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prophétie

  • Méditation : Parlez moins, et priez davantage !

    « O douceur ineffable du mystère de la prière ! Laissez-moi le répéter : oui, l'une des fins pour lesquelles nous avons été mis sur la terre, c'est l'intercession. L'une des fins de notre adorable Sauveur, lorsqu'il répandit jusqu'à la dernière goutte de son précieux sang, c'était de rendre notre intercession agréable à Dieu et efficace. L'un des tributs d'amour que Dieu attend de nous maintenant, c'est encore l'intercession. Cependant, combien de temps avons-nous coutume de consacrer au délicieux exercice de ce grand privilège ?

    Nous achetons à bon marché une réputation de piété, à force de parler de Dieu avec une aisance extraordinaire, et d'ennuyer les autres en leur présentant sans cesse de nouveaux plans pour réformer l’Église et faire prospérer les intérêts du catholicisme. Parleurs intrépides, pour la plupart du temps nous nous arrêtons là ; et nous reculons quand il s'agit de se mettre à l’œuvre. Oh ! oui, chacun de nous a son psaume, sa prophétie et sa doctrine : les Corinthiens étaient loin de posséder une sagesse égale à la nôtre, des dons aussi variés que nous ; que sont-ils en comparaison de nous ? Nous eussions étonné saint Paul ; quels oracles ! quels êtres utiles, nécessaires à Dieu ! Voilà, d'après nos discours, ce que nous sommes, ou plutôt ce que nous pensons être ! Maintenant, je voudrais bien savoir combien nous prions. J'aimerais à voir quelle proportion existe entre l'intercession que nous formulons tout bas et les critiques que nous faisons tout haut ? Je crains qu'elle ne soit bien faible ; car je ne puis m'empêcher de m'imaginer que si nous priions davantage, nous sentirions combien nous prions peu, et, par pudeur, nous n'oserions point parler. Je suis sûr que les gens qui prient se trouvent cachés parmi ceux qui ne nous disent point sans cesse tout l'intérêt qu'ils prennent dans les affaires catholiques. L’œil prompt à saisir les fautes d'autrui, l'oreille qui aime à écouter les critiques, et la langue d'un grand parleur, seront les marques d'une âme fervente quand l'arc-en-ciel deviendra l'emblème du désespoir, jamais avant ! »

    R.P. Frédéric-William Faber (1814-1863), Tout pour Jésus ou Voies faciles de l'Amour divin, Ouvrage traduit sur la 4e édition, avec l'autorisation de l'auteur, par l'Abbé F. de Bernardt, Nouvelle édition, Paris, Ambroise Bray, 1855.

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  • Méditation : la bienheureuse Vierge Marie, Mère de Dieu

    « La prophétie, et l'accomplissement et la continuation du grand mystère de la Rédemption, nous montrent partout et toujours la T. Ste Vierge associée à son divin Fils dans l’œuvre de la rédemption du monde. Déjà la première et la plus solennelle de toutes les prophéties, celle que Dieu lui-même fit au berceau de notre humanité déchue, montrait à l'horizon de l'avenir la réparatrice avec le réparateur. Et Dieu dit au serpent : « Tu as séduit la femme, tu seras maudit ; voici qu'entre toi et la femme, entre ta race et sa race, je mettrai une inimitié implacable ; un jour elle te brisera la tête. » Tout sera rétabli par un Adam nouveau et une Eve nouvelle. Ainsi, vous le voyez, la promesse du réparateur et la promesse de la réparatrice vont ensemble à travers les siècles, portées sur la même parole. Quatre mille ans attendront J.-C. le libérateur ; quatre mille ans attendront Marie la libératrice ; partout où il y aura une prophétie et une figure de l'un, il y aura une figure et une prophétie de l'autre. Ainsi, par exemple, si J.-C. est véritablement la fleur de Jessé, dont l'épanouissement doit produire le salut du monde, Marie est la tige qui doit produire cette fleur de Jessé. J.-C. est le soleil divin qui, s'élevant à l'Orient, illuminera toute la terre ; Marie est l'aurore qui l'annonce. Et lorsque nous feuilletons ce livre mystérieux dont chaque page prophétise, regardons à droite, à gauche, sur deux lignes parallèles qui viennent d'Adam à J.-C. et d'Eve à Marie, à travers quarante siècles : à droite, voici tous les hommes qui ont figuré J.-C., tous ayant au front un rayon de J.-C. qu'ils figurent ; à gauche, voici toutes les femmes qui prophétisent Marie, toutes ayant au front un rayon de la Vierge réparatrice. De sorte que, des portes fermées de l'Eden jusqu'au sommet du Golgotha, vous voyez partout la réparatrice associée au réparateur. Mais que toutes les figurent s'effacent, mais que tous les prophètes se taisent : voici venir la réalité. Isaïe a entrevu le grand mystère, et en le voyant il a tressailli ; il a salué d'un même cri et d'un même enthousiasme la Vierge-Mère et le Dieu réparateur : Ecce Virgo concipiet : « voici que la Vierge va concevoir et que Dieu va habiter avec nous » : et vocabitur nomen ejus Emmanuel (Is VII, 14). »

