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lettre apostolique

  • Lettre apostolique « Admirabile signum », sur la signification et la valeur de la crèche de Noël

    En visite le dimanche 1er décembre dans le centre de l’Italie, à Greccio, là où saint François mis en place la première crèche vivante de la Nativité, le Pape a signé une lettre apostolique, intitulée « Admirabile signum », sur la signification et la valeur de la crèche de Noël, un signe qui « suscite toujours étonnement et émerveillement ».

    Compte rendu de Sergio Centofanti à lire sur Vatican News.

    Texte intégral de la Lettre apostolique (version française) sur le site du Vatican.

  • Lettre Apostolique pour la proclamation de Saint Grégoire de Narek Docteur de l'Eglise, 12.04.2015

    Lettre Apostolique,proclamation,Saint Grégoire de Narek,Docteur de l'Eglise

    Texte intégral en latin

  • Ouverture de l'Année de la vie consacrée - Indulgences et Lettre apostolique du Pape François

    A l'occasion de l'Année de la vie consacrée, qui débute ce dimanche (jusqu'au 2 février 2016), la Pénitencerie apostolique publie un décret dictant les conditions de réception d'indulgences plénières. Pouvant servir en suffrage des âmes du purgatoire, elles s'obtiendront à Rome par la participation aux cérémonies fixées par la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les Sociétés de vie apostolique, après un moment de recueillement conclu par la récitation du Pater, du Credo ou de toute forme d'invocation légitime à la Vierge Marie. Et dans les diocèses, au cours des cérémonies locales ad hoc, en visitant la cathédrale, toute église ou lieu désigné par l'évêque, récitant la liturgie des heures ou selon la procédure décrite pour Rome. Les religieux malades ou empêchés pour des raisons légitimes seront dispensés de ces conditions s'ils confient leur maladie ou leurs souffrances à l'intercession de Marie et prient comme convenu. Afin de faciliter la réception de la grâce divine par le biais de l’Église, on recommande aux prêtres pénitenciers et à tous ceux qui en ont reçu faculté d'être généreusement disponibles pour les confessions et l'administration de la communion aux malades.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 28.11.14).
    Texte original du Décret en latin et en italien sur le site internet du Vatican.

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  • 11 octobre : Ouverture de l'Année de la foi

    Site officiel

    L'Année de la foi a été présentée par Benoît XVI dans sa Lettre apostolique en forme de Motu Proprio Porta Fidei le 11 octobre 2011 :

    « "Que la Parole du Seigneur accomplisse sa course et soit glorifiée" (2 Th 3, 1) : puisse cette Année de la foi rendre toujours plus solide la relation avec le Christ Seigneur, puisque seulement en lui se trouve la certitude pour regarder vers l’avenir et la garantie d’un amour authentique et durable. Les paroles de l’Apôtre Pierre jettent un dernier rayon de lumière sur la foi : "Vous en tressaillez de joie, bien qu’il vous faille encore quelque temps être affligés par diverses épreuves, afin que, bien éprouvée, votre foi, plus précieuse que l’or périssable que l’on vérifie par le feu, devienne un sujet de louange, de gloire et d’honneur, lors de la Révélation de Jésus Christ. Sans l’avoir vu, vous l’aimez ; sans le voir encore, mais en croyant, vous tressaillez d’une joie indicible et pleine de gloire, sûrs d’obtenir l’objet de votre foi : le salut des âmes" (1 Pi 1, 6-9). La vie des chrétiens connaît l’expérience de la joie et celle de la souffrance. Combien de saints ont vécu la solitude ! Combien de croyants, même de nos jours, sont éprouvés par le silence de Dieu alors qu’ils voudraient écouter sa voix consolante ! Les épreuves de la vie, alors qu’elles permettent de comprendre le mystère de la croix et de participer aux souffrances du Christ (cf. Col 1, 24), sont un prélude à la joie et à l’espérance où conduit la foi : "Lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort" (2 Co 12, 10). Nous croyons avec une ferme certitude que le Seigneur Jésus a vaincu le mal et la mort. Avec cette confiance assurée nous nous en remettons à lui : présent au milieu de nous, il vainc le pouvoir du malin (cf. Lc 11, 20) et l’Église, communauté visible de sa miséricorde, subsiste en lui comme signe de la réconciliation définitive avec le Père.

    Confions à la Mère de Dieu, proclamée "bienheureuse parce qu’elle a cru" (Lc 1, 45), ce temps de grâce. »

    Benoît XVI, extrait de "Porta Fidei", 11 octobre 2011
    Texte intégral sur le site internet du Vatican.


    Sur le Concile Vatican II, à (re)lire également les remarques pertinentes dont faisait part Benoît XVI dans un discours à la Curie romaine en 2005, entre « herméneutique de la discontinuité et de la rupture » et « herméneutique de la réforme » :
    Texte intégral à lire sur le site internet du Vatican.

  • La puissance du chapelet - Historique par l'Abbé Pagès

    « L'Église a toujours reconnu à cette prière une efficacité particulière, lui confiant les causes les plus difficiles dans sa récitation communautaire et dans sa pratique constante. En des moments où la chrétienté elle-même était menacée, ce fut à la force de cette prière qu'on attribua l'éloignement du danger, et la Vierge du Rosaire fut saluée comme propitiatrice du salut.
    Aujourd'hui, je recommande volontiers à l'efficacité de cette prière la cause de la paix dans le monde et celle de la famille.

    [...]

    Prière pour la paix, le Rosaire est aussi, depuis toujours, la prière de la famille et pour la famille. Il fut un temps où cette prière était particulièrement chère aux familles chrétiennes et en favorisait certainement la communion. Il ne faut pas perdre ce précieux héritage. Il faut se remettre à prier en famille et à prier pour les familles, en utilisant encore cette forme de prière...
    La famille qui est unie dans la prière demeure unie. Par tradition ancienne, le saint Rosaire se prête tout spécialement à être une prière dans laquelle la famille se retrouve...
    Recommencer à réciter le Rosaire en famille signifie introduire dans la vie quotidienne des images bien différentes, celles du mystère qui sauve : l'image du Rédempteur, l'image de sa Mère très sainte. La famille qui récite le Rosaire reproduit un peu le climat de la maison de Nazareth : on place Jésus au centre, on partage avec lui les joies et les souffrances, on remet entre ses mains les besoins et les projets, on reçoit de lui espérance et force pour le chemin. »

    Bx Jean-Paul II, Lettre Apostolique Rosarium Virginis Mariae, n° 39-41, 16 octobre 2002.