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transpercé

  • Méditation : le Christ transpercé sur la Croix...

    « Chers frères et sœurs, regardons le Christ transpercé sur la Croix ! Il est la révélation la plus bouleversante de l'amour de Dieu, un amour dans lequel eros et agapè, loin de s'opposer, s'illuminent mutuellement. Sur la Croix c'est Dieu lui-même qui mendie l'amour de sa créature : Il a soif de l'amour de chacun de nous. L'apôtre Thomas reconnut Jésus comme "Seigneur et Dieu" quand il mit la main sur la blessure de son flanc. Il n'est pas surprenant que, à travers les saints, beaucoup aient trouvé dans le Cœur de Jésus l'expression la plus émouvante de ce mystère de l'amour. On pourrait précisément dire que la révélation de l'eros de Dieu envers l'homme est, en réalité, l'expression suprême de son agapè. En vérité, seul l'amour dans lequel s'unissent le don désintéressé de soi et le désir passionné de réciprocité, donne une ivresse qui rend légers les sacrifices les plus lourds. Jésus a dit : "Quand je serai élevé de terre, j'attirerai à moi tous les hommes" (Jn 12, 32). La réponse que le Seigneur désire ardemment de notre part est avant tout d'accueillir son amour et de se laisser attirer par lui. Accepter son amour, cependant, ne suffit pas. Il s'agit de répondre à un tel amour pour ensuite s'engager à le communiquer aux autres : le Christ "m'attire à lui" pour s'unir à moi, pour que j'apprenne à aimer mes frères du même amour. »

    Benoît XVI, extrait du Message pour le Carême 2007.
    (Texte intégral)

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    La Bse Marie du Divin Cœur Droste zü Vischering et Ste Marguerite-Marie Alacoque
    en adoration devant le Sacré-Cœur de Jésus.

    (Source et crédit photo)

  • 16 novembre : Prière

    Cantique "Coeur transpercé pour nous"

    « Coeur transpercé pour nous, des crimes de la terre,
    Ne vous souvenez plus ;
    Du cri qui retentit jadis sur le Calvaire,
    Souvenez-vous, souvenez-vous, Jésus.
    "Parce Domine..." (*)

    De la France à son Dieu refusant une place,
    Ne vous souvenez plus ;
    Des admirables saints, honneur de notre race,
    Souvenez-vous, souvenez-vous, Jésus.
    "Parce Domine..."

    Du travail insultant au repos du dimanche,
    Ne vous souvenez plus ;
    Des foules dont le coeur dans votre Coeur s'épanche,
    Souvenez-vous, souvenez-vous, Jésus.
    "Parce Domine..."

    Des chrétiens effaçant le sceau de leur baptême,
    Ne vous souvenez plus ;
    Des chrétiens éprouvés et fidèles quand même,
    Souvenez-vous, souvenez-vous, Jésus.
    "Parce Domine..."

    Du pécheur obstiné dans son impénitence,
    Ne vous souvenez plus ;
    Du pécheur repentant qui prie avec instance,
    Souvenez-vous, souvenez-vous, Jésus.
    "Parce Domine..."

    De nos péchés sans nombre, à notre heure dernière,
    Ne vous souvenez plus ;
    De nos amis sur nous versant une prière,
    Souvenez-vous, souvenez-vous, Jésus.
    "Parce Domine..."

    Coeur si tendre et si bon, du crime qui déborde,
    Ne vous souvenez plus ;
    De votre Mère ici criant : miséricorde !
    Souvenez-vous, souvenez-vous, Jésus.
    "Parce Domine..." »

    (*) : Parce, Domine, parce populo tuo / Ne in aeternum, irascaris nobis. (trois fois)

    Abbé J. Marbeuf (Cf. J. Benoist, Le Sacré-Coeur de Montmartre, Paris, 1992, p. 605)

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    Crucifix de l'église de Yaguarón au Paraguay (crédit photo)