’est vraiment triste de voir une jeunesse “repue”, mais molle.

    Saint Jean écrivait aux jeunes en leur disant : « vous êtes forts, la parole de Dieu demeure en vous et vous avez vaincu le Mauvais » (1 Jn 2, 14). Les jeunes qui choisissent le Christ sont forts, ils se nourrissent de sa Parole et ils ne “se goinfrent” pas d’autres choses ! Ayez le courage d’aller à contre-courant. Ayez le courage du vrai bonheur ! Dites non à la culture du provisoire, de la superficialité et du rejet, qui ne vous estime pas capables d’assumer des responsabilités et d’affronter les grands défis de la vie !

    3. Heureux les pauvres de cœur…

    La première Béatitude, le thème de la prochaine Journée Mondiale de la Jeunesse, déclare bienheureux les pauvres de cœur, parce que le Royaume des Cieux leur appartient. En des temps où de nombreuses personnes souffrent à cause de la crise économique, associer la pauvreté et le bonheur peut sembler un contresens. Comment pouvons-nous concevoir la pauvreté comme une bénédiction ?

    Essayons d’abord de comprendre ce que signifie “pauvres de cœur”. Quand le Fils de Dieu s’est fait homme, il a choisi la voie de la pauvreté, du dépouillement. Comme le dit saint Paul dans la Lettre aux Philippiens : « Ayez entre vous les mêmes sentiments qui sont dans le Christ Jésus : Lui, de condition divine, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à Dieu. Mais il s’anéantit lui-même, prenant condition d’esclave, et devenant semblable aux hommes » (2, 5-7). Jésus est Dieu qui se dépouille de sa gloire. Nous voyons ici le choix de la pauvreté de Dieu : de riche qu’il était, il s’est fait pauvre pour nous enrichir par sa pauvreté (cf. 2 Cor 8, 9). C’est le mystère que nous contemplons dans la crèche, en voyant le Fils de Dieu dans une mangeoire ; puis sur la croix, où le dépouillement arrive à son comble.

    L’adjectif grec ptochós (pauvre) n’a pas seulement une signification matérielle, mais veut dire “mendiant”. Il est relié au concept juif d’anawim, les “pauvres du Seigneur”, qui évoque humilité, conscience de ses propres limites, de sa propre condition existentielle de pauvreté. Les anawim se fient au Seigneur, ils savent qu’ils dépendent de Lui.

    Comme a bien su le voir sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, dans son Incarnation Jésus se présente comme un mendiant, un nécessiteux en quête d’amour. Le Catéchisme de l’Église Catholique parle de l’homme comme d’un “mendiant de Dieu” (n. 2559) et il nous dit que la prière est la rencontre de la soif de Dieu avec notre soif (n. 2560).

    Saint François d’Assise a très bien compris le secret de la Béatitude des pauvres de cœur. En effet, quand Jésus lui parla en la personne du lépreux et du Crucifié, il reconnut la grandeur de Dieu et l’humilité de sa propre condition. Dans sa prière le Poverello passait des heures à demander au Seigneur : « Qui es-tu ? Qui suis-je ? ». Il se dépouilla d’une vie aisée et insouciante pour épouser “Dame Pauvreté”, pour imiter Jésus et suivre l’Évangile à la lettre. François a vécu l’imitation du Christ pauvre et l’amour pour les pauvres de façon indissociable, comme les deux faces d’une même médaille.

    Vous pourrez donc me demander : comme pouvons-nous concrètement transformer cette pauvreté de cœur en un style de vie qui influence réellement notre existence ? Je vous réponds en trois points.

    Essayez avant tout d’être libres en face des choses. Le Seigneur nous appelle à un style de vie évangélique caractérisé par la sobriété, à ne pas céder à la culture de la consommation. Il faut rechercher ce qui est essentiel, apprendre à se dépouiller des mille choses superflues et inutiles qui nous étouffent. Détachons-nous du désir de posséder ; ne faisons pas de l’argent une idole, pour ensuite le gaspiller. Mettons Jésus à la première place. Lui peut nous libérer de l’idolâtrie qui nous rend esclaves. Chers jeunes, ayez confiance en Dieu ! Il nous connaît, il nous aime et ne nous oublie jamais. De même qu’il prend soin du lys des champs (cf. Mt 6, 28), il ne nous laissera manquer de rien ! Pour vaincre la crise économique, il faut aussi être prêt à changer de style de vie, et à éviter les nombreux gaspillages. De même qu’il est nécessaire d’avoir le courage du bonheur, il faut avoir aussi le courage de la sobriété.

