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marie de l'incarnation

  • 1er vendredi du mois, dédié au Sacré-Coeur de Jésus

    « C'est par le Cœur de mon Jésus, ma voie, ma vérité et ma vie, que je m'approche de vous, ô Père Éternel. Par ce divin Cœur, je vous adore pour ceux qui ne vous adorent pas, je vous aime pour ceux qui ne vous aiment pas, je vous reconnais pour tous les aveugles volontaires qui, par mépris, ne vous reconnaissent pas. Je veux, par ce divin Cœur, satisfaire au devoir de tous les mortels. Je fais en esprit le tour du monde pour chercher toutes les âmes rachetées du Sang très précieux de mon divin Époux, afin de vous satisfaire pour toutes par ce divin Cœur ; je les embrasse pour vous les présenter par lui et par lui je vous demande leur conversion. Eh quoi ! Père Éternel, voulez-vous bien souffrir qu'elles ne reconnaissent pas mon Jésus, et qu'elles ne vivent pas pour lui, qui est mort pour tous ? Vous voyez, ô divin Père, qu'elles ne vivent pas encore ; ah ! faites qu'elles vivent par ce divin Cœur.

    Sur cet adorable Cœur, je vous présente tous les ouvriers de l’Évangile, afin que, par ses mérites, vous les remplissiez de votre Esprit Saint. Sur ce Cœur Sacré, comme sur un autel divin, je vous présente en particulier … [intention].

    Vous savez, ô Verbe incarné, Jésus mon Bien-Aimé, tout ce que je veux dire à votre Père, par votre divin Cœur et par votre sainte Âme. Je vous le dis en le lui disant, parce que vous êtes en votre Père et que votre Père est en vous ; faites donc tout cela avec lui. Je vous présente toutes ces âmes, faites qu'elles soient une même chose avec vous. Amen. »

    Prière de la Bienheureuse Marie de l'Incarnation (1599-1672).

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  • Méditation : des impuretés de l'âme

    Le texte proposé aujourd'hui, de Ste Marie de l'Incarnation (fête le 30 avril prochain), est sans doute plus difficile d'approche que ceux proposés ordinairement dans ces pages. Il n'en demeure pas moins remarquable de justesse pour qui s'intéresse à la vie mystique, et mérite en cela un effort de lecture. Nous le proposons accompagné des notes rédigées par Paul Renaudin, présentateur des œuvres de la Sainte ursuline dans cette collection des "maîtres de la spiritualité chrétienne".

    « L'âme, se sentant appelée à choses plus épurées, ne sait où l'on veut la mener. Quoiqu'elle ait une tendance (1) à choses qu'elle ne connaît pas encore ni qu'elle ne peut concevoir, elle s'abandonne, ne voulant rien suivre que le chemin que Celui à qui elle tend avec tant d'ardeur lui fera tenir. On lui ouvre l'esprit de nouveau pour la faire entrer en un état comme de lumière. Dieu lui fait voir qu'il est comme une grande mer, laquelle, tout ainsi que la mer élémentaire, ne peut rien souffrir d'impur, qu'il rejette toutes les âmes mortes, lâches et impures. Cette lumière opère grandes choses en l'âme. Il faut avouer que, quand j'eusse fait tout l'imaginable pour confesser et anéantir tout ce que j'avais d'impur en moi, que je vis (2) en une si grande disproportion de la pureté de l'esprit humain pour entrer en union et communication avec la divine Majesté, que cela est épouvantable. O mon Dieu, qu'il y a d'impuretés à purger pour arriver à ce terme auquel l'âme, esquillonnées de l'amour de son souverain et unique Bien, a une tendance si ardente et si continuelle ! Cela n'est pas imaginable, non plus que l'importance de la pureté de cœur en toutes les opérations intérieures et extérieures, qui est requise, car l'Esprit de Dieu est un censeur inexorable, et, après tout, l'état dont je parle n'est que le premier pas, et l'âme qui y est arrivée en peut déchoir en un moment. Je frémis quand j'y pense, et combien il importe d'être fidèle.
    Il est vrai que la créature ne peut rien de soi ; mais lorsque Dieu l'appelle à ce genre de vie intérieure, la correspondance est absolument requise, avec l'abandon de tout soi-même à la divine Providence, supposée la conduite d'un directeur, duquel elle doit suivre les ordres à l'aveugle, pourvu que ce soit un homme de bien : ce qui est aisé à reconnaître, car Notre-Seigneur en pourvoit lui-même ces âmes-là qui se sont ainsi abandonnées de bon cœur à sa conduite. Ah ! mon Dieu, que je voudrais publier bien haut, si j'en étais capable, l'importance de ce point. Il conduit l'âme à la vraie simplicité qui fait les saints (3)... »

