Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

nations unies

  • Le Pape François au Kenya : Visite à l'U.N.O.N.

    Visite à l'Office des Nations Unies à Nairobi

    Le Pape François a visité ce jeudi après-midi le siège des institutions de l’Onu à Nairobi, l’un des quatre sièges de l’Onu (avec New York, Vienne et Genève), qui abrite notamment le siège mondial du PNUE, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Symboliquement, le Pape a planté un arbre dans les jardins de ce bâtiment.

    Dans sa longue intervention, prononcée en espagnol, le Pape François est revenu sur les questions écologiques, un enjeu qui n’est pas dissociable de celui de la lutte pour la justice sociale. Son discours faisait donc écho aux thèmes abordés dans son encyclique Laudato Si’. Le Pape François s’est arrêté durant plusieurs minutes sur la conférence de Paris sur le changement climatique, qui s’ouvre dans trois jours, en alertant sur les risques d’une approche bureaucratique et partisane de ce sujet qui touche l’humanité entière.

    A lire / écouter : le compte rendu d'Anne-Sophie Saint-Martin sur Radio Vatican.

    Texte intégral du discours traduit en français ci-dessous.

    Lire la suite

  • Scandale au Kenya : un agent abortif caché dans un vaccin

    Les évêques du Kenya accusent les Nations Unies de procéder à une réduction de la population via un agent abortif contenu dans un vaccin contre le tétanos. Plus de 2 millions de femmes seraient concernées !

    Scandale,Kenya,agent abortif,vaccin,femmes,nations unies,unicef

    Mardi 7 novembre, l’association des médecins catholiques du Kenya publiait une déclaration selon laquelle ils avaient découvert un élément qui provoquait des fausses couches dans un vaccin antitétanique administré à 2,3 millions de femmes par l’Organisation mondiale de la santé et l'Unicef. Le clergé catholique a encouragé tous ses fidèles à refuser le vaccin (voir Kenyatoday).

    Fausses couches
    Dans le journal canadien lifesitenews, le porte-parole de l’association, le Dr Muhame Ngare, détaille : « Nous avons envoyé six échantillons venant de différents endroits du Kenya à un laboratoire sud-africain. Tous ont révélé la présence d’un antigen HCG ». L’HCG est l'hormone permettant au corps de la femme enceinte de reconnaître son enfant, pour qu’il ne soit pas attaqué par le système immunitaire. L’élément présent dans le vaccin bloque cette hormone, entraînant des fausses couches, selon les analyses du professeur Bellet (voir un article de Découverte).

    Qui ment ?
    Le gouvernement kenyan nie. Son ministre de la Santé, James Macharia, a affirmé à la BBC : « Je recommanderais ce vaccin à ma propre femme, à ma fille, je l’accepte à 100% et suis sûr qu’il n’a aucun effet indésirable ». Ce à quoi le Dr Ngare répond : « Soit ce sont eux qui mentent, soit c'est nous, mais posez-vous la question : quel intérêt les médecins catholiques auraient-ils à mentir ? Ils sont dans le pays depuis plus de cent ans, ils vaccinaient avant même que ce pays existe ». Il fait part des signes qui les ont inquiétés, récoltés auprès des 54 hôpitaux, 83 centre de santé et 17 écoles d’infirmières. Avant d’avoir les résultats des laboratoires sud-africains, le Dr Ngare avait déjà été étonné de constater que l’on procédait à cinq injections étalées sur plus de deux ans et que cette campagne ne concernait que les femmes. Ce procédé semblait similaire à des campagnes menées par l’OMS et l'Unicef au Mexique, au Nicaragua et aux Philippines. À chaque fois, l’objectif aurait été un contrôle de la démographie par la stérilisation des femmes en âge de procréer. Dans le cas de ces trois pays, les femmes ayant été vaccinées seraient devenues stériles quelques années après les injections.
     
    Des précédents au Mexique et aux Philippines
    Ces campagnes de stérilisation ont été dénoncées en leur temps. Au Mexique, le comité Pro Vida, s’est étonné en octobre 1994 d’une campagne de vaccination antitétanique destinée seulement aux hommes. Il a fait analyser les vaccins et a conclu à la présence de l’élément pathogène dans le vaccin. Même histoire ou presque aux Philippines en 1995, où la Ligue des femmes catholiques des Philippines a obtenu de la justice l’arrêt d’un programme anti-tétanique de l’Unicef parce qu’il contenait la fameuse hormone B-hCG (gonadotrophine chorionique humaine). Dans ce pays, 3,5 millions de femmes sont concernées ! Malgré l’énormité de ces affaires, elles n’ont pas été relayées par les grands médias.

    Source : Aleteia - Photo © Pressmaster / SHUTTERSTOCK