    R.P. Felix s.j. (1810-1891), La Maternité divine (extrait) in "Choix de Discours & Allocutions des plus célèbres orateurs contemporains sur la Très Sainte Vierge" par M. l'Abbé J. Guillermin, Tome I, Paris, Librairie Bloud et Barral, s.d. (1892).

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    Arbre de Jessé - Miniature du XIVe siècle

  • Les Foyers de Charité désapprouvent les conférences du P. Yannick Bonnet sur Marthe Robin

    Bon à savoir

    « Les Foyers de charité et la postulation pour la cause de béatification de Marthe Robin désapprouvent les conférences du P. Yannick Bonnet intitulées "la prophétie de Marthe Robin et l'avenir de la France" », indiquent ces deux institutions.

  • Méditation : le martyre de la Vierge Marie

    « Le martyre de la Vierge Marie nous est connu tant par la prophétie de Siméon que par le récit même de la passion du Seigneur. De l’enfant Jésus, ce vieillard disait : Il sera un signe division ; et toi, disait-il à Marie, une épée transpercera ton âme.

    Oui, Mère bénie, un glaive a transpercé ton âme : il n’aurait pu, sans transpercer celle-ci, pénétrer dans la chair du Fils. C’est vrai, ce Jésus qui est le tien, qui est à tous, certes, mais à toi tout particulièrement, après avoir remis son esprit, ne fut pas atteint dans son âme par la lance meurtrière ; sans épargner un mort, auquel elle ne pouvait pourtant plus faire de mal, elle lui ouvrit le côté ; mais c’est ton âme qu’elle transperça. La sienne, assurément n’était plus là, mais la tienne ne pouvait s’enfuir. Ton âme, c’est la force de la douleur qui l’a transpercée, aussi pouvons-nous très justement te proclamer plus que martyre, puisque ta souffrance de compassion aura certainement dépassé la souffrance qu’on peut ressentir physiquement.

    N'a-t-elle pas été plus qu'une épée pour toi, n'a-t-elle pas percé ton âme et atteint jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit, cette parole : "Femme, voici ton fils" ? Ô quel échange ! Jean t'est donné en lieu et place de Jésus, le serviteur à la place du Seigneur, le disciple au lieu du Maître, le fils de Zébédée à la place du Fils de Dieu, un simple homme à la place du vrai Dieu. Comment l'écoute de cette parole ne transpercerait-elle pas ton âme pleine d'affection, quand le seul souvenir de cette parole brise déjà nos cœurs, qui sont pourtant de roc et de fer ?

    Ne vous étonnez pas, frères, qu'on puisse dire de Marie qu'elle a été martyre dans son âme. S'en étonnerait celui qui aurait oublié comment Paul mentionne, parmi les fautes les plus graves des païens, le fait qu'ils ont été "sans affection". Un tel péché était bien loin du Cœur de Marie ; qu'il le soit aussi de ses modestes serviteurs. »

    St Bernard, Homélie pour le dimanche dans l'octave de l'Assomption (14-15).
    (Cf. Abbaye Saint Benoît)

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    Vierge des Sept Douleurs - Albrecht Dürer (Source)

  • 22 décembre : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise

    Magnificat (Lc 1, 46-56)

    « On me demande comment l'âme magnifie (c'est-à-dire agrandit) le Seigneur. Car, si le Seigneur ne peut être ni augmenté ni diminué, s'il est ce qu'il est, comment Marie peut-elle dire maintenant : "Mon âme magnifie le Seigneur" ? Si je considère que le Seigneur notre Sauveur est "l'image du Dieu invisible" (Col I,15), si je vois mon âme faite "à l'image du créateur" (Gn I,27), afin d'être l'image de l'image (car mon âme n'est pas exactement l’image de Dieu, mais elle a éte créée à la ressemblance de la première image) alors voici ce que je comprendrai : à la manière de ceux dont le métier est de peindre des images et d'utiliser leur art à reproduire un seul modèle, le visage d'un roi par exemple, chacun de nous donne à son âme l'image du Christ ; il en trace une image plus ou moins grande, délavée ou ternie, ou, au contraire, claire et lumineuse, ressemblant au modèle. Donc, lorsque j'aurai agrandi l'image de l'image, c'est-à-dire mon âme, lorsque je l'aurai "magnifiée" par mes actions, mes pensées et mes paroles, alors l'image de Dieu grandira et le Seigneur lui-même sera "magnifié" dans mon âme qui en est l'image. De même que le Seigneur grandit dans cette image que nous sommes de lui, de méme, si nous tombons dans le peché, il diminue et décroît...