    1. Le mot est très fréquent chez Marie. Il désigne un état d'insatisfaction et de désir entre deux étapes de son ascension spirituelle.
    2. Indicatif du verbe vivre.
    3. Toute vie mystique est un élan continu, un processus de purification et de dépouillement qui ne souffre ni interruption, ni résistance à l'action de l'Esprit-Saint. Il y a des périodes étales, ou même des régressions et des reprises dans la vie morale ; il n'y en a pas dans la vie mystique. Il faut une « correspondance » absolue, comme dit Marie, de la part de l'âme, soulevée et menée par une surabondante grâce divine. Passive et abandonnée depuis son plus jeune âge, Marie est bien le type d'une vocation mystique. Il est d'autant plus remarquable de la voir concilier cette direction de l'Esprit-Saint avec le souci de toujours obéir à un directeur humain et à l'autorité de l’Église.

    Ste Marie de l'Incarnation (1599-1672), La relation de 1654 (X), in "Marie de l'Incarnation, ursuline", Aubier, coll. "Les maîtres de la spiritualité chrétienne - Textes et Études", Paris, 1942.

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    Portrait de Mère Marie de l'Incarnation, attribué à Hugues Pommier (1672), Archives des Ursulines de Québec
    (Crédit photo)

  • Messe à la basilique Saint-Pierre célébrée par le Pape François

    A 10h00, pour la canonisation équipollente du St François de Laval (1623-1708, évêque de Québec) et Ste Marie de l'Incarnation Guyart Martin (1599-1672, missionnaire au Canada)
    avec les évêques et prêtres de l'Archidiocèse du Québec

    Livret de la célébration

    « Que le Québec redevienne cette source de bons et saints missionnaires ! » : c’est l’exhortation lancée par le Pape François lors de la messe de remerciement pour la canonisation des deux saints franco-canadiens, François de Laval et Marie de l’Incarnation Guyart Martin.

    Dans la basilique Saint-Pierre, aux côtés du cardinal Gérald Cyprien Lacroix, archevêque de Québec et Primat de l’Église au Canada, et du cardinal Marc Ouellet, préfet de la Congrégation pour les évêques, et en présence des pèlerins qui se sont rendus sur les terres des deux saints en France cette semaine et de deux délégations venues du Québec et des diocèses d’origine de François de Laval et de Marie Guyart Martin, le Pape est revenu dans son homélie sur le rôle des missionnaires : « ils ont eu le courage, avec cette force de Dieu, de sortir sur les routes du monde avec la confiance dans le Seigneur qui appelle. La vie d’un missionnaire et d’une missionnaire est ainsi, pour finir ensuite loin de chez soi, loin de sa propre patrie, tant de fois tués, assassinés, comme ce fut le cas ces derniers jours pour tant de nos frères et de nos sœurs. »

    Le Pape a rendu hommage à ces deux saints, considérés comme les fondateurs de l’Église catholique au Québec, au temps de la colonisation de la Nouvelle-France, au XVIIe siècle. Et si le Pape a évoqué leurs actions, c’est pour mieux rappeler aux Canadiens d’aujourd’hui leur devoir. « Que cette mémoire ne nous conduise pas à abandonner la franchise et le courage. Le diable est jaloux et il ne tolère pas qu’une terre soit ainsi féconde de missionnaires. Prions le Seigneur pour que le Québec revienne sur ce chemin de la fécondité, pour donner au monde de nombreux missionnaires. Que ces deux saints qui ont – pour ainsi dire – fondé l’Église du Québec, nous aident comme intercesseurs. Que la graine semée croisse et donne comme fruit de nouveaux hommes et femmes courageux, clairvoyants, avec le cœur ouvert à l’appel du Seigneur. Aujourd’hui, on doit demander cela pour votre pays. Eux, depuis le ciel, seront nos intercesseurs. Que le Québec redevienne cette source de bons et de saints missionnaires. »

    Une invitation claire à retourner aux sources de la foi pour une province où l’Église a toujours été historiquement importante mais où la pratique religieuse est en baisse.

