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notre-dame des sept douleurs

  • Jeudi 15 septembre 2016

    Notre-Dame des Sept Douleurs

    Notre-Dame des Sept Douleurs

    Luis de Morales (1509–1586), Pietà
    (Crédit photo)
     
    Les Sept Douleurs de Marie :

    1. La prophétie du Saint vieillard Siméon (Lc 2, 34-35).
    2. La fuite en Egypte (Mt 2, 13-21).
    3. La disparition de Jésus au Temple pendant trois jours (Lc 2, 41-51).
    4. La rencontre de Jésus portant Sa Croix et montant au Calvaire (Lc 23, 27-31).
    5. Marie debout au pied de la Croix (Stabat Mater) (Jn 19, 25-27).
    6. La descente de Jésus de la Croix et la remise à Sa Mère.
    7. L'ensevelissement de Jésus dans le sépulcre.
  • Mardi 15 septembre 2015

     
    Cette fête, à l’origine propre à l’Ordre des Servites, trouve son origine dans la dévotion du XVIIe siècle ; elle fut étendue à toute l’Église par le pape Pie VII en 1817, afin de rappeler les souffrances que venait de traverser l’Épouse du Christ, et d’abord célébrée comme fête mobile le 3ème dimanche de septembre, puis fixée au 15 septembre, jour octave de la Nativité de la Ste Vierge, par la réforme de Pie X en 1914.

    Rappel des 7 douleurs de Marie :
    1. La prophétie de saint Siméon
    2. La fuite en Egypte
    3. Les trois jours d'absence (l'Enfant Jésus au Temple)
    4. La rencontre de Jésus portant sa Croix
    5. La mort de Jésus sur la Croix
    6. La descente de Croix
    7. L'ensevelissement de Jésus
  • 26 août : Méditation

    « Merveille de ce dogme miraculeux : la Communion des Saints ! Embrasement simultané des coeurs fidèles au contact des flammes du Sacré-Coeur ! Incendie d'amour unanime que propage le souffle du Saint-Esprit ! Lorsque nous nous pressons autour de Marie qui, debout au pied de la Croix, souffre les souffrances de son Fils, nous cimentons, autant qu'il est possible aux pécheurs que nous sommes, cette solidarité miraculeuse. Et comment ? Le Bienheureux Henri Suzo nous le suggère dans son "Petit livre de l'Amour". S'adressant à la Vierge, il lui dit : "Quand le disciple bien-aimé t'emmena par la ville 'tout étant accompli', quel spectacle tu offris au peuple amassé dans les rues ! Il te regardait passer, les vêtements inondés du sang sacré qui, de la croix, s'était écoulé tout brûlant sur toi !..."
    Eh bien, parce que nous étions en pleurs avec Marie, au pied de la Croix, nous aussi, quoique très indignes, nous avons été revêtus de cette pourpre ineffable. Pour rien au monde nous ne demanderions qu'un tel manteau, qui nous assure la joie de souffrir tout près de Jésus, nous fût enlevé !...
    Sainte Souffrance, je t'ai construit une basilique au centre de mon âme et je l'ai vouée à Notre-Dame des Sept Douleurs. Tu n'es point une fleur de deuil et de mélancolie ; tu es la grande rose qui fleurit de toute ma ferveur pour la Mère de Compassion. Et je te place sur l'autel en souvenir du Calvaire où, par ses vertus et non par les miennes, qui n'existent pas, j'ai senti le sang de Jésus ruisseler sur moi. »

    Adolphe Retté, Oraisons du silence, Paris, Albert Messein Editeur, 1930.

    Marie-Van-der-Weyden.jpg

    Rogier van der Weyden (v.1400-1464) : Triptyque des 7 Sacrements (1445)
    Musée royal des Beaux-Arts, Anvers
    Détail du panneau central : visage de Marie au pied de la Croix