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st etienne

  • Mercredi 2 septembre 2020

     
    (mémoire facultative le 16 août au nouveau calendrier)

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  • Angelus du 26 décembre 2019

    Ce 26 décembre, l’Église universelle célèbre la fête de saint Étienne, premier martyr chrétien, dont le témoignage de foi est rapporté par le livre des Actes des Apôtres. Avant la prière de l’Angélus, le Pape a présenté ce diacre comme un exemple pour aujourd’hui, exemple de ressemblance au Seigneur et d’évangélisation.

    Compte rendu d'Adélaïde Patrignani à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Angelus du 26 décembre, St Etienne

    Lors de l'Angélus, le Pape François est revenu sur les similarités entre Jésus et Saint Etienne. Deux parcours marqués par la prière et le pardon.

    Compte rendu à lire sur Vatican News.

    Texte intégral des paroles du Pape traduites en français sur Zenit.org.

  • Angelus du 26 décembre 2017 (St Etienne)

    Avant la prière de l’Angélus, ce mardi 26 décembre 2017, le Pape a invité les fidèles réunis place Saint-Pierre à confier leur vie et leur esprit au Christ pour rester fidèle à sa parole. Le Pape François a ainsi posé Saint-Etienne, dont la foi irrita les chefs de son temps, en exemple. Car si la fête de ce premier martyr tombe aujourd’hui, au lendemain de Noël, cela n’a rien d’un hasard.

    Le commentaire de Samuel Bleynie est à lire sur Vatican.News.

    Traduction intégrale des paroles du Pape sur Zenit.org.

  • Angelus de ce 26 décembre 2016

    Les chrétiens d’aujourd’hui subissent la même cruauté que celle vécue par les martyrs des premiers siècles : c’est ce qu’a affirmé le Pape François ce lundi, lors de l’Angélus place Saint-Pierre. En ce 26 décembre, l’Église fête saint Étienne, lapidé pour avoir confessé sa foi en Jésus. Ce martyr chrétien, a assuré le Souverain Pontife, continue à être présent dans l’Histoire de l’Église, de saint Étienne jusqu’à aujourd’hui.

    Les martyrs d’aujourd’hui sont plus nombreux qu’aux premiers siècles du christianisme, assure le Pape. La cruauté qui visait alors les disciples du Christ, les chrétiens d’aujourd’hui l’éprouvent à leur tour. « Combien de nos frères et sœurs dans la foi subissent abus et violences, sont haïs à cause de Jésus ! » s’est exclamé le Pape depuis la fenêtre du palais apostolique. « Nous voulons penser à ces chrétiens persécutés, être proches d’eux avec notre affection, notre prière et nos pleurs ». Le Souverain Pontife a évoqué les chrétiens irakiens, persécutés par Daech, qui ont pu cette année fêter Noël dans leur cathédrale détruite, « un exemple de fidélité à l’Évangile ».

    « Mais pourquoi les chrétiens sont-ils persécutés » s’est interrogé le Pape avant de répondre : « le monde hait les chrétiens pour la même raison qu’il a haï le Christ », « parce qu’Il a apporté la lumière de Dieu, et que le monde préfère les ténèbres, afin de cacher ses mauvaises œuvres ». Suivre le Christ, c’est choisir sa lumière, celle qui a brillé dans la Grotte de Bethléem. Et c’est ce qu’a fait saint Étienne.

    Comme lui, les martyrs d’aujourd’hui choisissent la lumière du Christ. « Malgré les épreuves et les dangers, ils témoignent avec courage de leur appartenance au Christ », vivant l’Évangile par les actes, « ils témoignent de la charité dans la Vérité ».

    Source : Radio Vatican (BH-MA).