    A l’issue de la messe, le cardinal Lacroix, dans son message de remerciement, s’est fait l’écho des paroles du Pape : « avec vous, nous croyons que « l’Évangile remplit le cœur et toute la vie de ceux qui rencontrent Jésus » (Evangelii gaudium, No. 1). Saint François de Laval et sainte Marie de l’Incarnation en sont des témoins éloquents. Que Dieu fasse de nous les saints et les saintes du troisième millénaire, les missionnaires et les évangélisateurs qui témoignent par leur vie et proclament avec fierté la Bonne Nouvelle qu’est l’Évangile. »

    C’est là le défi que le Pape a demandé aux Québécois de relever pour se montrer à la hauteur des deux nouveaux saints.

    Source : Radio Vatican.

    Homélie du Pape François, texte intégral

    « Nous avons écouté la prophétie d’Isaïe : « Le Seigneur essuiera les larmes sur tous les visages… » (Is 25, 8). Ces paroles, pleines de l’espérance de Dieu, indiquent le but, montrent l’avenir vers lequel nous sommes en chemin. Sur cette route, les saints nous précèdent et nous guident. Ces paroles esquissent aussi la vocation des hommes et des femmes missionnaires.

    Les missionnaires sont ceux qui, dociles à l’Esprit Saint, ont le courage de vivre l’Évangile. Et aussi cet Évangile que nous venons d’entendre : « Allez donc aux croisées des chemins » - dit le roi à ses serviteurs (Mt 22, 9). Et les serviteurs sortirent et rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvaient, « les mauvais comme les bons », pour les conduire au banquet des noces du roi (cf. v. 10).

    Les missionnaires ont accueilli cet appel : ils sont sortis pour appeler tous les gens, aux carrefours du monde ; et ainsi ils ont fait beaucoup de bien à l’Église, parce que si l’Église s’arrête et se ferme, elle tombe malade, on peut la corrompre, aussi bien par les péchés que par la fausse science séparée de Dieu, qu’est le sécularisme mondain.

    Les missionnaires ont tourné leur regard vers le Christ crucifié, ils ont accueilli sa grâce et ils ne l’ont pas gardée pour eux. Comme saint Paul, ils se sont faits tout à tous ; ils ont su vivre dans la pauvreté et dans l’abondance, être rassasiés et souffrir de la faim ; ils pouvaient tout en celui qui leur donnait la force (cf. Ph 4, 12-13). Avec cette force de Dieu, ils ont eu le courage de “sortir” sur les routes du monde mettant leur confiance dans le Seigneur qui appelle. Ainsi est la vie d’un missionnaire, d’une missionnaire… pour finir ensuite loin de chez soi, de son propre pays ; bien des fois tués, assassinés ! Comme c’est arrivé ces jours-ci pour tant de nos frères et de nos sœurs.

    La mission évangélisatrice de l’Église est essentiellement annonce de l’amour, de la miséricorde et du pardon de Dieu, révélés aux hommes dans la vie, la mort et la résurrection de Jésus Christ. Les missionnaires ont servi la mission de l’Église, en rompant le pain de la Parole aux plus petits et aux plus éloignés et en portant à tous le don de l’amour inépuisable, qui jaillit du cœur même du Sauveur.

    C’est ainsi que furent saint François de Laval et sainte Marie de l’Incarnation. Je voudrais vous laisser en ce jour, chers pèlerins canadiens, deux conseils : ils sont tirés de la Lettre aux Hébreux, et en pensant aux missionnaires ils feront beaucoup de bien à vos communautés.

    Le premier est celui-ci : « Souvenez-vous de ceux qui vous ont dirigés : ils vous ont annoncé la parole de Dieu. Méditez sur l’aboutissement de la vie qu’ils ont menée, et imitez leur foi » (13, 7). La mémoire des missionnaires nous soutient au moment où nous faisons l’expérience de la rareté des ouvriers de l’Évangile. Leur exemple nous attire, nous pousse à imiter leur foi. Ce sont des témoignages féconds qui engendrent la vie !