    Voilà pourquoi l'âme de Marie magnifie d'abord le Seigneur et ensuite "son esprit exulte en Dieu." En effet, si nous n'avons pas grandi auparavant, nous ne pouvons exulter. "Parce que, dit-elle, il a jeté les yeux sur l'humilité de sa servante." (Lc I,48) Quelle est cette humilité de Marie que le Seigneur a regardée ? Qu’avait d'humble et de bas la mère du Sauveur qui portait en elle le Fils de Dieu ? "Il a jeté les yeux sur l'humilité de sa servante", cela veut dire à peu près : il a jeté les yeux sur la justice de sa servante, sur sa tempérance, sur sa force et sur sa sagesse. D'ailleurs, il est naturel que Dieu regarde les vertus. On me dira peut-être : Je comprends que Dieu regarde la justice et la sagesse de sa servante ; mais il n'est pas évident qu'il fasse attention à son humilité. Celui qui cherche à comprendre doit remarquer que précisement l'humilité est designée dans les Ecritures comme l’une des vertus. Du reste, le Sauveur déclare : "Apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez soulagement pour vos âmes." (Mt XI,29)

    "Désormais toutes les générations me diront bienheureuse." (Lc I,48) Si je comprends dans le sens le plus simple les mots "toutes les générations", je l'interprète des croyants. Mais si je réfléchis plus profondément, je remarque qu'il vaut bien mieux ajouter : "car le Tout-Puissant a fait pour moi de grandes choses. (Lc I,49)" En effet, puisque "tout homme qui s'abaisse sera élevé" (Lc XIV,11), Dieu qui a regardé l'humilité de la bienheureuse Marie, a naturellement le Tout-Puissant fait pour elle de grandes choses.

    "Et sa miséricorde s'étend d'âge en âge." (Lc I,50) La miséricorde de Dieu s'étend non pas sur une, deux, trois, ni même cinq genérations, mais éternellement, d'âge en âge. "Pour ceux qui le craignent, il a déployé la force de son bras." (Lc I,50-51) Si, malgré ta faiblesse, tu approches du Seigneur dans la crainte, tu pourras entendre sa promesse en réponse à ta crainte. Quelle est cette promesse ? Il se fait, dit Marie, la force de ceux qui le craignent. La force ou la puissance est une qualité royale... Si donc tu crains Dieu, il te donne sa force et sa puissance, il te donne son Royaume, afin que, soumis au Roi des rois, tu possèdes le Royaume des Cieux, dans le Christ Jésus.

    "Marie demeura avec Elisabeth environ trois mois, puis elle s’en retourna chez elle." (Lc I,56) S'il a suffi de la venue de Marie chez Elisabeth et de sa salutation pour que l'enfant tressaille de joie et qu'Elisabeth, remplie de l'Esprit-Saint, prophétise ce que rapporte l'Evangile, si une seule heure a apporté de si grandes transformations, il nous reste à imaginer quels progrès Jean a réalisés pendant les trois mois du séjour de Marie près d'Elisabeth. Si en un instant le petit enfant a tressailli et, pourrait-on dire, bondi de joie, et si Elisabeth a été remplie de l'Esprit Saint, il est anormal que, pendant trois mois, ni Jean, ni Elisabeth n'aient pas réalisé de progrès au voisinage de la mère du Seigneur et en la présence du Sauveur lui-même. »

    Origène, Homélie sur l'Evangile de Luc (suite du commentaire proposé hier).

    Source : missel.free.fr

  • 21 décembre : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise

    La Visitation (Lc 1, 39-45)

    « Les meilleurs vont vers les moins bons, pour leur procurer quelque avantage par leur venue. Ainsi, le Sauveur vient près de Jean pour sanctifier son baptême ; et dès que Marie eut entendu l'ange lui annoncer qu'elle allait concevoir le Sauveur et que sa cousine Elisabeth était enceinte, elle partit, se rendit en hâte vers le haut pays et entra dans la maison d'Elisabeth. Car Jésus, dans le sein de Marie, se hâtait de sanctifier Jean, encore dans le sein de sa mère. Avant l'arrivée de Marie et son salut, l'enfant n'avait pas tressailli dans le sein de sa mère ; mais dès que Marie eut prononcé la parole que le Fils de Dieu, dans son sein maternel, lui avait suggérée, l'enfant tressaillit de joie et, dès lors, de son précurseur, Jésus fit un prophète.