    Deuxièmement, pour vivre cette Béatitude nous avons tous besoin d’une conversion en ce qui concerne les pauvres. Nous devons prendre soin d’eux, être sensibles envers leurs nécessités spirituelles et matérielles. À vous les jeunes, je confie d’une façon particulière la tâche de remettre la solidarité au centre de la culture humaine. Face aux anciennes et aux nouvelles formes de pauvreté – le chômage, l’émigration, les dépendances en tout genre –, nous avons le devoir d’être attentifs et vigilants, et de vaincre la tentation de l’indifférence. Pensons aussi à ceux qui ne se sentent pas aimés, qui n’ont pas d’espoir pour l’avenir, qui renoncent à s’engager dans la vie parce qu’ils sont découragés, déçus, craintifs. Nous devons apprendre à rester avec les pauvres. N’ayons pas la bouche pleine de belles paroles sur les pauvres ! Rencontrons-les, regardons-les dans les yeux, écoutons-les. Les pauvres sont pour nous une occasion concrète de rencontrer le Christ lui-même, de toucher sa chair souffrante.

    Mais – et voici le troisième point – les pauvres ne sont pas seulement des personnes à qui nous pouvons donner quelque chose. Eux aussi ont beaucoup à nous offrir et à nous apprendre. Nous avons tant à apprendre de la sagesse des pauvres ! Pensez qu’un saint du XVIIIème siècle, Benoît Joseph Labre, qui dormait dans les rues de Rome et vivait des dons faits par les gens, était devenu le conseiller spirituel d’un grand nombre de personnes, parmi lesquelles même des nobles et des prélats. D’une certaine façon, les pauvres sont comme des maîtres pour nous. Ils nous montrent qu’une personne ne vaut pas tant par ce qu’elle possède ou par ce qu’elle a sur son compte en banque. Un pauvre, une personne privée de biens matériels, conserve toujours sa dignité. Les pauvres peuvent nous en apprendre beaucoup aussi sur l’humilité et la confiance en Dieu. Dans la parabole du pharisien et du publicain (Lc 18, 9-14), Jésus présente ce dernier comme un modèle parce qu’il est humble et se reconnaît pécheur. De même la veuve qui jette deux petites pièces dans le trésor du temple est un exemple de la générosité de celui qui n’ayant pratiquement rien, donne tout (Lc 21,1-4).

    4. … parce que le Royaume des Cieux est à eux

    Le thème central de l’Évangile de Jésus est le Royaume de Dieu. Jésus est le Royaume de Dieu en personne, il est l’Emmanuel, Dieu-avec-nous. C’est dans le cœur de l’homme que s’installe le Royaume de Dieu et que son règne avance. Le Royaume est à la fois un don et une promesse. Il nous est déjà donné en Jésus, mais il doit encore s’accomplir en plénitude. C’est pourquoi nous prions le Père chaque jour : « Que ton règne vienne ».

    Il existe un lien profond entre pauvreté et évangélisation, entre le thème de la dernière Journée Mondiale de la Jeunesse – « Allez donc, de toutes les nations faites des disciples » (Mt 28, 19) – et celui de cette année : « Heureux les pauvres de cœur, car le Royaume des Cieux est à eux » (Mt 5, 3). Le Seigneur désire une Église pauvre et qui évangélise les pauvres. Quand il envoya les Douze en mission, Jésus leur dit : « Ne vous procurez ni or, ni argent, ni menue monnaie pour vos ceintures, ni besace pour la route, ni deux tuniques, ni sandales, ni bâton : car l’ouvrier mérite sa nourriture » (Mt 10, 9-10). La pauvreté évangélique est la condition fondamentale pour que le Royaume de Dieu s’étende. Les joies les plus belles et spontanées que j’ai vues au cours de ma vie sont celles de personnes pauvres et qui ont peu de choses à quoi tenir. L’évangélisation de notre temps sera possible seulement à travers la contagion de la joie.

    Comme nous l’avons vu, la Béatitude des pauvres de cœur oriente notre rapport avec Dieu, avec les biens matériels et avec les pauvres. Face à l’exemple et aux paroles de Jésus, nous sentons combien notre conversion est nécessaire, afin que la logique de l’être plus l’emporte sur celle de l’avoir plus ! Les saints peuvent vraiment nous aider à comprendre le sens profond des Béatitudes. La canonisation de Jean-Paul II le deuxième dimanche de Pâques, est en ce sens un événement qui remplit notre cœur de joie. Ce sera lui le grand patron des JMJ, dont il a été l’initiateur et le leader. Et il restera pour vous tous, dans la communion des saints, un père et un ami.

    Au mois d’avril prochain nous fêterons également le trentième anniversaire de la remise aux jeunes de la Croix du Jubilé de la Rédemption. C’est justement à partir de cet acte symbolique de Jean-Paul II que commença le grand pèlerinage des jeunes qui, depuis lors, continue de traverser les cinq continents. Beaucoup se souviennent des paroles avec lesquelles, le dimanche de Pâques 1984, le Pape accompagna son geste : « Très chers jeunes, au terme de cette Année Sainte, je vous confie le signe même de cette année jubilaire : la Croix du Christ ! Apportez-la au monde comme signe de notre Seigneur Jésus-Christ pour l'humanité, et annoncez à tous que le Salut et la Rédemption ne se trouvent que dans le Christ, mort et ressuscité ».