    Le second est celui-ci : « Souvenez-vous de ces premiers jours où vous veniez de recevoir la lumière du Christ : vous avez soutenu alors le dur combat des souffrances… Ne perdez pas votre assurance ; grâce à elle, vous serez largement récompensés. Car l’endurance vous est nécessaire… » (10, 32.35-36). Rendre hommage à qui a souffert pour nous apporter l’Évangile signifie livrer nous aussi la bonne bataille de la foi, avec humilité, douceur et miséricorde, dans la vie de chaque jour. Et cela porte du fruit.

    Mémoire de ceux qui nous ont précédés, de ceux qui ont fondé notre Église. Église féconde que celle du Québec ! Féconde de nombreux missionnaires qui sont allés partout. Le monde a été rempli de missionnaires canadiens comme ces deux-ci. Maintenant un conseil : que cette mémoire ne nous conduise pas à abandonner la franchise et le courage. Peut-être – ou plutôt non,  sans peut-être ! – le diable est jaloux et il ne tolère pas qu’une terre soit ainsi féconde de missionnaires. Prions le Seigneur pour que le Québec revienne sur ce chemin de la fécondité, pour donner au monde de nombreux missionnaires. Que ces deux-ci qui ont – pour ainsi dire – fondé l’Église du Québec, nous aident comme intercesseurs. Que la graine semée croisse et donne comme fruit de nouveaux hommes et femmes courageux, clairvoyants, avec le cœur ouvert à l’appel du Seigneur. Aujourd’hui, on doit demander cela pour votre pays. Eux, du ciel, seront nos intercesseurs. Que le Québec redevienne cette source de bons et de saints missionnaires. 

    En cela se trouve la joie et le mot d’ordre de votre pèlerinage : faire mémoire des témoins, des missionnaires de la foi dans votre terre. Cette mémoire nous soutient toujours sur le chemin vers l’avenir, vers le but, quand « le Seigneur essuiera les larmes sur tous les visages … ».

    « Exultons, réjouissons-nous : il nous a sauvés » (Is 25, 9). »

    Source : site internet du Vatican.

    Texte intégral de l'homélie en italien sur le site internet du Vatican.

  • Méditation - Prière de Ste Marie de l'Incarnation (fêtée ce jour)

    « Un soir que j’étais dans notre cellule, traitant avec le Père éternel de la conversion des âmes et souhaitant avec un ardent désir que le Royaume de Jésus-Christ fût accompli, il me semblait que le Père éternel ne m’écoutait pas... cela m’affligeait, mais en ce moment j’entendis une voix intérieure qui me dit : "Demande-moi par le Cœur de mon Fils, c’est par lui que je t’exaucerai".

    "C’est par le Cœur de mon Jésus, ma voie, ma vérité et ma vie que je m’approche de vous, ô Père éternel.
    Par ce divin Cœur je vous adore pour tous ceux qui ne vous adorent pas ;
    je vous aime pour tous ceux qui ne vous aiment pas ;
    je vous adore pour tous les aveugles volontaires qui par mépris ne vous connaissent pas.
    Je veux par ce divin Cœur satisfaire pour tous les mortels.
    Je fais le tour du monde pour y chercher toutes les âmes rachetées du Sang très précieux de mon divin Époux : je veux vous satisfaire pour elles toutes par ce divin Cœur. Je les embrasse toutes pour vous les présenter par lui. Je vous demande leur conversion ; voulez-vous souffrir qu’elles ne connaissent pas mon Jésus ? Permettrez-vous qu’elles ne vivent pas en Celui qui est mort pour tous ? Vous voyez, ô divin Père, qu’elles ne vivent pas encore. Ah ! faites qu’elles vivent par ce divin Cœur.

    Sur cet adorable Cœur je vous présente tous les ouvriers de l’Évangile ; remplissez-les de votre Esprit-Saint par les mérites de ce divin Cœur. Sur ce Sacré Cœur comme sur un Autel divin je vous présente Claude Martin, votre petit serviteur (mon fils) et Marie Buisson, votre petite servante (ma nièce), je vous demande au nom de mon divin Époux que vous les remplissiez de son esprit et qu’ils soient éternellement à vous sous les auspices de cet adorable Cœur.