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

  • Méditation - Saint Etienne, protomartyr

    « Saint Étienne est le premier qui ait souffert la mort pour Jésus-Christ ; c'est-à-dire qu'il a été le premier témoin de la divinité de Jésus-Christ ; le premier confesseur de son nom, le premier martyr de son Évangile, le premier combattant des armées de Dieu, en un mot, le premier héros du christianisme et de la loi de grâce. Ainsi l’Église le reconnaît-elle dans la solennité de ce jour. Et afin que vous ne pensiez pas que cette primauté soit un vain titre qui n'ajoute rien au mérite du sujet, souvenez-vous de ce qui arriva en figure au peuple juif, lorsque, poursuivi par Pharaon, il se trouva réduit à la nécessité inévitable de traverser la mer Rouge, pour se délivrer de l'oppression et de la servitude des Égyptiens. C'est saint Chrysostome qui fait cette remarque. Moïse, par une vertu divine, ayant étendu sa main sur les eaux, les avait déjà divisées, et montrait aux Israélites, dans la profondeur de cet abîme qui venait de s'ouvrir à leurs yeux, le chemin qu'ils devaient prendre, et qui les devait sauver. Toutes les tribus étaient rangées en ordre de milice ; mais, quelque confiance qu'ils eussent tous dans la protection de leur Dieu, chacun frémissait à la vue de ce passage ; les flots élevés et suspendus de part et d'autre faisaient trembler les plus hardis. Que fait Moïse ? Pour les rassurer et les fortifier, il marche le premier, il entre dans ce gouffre affreux, le franchit, arrive heureusement à l'autre bord, et détermine, par son exemple et par son intrépidité, tout le reste du peuple à le suivre : figure dont voici l'accomplissement dans saint Étienne. Le Sauveur du monde, qui fut souverainement et par excellence le conducteur du peuple de Dieu, mourant sur la croix, avait ouvert à ses élus, pour arriver au terme du parfait bonheur, une voie aussi difficile que nouvelle ; savoir, la voie du martyre, qui, selon la pensée des Pères, devait faire, par l'effusion du sang, comme une espèce de mer Rouge dans l’Église. Un nombre infini de Chrétiens étaient destinés à essayer, si je puis parler de la sorte, le passage de cette mer ; mais parce qu'ils étaient faibles, il fallait les encourager et les soutenir. Qu'a fait Dieu, ou plutôt qu'a fait saint Étienne, suscité de Dieu pour être leur chef après Jésus-Christ ? Comme un autre Moïse, il s'expose le premier, il marche à leur tête, il les attire par son exemple, en leur faisant voir que la mort endurée pour Dieu, que la voie du sang répandu pour le nom de Jésus-Christ, est un chemin sûr qui conduit à la gloire et à la vie : et voilà ce qui lui acquit la qualité de prince des martyrs. Après lui, tous les autres sont devenus inébranlables, et les plus sanglantes persécutions ne les ont point étonnés, mais ils marchaient sur les pas de saint Étienne ; c'était saint Étienne qui les animait tous ; et, s'il m'est permis de le dire, ils participaient tous à la plénitude de sa force : Plenus fortitudine.
    [...]
    Or, pour nous appliquer ceci, Chrétiens, savez-vous ce qui m'afflige ? C'est la comparaison que je fais de notre lâcheté avec cette force héroïque de saint Étienne. Je dis de notre lâcheté, soit dans les maux de la vie que nous avons à supporter, soit dans les biens dont nous avons à user, puisque dans l'un et dans l'autre état, nous la faisons également paraître : car voilà, mes chers auditeurs, ce que nous devons aujourd'hui nous reprocher devant Dieu. Saint Étienne, avec un courage invincible, a soutenu le plus rigoureux martyre, et nous, dans les moindres épreuves, nous témoignons des faiblesses honteuses ; une légère disgrâce, une contradiction, une humiliation, nous fait perdre cœur ; et de là viennent ces abattements, ces chagrins, ces impatiences et ces désespoirs où notre vie se passe. De là ces troubles qui nous agitent, qui nous désolent, qui nous ôtent toute attention à nos devoirs les plus essentiels, qui nous causent de mortels dégoûts pour les plus saints exercices de la piété, qui nous mettent dans une espèce d'impuissance de nous élever à Dieu, qui ébranlent jusqu'aux fondements de notre foi, et qui nous font non seulement croire que Dieu nous abandonne, mais souvent douter s'il y a un Dieu et une Providence ; ne considérant pas, aveugles et insensés que nous sommes, et ne voyant pas que c'est par là même que nous devons être convaincus qu'il y a un Dieu qui nous gouverne, et une Providence qui veille sur nous, puisqu'il est vrai qu'à notre égard, comme à l'égard de saint Étienne, les persécutions et les croix sont la précieuse matière dont notre couronne doit être formée, que sans cela le royaume de Dieu ne serait plus cette place de conquête qui ne peut être emportée que par violence ; que c'est pour cela que nous sommes les enfants des saints, et que nous n'avons pas encore résisté, comme eux, jusqu'à verser du sang. »

    Louis Bourdaloue (1632-1704), Sermon pour la fête de Saint Étienne, Deuxième Partie. In Œuvres complètes, Vol. III, Publiées par les Prêtres de L'Immaculée Conception de Saint-Dizier (Haute-Marne), Tours, Cattier, Libraire-Editeur, 1864.
    Texte intégral de ce Sermon à l'Abbaye Saint Benoît de Port-Valais (Suisse).