    Marie, tout à fait digne d'être mère du Fils de Dieu, devait, après son entretien avec l'ange, gravir la montagne et demeurer sur les sommets. D'où ces mots : "En ces jours-là, Marie partit et se rendit en hâte vers le haut pays." Il lui fallait aussi, parce qu'elle était active et pleine de sollicitude se hâter avec zèle et, remplie de l'Esprit-Saint, être conduite sur les sommets et protégée par la puissance divine, qui l'avait déjà couverte de son ombre. Elle vint donc "dans une ville de Juda ; elle entra chez Zacharie et salua Elisabeth. Or, dès qu'Elisabeth eut entendu la salutation de Marie, l'enfant tressaillit dans son sein et Elisabeth fut remplie du Saint-Esprit." (Lc I, 39-41)

    C'est pourquoi il n'est pas douteux que, si Elisabeth fut alors remplie du Saint-Esprit ce fut à cause de son fils. Car ce n'est pas la mère qui, la première, a mérité le Saint-Esprit ; mais lorsque Jean, encore enfermé dans son sein, eut reçu le Saint-Esprit, alors, Elisabeth, après la sanctification de son fils, fut remplie du Saint-Esprit. Tu pourras le croire, si tu as remarqué une chose semblable à propos du Sauveur... Car Marie fut remplie du Saint-Esprit, quand elle commença à avoir le Sauveur en son sein. En effet, dès qu'elle eut reçu l'Esprit Saint, créateur du corps du Seigneur, et que le Fils de Dieu eut commencé à être dans son sein, Marie aussi fut remplie de l’Esprit-Saint.

    "Alors Elisabeth poussa un grand cri et dit : Tu es bénie entre les femmes." (Lc I, 42)

    Si la naissance du Sauveur n'avait pas été céleste et bienheureuse, si elle n’avait pas eu quelque chose de divin et de supérieur à l'humanité, jamais sa doctrine ne se serait répandue sur toute la terre. S'il y avait eu dans le sein de Marie un homme au lieu du Fils de Dieu, comment pourrait-on expliquer, au temps du Christ comme maintenant, des guérisons de maladies de toutes sortes, non seulement physiques, mais encore morales ?...

    Avant Jean, Elisabeth prophétise ; avant la naissance du Seigneur notre Sauveur, Marie prophétise. Et de même que le péché a commencé par une femme pour atteindre ensuite l'homme, de même le salut a débuté par des femmes, pour que les autres, oubliant la faiblesse de leur sexe, imitent la vie et la conduite des saintes, surtout de celles que l'Evangile nous décrit maintenant. Voyons donc la prophétie de la Vierge. "Mon âme magnifie le Seigneur, dit-elle, et mon esprit exalte en Dieu mon Sauveur." (Lc I, 46-47) Deux principes, l'âme et l'esprit, s'acquittent d'une double louange. L'âme célèbre le Seigneur, l'esprit célèbre Dieu, non pas que la louange du Seigneur soit différente de celle de Dieu, mais parce que Dieu est aussi Seigneur et que le Seigneur est également Dieu. »

    Origène, Homélie sur l'Evangile de Luc.

    Source : missel.free.fr

  • 13 décembre : Toute l'année avec les Pères de l'Eglise

    "Tous les prophètes, ainsi que la Loi, ont parlé jusqu'à Jean." (Mt 11, 11-15)

    « Jusqu'à saint Jean, la Loi et les Prophètes avaient leurs sacrements préfiguratifs des événements futurs ; aujourd'hui nous possédons dans toute leur réalité les sacrements qui n'étaient alors qu'à l'état de prophétie. Or, de tous les Prophètes, saint Jean fut celui qui toucha de plus près à Jésus-Christ. Avant lui tous les justes et tous les Prophètes avaient désiré devenir les témoins de l'accomplissement des oracles sacrés ; de là ces paroles du Sauveur : "Beaucoup de justes et de Prophètes ont désiré voir ce que vous voyez et ne l'ont pas vu ; ils ont désiré entendre ce que vous entendez et ne l'ont point entendu" (Mt XIII, 17). Quant au précurseur, s'il est dit de lui qu'il fut plus que prophète, et le plus grand des enfants des hommes (Mt XI,9-11), c'est parce que les justes qui l'ont précédé n'ont pu qu'annoncer la venue de Jésus-Christ, tandis qu'il lui fut donné, à lui, de l'annoncer absent, de le voir présent et de jouir ainsi du bonheur après lequel les autres Prophètes avaient longtemps soupiré. »

    Saint Augustin, Controverse avec les Donatistes, "Contre les lettres de Petilien" Livre 2 (87), in Oeuvres complètes de saint Augustin (Tome XVII) traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Traduction de M. l'abbé Burleraux, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie éditeurs, 1869.

    Source : Abbaye Saint Benoît.