    Vous savez, mon bien-aimé, tout ce que je veux dire au Père par votre divin Cœur et par votre sainte âme : en lui disant je vous le dis parce que vous êtes en votre Père et que votre Père est en vous. Faites donc que tout cela s’accomplisse et joignez-vous à moi pour fléchir par votre Cœur celui de votre Père. Faites selon votre parole que comme vous êtes une même chose avec lui, toutes les âmes que je vous présente soient aussi une même chose avec lui et avec vous." »

    Ste Marie de l'Incarnation (1599-1672), in Don Guy Marie Oury, "Ce que croyait Marie de l’Incarnation", Mame, Tours, 1972.
    A visiter : Ursulines de l'Union Romaine, France - Belgique - Espagne.

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    Gravure I. Edelinck fecit (Source - et à la BNF)

  • Liste complète des canonisations et béatifications du 02 avril 2014

    A la suite de l'audience accordée au Cardinal Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints, le Pape a ordonné la promulgation des décrets relatifs :

    A l'inscription au SANCTORAL, avec culte étendu à toute l’Église,

    du bienheureux François de Laval (1623 - 1708), évêque français de Québec (Canada).

    du bienheureux José de Anchieta (1534 - 1597), jésuite espagnol.

    de la bienheureuse Marie de l'Incarnation (Marie Guyart 1599 - 1672), religieuse française.

    Aux MIRACLES attribués à l'intercession :

    du bienheureux Giovanni Antonio Farina (1803 - 1871), évêque italien fondateur des Sœurs de Ste Dorothé.

    du bienheureux Kuriacose Elías Chavara (1805 - 1871), prêtre indien fondateur des Carmélites de l'Immaculée.

    du bienheureux Nicola da Longobardi, (Giovanni Battista Clemente Saggio 1650 - 1709), minime italien.

    de la bienheureuse Euphrasie du Sacré Cœur (Rose Eluvathingal 1877 - 1952), religieuse indienne des Sœurs du Carmel.

    du serviteur de Dieu Luigi della Consolata (Luigi Boldino 1922 - 1977), laïc italien.

    Aux VERTUS HÉROÏQUES :

    du serviteur de Dieu Francisco Simón Ródenas, espagnol, de la Orden de los Frailes Menores Capuchinos, obispo (1849-1914).

    du serviteur de Dieu Adolfo Barberis (1884 - 1967) prêtre italien fondateur des Sœurs du Bon Secours.

    du serviteur de Dieu Marie-Clément (Joseph Staub 1876 - 1936), prêtre et religieux français des Augustins de l'Ascension, fondateur des Sœurs de Ste Jeanne d'Arc.

    du serviteur de Dieu Sebastián Elorza Arizmendi (1882 - 1942), laïc espagnol de l'Ordre de St Augustin.

    de la servante de Dieu Maria Teresa de Jésus Eucharistie (Dulce Rodriguez dos Santos), brésilienne, fondatrice de la Congregación de las Pequeñas Misioneras de María Inmaculada (1901-1972).

    de la servante de Dieu Clara de la Concepción (Juana de la Concepción Sánchez García (1902 - 1973), clarisse espagnole.

    de la servante de Dieu Maria Maddalena de Jésus Sacrement (Maria Giuseppina Teresa Marcucci 1888 - 1960), religieuse italienne de la Congrégation de la Passion.

    du serviteur de Dieu Luigi Rocchi (1932 - 1979), laïc italien.

    Source : Vatican Information Service (Publié VIS Archive 01 - 3.4.14).

  • 30 avril : Sanctoral

    Saint Joseph-Benoît Cottolengo, prêtre (1786-1842)
    fondateur de la Piccola Casa de Turin

    Saint Pie V, Pape (1504-1572)
    (fêté le 5 mai au calendrier traditionnel)

    Et la Bienheureuse Marie de l'Incarnation, veuve, Ursuline (1599-1672)

    Au calendrier traditionnel :

    Sainte Catherine de Sienne, vierge (patronne de l'Italie + 1380)

  • 18 avril : Sanctoral

    Saint Parfait, Prêtre et martyr (+ 850)

    et la Bienheureuse Marie de l'Incarnation (Barbara Avrillot)
    Veuve et Carmélite (1545-1618)