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unicef

  • Confirmation du contrôle dissimulé des naissances par l'UNICEF au Kenya

    30% des doses de vaccin antitétanique contiennent un facteur destiné au contrôle des naissances selon les tests finaux

    « 30% des doses recueillies au cours de la campagne antitétanique sponsorisée et promue par l’Organisation mondiale de la Santé et par l’UNICEF contiennent l’HCG » affirme un communiqué de la Conférence épiscopale du Kenya parvenu à Fides, relatif au rapport final de la Commission scientifique qui a examiné la campagne de vaccination antitétanique conduite de mars à octobre 2014 auprès des femmes de 14 à 49 ans.
    La Commission en question avait été chargée par l’Église catholique et par le Ministère de la Santé local de vérifier si était présente, au sein des vaccins employés dans le cadre de la campagne antitétanique susmentionnée, la sub-unité Beta HCG, qui en aurait fait un instrument subreptice de contrôle des naissances (voir notre article du 14 novembre 2014).
    Le Ministère de la Santé s’est cependant retiré de la Commission conjointe à la veille de la publication du rapport final, qui démontre que 30% des doses examinées, provenant des stocks utilisés dans le cadre de la campagne sponsorisée par l’OMS et l’UNICEF, contiennent la sub-unité Beta HCG.
    « Il est immoral et non éthique que l’OMS et l’UNICEF sponsorisent et financent une campagne inhumaine comme celle-ci dans notre pays » affirment les Évêques, qui demandent à ce que ces organismes s’excusent auprès « des enfants et des femmes du Kenya », dont la confiance a été trahie. « Aucune campagne de vaccination ne doit être entreprise en l’absence de contrôles soigneux des vaccins avant, pendant et après qu’elle soit effectuée » conclut le communiqué. (L.M.)

    Source : Agence Fides 17/02/2015.

  • Scandale au Kenya : un agent abortif caché dans un vaccin

    Les évêques du Kenya accusent les Nations Unies de procéder à une réduction de la population via un agent abortif contenu dans un vaccin contre le tétanos. Plus de 2 millions de femmes seraient concernées !

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    Mardi 7 novembre, l’association des médecins catholiques du Kenya publiait une déclaration selon laquelle ils avaient découvert un élément qui provoquait des fausses couches dans un vaccin antitétanique administré à 2,3 millions de femmes par l’Organisation mondiale de la santé et l'Unicef. Le clergé catholique a encouragé tous ses fidèles à refuser le vaccin (voir Kenyatoday).

    Fausses couches
    Dans le journal canadien lifesitenews, le porte-parole de l’association, le Dr Muhame Ngare, détaille : « Nous avons envoyé six échantillons venant de différents endroits du Kenya à un laboratoire sud-africain. Tous ont révélé la présence d’un antigen HCG ». L’HCG est l'hormone permettant au corps de la femme enceinte de reconnaître son enfant, pour qu’il ne soit pas attaqué par le système immunitaire. L’élément présent dans le vaccin bloque cette hormone, entraînant des fausses couches, selon les analyses du professeur Bellet (voir un article de Découverte).

    Qui ment ?
    Le gouvernement kenyan nie. Son ministre de la Santé, James Macharia, a affirmé à la BBC : « Je recommanderais ce vaccin à ma propre femme, à ma fille, je l’accepte à 100% et suis sûr qu’il n’a aucun effet indésirable ». Ce à quoi le Dr Ngare répond : « Soit ce sont eux qui mentent, soit c'est nous, mais posez-vous la question : quel intérêt les médecins catholiques auraient-ils à mentir ? Ils sont dans le pays depuis plus de cent ans, ils vaccinaient avant même que ce pays existe ». Il fait part des signes qui les ont inquiétés, récoltés auprès des 54 hôpitaux, 83 centre de santé et 17 écoles d’infirmières. Avant d’avoir les résultats des laboratoires sud-africains, le Dr Ngare avait déjà été étonné de constater que l’on procédait à cinq injections étalées sur plus de deux ans et que cette campagne ne concernait que les femmes. Ce procédé semblait similaire à des campagnes menées par l’OMS et l'Unicef au Mexique, au Nicaragua et aux Philippines. À chaque fois, l’objectif aurait été un contrôle de la démographie par la stérilisation des femmes en âge de procréer. Dans le cas de ces trois pays, les femmes ayant été vaccinées seraient devenues stériles quelques années après les injections.
     
    Des précédents au Mexique et aux Philippines
    Ces campagnes de stérilisation ont été dénoncées en leur temps. Au Mexique, le comité Pro Vida, s’est étonné en octobre 1994 d’une campagne de vaccination antitétanique destinée seulement aux hommes. Il a fait analyser les vaccins et a conclu à la présence de l’élément pathogène dans le vaccin. Même histoire ou presque aux Philippines en 1995, où la Ligue des femmes catholiques des Philippines a obtenu de la justice l’arrêt d’un programme anti-tétanique de l’Unicef parce qu’il contenait la fameuse hormone B-hCG (gonadotrophine chorionique humaine). Dans ce pays, 3,5 millions de femmes sont concernées ! Malgré l’énormité de ces affaires, elles n’ont pas été relayées par les grands médias.

    Source : Aleteia - Photo © Pressmaster / SHUTTERSTOCK