    Chers jeunes, le Magnificat, le cantique de Marie, pauvre de cœur, est aussi le chant de quiconque vit les Béatitudes. La joie de l’Évangile jaillit d’un cœur pauvre, qui sait exulter et s’émerveiller pour les œuvres de Dieu, comme le Cœur de la Vierge, que toutes les générations appellent “bienheureuse” (cf. Lc 1, 48). Mère des pauvres, Étoile de la nouvelle évangélisation, qu’Elle nous aide à vivre l’Évangile, à incarner les Béatitudes dans notre vie, et à avoir le courage du bonheur.

    Du Vatican, le 21 janvier 2014, mémoire de sainte Agnès, vierge et martyre.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 6.2.14)
    (et Vatican)

  • Message du Pape Benoît XVI à l'occasion de la XXVIIIe Journée mondiale de la Jeunesse 2013

    Le Saint Père appelle les jeunes à se faire missionnaires sur le web et en voyage

    « Jésus a envoyé ses disciples pour témoigner de sa présence salvifique à toutes les nations parce que Dieu, dans la surabondance de son amour pour tous les hommes, veut que tous soient sauvés et qu’aucun ne soit perdu. Par son sacrifice d’amour sur la croix, Jésus a ouvert la voie afin que tout homme, toute femme puisse connaître Dieu et entrer dans la communion d’amour avec Lui. Et il a formé une communauté de disciples pour porter la bonne nouvelle du salut jusqu’aux confins de la terre, pour rejoindre les hommes et les femmes de toutes les nations et de tous les temps. Faisons nôtre ce désir de Dieu!

    Chers amis, ouvrez les yeux et regardez autour de vous : tant de jeunes ont perdu le sens de leur existence. Allez ! Le Christ a aussi besoin de vous. Laissez-vous entraîner par son amour ; devenez les instruments de cet amour immense afin qu’il puisse rejoindre tous les hommes, en particulier ceux qui sont « éloignés ». Certains sont loin géographiquement, d’autres sont loin parce que leur culture ne laisse pas de place à Dieu, d’autres sont loin parce qu’ils n’ont pas encore accueilli l’Évangile de façon personnelle. D’autres encore sont loin parce que, bien qu’ayant reçu la foi, ils vivent comme si Dieu n’existait pas. À tous, ouvrons notre cœur ; cherchons à entrer en dialogue avec eux, dans la simplicité et le respect réciproque. Un tel dialogue, s’il est habité par une vraie amitié, portera du fruit. Ces « nations » auxquelles nous sommes envoyés sont non seulement tous les pays du monde, mais aussi les lieux où nous vivons : nos familles, nos quartiers, nos lieux d’études ou de travail, nos cercles d’amis, nos les lieux de loisirs. L’annonce joyeuse de l’Évangile vise tous ces espaces où nous vivons, sans aucune limite.

    Je voudrais signaler deux domaines dans lesquels votre engagement missionnaire est particulièrement requis. Le premier champ d’apostolat est le monde des communications sociales, en particulier le monde d’internet. Très chers jeunes, comme j’ai déjà eu l’occasion de vous le dire, « engagez-vous à introduire dans la culture de ce nouvel espace communicatif et informatif les valeurs sur lesquelles s’appuie votre vie ! (…) C’est à vous, jeunes, qui vous trouvez presque spontanément en syntonie avec ces nouveaux moyens de communication, qu’incombe, en particulier, la tâche de l’Évangélisation de ce « continent digital ». » (Benoît XVI, Message pour la XLIIIème Journée Mondiale des communications sociales, 24 mai 2009). Usez donc ce moyen de communication avec sagesse, en évitant les pièges inhérents à internet, en particulier le risque de dépendance, le danger de confondre le monde réel et le monde virtuel, de substituer la rencontre et le dialogue direct avec les personnes par des contacts sur le web.

    Le deuxième domaine est celui des voyages. Aujourd’hui, de plus en plus de jeunes ont l’occasion de voyager, soit pour leurs études, soit pour leur travail, soit pour des loisirs. Je pense aussi à tous les mouvements migratoires, où des millions de personnes se déplacent et changent de régions ou de pays pour des raisons économiques ou sociales. Ces phénomènes peuvent aussi devenir de providentielles occasions pour la diffusion de l’Évangile. Chers jeunes, n’ayez pas peur de témoigner de votre foi dans ces contextes aussi. Communiquer la joie de la rencontre avec le Christ : voilà un cadeau magnifique que vous pourriez faire à ceux qui vous accueillent. »

    Source et texte intégral : site internet du Vatican.