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  • Lundi 26 décembre 2016

    St Etienne, diacre et premier martyr

    Saint_Etienne_4b.jpg

  • Angelus de la fête de St Etienne, 26 décembre 2015

    « le pardon, comme le dit le mot lui-même, est l’expression la plus haute du don. »

    « Nous ne devons jamais nous fatiguer de demander le pardon divin, parce que seulement quand nous sommes pardonnés nous arrivons à pardonner. »

    En ce samedi 26 décembre, jour férié en Italie et au Vatican, le Pape François a prononcé son traditionnel Angélus depuis la fenêtre des appartements pontificaux, devant une foule nombreuse et un soleil presque printanier. En ce jour de la fête de la Saint-Etienne, premier martyr, le Saint-Père est revenu sur l'importance du pardon.

    Commentaire de Cyprien Viet à lire / écouter sur Radio Vatican.

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Samedi 26 décembre 2015

    St Etienne, diacre et premier martyr

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    Catéchèse de Benoît XVI sur Etienne, le Protomartyr

    (Audience générale du Mercredi 10 janvier 2007)

  • Samedi 26 décembre 2015

    St Etienne, diacre et premier martyr

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    Catéchèse de Benoît XVI sur Etienne, le Protomartyr

    (Audience générale du Mercredi 10 janvier 2007)

  • Angélus du 26 décembre, Fête de saint Étienne protomartyr

    « La cohérence chrétienne est une grâce que nous devons demander au Seigneur. Être cohérents, vivre en chrétiens, et ne pas dire : "je suis chrétien", et vivre en païen. La cohérence est une grâce à demander aujourd'hui. »

    En la solennité du premier martyr de l’Église qui « honore le Roi des rois en lui offrant le don de sa vie », le Pape François a prié de manière particulière pour tous ceux qui sont discriminés en raison du témoignage qu’ils rendent au Christ. « Je voudrais dire à chacun d’eux : si vous portez cette croix avec amour, vous êtes entrés dans le mystère de Noël, vous êtes dans le Cœur du Christ et de l’Église ». Le Pape invite à prier pour eux parce que, « grâce aux sacrifices de ces martyrs d’aujourd’hui, se renforce de par le monde les efforts pour reconnaître et garantir concrètement la liberté religieuse, qui est un droit inaliénable pour les personnes humaine. »

    Dans l’Évangile de ce jour, Jésus s’adresse à ses disciples. Il les envoie en mission en les avertissant : « Vous serez détestés de tous à cause de mon nom ; mais celui qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé ». Ces paroles du Seigneur, a dit le Pape, ne viennent pas « perturber la célébration de Noël, mais lui enlèvent le revêtement doucereux qui ne lui appartient pas ». Elles font comprendre que, dans les épreuves acceptées en raison de la foi, la violence est vaincue par l’amour, la mort par la vie.

    Pour accueillir vraiment Jésus dans notre existence et prolonger la joie de la Nuit Sainte, la route est vraiment celle indiquée dans cet Évangile : témoigner dans l’humilité, dans le service, sans peur d’aller à contre-courant et de payer de sa personne. « Tous ne sont pas appelés, comme Saint Etienne, à verser leur sang, mais il est demandé à chaque chrétien d’être cohérent avec la foi qu’il professe. »

    Suivre Jésus est certainement un « chemin exigent », mais ceux qui le suivent avec fidélité et courage, reçoivent le don promis par le Seigneur aux hommes et femme des bonne volonté, assure le Pape. « Sur la terre paix aux hommes qu’il aime ». Cette paix donnée par Dieu, dont parle l’Évangile de Luc, est en mesure de tranquilliser les consciences de ceux qui, à travers les épreuves de la vie, savent accueillir la Parole de Dieu et s’engager à la suivre avec persévérance, jusqu’à la fin.

    Source : Radio Vatican.

    Texte intégral traduit en français sur Zenit.org.

    Texte intégral original en italien sur le site internet du Vatican.

  • Vendredi 26 décembre 2014

    Saint Etienne, premier martyr

    Saint_Etienne_Carrache_1a.jpg

    Le martyre de St Etienne, Annibale Carrache (1560-1609)
    Musée du Louvre, Paris