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pénitentielle

  • Eglise Saint-Anselme, première « station » suivie d’une procession pénitentielle jusqu’à la Basilique Sainte-Sabine

    Messe, bénédiction et imposition des Cendres
     
     
     
    Texte intégral de l'homélie du Pape François (version française) sur Zenit.org.

  • Célébration pénitentielle présidée par le Pape François, avec confession et absolution individuelles

     
     
    Le Pape a présidé ce vendredi 17 mars en fin d’après-midi en la Basilique Saint-Pierre une célébration pénitentielle. Une semaine avant l’initiative 24H pour le Seigneur, que le Pape François a lui-même instaurée, la liturgie pénitentielle veut proposer aux fidèles le sacrement de la réconciliation et de la confession, en cette période de Carême.
     
    Pour cette immense célébration du pardon dans toute la Basilique Saint-Pierre, c’est le silence qui a régné pendant plusieurs minutes pour permettre à chacun d’examiner sa conscience. Près de 90 confessionnaux ont été ouverts pour donner le sacrement de la réconciliation.

    C’est d’ailleurs le Pape le premier qui s’est avancé vers le confessionnal, et s’est mis à genoux sous les chants du chœur pour se confesser. Un geste qui rappelle celui de mars 2014. Le Saint-Père avait donné l’exemple en allant se confesser devant la foule pour lancer les 24H pour le Seigneur, une initiative où les portes des Églises restent ouvertes jour et nuit à tous. Depuis le début du pontificat, le Saint-Père encourage les fidèles, les prêtres ou encore les évêques à recevoir plus souvent le pardon de Dieu.

    Comment être un bon confesseur ? C’est la question à laquelle le Pape François a tenté de répondre ce vendredi matin, avec trois conseils : le confesseur est bon quand il est un véritable ami de Jésus. Il doit aussi un homme de l’Esprit Saint et donc de discernement. Car comme le rappelle le Pape, dans son dernier conseil, le confessionnal est véritablement le lieu même de l’évangélisation.

    L’an dernier, lors de la cérémonie, le Pape François avait appelé les confesseurs à bien s’investir dans l’accompagnement, pour que la rencontre avec le Seigneur soit personnelle, et intime. « Et après avoir reçu le pardon du Père, faisons la fête ! » avait ajouté le Pape.

    Source : Radio Vatican.

  • Basilique Saint-Pierre - Célébration pénitentielle présidée par le Pape François

    Le Pape François a présidé en ce vendredi soir, 4 mars 2016, une célébration pénitentielle, tradition qu’il a personnellement instaurée dans le cadre du Carême. C’est d’ailleurs dans le cadre de cette célébration que le Saint-Père avait annoncé, l’an dernier, l’organisation du Jubilé de la Miséricorde.

    60 prêtres, essentiellement des franciscains et des dominicains, se sont tenus à la disposition des fidèles qui voulaient se confesser, marquant ainsi le début de l’opération "24 heures pour le Seigneur". Il ne s’agissait pas d’une messe mais le Pape a prononcé une homélie, dans laquelle il s’est arrêté sur l’épisode de la guérison de Bartimée, dans l’Évangile, pour inviter à sortir de l’aveuglement en se laissant guérir par la miséricorde du Seigneur.

    Pour le Pape François, l’acceptation de la miséricorde de Dieu nous permet de retrouver la vue. « La cécité de Bartimée l’avait conduit à la pauvreté, et à une vie en marge de la ville, dépendant des autres en tout, a-t-il rappelé. Le péché aussi a cet effet : il nous appauvrit et nous isole. Il est une cécité de l’esprit, qui empêche de voir l’essentiel, de fixer le regard sur l’amour qui donne la vie. »

    Le Pape s’est une nouvelle fois arrêté sur les mauvaises tentations du monde contemporain : « Combien de tentations ont la force de brouiller la vue du cœur et de le rendre myope ! Combien il est facile et faux de croire que la vie dépend de ce que l’on a, du succès ou de l’admiration qu’on reçoit ; de croire que l’économie est faite seulement de profit et de consommation ; que les envies individuelles doivent prévaloir sur la responsabilité sociale ! En regardant seulement notre moi, nous devenons aveugles, éteints et repliés sur nous-mêmes, sans joie ni vraie liberté. »

    « Reconnaissons que nous sommes tous mendiants de l’amour de Dieu. » Le Pape s’est particulièrement adressé aux prêtres, appelés à « écouter le cri, peut-être caché, de tous ceux qui désirent rencontrer le Seigneur ». « Nous avons le devoir de revoir ces comportements qui parfois n’aident pas les autres à s’approcher de Jésus », « nos rigidités qui pourraient maintenir loin de la tendresse de Dieu ».

    Le Pape appelle donc les confesseurs à bien s’investir dans l’accompagnement, pour que « la rencontre avec le Seigneur soit personnelle, intime, et pour que le cœur puisse s’ouvrir sincèrement et sans crainte au Sauveur ». « Et après l’étreinte du Père, le pardon du Père, faisons fête dans notre cœur ! Parce que Lui fait la fête ! »

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral de l'homélie (traduite en français) ci-dessous.

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